Je ne veux pas être une grenouille

Je ne veux pas être une grenouille Ne rien dire, c'est consentir et souvent subir. Disons NON avant d'être ébouillantés !

Dans tous les domaines de la vie, pour ne plus souffrir, il faut parfois savoir dire NON, individuellement, collectivement.

05/09/2025

Quand je lis ça, je ne peux m'empêcher de penser qu'encore une fois, l'industrie pharmaceutique s'en est mis plein les poches, qu'elle a eu le soutien des gouvernements qui nous ont imposé des doses d'un produit dangereux sans le recul nécessaire, sous peine de ne plus avoir de vie sociale et/ou professionnelle et au risque de notre vie. Au lieu de renforcer le secteur hospitalier, qui le méritait bien davantage et qui manque cruellement de moyens pour tout.
Je regrette aussi de ne pas avoir crié NON plus fort à l'époque.

Les « Pfizer Papers » ou la révélation de crimes contre l’humanité

Billet d'actualité
Les « Pfizer Papers » ou la révélation de crimes contre l’humanité

Introduction

Le livre « Pfizer Papers », sorti en anglais en octobre 2024 (1) et publié en français en mai 2025 (2), est le résultat de la collaboration de 3 250 médecins et scientifiques, qui ont consacré deux années à analyser les 450 000 pages de données de l’essai Pfizer.

Ces documents ont pu être rendus publics contre la volonté de l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) (3) qui avait demandé de ne les rendre publics que dans 75 ans !

C’est l’association « Professionnels de la santé publique et de la médecine pour la transparence » (4), (PHMT), représentée par l’avocat Aaron Siri, qui, fin août 2021, intente une action en justice contre la FDA pour l’obliger à rendre ces documents publics. Le procès est gagné fin février 2022.

L’article paru dans Le Point Critique le 26 février 2022 est très instructif (5). Il titre « La justice américaine vient de trancher : la demande de sursis de 75 ans réclamée par la FDA pour la livraison des données cliniques sur la base desquelles elle a autorisé le vaccin Pfizer-BioNTech, notamment la divulgation de sa formule, a finalement été rejetée. Les premiers éléments devront être rendus publics le 1er mars 2022. »

Les documents contiennent près de 450000 (quatre-cent-cinquante mille!) pages ! Beaucoup ont supposé que cette quantité astronomique allait décourager leur lecture, et qu’ils resteraient totalement inconnus. C’était sans compter sur Naomi Wolf (6) ! Lorsqu’ils ont commencé à être publiés, elle a réuni une équipe de 3 250 médecins et scientifiques bénévoles qui ont analysé pendant deux ans les 450 000 pages de documents déclassifiés. Et elle a édité ce livre « The Pfizer Papers » qui contient l’analyse et le résumé des données collectées lors des essais cliniques et durant la phase dite de « post-commercialisation », c’est-à-dire entre décembre 2020 et février 2021, lorsque le vaccin a été déployé en population générale alors qu’il ne bénéficiait encore que d’une autorisation d’urgence – « un laissez-passer qui a permis à Pfizer de se précipiter sur le marché avec un produit qui n’a pas été entièrement testé ».

L’annonce de la publication de cet ouvrage exceptionnel n’a pas fait les gros titres de nos médias institutionnels et subventionnés; encore une fois, seuls les médias alternatifs ont considéré que cette information était essentielle (7). Étonnant ?

Le contenu du livre

De manière "anecdotique" (vraiment ?):

- Un document de Pfizer d'avril 2021 (8) indiquait que le volume d'effets indésirables était tel qu'il avait dû engager 600 employés plein temps supplémentaires pour traiter l'afflux de dossiers, et qu'il comptait en engager 1800 de plus pour le mois de juin 2021. Clairement, Pfizer avait largement sous-estimé les effets indésirables consécutifs à l'administration de leur vaccin COVID à ARNm.

