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𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓 : 𝐥𝐞 𝐛𝐢𝐥𝐚𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐧 𝟏 𝐚𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝’𝐮𝐧 𝐚𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫Le ministère de l’Agriculture,...
26/08/2024

𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓 : 𝐥𝐞 𝐛𝐢𝐥𝐚𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐧 𝟏 𝐚𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝’𝐮𝐧 𝐚𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques à travers le Secrétariat technique de l’« 𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓 » (ST-OAPH), a organisé un atelier d’évaluation de la première année de mise en œuvre de l’« 𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓 », ce mardi 20 août 2024, à Koudougou, région du Centre-Ouest.

Lancée en août 2023 par le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Commandant Ismaël SOMBIE, l’« 𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓 » est un plan ambitieux qui vise à assurer la souveraineté alimentaire et créer des emplois décents dans le secteur agropastoral à l’horizon 2025.

Après une année de mise en œuvre effective du Plan, le ST-OAPH, chargé de la coordination, du suivi et de l’évaluation des actions, a initié un atelier bilan des différentes réalisations. Les travaux permettront de faire le point de la première année de mise en œuvre de l’Offensive. Il s’agira pour les acteurs, d’évaluer les résultats obtenus d’identifier les défis rencontrés et de formuler des recommandations pour améliorer l’efficacité des actions à venir.

𝗗𝗖𝗥𝗣/ 𝗠𝗔𝗥𝗔𝗛

🔍𝐏𝐨𝐮𝐫𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 é𝐜𝐨𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐎𝐏𝐉 : 𝐒𝐢𝐦𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐒𝐜è𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐂𝐫𝐢𝐦𝐞🌿Après la théorie, place à la pratique ...
26/08/2024

🔍𝐏𝐨𝐮𝐫𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 é𝐜𝐨𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐎𝐏𝐉 : 𝐒𝐢𝐦𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐒𝐜è𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐂𝐫𝐢𝐦𝐞🌿

Après la théorie, place à la pratique ! 𝐑𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐚𝐢𝐧 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐬𝐬𝐢𝐦𝐢𝐥𝐞𝐫 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐨𝐢𝐬 𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞𝐫 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐱𝐞. Nos écogardes/OPJ et autorités judiciaires présentes ont poursuivi leur formation sur “𝐥𝐚 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐢𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞, 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐮𝐫𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐣𝐮𝐝𝐢𝐜𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐜è𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐫𝐢𝐦𝐞 𝐥𝐢é 𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐬𝐩è𝐜𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐮𝐯𝐚𝐠𝐞𝐬”, qui a démarré le 19 août, avec un exercice pratique sur le terrain ce 22 août 2024.

Sous la supervision des experts, 𝐢𝐥𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐞𝐱𝐚𝐦𝐢𝐧é 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐜è𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐫𝐢𝐦𝐞 𝐬𝐢𝐦𝐮𝐥é𝐞, 𝐚𝐩𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 é𝐭𝐚𝐩𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐜é𝐝𝐮𝐫𝐞 𝐚𝐩𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 : 𝐢𝐧𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐬é𝐜𝐮𝐫𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐥𝐢𝐞𝐮𝐱, 𝐟𝐨𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐡𝐨𝐭𝐨𝐠𝐫𝐚𝐩𝐡𝐢𝐞, 𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐚𝐠𝐞, é𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐫é𝐥è𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐝𝐢𝐜𝐞𝐬... Une expérience concrète qui renforce leur capacité à protéger efficacement la biodiversité. 🌱👮‍♂️

Cette phase pratique marque une étape importante dans la formation, leur permettant ainsi d'être bien préparés pour faire face aux défis sur le terrain. 🚨🌍

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐚𝐜𝐜𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐚𝐥𝐚𝐝𝐢𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐨𝐫𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 : 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞̀𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐑𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐢...
26/08/2024

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐚𝐜𝐜𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐚𝐥𝐚𝐝𝐢𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐨𝐫𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 : 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞̀𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐑𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝’𝐞𝐟𝐟𝐢𝐜𝐚𝐜𝐢𝐭𝐞́

Le Directeur général des services vétérinaires (DGSV), le Lieutenant vétérinaire Aboubacar NACRO, a conduit, du 19 au 23 août 2024, une série de concertations avec les services techniques déconcentrés du Département en charge des Ressources animales sur l’organisation de la campagne de vaccination contre les maladies animales prioritaires, dans les régions du Centre-Sud, du Centre-Est, de l’Est, du Plateau Central et du Centre-Nord.

