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Somtinda Press, Bobo Dioulasso (2025)

20/07/2025

Attaques parasitaires des arbres au Centre-Ouest: le Tapinanthus, un ravageur silencieux du karité

Dans bien de régions au Burkina Faso, on le voit souvent sur les branches de nombre d’arbres à travers les champs et forêts. La plupart du temps, l’on se soucie peu de sa présence ou on ignore parfois l’effet qu’il produit sur ses hôtes. Pourtant, son impact sur les espèces qui l’hébergent est épouvantable.

20/07/2025

𝐋𝐚 𝐒𝐍 𝐂𝐢𝐭𝐞𝐜 𝐒𝐀 𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐭𝐨𝐧𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞
𝐋𝐞 𝐦𝐞𝐫𝐜𝐫𝐞𝐝𝐢 𝟏𝟔 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓, 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞́𝐥𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐍 𝐂𝐢𝐭𝐞𝐜 𝐒𝐀, 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐮𝐢𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐬𝐨𝐧 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐆𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥, 𝐌𝐨𝐧𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐈𝐛𝐫𝐚𝐡𝐢𝐦 𝐓𝐑𝐀𝐎𝐑𝐄, 𝐬’𝐞𝐬𝐭 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞 𝐚̀ 𝐒𝐨𝐮𝐦𝐨𝐮𝐬𝐬𝐨 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐭𝐨𝐧, 𝐚𝐜𝐪𝐮𝐢𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐝𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐭𝐨𝐧𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞.
Ces champs, suivis par l’équipe technique de la , affichent une bonne physionomie, avec un rendement attendu de plus d’une tonne par hectare selon les estimations des techniciens.
Satisfait de l’état d’évolution des plants, le Directeur Général de la SN Citec SA, M. Ibrahim TRAORE a souligné que cet investissement reflète l’engagement de la SN Citec SA à agir concrètement pour la relance de la filière.
Il a précisé que le coton étant au cœur de l’activité industrielle de la société, il est tout naturel de contribuer à sa production nationale, surtout dans ce de baisse drastique de la production nationale.
Pour le Directeur Général, les résultats observés sur le terrain sont prometteurs et encouragent à aller encore plus loin dans cette vision.
De son côté, Jérôme DABIRE, Chef de zone cotonnière Bobo Sud, a salué cette initiative qu’il considère comme un projet exemplaire.
Il estime que la de ce champ pourrait inciter d’autres entreprises à s’engager dans la même dynamique.
À travers cette action, la SN Citec SA confirme sa volonté de contribuer activement au développement de la filière coton, pilier de l’économie nationale.

20/07/2025

[ ] Femme et agriculture : Pour la Ministre Pélagie KABORÉ, c’est un tandem stratégique pour la résilience et le développement*

Dans le Burkina Faso nouveau, en pleine quête de souveraineté alimentaire, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, imprime une vision forte celle d’un pays reconstruit par ses fils et filles dans l'équité, la dignité et la résilience. Cette vision, portée avec détermination au sommet de l’État, fait de la promotion du genre un levier essentiel de transformation. Dans ce sillage, les femmes, notamment dans le secteur agricole, sont désormais considérées comme des actrices clés du développement et de la souveraineté alimentaire.

C’est dans cette dynamique que s’inscrit Madame Passowendé Pélagie KABORÉ, Ministre de l’Action humanitaire et de la Solidarité nationale, qui réaffirme avec force le rôle central des femmes dans l’agriculture et le développement durable.
« Soutenir les femmes entrepreneures agricoles, c’est créer de la richesse, améliorer la sécurité alimentaire et renforcer la résilience communautaire », a-t-elle déclaré avec conviction.

Ce message met en exergue une réalité essentielle dans les zones rurales du Burkina Faso. Les femmes sont les piliers de la production vivrière, de la transformation locale et de la stabilité économique. Pourtant, elles restent confrontées à des obstacles persistants, notamment l’accès restreint à la terre, aux financements, à la formation et aux marchés.

Face à ces défis, Commandant Passowendé Pélagie KABORÉ plaide pour une reconnaissance pleine et entière des femmes rurales comme actrices majeures du développement national. Elle appelle à des actions concertées des partenaires techniques et financiers, ainsi que des organisations de la société civile, en faveur d’un entrepreneuriat agricole féminin soutenu, structuré et valorisé.