- Pfizer savait que les nanoparticules lipidiques étaient connues pour dégrader le système reproducteur

- Pfizer savait que la plupart de ces évènements indésirables étaient très probablement imputables au vaccin : la moitié des effets indésirables graves liés au foie, y compris les décès, et la moitié des accidents vasculaires cérébraux ont eu lieu respectivement dans les 72 heures ou les 48 heures suivant l’injection



Bref, un volume d’effets secondaires d’ampleur inqualifiable !

Pour avoir une très petite idée de ce scandale, il suffit de consulter le document résumé de Pfizer lui-même « Cumulative analysis of Post-Authorization Adverse Events Reports of PF-07302048 (BNT162B2) Received through 28-FEB-2021 (a.k.a. 5.3.6) » disponible sur le site de PHMT (9). Ce document fournit une analyse intégrée des données cumulatives de sécurité post-autorisation, y compris les rapports d'effets indésirables post-autorisation aux États-Unis et à l'étranger reçus jusqu'au 28 février 2021.

Par exemple, la Table 1 indique :

seulement 47 % n’ont pas de séquelles après l’injection (19582)

1 % gardent des séquelles (520),

3 % décèdent (1223)

Magnifique résultat !

Ou encore, la Figure 1 présente le nombre total d’effets indésirables (Adverse Events) du vaccin sur les 42086 personnes suivies, les effets sérieux en violet sont alarmants.

En 1976, lors de l’épidémie de grippe porcine, l’effet indésirable le plus fréquent du vaccin était le syndrome de Guillain-Barré (500~1000 individus) avec 50 décès dus aux complication du GBS en fin de compte, mais les États-Unis ont interrompu la campagne de vaccination après “seulement” 20 décès, jugeant le nombre inacceptable pour un vaccin (10).

45 ans plus t**d et après 1223 décès, c'est-à-dire 3% des injectés, un taux absolument inacceptable, la réponse du gouvernement est devenue « sûr et efficace » !

Le livre contient 32 chapitres concernant diverses classes d’organes ou de systèmes : système nerveux, système reproducteur, foie, cœur, rein, turbo cancers, système immunitaire, etc.

Voici quelques titres de chapitres.

Chapitre 2 : « Neuf mois après le lancement du vaccin à ARNm contre la Covid : baisse substantielle du taux de natalité dans 13 pays européens, en Angleterre/au Pays de Galles, en Australie et à Taïwan. »

On trouve notamment que :

- On retrouve des nanoparticules de vaccin et de l’ARNm dans les ovaires

- La baisse de fertilité est clairement corrélée temporellement à la « vaccination » COVID

- etc.

On apprend aussi que :

- Dans les phases 2/3 de ce test « vaccin » sur 40000 sujets, avant l’obtention de l’autorisation de mise sur le marché, aucun groupe ne contenait de femmes enceintes, d’enfants ou de nourrissons, mais dès l'autorisation provisoire obtenue, tant les femmes enceintes que les enfants ont été très incités à se faire injecter !

- Le suivi règlementaire en double aveugle pendant deux ans n’a pas été respecté, soi-disant par empathie pour les ''pauvres volontaires témoins'' qui auraient ainsi été privés de la prétendue protection apportée par l'injection, mais empêchant du même coup toute comparaison à plus long terme de l'évolution entre les injectés et les témoins.

- etc.

Chapitre n° 11 : « Lésion rénale aiguë et insuffisance rénale aiguë après vaccination contre la Covid avec le vaccin à ARNm de Pfizer. 33 % des patients sont décédés. Pfizer conclut : aucun nouveau problème de sécurité. »

Chapitre n° 19 : « Pfizer savait dès novembre 2020 que son vaccin à ARNm contre la COVID-19 n'était ni sûr ni efficace. Voici ce que les employés et sous-traitants de Pfizer savaient et à quel moment ils l'ont appris. »

Chapitre n° 22 : « 32 % des patients ayant présenté des effets indésirables respiratoires après la commercialisation du médicament de Pfizer sont décédés, mais Pfizer n'a détecté aucun nouveau signal de sécurité. »

Chapitre n° 25 : « 23 % des fœtus ou nouveau-nés de mères vaccinées sont décédés. Des cas de suppression de la lactation et de décoloration du lait maternel ont été signalés. »

Chapitre n° 29 : « Au début de l'année 2021, Pfizer a documenté des effets indésirables graves et des décès suite à la vaccination avec son vaccin à ARNm contre la COVID-19. La FDA n'en a pas informé le public. »

Pour une présentation intéressante par Naomi Wolf elle-même, Youtube propose quelques vidéos intéressantes (11).

