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Nadine Pf, Rajshahi Division (2025)

07/09/2025

Je suis une mère de famille.
Cela fait quatre ans que j’ai quitté le pays pour travailler à l’étranger.
Mon mari est resté avec nos trois enfants, et chaque jour je me demande :
Est-ce que je suis en train d’aimer toute seule ?

Je sais que, d’habitude, on dit que celles et ceux qui vivent à l’étranger oublient leur famille.
Mais moi, c’est tout l’inverse.

J’appelle. Je gère les factures. Je paie l’école.
Je couvre le loyer au pays comme ici.
J’ai mis la fibre à la maison pour que mes enfants puissent suivre leurs cours en ligne.
Je n’ai jamais raté un anniversaire.
Je continue d’envoyer des colis avec des habits, des livres, des cadeaux.
Je pense à tout, même aux bidons d’eau.

Et pourtant…
Quand je l’appelle, il me répond froidement.
Quand je laisse un message, il met des heures à répondre.
Quand je lui demande ce qui ne va pas, il me dit :
— « On a déjà parlé ce matin, non ? »
Même si ça fait 9 heures que je n’ai plus entendu sa voix.

Et le pire ?
Il est actif sur les réseaux sociaux. Il poste, il commente, il rit avec tout le monde.
Mais moi, sa femme, je suis invisible.
Une fois, il m’a même caché son statut WhatsApp.
Et il a fallu que je le remarque pour qu’il dise :
— « Je ne sais même pas pourquoi j’ai fait ça. »
Trop t**d. Parce qu’à ce moment-là, j’ai compris quelque chose de brutal.

Je suis en train de m’effacer dans une relation où je donne tout,
Et où je ne reçois même pas la tendresse d’une présence.

Je me suis posé mille fois la question :
Est-ce qu’il m’a choisie par amour… ou juste parce que j’étais pratique ?

Aujourd’hui, je fais un choix.
Je me choisis moi.
Et je choisis mes enfants.

Ce n’est pas de l’égoïsme. C’est de la survie.

Parce qu’à force de verser tout ce que j’ai dans un cœur qui reste fermé,
Je me suis vidée.

Et parfois, je me dis :
👉 Pourquoi certaines femmes donnent autant… à des hommes qui ne voient rien ?

06/09/2025

J’étais dans la file au supermarché quand j’ai vu deux hommes suivre une jeune fille qui faisait semblant de chercher quelque chose dans son sac.
Elle a levé les yeux, paniquée. Et elle a dit :
— « Je vous ai déjà dit non. »

Je me suis avancée doucement. J’ai posé ma main sur son bras.
Et j’ai dit :
— « Chérie, je t’ai cherchée partout. Tu es prête à rentrer ? »

Elle a saisi tout de suite.
— « Oui, maman… j’arrive. »
Je lui ai souri et j’ai ajouté :
— « Ton plat t’attend à la maison. Je l’ai fait comme tu l’aimes. »

Les deux hommes se sont éloignés, silencieux.
Et quand elle a su qu’ils étaient partis, elle m’a regardée, bouleversée :
— « Merci. Merci infiniment… je ne savais pas quoi faire. »

Je suis restée jusqu’à ce qu’elle monte dans un taxi.
Et sur le chemin du retour, une seule chose m’a traversé l’esprit :
👉 Si un jour ma fille se retrouve seule, j’espère qu’une autre femme sera là pour elle aussi.

Parce que parfois…
Un seul geste peut suffire à protéger une vie.

06/09/2025

Pour David qui voulait encore une histoire nulle 😉😊

06/09/2025

Il a dit : “Je reviens te chercher.”
C’était en 1997.
Je suis toujours là.

Ma mère était allongée, entre les mains d’un guérisseur traditionnel.
Mon père s’occupait de nous. Enfin… je croyais.

D’abord, il a pris mon petit frère. Il n’est jamais revenu avec lui.
Ensuite, ma sœur. Même chose.

Et un jour, il m’a demandé d’aller au marché avec lui.

On s’est arrêtés en chemin.
Une voiture s’est arrêtée.
Des hommes à l’intérieur.
Ils m’ont regardée. Longtemps.
Ils ont discuté. Mon père suppliait.
Ils ont refusé.
Ils sont partis.

Il a baissé la tête. Il n’a rien dit.
Et on a continué.

Quand on est arrivés au marché, il a juste dit à une marchande :
“Je reviens chercher mon enfant tout à l’heure.”

Mais il n’est jamais revenu.
Jamais.

Pas ce soir-là.
Pas la semaine d’après.
Pas pour mon anniversaire.
Pas même pour me dire pourquoi.