Promouvoir l’agrobusiness porté par les femmes, c’est non seulement encourager une croissance inclusive, mais aussi renforcer la sécurité alimentaire du pays, améliorer les conditions de vie des ménages et consolider les bases d’une économie résiliente.

L’appel de la Ministre Passowendé Pélagie KABORÉ s’inscrit donc dans une vision claire faire de la femme rurale un levier stratégique de transformation sociale et économique, pour un Burkina Faso plus souverain, plus solidaire et plus prospère.

Plus qu’un enjeu sectoriel, l’autonomisation des femmes rurales à travers l’agriculture est un impératif national.
En soutenant ces actrices de première ligne, le Burkina Faso, sous l’impulsion visionnaire du Capitaine Ibrahim TRAORÉ, pose les fondations d’un modèle de développement endogène, résilient et souverain.

Le combat pour la souveraineté commence dans les champs, entre les mains de celles qui nourrissent la nation.

17/07/2025

[ ] Autosuffisance alimentaire : le 22e RIC de Gaoua concrétise la vision agricole du Capitaine Ibrahim TRAORÉ

Dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour la production agricole et l’autosuffisance alimentaire, le 22e Régiment d’Infanterie Commando (RIC) de Gaoua se distingue par des résultats concrets. En effet, quatre hectares ont été aménagés dans la vallée environnante de la caserne avec des récoltes déjà effectives à la clé.

Lancée sous l’impulsion du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, cette initiative traduit une volonté ferme de rupture avec les anciens modèles de dépendance alimentaire. Elle s’inscrit dans une démarche stratégique portée par une vision claire, celle de garantir au peuple burkinabè une sécurité alimentaire durable en mobilisant toutes les forces vives, y compris les institutions militaires et pénitentiaires.

Le projet bénéficie d’un accompagnement technique et institutionnel à travers le Bureau National des Grands Projets du Burkina en synergie avec la Direction Centrale du Génie Militaire et la Direction Générale de l’Administration Pénitentiaire. Une mission de suivi est déployée du 13 au 19 juillet 2025 pour constater l’état d’avancement des périmètres aménagés dans les casernes et les maisons d’arrêt et de correction.

À Gaoua les résultats sont déjà palpables. Grâce à une enveloppe de 40 millions de francs CFA allouée par l’Initiative présidentielle, le 22e RIC a pu bénéficier d’infrastructures modernes comprenant un forage de 5 m³/h, une pompe immergée, des panneaux solaires, un bassin de 50 m³, un surpresseur, un château d’eau et un système d’irrigation par aspersion utilisant la technologie laser spray. Une installation qui permet de cultiver efficacement tomates, choux, aubergines et salades.

Le Chef de bataillon Gaston Fabéré KIENOU, commandant du 22e RIC, s’est réjoui de la mobilisation de ses hommes. Il a souligné que les travaux de culture ont été entamés dès le mois de mai sans attendre la finalisation complète des installations. Les activités agricoles sont menées par des militaires avec l’appui de pensionnaires de la Maison d’Arrêt et de Correction de Gaoua, témoignant d’une collaboration judicieuse et inclusive.

Cette dynamique de production bien que confrontée à quelques difficultés phytosanitaires notamment des attaques de chenilles illustre l’efficacité du modèle promu par le Chef de l’État. Une partie des récoltes alimente directement les soldats et l’autre est écoulée au profit des populations civiles en attendant la mise en place de solutions de conservation.

Après Gaoua la mission de supervision a poursuivi son itinéraire à la Maison d’Arrêt et de Correction de Diébougou où un autre périmètre agricole de quatre hectares est également en exploitation.

L’Initiative présidentielle pour la production agricole et l’autosuffisance alimentaire s’affirme ainsi comme un levier stratégique au service de la résilience nationale. Elle témoigne de la capacité du Burkina Faso sous la conduite du Capitaine Ibrahim TRAORÉ à allier vision politique, action concrète et mobilisation collective pour relever les défis vitaux du moment. Par cette initiative, le Président du Faso démontre une fois de plus son engagement à bâtir un Burkina souverain, travailleur et autosuffisant.
Kaki

16/07/2025

72 Heures pour s'engager : les détenus de la MACB au service de la ville de Sya

Bobo-Dioulasso, le 16 juillet 2025 – La Maison d’Arrêt et de Correction de Bobo-Dioulasso (MAC-B) a lancé ce mercredi la première édition des "72 Heures du détenu", à l’occasion de la Journée internationale Nelson Mandela. Une initiative inédite qui place les pensionnaires de l’établissement carcéral au cœur de l’action citoyenne.