Et le consentement éclairé dans tout ça ?

Ces effets indésirables étaient connus très tôt, mais a-t-on prévenu le public pour que chacun puisse donner un consentement éclairé ?

Conclusion

Alors que la législation sur les OGM est établie et que la surveillance des aliments fait régulièrement l'objet d'une intervention des médias, la législation européenne a été modifiée en toute discrétion pour permettre l'injection dans le corps des substances OGM telles que le sont les ''vaccins à ARNm''. Pour les médias, les OGMs sont « vendeurs ». Mais curieusement, pas celui qu'on nous a injecté. Bizarre.

Cette injection d'OGM, indûment désignée sous le label de vaccin, a été imposée au monde par la FDA, car, ne nous voilons pas la face, tous les ministères de la santé des autres pays ont suivi aveuglément cette agence, sans réfléchir une seule minute. Or la FDA savait que cette injection était délétère à un niveau intolérable ! L’Agence européenne du médicament (EMA) était aussi au courant puisqu’elle a reçu le même rapport …

Et nous avons assisté à un test clinique de niveau mondial. Rien à voir avec les quelques 40000 sujets des tests de phase 2 et début de phase 3 précédents. Le monde a été servi sur un plateau à Big Pharma par la FDA.

Pourquoi ?

Ceci est ma supposition très subjective.

On entend parler de plus en plus que les vaccins futurs seront basés sur la technologie à ARNm, car plus rapide et moins coûteuse. Il y en a déjà un sur le marché: le vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS), et d'autres en préparation ou tests cliniques: contre la grippe, contre le VIH, contre le virus Zika, et certainement encore d'autres. C'est manifestement une mine d'or à venir pour Big Pharma.

Mais qui veut servir de cobaye à Big Pharma ?

Pas moi, ni vous certainement !

Il est permis de penser qu'aucun volontaire en situation de consentement éclairé, telle que l'exigent les traités internationaux, n'accepterait une injection de nanoparticules contenant de l'ARNm, lui faisant risquer une quantité hallucinante d'effets secondaires graves, pour une maladie dont la principale cible sont les personnes âgées.

Mais nous ne le saurons pas car ça nous sera présenté comme la solution salvatrice, et la seule. Et qui pensera à demander une information claire, car jusqu’à présent, à part quelques cas, la plupart des vaccins « traditionnels » utilisés ont été efficaces et leurs effets secondaires sont connus et maîtrisés, comme le soutiennent très clairement des personnalités comme les professeurs Christian Perronne, Didier Raoult, Martin Z**i.

Qui oserait nous duper ? Pas nos très chers gouvernants bien sûr ! Mais sont-ils vraiment aux manœuvres ? Quel est le rôle d’institutions telles que l’OMS et ses grands financeurs comme la Fondation Gates ou GAVI ?

L’information sourcée et factuelle est nécessaire dans une société démocratique telle que RMC la conçoit.

Vive les citoyens libres

Dominique Dehareng

29 août 2025

PS.: Naomi Wolf vient de s'exprimer devant le Parlement européen, à l'invitation de la députée Christine Anderson. Une vidéo de son intervention a été réalisée par Kairos; elle est en anglais mais elle est sous-titrée (12).