J’avais 19 ans.
Et depuis ce jour, j’ai appris une chose :

> Le plus grand traumatisme… ce n’est pas l’abandon.
C’est l’attente qui ne finit jamais.

Parce que depuis ce jour, j’attends.
J’attends que quelqu’un me choisisse.
J’attends qu’un homme reste.
J’attends qu’on tienne parole.
J’attends un “je t’aime” qui veut vraiment dire : “je suis là, et je reste.”

Mais dans cette attente… j’ai tout confondu.
J’ai cru que me donner suffisait à ne pas être laissée.
J’ai cru qu’en acceptant tout, il m’aimerait mieux.
J’ai cru qu’en étant douce, sexy, prête… il resterait.

Mais non.
Quand un corps espère être sauvé, il s’offre sans limite.
Il oublie qu’il a le droit de dire non.
Il oublie qu’il a le droit d’être touché sans être utilisé.
Il oublie le plaisir.
Il veut juste la présence.

Si tu te reconnais…
Sache que le sexe ne guérit pas la blessure du cœur.

Et tant que ton corps cherche un père…
Tu ne connaîtras jamais le vrai amour d’un homme.

06/09/2025

Elle m’a pris mon mari… mais je n’ai jamais récupéré mon corps.
Pendant qu’elle rayonne sur les réseaux, je me vide de l’intérieur.

Je l’ai regardée dans les yeux.
Cette femme que mon mari avait mise enceinte.
Et je lui ai parlé comme une sœur. Pas comme une rivale.

Je lui ai dit :
“Je suis prête à élever ton enfant. Je suis prête à pardonner. Je veux juste que tu me rendes mon mari. Ma maison. Ma dignité.”

Elle a juré, main sur le cœur, qu’elle s’effacerait.
Elle a pleuré.
Elle a promis qu’elle ne savait pas qu’il était marié.
Et moi, dans ma folie de femme amoureuse, j’ai choisi de croire.

Mais ce n’était pas une erreur.
C’était un plan.
Un piège qui a marché.
Parce qu’aujourd’hui encore, elle est toujours là.

Derrière ses vidéos parfaites.
Ses filtres. Ses sourires.
Ses phrases de motivation sur Instagram.

Mais moi ?
Moi je suis restée avec le silence.
Avec un mari qui ment. Qui voyage avec elle et me dit qu’il est à une “réunion de travail”.

J’ai été celle qu’on cache.
Celle qui reste forte.
Celle qui pleure en silence quand son homme s’endort le dos tourné.

Et aujourd’hui, je suis fatiguée.
Pas juste fatiguée de leur trahison.
Fatiguée de mon propre corps qui ne vibre plus. Qui ne ressent plus rien.
Plus de désir. Plus de plaisir.
Comme si cette histoire m’avait volé mon sexe.

Et le plus douloureux ?
C’est de la voir, elle, heureuse.
Alors que moi, je ne me reconnais plus dans le miroir.
Ma sensualité a fui avec ses promesses.
Mon envie de femme s’est dissoute dans ses mensonges.

Certaines trahisons ne cassent pas seulement un couple.
Elles cassent l’intimité qu’on avait avec soi-même.
Elles plantent une graine dans le bas-ventre, un nœud qui bloque tout.
Et puis un jour, on réalise qu’on ne sent plus rien. Même quand un autre homme nous touche.

Ce n’est pas parce qu’on est “cassée”.
C’est parce qu’on a été vidée.

Quand le plaisir ne revient plus, ce n’est pas toujours un problème de libido.
Parfois, c’est une douleur enfouie.
Un souvenir qui empêche ton bassin de s’ouvrir.
Une rage non digérée qui verrouille ton cl****is.

Et tant que tu ne guéris pas ton histoire, tu ne récupèreras jamais ton plaisir.

Tu ne pourras pas réécrire ton corps… tant que tu continues à porter la colère des autres.

Et parfois, il faut sortir du silence… pour retrouver ta sensation.

Tu veux retrouver ton corps ? Il va falloir apprendre à l’écouter, vraiment.
Pas à travers lui. Pas à travers elle. À travers toi.

31/08/2025

Depuis qu’il m’a quittée pour une autre, je n’ai plus jamais ressenti le plaisir avec aucun homme.
Mais le pire ? C’est qu’il est revenu. Et mon corps l’a laissé entrer.

Je m’appelle Adèle.
Quand Emma est parti vivre à Kumasi pour le travail, j’ai senti que quelque chose se brisait. Avant ça, on avait tout partagé : trois ans d’amour solide, de petits gestes tendres, de souvenirs vibrants comme ce week-end de mon anniversaire où il m’avait portée sur ses épaules toute l’après-midi, m’avait nourrie à la cuillère, massée avec des huiles et embrassée comme si mon corps était sacré.

