30/10/2025
QCM – de (50 questions)
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Partie I – Biologie moléculaire avancée
1. L’enzyme Cas9 du système CRISPR-Cas9 agit :
A) Comme une polymérase
B) Comme une nucléase ciblée
C) Comme une ligase
D) Comme une transcriptase
2. La chromatographie d’affinité repose sur :
A) La charge des molécules
B) Leur interaction spécifique avec un ligand immobilisé
C) Leur taille uniquement
D) Leur solubilité
3. En RNA-Seq, la profondeur de séquençage détermine :
A) La longueur des fragments
B) La couverture et la sensibilité de détection des transcrits
C) La stabilité des ARN
D) La qualité des protéines
4. Les histones subissent des modifications post-traductionnelles pour :
A) Maintenir la structure des membranes
B) Réguler l’expression génique
C) Dégrader les ARN
D) Synthétiser les lipides
5. L’ADN méthylé au niveau des cytosines CpG entraîne généralement :
A) Une activation transcriptionnelle
B) Une répression transcriptionnelle
C) Une dégradation rapide
D) Une mutation immédiatement
Partie II – Biochimie et enzymologie
6. La cinétique enzymatique de Michaelis-Menten permet de déterminer :
A) Le poids moléculaire
B) Vmax et Km d’une enzyme
C) La température optimale
D) L’absorbance des substrats
7. Un inhibiteur compétitif agit en :
A) Se liant au site actif de l’enzyme et en augmentant Km
B) Modifiant Vmax uniquement
C) Dégradant l’enzyme
D) Bloquant la synthèse du substrat
8. La spectroscopie circulaire dichroïque (CD) est utilisée pour :
A) Déterminer la structure secondaire des protéines
B) Séparer les acides aminés
C) Dosage enzymatique
D) Mesurer le pH
9. L’ATP synthase fonctionne selon :
A) Un mécanisme chimiosmotique
B) Une réaction d’oxydation directe
C) La phosphorylation au niveau du substrat
D) La diffusion simple
10. Les protéines chaperonnes facilitent :
A) La transcription
B) Le repliement correct des protéines
C) La dégradation de l’ARN
D) La phosphorylation
Partie III – Techniques expérimentales avancées
11. Le FRET (Fluorescence Resonance Energy Transfer) permet de :
A) Mesurer des interactions moléculaires à l’échelle nanométrique
B) Détecter des isotopes
C) Analyser la masse molaire
D) Déterminer le pH
12. L’électrophorèse bidimensionnelle combine :
A) SDS-PAGE et isoelectrofocalisation
B) Chromatographie et centrifugation
C) PCR et ELISA
D) HPLC et spectrophotométrie
13. La microscopie à super-résolution (STED, PALM) dépasse la limite de diffraction de :
A) 100 nm
B) 200 nm
C) 500 nm
D) 1 µm
14. La spectrométrie de masse tandem (MS/MS) est utilisée pour :
A) Identifier des protéines et des peptides
B) Mesurer le pH
C) Détecter les lipides uniquement
D) Analyser la température
15. La PCR quantitative (qPCR) utilise :
A) Un signal fluorescent proportionnel à la quantité d’ADN amplifié
B) Une détection colorimétrique simple
C) Une électrophorèse directe
D) Une culture bactérienne
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🔹 Partie IV – Physique et instrumentation avancée
16. La RMN (résonance magnétique nucléaire) fournit :
A) Des informations sur la structure atomique et la dynamique moléculaire
B) Une spectroscopie optique classique
C) Une mesure de masse
D) Une analyse élémentaire
17. La diffraction des rayons X est utilisée pour :
A) Déterminer la structure cristalline de macromolécules
B) Mesurer le pH
C) Identifier des bactéries
D) Séparer des mélanges gazeux
18. Un interféromètre de Michelson mesure :
A) La vitesse d’un fluide
B) Les interférences lumineuses et les variations de distance avec précision nanométrique
C) La masse d’une molécule
D) La température d’un laser
19. La spectroscopie de fluorescence résolue en temps fournit :
A) La durée de vie des états excités
B) La couleur uniquement
C) La masse molaire
D) Le pH de la solution
20. Le principe de la microscopie à force atomique (AFM) repose sur :
A) La détection de forces interatomiques à l’échelle nanométrique
B) L’observation directe des atomes
C) La diffraction optique
D) La polarisation des ondes
Partie V – Statistique et méthodologie avancée
21. L’analyse en composantes principales (PCA) sert à :
A) Réduire la dimensionnalité des données complexes
B) Calculer la moyenne
C) Comparer des variances simples
D) Générer des graphiques uniquement
22. Le test de Shapiro-Wilk évalue :
A) La normalité d’une distribution
B) La variance de deux échantillons
C) La corrélation linéaire
D) La moyenne d’un échantillon
23. La validation croisée (cross-validation) permet de :
A) Évaluer la robustesse d’un modèle prédictif
B) Mesurer le pH
C) Comparer deux séries de spectres
D) Standardiser les instruments
24. Une p-value < 0,05 indique :
A) Forte probabilité que l’hypothèse nulle soit vraie
B) Rejet de l’hypothèse nulle à 95 % de confiance
C) Absence d’effet
D) Faible taille d’échantillon
25. L’effet Cohen’s d est utilisé pour :
A) Mesurer la taille de l’effet entre deux groupes
B) Calculer la variance
C) Standardiser les échantillons
D) Évaluer la normalité
