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💉 Campagne nationale de vaccination contre la fièvre typhoïde🚰 Protégeons nos familles, agissons ensemble !La vaccinatio...
16/01/2025

💉 Campagne nationale de vaccination contre la fièvre typhoïde

🚰 Protégeons nos familles, agissons ensemble !
La vaccination est un bouclier essentiel contre la fièvre typhoïde, mais vous pouvez aussi prévenir cette maladie grave en :
✔️ Consommant de l’eau potable,
✔️ Respectant des règles strictes d’hygiène dans la manipulation des aliments.

💪 Ensemble, éliminons la fièvre typhoïde !

OMSBurkinaFaso | UNICEF Burkina Faso | Gavi, the Vaccine Alliance | Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique - Burkina Faso

L'affaire Aziz korgho et Inoussa Kanazoé continue de défrayer la chronique. - Dans son édition du vendredi 29 novembre 2...
07/12/2024

L'affaire Aziz korgho et Inoussa Kanazoé continue de défrayer la chronique. - Dans son édition du vendredi 29 novembre 2024, nous évoquait les circonstances de l’enlèvement et de la séquestration d’Aziz Korgho, un collaborateur du magnat burkinabè du ciment, Inoussa Kanazoé. quis’est fait justice au mépris des procédures et des lois burkinabè. Pour la manifestation de la vérité sur cette affaire, Informateur.ci a pu interroger Aziz Korgho à Ouagadougou depuis sa cellule de prison. Ci-dessous, sa version des faits.

- Dans notre édition du vendredi 29 novembre 2024, nous évoquions les circonstances de l’enlèvement et de la séquestration d’Aziz Korgho, un collaborateur du magnat burkinabè du ciment, Inoussa Kanazoé. qui s’est fait justice au mépris des procédures et des lois burkinabè....

Affaire  entre un employé et son employeur, Aziz Korgho en veut au PDG de Cim Faso, son employeur  Un conflit aux relent...
06/12/2024

Affaire entre un employé et son employeur, Aziz Korgho en veut au PDG de Cim Faso, son employeur

Un conflit aux relents sulfureux dans le monde des affaires au Burkina Faso? L'affaire entre les deux sent le roussi dans les hautes sphères du monde des affaires. En effet, Aziz Korgho, employé d'Inoussa Kanazoé, magnat du ciment à la tête de Cim Faso, Cim Ivoire et Cim Mali, est l'objet d'un litige commercial qui l'oppose à son ex patron. Selon une publication du journal en ligne ivoirien Informateur.ci, l'arrestation d'Aziz a fait jaser l'entourage, les parents et collaborateurs, puisqu'elle a été faite dans des circonstances troublante selon l'article du même journal.

En sus, ledit article rapporte que: " Tout commence le 22 octobre 2024, lorsqu’Aziz Korgho, jeune employé trentenaire, disparaît mystérieusement en revenant de Kaya vers Ouagadougou. L’inquiétude gagne ses proches et sa famille, qui restent sans nouvelles pendant plusieurs jours..."

En toile de fond, il s'agit d'un différend entre Aziz Korgho et son patron, Inoussa Kanazoé. Des informations rapportées, Aziz Korgho aurait été accusé par le magnat de la construction d’un détournement de fonds portant sur plusieurs milliards de francs CFA liés à la vente de ciment dans le cadre du projet de construction de la cimenterie au Mali. Mais cette accusation est non seulement faussement constituée et a aussi engendré une violation des droits humains si l'on croit au journal ivoirien. Sur ces entrefaites, Aziz Korgho, à ce qu'il paraît, aurait déposé une plainte contre son ancien employeur pour enlèvement et séquestration, une pratique d'ailleurs que le commissariat central a réprouvée.

Sur cette affaire à senteur de soufre, Informateur.ci reste engagé et mobilisé pour suivre l’évolution de ce dossier brûlant et dévoiler les zones d’ombre qui persistent. Affaire à suivre.

Affaire Augustin DAMIBA contre la BCB : Quand une Banque piétine l’honneur et le droit des Burkinabè !Voilà où nous en s...
10/11/2024

Affaire Augustin DAMIBA contre la BCB : Quand une Banque piétine l’honneur et le droit des Burkinabè !