Mais après son départ, tout a changé.
Il ne m’appelait plus, ne répondait plus. Et quand je forçais la main pour visiter, il devenait froid. Une nuit, j’ai vu une lumière traverser sa chemise : un message de “Jay”.
Mais "Jay", c’était “Jennifer”.
Et moi, j’étais juste un passé qu’il n’avait pas encore officiellement jeté.

Quand je l’ai confronté, il a osé me crier dessus.
Le lendemain, il a mis fin à notre relation par un simple message.
Rien. Pas un mot sur ce qu’on avait construit.
Rien sur le vide qu’il allait me laisser.
Juste : "C’est mieux comme ça."

Ce vide, il m’a avalée.

J’ai essayé de me distraire. J’ai appris le perlage, je suis sortie avec Fred, puis Peter, mais à chaque fois je n’arrivais plus à ressentir. Mon corps réagissait comme s’il était mort.
J’étais vivante, mais éteinte.

Puis… le hasard.
Un mariage. Une robe. Une musique douce.
Et Emma.

Il m’a regardée comme un homme qui regrette.
Mais je ne voulais pas céder. Pas tout de suite.
Alors j’ai joué à l’indifférente, jusqu’à ce qu’il revienne. Encore. Et encore.
Jusqu’à ce que, moi aussi, je revienne.

Je l’ai laissé reposer sa main sur mon bras.
Je l’ai laissé approcher mes lèvres.
Et j’ai laissé mon corps s’ouvrir, malgré moi.

Il a demandé qu’on recommence. Qu’on reprenne là où on s’était arrêtés.

Et j’ai dit oui.
Parce que je croyais encore que mon plaisir était attaché à lui.
Parce que je n’avais jamais réappris à ressentir seule.
Parce que mon corps, longtemps éteint, s’était allumé à son retour.

Un an plus t**d, on s’est mariés.
Deux ans après, j’ai donné naissance à une fille.

Et pourtant…

Beaucoup de femmes pensent que si leur corps ne ressent plus rien, c’est parce que l’homme qu’elles ont perdu était “le bon”.
Mais non.
Le corps féminin n’oublie pas — il se ferme quand il n’est pas entendu.
Il se bloque quand il a été trahi, humilié, délaissé.

Et parfois…
Ce n’est pas lui qui revient.
C’est ta dépendance qui prend la forme de ses bras.

Si tu ne réapprends pas à écouter ton plaisir, à t’aimer seule, à réactiver ton corps par toi-même…
Tu vas laisser l’illusion du passé voler ton futur.

Il ne suffit pas de recommencer. Il faut se rééduquer.

Et parfois, c’est dans ton propre bassin que la réparation commence. Pas dans ses bras.

Tu veux qu’on en parle ? Que tu comprennes enfin pourquoi ton corps ne répond plus, ou ne vibre que pour les mauvais hommes ?

Tu n’es pas seule.
Tu n’es pas cassée.
Mais il est temps de reprendre possession de ton plaisir.

31/08/2025

Je suis tombée amoureuse de lui…
Avant de découvrir qu’il était l’ami de mon ex.
Et maintenant, je me demande : dois-je lui dire… ou me taire à jamais ?

On était sur le canapé, il scrollait tranquillement sur son téléphone.
Une photo attire mon regard.
Un visage familier.
Mon ex.
Sur SON écran.

J’ai cru que j’hallucinais.
Je lui ai demandé :
— « Tu le connais ? »
Et il m’a répondu, l’air léger :
— « Bernard ? Mon paddy ! On a grandi ensemble. C’est mon gars sûr. »

Là, mon cœur s’est serré.
Parce que ce qu’il ne sait pas…
C’est que j’ai aimé Bernard avant lui.
Et pas un flirt passager.
Une vraie histoire.
Des corps partagés, des souvenirs, des choses qu’il ne saura jamais.

Et maintenant je suis là…
Amoureuse d’un homme qui serre la main de celui qui m’a déjà vue nue.
Et je ne sais pas quoi faire.

🟣 Est-ce que je dois lui dire ?
Est-ce que je dois lui cacher ?
Est-ce que ça va tout gâcher ?

Pourquoi c’est toujours à nous, les femmes, de porter ce fardeau du passé ?
Pourquoi notre vie sexuelle devient un risque, un poids, une menace pour notre futur ?

Parce que soyons honnêtes :
S’il apprend que j’ai couché avec son ami…
Il risque de me regarder autrement.
Pas parce qu’il m’aime moins…
Mais parce que, dans cette société,
une femme “déjà prise” devient une femme “à jeter”.