En collaboration avec la mairie de Bobo-Dioulasso, près de 100 détenus ont quitté momentanément les murs de la prison pour participer au nettoyage des caniveaux et au ramassage d’ordures dans plusieurs quartiers de la ville. Munis de balais, de gants et d’une grande dose de volonté, ils ont contribué à l’assainissement de l’environnement urbain sous le regard curieux et souvent admiratif des riverains.

> "C’est une activité qui redonne un sens à notre détention. Nous voulons montrer que nous sommes encore utiles à la société", confie l’un des détenus mobilisés pour l’opération.

Une prison ouverte sur la cité

Cette démarche s’inscrit dans une dynamique de réinsertion sociale et de citoyenneté active, portée par l'administration pénitentiaire et ses partenaires. L’objectif est clair : briser les stéréotypes, renforcer l’estime de soi des détenus et favoriser leur retour progressif dans la société.

Ce n’est pas la première fois que la MACB se distingue par des actions similaires. Ces dernières années, plusieurs opérations de salubrité urbaine et de reboisement ont vu la participation active des détenus.

> "La MACB ne se résume pas à l’enfermement. C’est aussi un lieu de transformation et de reconstruction personnelle", souligne un responsable pénitentiaire.

Un message fort en hommage à Mandela

Instituée par les Nations Unies, la Journée Nelson Mandela rend hommage à l’ancien président sud-africain pour sa lutte en faveur des droits de l’homme et de la dignité des détenus. À Bobo-Dioulasso, cette journée prend une dimension locale forte, marquant un tournant dans la perception du rôle que les prisonniers peuvent jouer dans la société.

À travers cette initiative, les détenus de la MACB rappellent que la réinsertion commence par l’action et que l’engagement citoyen n’a pas de murs.

16/07/2025

🔴 Burkina Faso : La CENI officiellement dissoute par décision du Conseil des ministres.

15/07/2025

𝗥𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́ 𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗔𝗥𝗔𝗛

Le ministre délégué chargé des Ressources animales, Dr Amadou DICKO, a procédé, ce mardi 15 juillet 2025 à Ouagadougou, à la remise d’un important lot de matériel roulant, d’une valeur de 1,2 milliard de FCFA. Ce matériel est destiné au transport des intrants agricoles et des alevins, au profit respectivement de la Direction générale des Productions végétales (DGPV) et de la Direction générale des Ressources halieutiques (DGRH).

15/07/2025

Lutte contre la criminalité urbaine : La Police Nationale démantèle trois (03) réseaux de malfrats à Ouagadougou.

Le Service Régional de la Police Judiciaire du Centre (SRPJ-Centre) vient de mettre fin au parcours de trois (03) groupes de présumés délinquants qui s’adonnaient entre autres aux actes d’agression à main armée, vol et recel d’engins à deux roues, et le faux monnayage dans la ville de Ouagadougou.

Relativement à leurs modes opératoires, s’agissant du premier groupe, ses membres s’étaient spécialisés dans les agressions à main armée sur les voies publiques de la capitale. Ils opéraient en cagoule dans les quartiers tels que Rayongo, Karpala, Yamtenga et Balkuy. Ils identifiaient leurs victimes et les suivaient jusqu’à un endroit jugé propice avant de passer à l’acte. Les téléphones emportés étaient généralement écoulés sur place et les motos étaient convoyées vers un pays voisin.

Concernant le second réseau dont les meneurs étaient des chefs de réseaux criminels, il était composé de certains repris de justice et très dangereux. Ces membres opéraient à l’aide d’armes à feu et de machettes dans la ville de Ouagadougou et environnants et cela depuis plus d’une quinzaine d’années. Avec la complicité de certains proches à qui ils promettaient des parts du butin, ils ciblaient principalement les personnes soupçonnées de posséder de fortes sommes d’argent et celles ayant des vélomoteurs de grande valeur. Il est à noter que ce groupe est à l’origine de la mort de plusieurs personnes et des préjudices financiers de plus de 500.000.000 FCFA.

Quant au troisième groupe, ses membres s’étaient spécialisés dans le faux monnayage. Le principal auteur a été pris en possession de billets de banque contrefaits, introduits au Burkina Faso depuis des pays voisins. Lesdits billets étaient destinés à être mis en circulation dans plusieurs pays de la sous-région dont le Burkina Faso. Il a été trouvé en sa possession de faux billets en coupure de 1.000, 5.000 et 10.000 FCFA. Ce dernier s’adonnait à la revente de ces billets à raison de 200.000 FCFA pour le million en valeur faciale de faux billets.