Cette sortie terrain vise à améliorer l’efficacité de la mise en œuvre de la campagne de vaccination contre les maladies animales prioritaires pour l’atteinte des objectifs de l’« 𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓 ». Il s’agit principalement de maladies telles que la peste des petits ruminants, la fièvre aphteuse, la maladie de Newcastle, la variole aviaire, la rage et la péripneumonie contagieuse bovine.

Les échanges ont essentiellement porté sur les modalités de mise en œuvre de la campagne de vaccination, la surveillance des maladies animales et les attentes des acteurs pour une mise en œuvre réussie de la campagne à venir.

Le premier responsable des services vétérinaires, le Lieutenant NACRO, a rencontré au cours de cette tournée, les autorités locales des régions visitées, le personnel des Directions régionales de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques ainsi que les vétérinaires privés. Aux autorités locales, il a expliqué le bien-fondé de la campagne de vaccination tout en sollicitant leur accompagnement pour l’atteinte des objectifs de l’Offensive. Face au personnel des directions régionales, le Lieutenant NACRO a insisté sur la mobilisation et la sensibilisation des éleveurs. « 𝑳’𝒆́𝒍𝒆𝒗𝒆𝒖𝒓 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒖 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒔 𝒑𝒓𝒊𝒐𝒓𝒊𝒕𝒆́𝒔 », a-t-il déclaré. Il a aussi exprimé la nécessité de superviser la campagne, ce qui permettra d’impliquer davantage les acteurs clés pour éviter la déperdition des données de vaccination et d’être aussi à l’écoute des agents terrain pour pallier les éventuelles difficultés.

Dr Madi SAVADOGO, Directeur de la santé animale, a pour sa part relevé l’importance de mettre en œuvre des actions de communication efficaces qui permettront d’une part de sensibiliser les éleveurs, d’autre part de les mobiliser pour l’atteinte des objectifs escomptés. « 𝑫𝒆𝒔 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒐𝒔𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒐𝒏𝒕 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒉𝒂𝒖𝒕𝒆𝒔 𝒂𝒖𝒕𝒐𝒓𝒊𝒕𝒆́𝒔 𝒂𝒇𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒈𝒂𝒓𝒂𝒏𝒕𝒊𝒓 𝒍𝒂 𝒎𝒊𝒔𝒆 𝒆𝒏 œ𝒖𝒗𝒓𝒆 𝒓𝒆́𝒖𝒔𝒔𝒊𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒄𝒂𝒎𝒑𝒂𝒈𝒏𝒆, 𝒒𝒖’𝒊𝒍 𝒔’𝒂𝒈𝒊𝒔𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒐𝒏𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝒅𝒆𝒔 𝒗𝒂𝒄𝒄𝒊𝒏𝒔 𝒂̀ 𝒃𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒅𝒂𝒕𝒆 𝒐𝒖 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒇𝒐𝒓𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒈𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒂𝒊𝒏 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒄𝒕𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆́𝒆𝒔 », a déclaré Dr SAVADOGO.

Dr Charles Dieudonné MANDE, Président de l’Ordre national des vétérinaires du Burkina a quant à lui, relevé que chaque acteur doit faire preuve d’engagement et d’ingéniosité pour l’atteinte des résultats attendus. Il s’est réjoui de l’engouement des acteurs autour des cadres de concertations, témoignant ainsi de leur intérêt pour la réussite de la campagne.