SOURCES

1 . “The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity”, Naomi Wolf, 17 octobre 2024, Ed. War Room Books. Voir https://dailyclout.io/the-pfizer-papers-pfizers-crimes-against-humanity/

2 . “Pfizer Papers: Les crimes de Pfizer contre l'humanité”, Naomi Wolf, 12 mai 2025, Ed. Marco Pietteur

3 . La Food and Drug Administration (FDA), en français « Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux » est l'administration américaine chargée de la surveillance des produits denrées alimentaires et des médicaments (https://www.fda.gov/)

4 . En anglais, « Public Health and Medical Professionals for Transparency »: https://www.phmpt.org/

5 . https://lepointcritique.fr/2022/02/26/publication-des-donnees-cliniques-pfizer-la-fda-au-pied-du-mur/

6 . Naomi Wolf est journaliste et fondatrice du site web DailyClout (https://dailyclout.io/), dont la mission est de donner à tous les citoyens les moyens d'agir en leur fournissant des informations, des faits et des opinions provenant de tous les points de vue.

7 . https://lepointcritique.fr/2024/10/27/pfizer-papers-la-somme-de-toutes-les-fraudes/

8 . page 6 dehttps://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf

9 . Document pdfhttps://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf

10 . https://www.cdcmuseum.org/exhibits/show/influenza/national-immunization-program/guillain-barre

11 . À NE PAS MANQUER : Interview de Naomi Wolf à propos du travail d'analyse des documents Pfizer. Les médias n'en parlent pas mais il est temps que ça sorte de l'ombre et de la censure déguisée. https://www.youtube.com/watch?v=sNi7Nn7TarE ou https://www.youtube.com/watch?v=BQ1T1ODjOgM

12 . Conférence de Naomi Wolf au Parlement européen, par Kairos:

🐸 Les réseaux sociaux : sommes-nous la grenouille dans la casserole ?Il y a une bonne dizaine d'années, les réseaux soci...
28/07/2025

🐸 Les réseaux sociaux : sommes-nous la grenouille dans la casserole ?

Il y a une bonne dizaine d'années, les réseaux sociaux étaient perçus comme des outils de connexion, de divertissement et d’expression. Leur adoption a été douce et séduisante : photos de vacances, vidéos drôles, groupes d’amis. Le nombre grandissant d'utilisateurs à la fin de l'ère du Nokia 3210 a permis de faire chauffer l'eau plus vite.

Le fonctionnement a changé : algorithmes plus intrusifs, quantification de l’attention (likes, vues), personnalisation des contenus pour maximiser l'engagement. Le tout, sans alerter les utilisateurs qui, comme la grenouille, sont restés dans l’eau sans s’apercevoir qu’elle chauffait, qu'elle touchait leur santé mentale, et que scroller les empêchait de se concentrer longtemps (et d'apprendre à l'école comment s'en sortir).

Le pire étant sans doute la facilitation des violences anonymes mais bel et bien toxiques, l'agressivité sans limites, les commentaires débiles, haineux, lapidaires, d'inconnus de tous les coins du monde, sous des publications dont ils ne savent même pas si elles sont vraies ou fausses (voire deep-fausses...) et dont, de toute manière, ils n'ont lu que le titre !

Faites le test des commentaires ! S'il ne s'agissait pas de sujets importants, on pourrait peut-être en rire. Mais on ne rit plus quand l'eau de la casserole devient bouillante.

Vous allez me dire : saute de la casserole, si tu n'aimes pas l'eau chaude !

Mais je ne veux pas sauter de la casserole tout seul ! Je voudrais faire comprendre que l'attachement social procuré par ces outils fait qu'on ne se rencontre plus, qu'on ne s'écoute plus, qu'au fil des mises à jour, on est de plus en plus englué dans le poêlon et qu'une cervelle qui cuit ne peut plus se remettre en question, avoir l'esprit critique, ni vérifier la température.

Réaction collective, vous avez dit? Téléphone dans une main, batterie de secours dans l'autre, en criant "wesh, gros, j'ai trop une flemme intergalactique, elle est giga trop stylée la casserole, j'suis choqué que tu veuilles sortir, t'es trop un complotiste toi dans ta life".

Alors comment fait-on pour éduquer sans confisquer quand ceux qui veulent prévenir du danger sont en masse et sur tous les réseaux, traités d'antivax, de blaireaux, de faiseurs de fake news et d'autres mots à la mode, puis lynchés sur une place publique encerclée de casseroles en surchauffe?

On trouve une combinaison avec poches à glaçons ?

25/07/2025

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