Partie VI – Gestion et éthique scientifique
26. Le plan de gestion des données (Data Management Plan) inclut :
A) L’organisation, le stockage, l’accès et l’archivage des données
B) Les horaires de laboratoire
C) Les rapports financiers
D) Les publications uniquement
27. La FAIR data principle signifie :
A) Données Findable, Accessible, Interoperable, Reusable
B) Données Factuelles et anonymes
C) Données fictives
D) Données filtrées
28. L’open science favorise :
A) Le partage transparent et reproductible des données et méthodes
B) La confidentialité totale
C) L’accès payant exclusif
D) L’usage interne uniquement
29. La conformité aux BPL (Bonnes Pratiques de Laboratoire) assure :
A) La rigueur scientifique et la traçabilité des expériences
B) La publication rapide
C) La réduction des coûts uniquement
D) L’expérimentation illégale
30. L’éthique de la publication exige :
A) Citer toutes les sources et éviter le plagiat
B) Publier rapidement sans contrôle
C) Limiter la diffusion des résultats
D) Omettre les erreurs expérimentales
Partie VII – Techniques avancées en biotechnologie
31. La transcriptomique single-cell (scRNA-Seq) analyse :
A) L’expression génique d’un tissu complet
B) L’expression génique d’une cellule individuelle
C) La séquence du génome
D) Les protéines uniquement
32. La protéomique quantitative par SILAC repose sur :
A) L’incorporation d’acides aminés isotopiquement marqués
B) La PCR
C) La centrifugation
D) L’immunoprécipitation simple
33. La technique ChIP-Seq sert à :
A) Identifier les interactions ADN-protéine genome-wide
B) Séparer les lipides
C) Quantifier les ARN
D) Séquencer les mitochondries uniquement
34. Le séquençage long-read (PacBio, Nanopore) permet :
A) Lire de très longues molécules d’ADN sans fragmentation
B) Lire uniquement des fragments courts
C) Mesurer le pH des échantillons
D) Purifier les protéines
35. Le génie métabolique vise à :
A) Modifier les voies métaboliques pour produire des molécules d’intérêt
B) Détruire les mitochondries
C) Mesurer la masse cellulaire
D) Isoler l’ARN
Partie VIII – Physique et chimie appliquées
36. La thermogravimétrie (TGA) mesure :
A) La variation de masse d’un échantillon en fonction de la température
B) La densité
C) La viscosité
D) Le pH
37. La calorimétrie différentielle à balayage (DSC) permet :
A) Étudier les transitions thermiques des matériaux
B) Mesurer le champ électrique
C) Détecter des isotopes
D) Observer la fluorescence
38. La spectroscopie Mössbauer analyse :
A) Les états nucléaires et les interactions hyperfines
B) La spectroscopie UV uniquement
C) Les liaisons hydrogène
D) Les protéines
39. Le principe de la résonance paramagnétique électronique (EPR) repose sur :
A) La détection des électrons non appariés
B) La détection des protons
C) La spectroscopie infrarouge
D) L’absorption UV
40. La diffraction électronique est utilisée pour :
A) Obtenir des images et informations structurales à l’échelle atomique
B) Mesurer le pH
C) Centrifuger les molécules
D) Identifier les protéines
Partie IX – Gestion des laboratoires et innovation
41. Le Lean Lab Management vise à :
A) Optimiser l’efficacité, réduire les gaspillages et améliorer les processus
B) Accroître la quantité de déchets
C) Remplacer le personnel
D) Limiter les expériences
42. L’inventaire informatisé des réactifs permet :
A) Suivi précis des stocks, dates de péremption et consommation
B) Ignorer les produits périmés
C) Gérer uniquement les appareils
D) Supprimer les données
43. Le concept de biosécurité intégrée combine :
A) Sécurité biologique, chimique et radiologique
B) Équipements uniquement
C) Production et marketing
D) Administration
44. La gestion de projet scientifique utilise souvent :
A) Gantt, PERT et analyse de risques
B) Des horaires fixes
C) Des procédures aléatoires
D) Aucun outil spécifique
45. L’innovation en laboratoire repose sur :
A) La recherche fondamentale et appliquée, la technologie et l’interdisciplinarité
B) La répétition simple
C) L’observation passive
D) La limitation des expériences
Partie X – Communication scientifique avancée
46. Un preprint est :
A) Une version d’article non encore évaluée par les pairs
B) Une thèse soutenue
C) Un rapport interne
D) Un brevet
47. L’open peer review consiste à :
A) Publier les commentaires et identités des évaluateurs
B) Publier uniquement les résultats finaux
C) Masquer tout commentaire
D) Refuser la critique
48. L’indice h d’un chercheur mesure :
A) Son impact en termes de citations
B) Son âge
C) Ses brevets
D) Ses financements
49. La visualisation scientifique avancée utilise :
A) R, Python, Matlab et outils de data science
B) Uniquement Excel
C) Papier et crayon
D) PowerPoint uniquement
50. La reproductibilité expérimentale en sciences avancées implique :
A) Des protocoles détaillés, normalisés et documentés pour permettre à d’autres de reproduire les résultats
B) Une publication rapide
C) L’usage exclusif d’un seul laboratoire
D) Des mesures approximatives
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