Les acteurs terrain ont exprimé leur reconnaissance au ministère en charge des Ressources animales pour la dynamique enclenchée pour la santé animale. « 𝑻𝒐𝒖𝒕 𝒔𝒆𝒓𝒂 𝒎𝒊𝒔 𝒆𝒏 œ𝒖𝒗𝒓𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒓𝒆𝒍𝒆𝒗𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆́𝒇𝒊𝒔 », ont-ils assuré.

Ces cadres de concertation, qui se veulent inclusifs et participatifs, vont se poursuivre dans les autres régions. La campagne de vaccination est prévue pour se tenir d’octobre 2024 à mars 2025.

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  : Une partie du mois d'octobre sera humide selon les prévisions de la météo Actu Terre
02/10/2023

: Une partie du mois d'octobre sera humide selon les prévisions de la météo
Actu Terre

𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗻𝘁𝗵𝗮𝗿𝗶𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗱𝗼𝘂𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗮𝘃𝗮𝗴𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀, 𝗲𝗻 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝘂𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝘂 𝗺𝗶𝗹.𝗧𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 ...
14/09/2023

𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗻𝘁𝗵𝗮𝗿𝗶𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗱𝗼𝘂𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗮𝘃𝗮𝗴𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀, 𝗲𝗻 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝘂𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝘂 𝗺𝗶𝗹.
𝗧𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗰𝗲𝘀 𝗿𝗮𝘃𝗮𝗴𝗲𝘂𝗿𝘀, 𝗮̀ 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗰𝗵𝗲 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗮̀ 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗮 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗿𝗼𝘁𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗩𝗲́𝗴𝗲́𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 (𝗗𝗣𝗩𝗖/𝗗𝗚𝗣𝗩)

🟢Marché des Innovations et des Technologies Agricoles : la 3ème édition officiellement lancéeLa 3ème édition du Marché d...
12/09/2023

🟢Marché des Innovations et des Technologies Agricoles : la 3ème édition officiellement lancée

La 3ème édition du Marché des Innovations et des Technologies Agricoles (MITA) s’est ouverte ce mardi 12 septembre 2023 à Ouagadougou, dans la salle de conférence de Ouaga 2000.La cérémonie d’ouverture était présidée par le Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Pr Adjima THIOMBIANO, en présence du parrain, Ismaël SOMBIE, Ministre de l'Agriculture et des Ressources animales et halieutiques et des représentants du CILSS et du ROPPA.

Organisée par le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF), le MITA se veut un cadre d’échanges d’informations technologiques et d’innovations au profit du public et des professionnels agricoles. Cette édition vise à renforcer l’accès et la diffusion des technologies agricoles en Afrique de l’Ouest et du Centre.

Placé sous le thème « Facilitation de l’accès des technologies et innovations agricoles sensibles au genre et à la nutrition », le MITA est un rendez-vous important pour mettre en lumière les innovations et les avancées technologiques issues de la recherche et des inventeurs publics et privés de l’Afrique de l’Ouest et du Centre.

Pour le Ministre THIOMBIANO, le MITA incarne une opportunité inestimable pour promouvoir l'innovation, la recherche et le développement dans le secteur agricole. Pour lui, l'agriculture étant le pilier de notre économie, les technologies et innovations agricoles jouent un rôle vital dans notre quête de sécurité alimentaire, de durabilité environnementale, et de résilience face aux défis du changement climatique. «Ces avancées contribuent également à renforcer la productivité des agriculteurs burkinabé et à améliorer leur qualité de vie», a-t-il indiqué avant d’ajouter que le Burkina Faso accorde une attention particulière aux technologies et innovations agricoles dans le cadre de sa politique globale de développement scientifique et technologique.

Selon le Dr Abdou TENKOUANO, Directeur Exécutif du CORAF, le thème reflète l’engagement du CORAF et de ses partenaires à promouvoir des innovations sensibles au genre et à la nutrition et qui répondent aux besoins des différents maillons (la production, la poste-récolte, la transformation, la mécanisation…) des chaines de valeurs agricoles.« Le MITA 2023 revêt d’une dimension particulière en mettant en avant les technologies sensibles au genre et à la nutrition. Ces technologies ont le potentiel de révolutionner l’agriculture et de contribuer à une plus grande sécurité alimentaire, tout en prenant en compte la dimension genre et la nutrition », a-t-il ajouté.