Même si c’est lui que j’ai choisi maintenant.
Même si ce passé n’a plus rien à voir avec moi aujourd’hui.
Même si je n’ai rien fait de mal.

Et c’est là que je réalise un truc :
Notre sexualité à nous n’est pas libre.
Elle est conditionnée à ce que les autres vont penser, dire, juger.

Mais est-ce ça l’amour ?
Est-ce que je dois m’excuser d’avoir vécu…
…d’avoir aimé avant lui ?

Je n’ai pas encore décidé si je vais lui dire.
Mais une chose est sûre :
Je ne devrais pas avoir à choisir entre vérité et rejet.
Entre mon passé et ma dignité.

🧠 Si tu es une femme, pose-toi la question :
Combien de fois as-tu caché des morceaux de toi…
Par peur qu’un homme te voie autrement ?
Et si on arrêtait ?
Et si on se permettait d’exister entière, même avec nos anciennes histoires ?

30/08/2025

Depuis qu’il est parti, je ne dors plus.
Il m’a promis le mariage…
Mais il m’a laissée avec mes doutes, mes blessures, et le poids de ma "valeur" en question.

Tu sais ce que ça fait…
Quand un homme te fait croire qu’il t’a choisie.
Qu’il entre dans ta vie avec ses bras larges, son âge, son fils, ses promesses.
Et qu’un jour, au détour d’un mot cruel, il te réduit à une phrase :
“T’es pas à mon niveau.”

J’ai 28 ans.
J’ai accepté de patienter.
D’attendre que ses humeurs se stabilisent.
D’attendre qu’il m’épouse.
D’attendre qu’il m’aime sans blessure dans la bouche.

Je me suis tue pendant 4 ans.

Mais le jour où j’ai tenté de parler —
Juste pour lui dire que je souffrais —
Il a explosé, m’a insultée…
Et a osé appeler mon père pour dire que je ne méritais pas le mariage…
Parce que je n’étais plus vierge.

🟣 Et là, tout s’est brisé.

Pas à cause de lui.
Mais à cause de cette phrase.
Cette croyance rampante, sale, qu’on m’a répétée à demi-mot depuis l’adolescence :

"Une femme qui a connu un homme perd sa valeur."

Tu comprends maintenant pourquoi tant de femmes restent dans des relations toxiques ?
Ce n’est pas l’amour qui les retient.
C’est la peur de ne plus être choisie.

💬 Mais je te pose la vraie question :
Pourquoi notre sexualité à nous, les femmes, est-elle toujours utilisée contre nous ?
Pourquoi ce qu’on donne dans l’intimité devient une arme quand on dit non ?
Quand un homme explore son désir, on l’applaudit.
Mais quand une femme ose aimer, oser, vivre…
On la taxe de "finie", de "déjà touchée", de "pas pour le mariage".

🧠 Voilà pourquoi je refuse de me taire aujourd’hui.

Parce qu’il est temps qu’on reprenne le pouvoir sur notre corps, notre plaisir, notre histoire.
Ce que tu as fait avant n’enlève rien à ce que tu mérites maintenant.
Et non, ta valeur ne se mesure pas en nombre de partenaires.
Elle se mesure en clarté, en choix, en paix intérieure.

Si tu souffres, ne laisse pas cette douleur t’apprendre à te taire.
Laisse-la t’apprendre à te choisir.

30/08/2025

Depuis que je l’ai trahi, il ne m’a plus jamais touchée.
Il dit qu’il m’a pardonnée… mais son silence me dévore.

Ce n’était qu’un flirt.
Un échange brûlant, quelques messages glissés entre deux gardes de nuit.
Un jeune médecin, drôle, tendre, toujours à l’écoute.
Et moi, épuisée. Assoiffée de frissons, de nouveauté, d’attention.

Je n’ai pas couché avec lui tout de suite.
Mais en moi, j’étais déjà partie.
Chaque mot doux que je recevais de lui soulignait ce que je ne recevais plus à la maison.

Je ne sais pas si c’était une erreur… ou un cri de détresse.

Quand mon mari a découvert les messages, il n’a pas crié.
Il n’a pas frappé.
Il s’est juste figé.
Depuis ce jour, son corps ne s’est plus approché du mien.
Plus de caresses.
Plus de gestes tendres.
Plus rien.

Il m’a dit qu’il me pardonnait.
Mais chaque silence au lit est un reproche.
Chaque regard évité est une gifle.

Je vis avec un homme qui ne me touche plus.
Pas parce qu’il ne m’aime plus,
Mais parce que je l’ai blessé au plus intime :
Là où sa virilité rencontrait ma vérité.