Voilà où nous en sommes aujourd’hui, chers concitoyens. Une banque, censée incarner la stabilité, la confiance, et la transparence, s’arroge le droit d’écraser un citoyen, un entrepreneur, un Burkinabè qui n’aspire qu’à bâtir, à contribuer à l’essor de notre pays. Cette banque, la Banque Commerciale du Burkina (BCB), semble s’être donnée pour mission de ruiner ceux qu’elle devrait soutenir. Quel symbole de cynisme et d’abus de pouvoir !

Damiba Augustin, victime de la "superpuissance" de la banque se retrouve aujourd’hui confronté à des manœuvres brutales. La banque tente de saisir ses biens sur du faux alors même que son dossier est toujours devant la justice. Qui ose agir ainsi, sinon ceux qui se croient au-dessus des lois ?

Qu’est-ce que cela dit de notre société si les plus modestes sont à la merci de ces puissances financières ? Et combien d’autres Damiba Augustin se taisent, réduits au silence par peur de représailles ?

Alors, que nos autorités s'en saisissent pour résorber la question ? La justice osera-t-elle affronter les puissants, et protéger les droits de l’humble entrepreneur face à la machine implacable de la BCB ? Burkinabè, nous ne pouvons rester silencieux face à cette injustice criante. Que cette affaire soit comme un avertissement : nous ne laisserons pas les nôtres se faire piétiner sans réagir.

Justice aux pauvres et pour les pauvres!

Acharnement et injustice : quand la BCB bafoue les droits d'un entrepreneur burkinabè Cri d’indignation, d'amertume, d'o...
01/11/2024

Acharnement et injustice : quand la BCB bafoue les droits d'un entrepreneur burkinabè

Cri d’indignation, d'amertume, d'orfraie, voici ce qui a retenti dans une lettre ouverte au Président du Faso ces derniers temps à travers les médias. En effet, Damiba Augustin, citoyen Burkinabè à travers cette lettre ouverte dénonce le harcèlement injustifié de la Banque Commerciale du Burkina (BCB). Ce témoignage révèle les abus de cette institution financière , qui, outrepassant les règles, s'acharne contre sa personne.

Alors que le dossier est encore en justice, la BCB tente de saisir illégalement les biens de M. Damiba, en se faisant victime dans une situation où elle est en réalité coupable. En effet, des dessous de cette affaire, il apparaît que c'est la banque qui est redevable envers l'entrepreneur. Les fonds destinés à ses projets publics, versés par des partenaires extérieurs, ont été arbitrairement bloqués, mettant l’entreprise de M. Damiba dans de graves difficultés financières.

Loin d’être un cas isolé, cette affaire suscite des interrogations profondes sur le traitement inégal des citoyens burkinabè par certains acteurs financiers qui se comportent comme étant au-dessus de la loi. Combien d'autres entreprises subissent-elles des pressions similaires ? Combien de citoyens paient-ils le prix de ces pratiques abusives ? Face à ces injustices, la voix de M. Damiba comme celle de nombreux Burkinabè qui réclament une justice équitable et une transparence financière dans les institutions bancaires de la place.

Dans ce dossier, la justice Burkinabè doit trancher et non laisser subir la " puissance" de la banque. Les autorités sont interpellées afin de protéger et de faire rétablir les droits à ce citoyen brimé. De 2014 à maintenant, l'injustice n'a que trop duré.

Acharnement bancaire : un citoyen Burkinabè s'indigne face à l'injustice dans certaines institutions bancaires.Dans une ...
31/10/2024

Acharnement bancaire : un citoyen Burkinabè s'indigne face à l'injustice dans certaines institutions bancaires.

Dans une affaire complexe qui soulève des questions sur l’équité et la justice dans le secteur bancaire au Burkina Faso, le citoyen Augustin DAMIBA expose une série de pratiques bancaires qu’il qualifie de discriminatoires et d’injustifiées. Depuis plusieurs années, il fait l’objet de blocages injustifiés, d’assignations sans fondement, et d’obstacles financiers orchestrés par sa banque, qui auraient gravement affecté sa vie et l’activité de son entreprise.

Lisez donc!

Excellence monsieur le Président du Faso, Chef de l’État

Je suis un citoyen burkinabé, animé par un profond attachement à la paix et à la justice. Comme de nombreux membres de la génération des aînés, je m’investis activement dans la construction de notre nation, le Burkina Faso. Pourtant, depuis plusieurs années, je fais l’objet d’un acharnement politique constant, sans qu’il m’ait été explicitement expliqué de quoi l’on m’accuse. Il semble que l’on me reproche une prétendue implication dans une affaire de déviation de route, alors que votre avènement a changé les mentalités, incitant même les villageois à défendre leurs intérêts quand ils sont menacés.