Après la cérémonie d’ouverture, les deux Ministres, le Pr Adjima THIOMBIANO et Ismaël SOMBIE ont visité des stands pour découvrir certaines innovations et des technologies agricoles exposées à l’attention du grand public au centre de conférence de Ouaga 2000.

Cette troisième édition du MITA sera marquée par une présentation des technologies et innovations agricoles de pointe, des rencontres B to B, des expositions, des panels et des communications.

L’édition 2023 du MITA refermera ses portes le 15 septembre par une soirée de gala de l’innovateur agricole, soirée au cours de laquelle l’excellence sera récompensée.

DCRP/MESRI

Rendez-vous !AFRICA GREEN WEEK  du 11 au 14 Octobre 2023 à  Bobo-Dioulasso Actu Terre, Suivez-nous pour toute l'actualit...
11/09/2023

Rendez-vous !

AFRICA GREEN WEEK du 11 au 14 Octobre 2023 à Bobo-Dioulasso

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Burkina Faso : Le gouvernement lance un plan baptisé "Offensive agropastorale et halieutique 2023-2025"Porté par le mini...
08/09/2023

Burkina Faso : Le gouvernement lance un plan baptisé "Offensive agropastorale et halieutique 2023-2025"

Porté par le ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, «Offensive agropastorale et halieutique 2023-2025», est un ambitieux plan de développement de cinq cent quatre vingt douze (592) milliards de francs CFA dans le secteur agropastoral. A terme, ce Plan devrait permettre au Burkina Faso d’assurer sa souveraineté alimentaire et la création d’au moins cent mille emplois décents dans le secteur agropastoral pour les jeunes, les Personnes déplacées internes (PDI) et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP).

Prioritairement, huit filières avec une imposition de variétés à haut rendement pour les produits tels que le riz, le maïs, la pomme de terre, le blé, le poisson, le bétail/viande, la volaille et la mangue sont dans le pipeline de ce vaste programme. Outre, ces huit produits, le ministère va continuer ses actions en faveur du développement des autres produits.

L’atteinte des objectifs de ce plan commande également des réformes et des innovations. A ce sujet, le ministère a déjà pris le pas avec des mesures telles que, la dynamisation du réseau d’encadrement par le rapprochement des cadres du département vers les grandes zones de production agropastorale, la responsabilisation des structures régionales pour la mise en œuvre des activités jadis portées par les structures centrales, la diversification des moyens de paiement mobile de la contrepartie des bénéficiaires de la subvention des intrants et matériels agricoles, l’augmentation du budget alloué à l’achat des intrants de 4,2 milliards, la réquisition de 4000 hectares à Bagré et à la SN SOSUCO pour la production agricole, la mise à contribution de plus de 1500 VDP pour assurer la production et la sécurisation des grands sites de productions, la mise en route de l’usine de mélange d’engrais de Koupela d’une capacité de production de 90 tonnes à l’heure, la mise à disposition de 9 500 tonnes soit 38% des quantités d’engrais au profit des riziculteurs contre 30% les années antérieures, l’extension du prélèvement de 5% des intrants au profit des PDI sur les quantités d’intrants acquises par tous les projets et programmes, l’appui aux PDI retournées chez elles avec 325 tonnes d’intrants et 25 tonnes de semences et l’appui à la mise en place des «champs de la paix» au profit des femmes PDI et leurs hôtes dans 7 régions. D’autres réformes sont également en cours.