Grâce à la collaboration des populations, les enquêteurs ont, au cours des investigations, pu saisir plusieurs objets entre les mains de ces malfrats parmi lesquels des pistolets automatiques, des munitions, du chanvre indien, des motos, du numéraire, 1.307 faux billets en coupure de 1000, 5000 et 10.000 FCFA.

La Police Nationale réitère ses remerciements à tous ceux grâce à qui ce résultat a été atteint. Elle les exhorte par ailleurs à poursuivre cette dynamique de collaboration avec les forces de sécurité et à toujours dénoncer les cas suspects aux numéros verts mis à leur disposition que sont les 17, 16 et 1010.

La Police Nationale, une force publique au service des citoyens !

15/07/2025

🛑Bobo-Dioulasso # : Elle donne un coup de pilon à sa coépouse à cause de 5 000 FCFA

Salimata (nom d’emprunt) a été jugée par défaut (en son absence, faute de comparution) par la chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Bobo-Dioulasso pour coups et blessures volontaires sur sa coépouse.
Ménagère née en 2004 ( 19 ans au moment des faits) et mère d’un enfant, Salimata vivait en cohabitation avec sa coépouse Kadi (également un nom d’emprunt), toutes deux mariées à un Volontaire pour la Défense de la Patrie (VDP). Leur mari avait mis en location un de ses biens immobiliers, dont le loyer mensuel s’élevait à 5 000 F CFA. Avant d’être déployé sur les théâtres d’opérations, il avait demandé à ses deux épouses d’encaisser ensemble cette somme pour participer aux charges du foyer.
Mais depuis son départ, des tensions ont éclaté entre les deux femmes. Salimata accusait sa coépouse de bloquer l’argent du loyer.
Le 8 mai 2023, alors que Kadi dormait paisiblement, Salimata aurait profité de son sommeil pour l’agresser à l’aide d’un pilon, lui assénant plusieurs coups au front. La victime a été rapidement évacuée dans un centre de santé et prise en charge aux frais de leur mari. Le certificat médical a relevé une incapacité totale de travail personnel de 10 jours.
Lors de son audition au Parquet, Salimata a déclaré avoir voulu se venger. Elle a rappelé une précédente altercation entre elles, en 2022, alors qu’elle était enceinte, et au cours de laquelle sa coépouse l’avait mordue au niveau de la joue.
Pour le ministère public, il s’agit d’un conflit familial regrettable où la violence a pris le dessus à cause d’une somme dérisoire. Estimant que l’acte devait être sanctionné mais que la prévenue méritait une leçon sans être incarcérée, le parquet a requis six mois de prison et 250 000 F d’amende, le tout assorti de sursis, conformément à l’article 512-18 du code pénal burkinabè.
Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet et a condamné Salimata à 6 mois de prison avec sursis et 250 000 F CFA d’amende également avec sursis.
Article 512-18 du Code pénal burkinabè :
Est puni d'une peine d'emprisonnement de deux mois à trois ans et d'une amende de 250 000 F à 2 000 000 F CFA, quiconque, volontairement, fait des blessures ou porte des coups ou commet toutes autres violences de fait, s’il est résulté de ces violences une maladie ou une incapacité totale de travail personnel de plus de 7 jours et de moins de 21 jours.

Justice Infos Burkina
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14/07/2025

Troisième édition du Mousso d’or du Faso: le Lieutenant DEMBELÉ Souaibata distinguée dans la catégorie Prix spécial FDS

Félicitations au Lieutenant DEMBELÉ Souaibata, gestionnaire du complexe des salles de Ouaga 2000, dont l'engagement et le professionnalisme ont été honorés lors de la 3e édition du Mousso d’or du Faso, tenue le samedi 12 juillet 2025 à la salle des fêtes de la mairie centrale de Ouagadougou.

Placée sous le thème « Les défis et les opportunités pour les femmes entrepreneures au Burkina Faso », cette édition a mis à l’honneur 26 femmes battantes évoluant dans divers domaines, à travers une grande nuit de distinction qui a marqué l’apothéose d’une série d’activités riches et inspirantes.