🟣 Et cette vérité, c’est que je n’avais jamais connu l’orgasme avec lui.
Jamais.
Je jouais. Je simulais.
Je cachais mon désert sous des soupirs bien placés.

Je ne l’ai jamais trompé avec mon corps.
Mais j’ai menti avec mon silence.
Je n’ai jamais osé lui dire que je ne savais même pas ce que mon corps attendait.

💬 Est-ce une trahison de chercher ailleurs ce que ton corps n’a jamais goûté ?
Est-ce mal de vouloir être désirée, éveillée, ravagée… au lieu d’être juste caressée sans conviction ?

Tu vois…
Parfois, l’infidélité commence quand une femme n’est plus touchée là où ça compte vraiment :
Pas entre ses cuisses,
Mais entre ses émotions, ses sensations, ses manques non-dits.

Aujourd’hui, je ne veux plus trahir.
Je veux comprendre.
Je veux apprendre ce que veut mon corps de femme.
Pas pour un homme.
Mais pour moi.

30/08/2025

J’ai juste voulu lui parler.
Mais depuis ce jour, je ne suis plus sa fille.

Ce jour-là, j’ai voulu ouvrir un chapitre.
Celui de mon enfance.
Des coups.
Du silence.
Et de la peur qu’on appelle "éducation".

Je voulais lui dire que ses cris avaient étouffé mes émotions.
Que ses punitions avaient brisé quelque chose en moi.
Et que dans mon corps de femme, il y avait encore les cicatrices de cette petite fille qu’elle n’a jamais consolée.

Mais elle m’a vue comme une menace.
Elle a dit :

> “Tu crois que tu peux me juger ?
Je t’ai élevée, c’est tout ce qui compte.”
Puis elle est partie.

Depuis ce jour, elle a coupé les ponts.
Elle a dit à mes frères que je ne suis plus sa fille.
Qu’on ne doit pas me laisser approcher de son cercueil.

Et pourtant…
Je ne voulais pas la juger.
Je voulais juste comprendre pourquoi je ne sais pas recevoir la tendresse.
Pourquoi mon corps se ferme quand quelqu’un veut me toucher avec douceur.
Pourquoi je confonds désir et punition.

Elle ne le saura peut-être jamais…
Mais sa colère m’a appris à me méfier de l’amour.
Et aujourd’hui encore, dans mes relations, c’est mon intimité qui paie le prix.

🟣 Beaucoup de femmes portent des blessures de l’enfance jusque dans leur sexualité.
Elles veulent aimer… mais leur corps se protège.
Elles veulent ressentir… mais leur histoire dit "danger".

Ce n’est pas qu’une question de libido.
C’est une mémoire inscrite dans la peau.

💬 Et toi ? As-tu grandi avec des gestes qui t’ont figée ?
As-tu déjà eu l’impression que ton corps disait non, même quand ton cœur disait oui ?

Ce sont ces femmes-là qu’on veut aider.
Celles qu’on n’a jamais touchées avec douceur.
Et qui veulent enfin réapprendre le vrai plaisir, sans peur, sans honte.

30/08/2025

Il a donné le prénom de son ex à notre fille.
Et moi, je l’ai remercié pour ce "joli choix".

Fidelia.

C’est comme ça que j’ai su.
Que je n’étais pas la première.
Et que je ne serai peut-être jamais la seule.
Que dans son cœur, une femme est restée.

Pas une maîtresse.
Pas une histoire sans lendemain.
Une femme qu’il a aimée au point de glisser son nom…
dans le berceau de notre fille.
Sans jamais me le dire.

Il m’a juste dit :
“C’est un nom rare… et beau, tu ne trouves pas ?”
Et moi, naïvement, j’ai hoché la tête.

Mais aujourd’hui, chaque fois que je prononce son prénom,
j’entends une autre voix derrière.
Une autre peau.
Une autre vie.

Je ne suis pas en colère contre l’amour qu’il a eu avant moi.
Mais contre la place qu’il continue de lui laisser.
En silence.
Sous notre toit.
Dans le sourire d’un bébé…
qui porte un nom qui n’était pas vraiment le sien.

30/08/2025

J'ai 41 ans et je viens de devenir maman. Je me sens triste, parce que jusqu'à présent, personne ne m'a félicité pour le plus beau jour de ma vie 🥰❤️😍...

Nadine Pf

07/09/2025

06/09/2025

06/09/2025

06/09/2025

06/09/2025

31/08/2025

31/08/2025

30/08/2025

30/08/2025

30/08/2025

30/08/2025

30/08/2025

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