Actu Terre avec le 𝗗𝗖𝗥𝗣/𝗠𝗔𝗥𝗔𝗛

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐡𝐮𝐦𝐢𝐝𝐞: 𝐥𝐞 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐈𝐬𝐦𝐚𝐞̈𝐥 𝐒𝐎𝐌𝐁𝐈𝐄 𝐞́𝐯𝐚𝐥𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐒𝐢𝐬𝐬𝐢𝐥𝐢 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐙𝐢𝐫𝐨Le ministre de l’A...
08/09/2023

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐡𝐮𝐦𝐢𝐝𝐞: 𝐥𝐞 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐈𝐬𝐦𝐚𝐞̈𝐥 𝐒𝐎𝐌𝐁𝐈𝐄 𝐞́𝐯𝐚𝐥𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐒𝐢𝐬𝐬𝐢𝐥𝐢 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐙𝐢𝐫𝐨

Le ministre de l’Agriculture des Ressources animales et halieutiques, le Commandant Ismaël SOMBIE, a pris le pouls de la campagne agricole de saison humide dans les provinces du Ziro et de la Sissili, ce jeudi 7 septembre 2023.

Dans la province de la Sissili, le ministre SOMBIE a visité des entrepreneurs agricoles modèles. L’entrepreneur agricole, Innoussa OUEDRAOGO exploite une ferme de production semencière de cent deux (102) hectares. Plusieurs spéculations y sont produites, notamment du maïs, du soja, de l’arachide, du sésame et du niébé. Il y expérimente aussi le fonio et se fait accompagner par les services de la recherche qui s’investissent dans la sélection en vue de mettre à la disposition des producteurs des variétés à haut potentiel de rendement.

Wendyegbnoma Théodore KABORE est juriste de formation. Il a développé une passion pour l’agriculture, devenue sa principale activité. Sur son exploitation de cinquante (50) hectares, il produit du maïs, du soja, de l’oignon et de la tomate. Ces deux producteurs modèles ont pour ambition de produire en continu toute l’année.

Après la Sissili, cap sur Kassa dans la province du Ziro, où le Commandant SOMBIE a visité l’exploitation de production semencière de monsieur Alidou SAWADOGO. Ce producteur, exemple de persévérance et de foi en l’agriculture, fait montre d’autonomie financière. «Dans mes activités agricoles, je n’attends de l’aide de personne, de peur que l’absence de cette aide entrave l’exécution de mes projets», a-t-il soutenu.Il affirme gagner pleinement sa vie dans l’agriculture.

Le ministre Ismaël SOMBIE a salué l’exemplarité des producteurs visités. Il a également salué l’implication des chercheurs dans les différentes activités de production. Il affirme que l’objectif de «l’Offensive agropastorale et halieutique 2023-2025», est d’atteindre la souveraineté alimentaire par la production nationale. Ce qui implique un engagement de tous les burkinabè. Par ailleurs, il invite les producteurs à suivre les itinéraires techniques conseillés par le personnel d’encadrement qui doit adopter une approche participative dans leur séance de vulgarisation afin de faciliter l’assimilation.

Aux chercheurs, le Commandant SOMBIE appelle à travailler de sorte à briser les chaînes des idées reçues et proposer des variétés performantes à même de répondre aux ambitions du plan opérationnel «𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟓».

𝗗𝗖𝗥𝗣/𝗠𝗔𝗥𝗔𝗛

𝗔𝗺𝗲́𝗻𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗵𝘆𝗱𝗿𝗼-𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲 : 𝗟𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗥𝗼𝗴𝗲𝗿 𝗕𝗔𝗥𝗢 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗹𝗲 𝗯𝗮𝗿𝗿𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗡𝗶𝗮𝗻𝗴𝗱𝗼.Dans la soirée de ce jeudi 7 septembre...
08/09/2023

𝗔𝗺𝗲́𝗻𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗵𝘆𝗱𝗿𝗼-𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲 : 𝗟𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗥𝗼𝗴𝗲𝗿 𝗕𝗔𝗥𝗢 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗹𝗲 𝗯𝗮𝗿𝗿𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗡𝗶𝗮𝗻𝗴𝗱𝗼.

