21/10/2025                                                                            
                                    
                                                                            
                                            🔴  🇧🇫🇳🇪🇲🇱: Installation du commandement de la Force unifiée — le Sahel forge son bouclier souverain
Le 21 octobre 2025, la Confédération des États du Sahel (AES) entre dans une phase décisive de son édification stratégique. 
Dans les jours à venir, le Président du Mali, Assimi Goïta, procédera à l’installation officielle du commandant et de son adjoint de la Force unifiée de l’AES, scellant ainsi la mise en marche d’un outil militaire intégré, 
conçu pour défendre les peuples sahéliens avec rigueur, cohérence et indépendance.
Cette étape fait suite à la réunion stratégique du 15 octobre à Niamey, présidée par le Général Oumar Diarra, président en exercice du Comité des Chefs d’États-Majors de l’AES. Cette rencontre, d’une portée historique, a permis de finaliser les fondations opérationnelles de la Force unifiée : structure de commandement, doctrine d’intervention, zones de responsabilité, mécanismes de coordination interarmées, et surtout, vision commune de la défense sahélienne.
La Force unifiée de l’AES n’est pas une alliance militaire de circonstance c’est la matérialisation d’un projet géopolitique radical, fondé sur la souveraineté sécuritaire, la rupture avec les tutelles étrangères,
et la réappropriation du territoire par ses propres fils. Elle incarne une doctrine de défense enracinée,
 fondée sur la connaissance du terrain, la proximité avec les populations, et la capacité à répondre aux menaces asymétriques sans dépendre de forces extérieures.
Les États membres Mali, Burkina Faso, Niger ont choisi de mutualiser leurs moyens, leurs savoir-faire et leurs volontés politiques, pour bâtir une force capable de neutraliser les groupes armés, sécuriser les corridors stratégiques, et restaurer l’autorité de l’État dans les zones contestées. Cette force est aussi un instrument de dissuasion, un signal clair envoyé aux puissances qui ont longtemps considéré le Sahel comme un laboratoire militaire ou un terrain d’influence.
L’installation du commandement militaire marque le début d’une nouvelle géométrie sécuritaire, où les décisions ne sont plus dictées depuis Paris, Washington ou Bruxelles, mais prises à Bamako, Ouagadougou et Niamey, par des chefs militaires enracinés dans la réalité du terrain et porteurs d’une vision panafricaine de la défense.
Dans les capitales de l’AES, cette annonce est accueillie avec fierté, ferveur et mobilisation populaire. Les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), les comités de veille citoyenne et les autorités locales saluent la naissance d’un bouclier sahélien,
 forgé dans la douleur, la discipline et la volonté de rupture. Les populations, longtemps abandonnées aux violences et aux tergiversations diplomatiques, voient enfin une réponse structurée, cohérente et enracinée.
L’AES ne se contente plus de survivre elle organise, anticipe et impose une nouvelle architecture de puissance régionale. 
Avec l’installation de son commandement militaire, elle affirme que le Sahel ne sera plus un espace de soumission, 
mais un bastion de résistance, de coordination et de victoire souveraine.
Ce moment n’est pas seulement militaire il est symbolique, historique et fondateur. 
Il marque la fin d’un cycle de dépendance, et le début d’une ère de reconquête, 
où chaque mètre carré de territoire, chaque poste de commandement, chaque unité déployée devient un acte de souveraineté, de dignité et de justice territoriale.