A cette occasion, le Lieutenant DEMBELÉ a été distinguée dans la catégorie Prix spécial FDS, en reconnaissance de son dévouement, son sens du leadership et sa contribution exemplaire à la gestion d’un espace stratégique pour les événements majeurs du pays.

Cette récompense vient couronner une femme de valeur, incarnant les idéaux de rigueur, d’engagement et d’excellence que promeut la Gendarmerie Nationale. Elle illustre également le rôle essentiel que jouent les femmes dans la construction d’un Burkina Faso résilient et prospère.

La Gendarmerie nationale salue l’initiative Mousso d’or du Faso qui œuvre inlassablement pour la promotion du genre et la valorisation des femmes actives dans la société burkinabè. Elle réaffirme son soutien à toutes les actions qui visent à mettre en lumière les talents féminins et à favoriser leur pleine participation au développement national.

12/07/2025

Bobo-Dioulasso # Reboisement : L'ONECCA met en terre 110 plants
L'ordre national des experts comptables et comptables agréés (ONECCA) a, en marge d'une activité statutaire de son conseil, mis en terre 110 plants, dans un bosquet, à l'arrondissement No 7 de Bobo-Dioulasso.
Ces plants sont composés de baobab, de moringa, de néré, de nimier, d'eucalyptus.
Selon le président de L'ONECCA, Yacouba Traoré, c'est une contribution pour la ceinture verte et les journées patriotiques.
Ainsi, les membres de la structure ont planté et remplacé les arbres qui n'ont pas survécu.
Des dispositions sont-elles prises pour protéger les plants mis en terre ?
Yacouba Traoré répond par l'affirmative."Des grillages en plastique sont placés pour les protéger contre les animaux", explique-t-il.

11/07/2025

𝙏𝙧𝙖𝙫𝙖𝙪𝙭 𝙙'𝙞𝙣𝙩é𝙧ê𝙩 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙪𝙣𝙖𝙪𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚 (𝙏𝙄𝘾): 𝙇𝙖 𝙈𝘼𝘾-𝘽 𝙖𝙪 𝙘œ𝙪𝙧 𝙙𝙚 𝙡’𝙚𝙢𝙗𝙚𝙡𝙡𝙞𝙨𝙨𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙫𝙞𝙡𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙎𝙮𝙖 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙝𝙤𝙣𝙤𝙧𝙚𝙧 𝙈𝘼𝙉𝘿𝙀𝙇𝘼

En prélude à la Journée Internationale Nelson Mandela, qui sera célébrée le 18 juillet 2025, la Maison d’Arrêt et de Correction de Bobo-Dioulasso (MAC-B) s’illustre par un engagement citoyen remarquable. Plus d’une centaine de détenus participent depuis ce mercredi 09 juillet 2025 à une vaste opération d’embellissement de la ville, comprenant des plantations d’arbres et des travaux d’aménagement paysager sur des sites stratégiques identifiés par la Mairie.

Cette initiative, fruit d’une collaboration étroite entre la MAC-B et la commune de Bobo-Dioulasso, vise à améliorer le cadre de vie urbain tout en inscrivant les détenus dans une dynamique participative au travail d’intérêt communautaire (TIC).

Ces activités s’inscrivent dans le cadre des préparatifs de la célébration officielle de la Journée Mandela à la MAC-B, placée sous le haut patronage du Président de la Délégation Spéciale communale de Bobo-Dioulasso, particulièrement engagé face aux défis carcéraux notamment la gestion des déchets.

La population de Bobo-Dioulasso est vivement invitée à prendre part massivement aux activités organisées autour du thème : « S’unir pour lutter contre la pauvreté et les inégalités ».

À cette occasion, une visite guidée de l’établissement sera organisée le 18 juillet 2025, offrant aux invités, partenaires et autorités une immersion concrète dans les réalités de la MAC-B, afin de mieux comprendre les défis existants et d’explorer ensemble des pistes de solutions durables.

𝘼𝙙𝙢𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙋é𝙣𝙞𝙩𝙚𝙣𝙩𝙞𝙖𝙞𝙧𝙚, 𝙧é𝙞𝙣𝙨é𝙧𝙚𝙧 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙨é𝙘𝙪𝙧𝙞𝙨𝙚𝙧 !

Somtinda Press

20/07/2025

20/07/2025

20/07/2025

17/07/2025

16/07/2025

16/07/2025

15/07/2025

15/07/2025

15/07/2025

14/07/2025

12/07/2025

11/07/2025

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