Dans la soirée de ce jeudi 7 septembre 2023 le Ministre de l’Environnement, de l’eau et de l’assainissement Roger BARO a visité le barrage de Niangdo, un village de la commune de Poa dans la région du Centre-Ouest. Accompagné de son cabinet, des autorités administratives et coutumières de la région, le Ministre est allé toucher du doigt les réalisations de l’ouvrage prévues dans le cadre du Programme d’amélioration des moyens d’existence durables en milieu rural (PAMED) dans les régions de la Boucle du Mouhoun et du Centre-Ouest.
Le projet est le fruit d’une coopération sud-sud et tripartite entre le Gouvernement de l’Inde, l’Etat Burkinabè et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) qui a permis son opérationnalisation.

La construction du barrage de Niangdo est née de la volonté endogène à valoriser les ressources en eau et de créer des emplois en vue de contribuer à la réduction de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire dans la localité. Aujourd’hui le barrage de Niangdo est une réalité et a même été réceptionné provisoirement. C’est fort de ce constat que le Ministre Roger BARO a effectué le déplacement pour se rassurer de son effectivité.

𝑺𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒍𝒆 𝒎𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒔𝒂 𝒅𝒆́𝒍𝒆́𝒈𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒐𝒏𝒕 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆́ 𝒍𝒆 𝒃𝒂𝒔𝒔𝒊𝒏 𝒗𝒆𝒓𝒔𝒂𝒏𝒕 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒖𝒑𝒆𝒓𝒇𝒊𝒄𝒊𝒆 𝒅𝒆 5,21 𝒌𝒎2, 𝒍𝒂 𝒄𝒖𝒗𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒄𝒂𝒑𝒂𝒄𝒊𝒕𝒆́ 𝒏𝒐𝒓𝒎𝒂𝒍𝒆 𝒅𝒆 585 000 𝒎3, 𝒍𝒂 𝒅𝒊𝒈𝒖𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒏𝒄𝒊𝒑𝒂𝒍𝒆 𝒆𝒕 𝒍’𝒆́𝒗𝒂𝒄𝒖𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒄𝒓𝒖𝒆. 𝑫𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒔𝒂𝒕𝒊𝒔𝒇𝒂𝒊𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆. « 𝑷𝒓𝒐𝒗𝒊𝒔𝒐𝒊𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒆 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒂 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒓𝒆́𝒄𝒆𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏𝒏𝒆́ 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒗𝒆𝒏𝒖𝒔 𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒔𝒊 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒕𝒊𝒆𝒓 𝒂𝒃𝒐𝒖𝒕𝒊. 𝑶𝒏 𝒂 𝒑𝒖 𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒖𝒏 𝒑𝒍𝒂𝒏 𝒅’𝒆𝒂𝒖, 𝒅𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒐𝒏𝒕 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒇𝒂𝒊𝒕𝒆𝒔. 𝑬́𝒈𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕, 𝒄𝒆𝒍𝒂 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒂 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆́ 𝒍’𝒐𝒄𝒄𝒂𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒆𝒏 𝒕𝒆𝒓𝒎𝒆𝒔 𝒅’𝒊𝒏𝒗𝒆𝒔𝒕𝒊𝒔𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆 » 𝒂 𝒂𝒇𝒇𝒊𝒓𝒎𝒆́ 𝒍𝒆 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑹𝒐𝒈𝒆𝒓 𝑩𝑨𝑹𝑶.

𝑶𝒖𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆, 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒓𝒆́𝒗𝒖 𝒖𝒏 𝒂𝒎𝒆́𝒏𝒂𝒈𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 12 𝒉𝒂 𝒅𝒆 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒎𝒆̀𝒕𝒓𝒆 𝒊𝒓𝒓𝒊𝒈𝒖𝒆́ 𝒆𝒕 𝒖𝒏 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒃𝒐𝒊𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒃𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝒔𝒆𝒓𝒗𝒊𝒕𝒖𝒅𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒖𝒑𝒆𝒓𝒇𝒊𝒄𝒊𝒆 𝒅𝒆 28, 2 𝒉𝒂. 𝑨𝒊𝒏𝒔𝒊 𝒍𝒆 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒔𝒂 𝒅𝒆́𝒍𝒆́𝒈𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒐𝒏𝒕 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒔𝒖𝒊𝒗𝒊 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒃𝒐𝒊𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒃𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝒔𝒆𝒓𝒗𝒊𝒕𝒖𝒅𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆. 𝑳𝒂̀, 𝒍𝒆 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑹𝒐𝒈𝒆𝒓 𝑩𝑨𝑹𝑶 𝒆𝒕 𝒔𝒂 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒐𝒏𝒕 𝒑𝒖 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒂𝒕𝒆𝒓 𝒅𝒆́𝒋𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 12 000 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒕𝒔. 𝑪𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆𝒓𝒐𝒏𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒉𝒂𝒊𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒎𝒂𝒓𝒒𝒖𝒆𝒓𝒂 𝒖𝒏𝒆 𝒛𝒐𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒕𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒂𝒖 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒎𝒆̀𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒎𝒆́𝒏𝒂𝒈𝒆́ 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍’𝒂𝒈𝒓𝒊𝒄𝒖𝒍𝒕𝒖𝒓𝒆. 𝑺𝒖𝒓 𝒄𝒆 𝒎𝒆̂𝒎𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒆, 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒓𝒆́𝒗𝒖 𝒆𝒏 2024 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 30 000 𝒂𝒓𝒃𝒓𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒆́𝒔 𝒆𝒔𝒔𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅’𝒂𝒓𝒃𝒓𝒆𝒔 𝒇𝒓𝒖𝒊𝒕𝒊𝒆𝒓𝒔.

𝑸𝒖𝒂𝒏𝒕 𝒂𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒑𝒓𝒆́𝒗𝒖 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒎𝒆̀𝒕𝒓𝒆 𝒊𝒓𝒓𝒊𝒈𝒖𝒆́, 𝒓𝒊𝒆𝒏 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒆́. « 𝑳𝒆 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒎𝒆̀𝒕𝒓𝒆 𝒊𝒓𝒓𝒊𝒈𝒖𝒆́ 𝒒𝒖𝒊 𝒅𝒐𝒊𝒕 𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒇𝒂𝒊𝒕, 𝒗𝒂 𝒑𝒆𝒓𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒑𝒖𝒍𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒎𝒆𝒏𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒄𝒕𝒊𝒗𝒊𝒕𝒆́𝒔 𝒂𝒈𝒓𝒊𝒄𝒐𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒄𝒕𝒊𝒗𝒊𝒕𝒆́𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒔𝒕𝒐𝒓𝒂𝒍𝒊𝒔𝒎𝒆. 𝑳𝒂 𝒃𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝒔𝒆𝒓𝒗𝒊𝒕𝒖𝒅𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒗𝒂 𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒃𝒐𝒊𝒔𝒆́𝒆, 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒔𝒑𝒆̀𝒄𝒆𝒔 𝒇𝒓𝒖𝒊𝒕𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒗𝒂 𝒑𝒆𝒓𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒑𝒖𝒍𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅’𝒂𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒇𝒓𝒖𝒊𝒕𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒐𝒎𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒕 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒓𝒄𝒊𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 » 𝒂 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒔𝒖𝒊𝒗𝒊 𝑹𝒐𝒈𝒆𝒓 𝑩𝑨𝑹𝑶. 𝑻𝒐𝒖𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒐𝒔𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒓𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒆𝒏 𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕𝒆 𝒍𝒊𝒈𝒏𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒊𝒐𝒓𝒊𝒕𝒆́𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑻𝒓𝒂𝒏𝒔𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒄𝒐𝒏𝒄𝒆𝒓𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒍'𝒊𝒏𝒊𝒕𝒊𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒑𝒓𝒆́𝒔𝒊𝒅𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍'𝒂𝒈𝒓𝒊𝒄𝒖𝒍𝒕𝒖𝒓𝒆; 𝒖𝒏𝒆 𝒊𝒏𝒊𝒕𝒊𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒅𝒖 𝑪𝒉𝒆𝒇 𝒅𝒆 𝒍’𝑬𝒕𝒂𝒕, 𝒍𝒆 𝑪𝒂𝒑𝒊𝒕𝒂𝒊𝒏𝒆 𝑰𝒃𝒓𝒂𝒉𝒊𝒎 𝑻𝑹𝑨𝑶𝑹𝑬 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍'𝒂𝒖𝒕𝒐𝒔𝒖𝒇𝒇𝒊𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒂𝒍𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆.

Le Ministre Roger BARO a donné des consignes pour que les investissements soient finalisés les jours à venir afin « «de permettre aux populations en période sèche d’avoir des espaces de production » a conclu le ministre. . Avant de prendre congés de ses hôtes, il les a encouragés à la bonne gestion de l’ouvrage et à s’investir davantage pour les réalisations des aménagements connexes.

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Burkina : Des engins agricoles motorisés "made in Burkina" présentés aux producteurs par des entreprises locales. Ph : D...
02/09/2023

Burkina : Des engins agricoles motorisés "made in Burkina" présentés aux producteurs par des entreprises locales.

Ph : DCRP/MARHA

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Burkina: Le gouvernement adopte un plan opérationnel de souveraineté alimentaire Ce plan opérationnel, baptisé « offensi...
31/08/2023

Burkina: Le gouvernement adopte un plan opérationnel de souveraineté alimentaire

Ce plan opérationnel, baptisé « offensive agropastorale et halieutique 2023-2025 », constitue un cadre de programmation d’actions prioritaires émanant de l’action des multiples acteurs et instruments de la Transition en matière d’agriculture et d’élevage pour assurer la souveraineté alimentaire dans notre pays.
Le présent plan fait l’option de se concentrer sur un nombre réduit de filières stratégiques en vue de créer un impact significatif de l’action des différentes interventions. De ce fait, huit (08) filières ont été retenues. Il s’agit des filières riz, maïs, pomme de terre, blé, poisson, bétail-viande, volaille et mangue.

Le coût estimatif du plan est de 592 milliards F CFA sur la période 2023-2025. Ce montant sera financé à hauteur de 46% par les ressources publiques (275 milliards F CFA) à partir d’une restructuration des projets et programmes du ministère afin d’aligner leurs investissements à ceux du plan. Le financement privé attendu est de 317 milliards F CFA équivalent à 54% du budget.
La mise en œuvre de ce plan permettra la création d’au moins 100 000 emplois décents dans le secteur agropastoral pour les jeunes, les femmes, les Personnes déplacées internes et les Volontaires pour la défense de la Partie.

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Changement climatique et crise sécuritaire : L’adoption des biotechnologies agricoles comme ultime recours pour les prod...
30/08/2023

Changement climatique et crise sécuritaire : L’adoption des biotechnologies agricoles comme ultime recours pour les producteurs

Le Burkina Faso est un pays sahélien en voie de développement situé au cœur de l'Afrique de l’Ouest. Le commerce, l’activité minière, l’élevage et bien entendu l’agriculture sont les principales ressources de ce pays peuplé d’environ 22 millions d’habitants. L’agriculture, occupe une place très importante dans la vie sociale et économique des Burkinabè. 80% des populations la pratique. Elle contribue à 12,7% du produit intérieur brut (PIB) selon les données de l’institut national de la statistique et de la démographie (INSD) de fin 2022. Malheureusement l’activité agricole rencontre d’énormes difficultés ces dernières années, imposant aux producteurs un changement de paradigme. Ce changement nécessite tout simplement une adoption par les producteurs des biotechnologies agricoles qui offrent plusieurs opportunités face aux contraintes actuelles. Reportage sur une méthode agricole qui a pour but de sauver le secteur agricole des caprices saisonnières.
Lire la suite : https://csmedias.net/changement-climatique-et-crise-securitaire-ladoption-des-biotechnologies-agricoles-comme-ultime-recours-pour-les-producteurs/

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