Mon refus de brader une entreprise que je dirige m’a également valu d’être ciblé par certaines forces. Ce sont vraisemblablement ces motifs qui m’ont désigné comme une personne à abattre, sans aucune concession. Cet acharnement a pris des formes variées, incluant des complots de tous ordres, jusqu’au jour où j’ai constaté des anomalies sur l’un de mes comptes bancaires. En effet, après avoir obtenu deux facilités de caisse pour des marchés publics, je me suis retrouvé en difficulté en raison de la gestion de mes fonds par la banque. Voici un aperçu des faits.

I. Justification des cautions

Je commence par la justification des cautions, car c’est un point relativement simple à expliquer. Par définition, une caution est un engagement par signature qui ne donne pas nécessairement lieu à un décaissement si les travaux avancent comme prévu. La première caution d’avance de démarrage a été émise le 13/09/2014 pour un montant de 23 847 775 FCFA, avec une validité jusqu’au 12/11/2015. La deuxième caution, d’un montant de 56 640 000 FCFA, a été émise le 17/06/2015 et était valable jusqu’au 17/06/2016 ainsi qu’une troisième caution de bonne fin émise le 12/11/2015 de 9 440 000 qui était valable jusqu’au 17/06/2016.

Comme précisé, la caution reste exigible uniquement si le maître d’ouvrage en demande le remboursement, ce qui n’a pas été le cas. Malgré cela, la banque a bloqué nos comptes sans explication, entraînant une résiliation temporaire d’un contrat, ce qui a gravement affecté nos finances. Nous soulignons que les cautions apparaissent en hors-bilan, donc sans décaissement direct.

II. Les Facilités de caisse octroyées

J’ai bénéficié de deux crédits pour des projets d’infrastructures publiques : un premier de 30 000 000 FCFA pour une école et un second de 55 000 000 FCFA pour un bloc opératoire. Suite aux troubles politiques d’octobre 2014, les paiements ont été affectés. Bien que les 30 000 000 FCFA aient été soldés après une première consolidation, la banque a reconduit ce crédit de manière répétée. Par exemple, un montant de 21 230 843 FCFA a été consolidé, ce qui nous a coûté au final 23 944 286 FCFA en six mois.

Concernant le crédit de 55 000 000 FCFA, la banque l’a consolidé une nouvelle fois en novembre 2015 pour un montant de 59 355 031 FCFA. Nous estimons que les régularisations à effectuées (61 172 209 FCFA au total) suffisent amplement à couvrir ce montant.

III. Sommes bloquées par la banque

Entre le 16/06/2016 et le 26/01/2018, nos partenaires extérieurs ont effectué des virements totalisant 180 480 316 FCFA, qui ont été bloqués par la banque, sous prétexte de dettes supposées. Après vérification, nous avons constaté qu’il s’agissait au contraire d’un trop-perçu de la part de la banque. Nous avons alors adressé une réclamation en date du 28/05/2020, mais malgré cette demande, la banque a signalé une créance fictive à la centrale de risque de la BCEAO, fermant ainsi toute possibilité de collaboration bancaire pour nous avec d’autres banques.

Malgré nos multiples courriers pour obtenir une mainlevée de domiciliation, la banque est restée silencieuse, bloquant ainsi nos fonds depuis 2018 et plongeant l’entreprise dans l’inactivité. Nous avons donc saisi la justice en janvier 2024 pour obtenir réparation et annulation de cette créance injustifiée de 165 866 274 FCFA.

À notre grande surprise, au lieu d’attendre l’issue de l’assignation en cours au tribunal de commerce, notre conseil a initié une procédure permettant à la banque de nous notifier une créance de 165 866 274 FCFA, sans justification apparente dans les écritures bancaires. Nous avons protesté et demandé l’annulation pure et simple de cette procédure.

Une nouvelle surprise est survenue lorsque la banque a lancé une autre procédure, demandant à une juridiction différente de renouveler notre inscription hypothécaire, alors même que l’assignation en responsabilité et en paiement n’a pas encore été tranchée. Cela soulève la question de savoir qui est réellement redevable envers l’autre.

Dans le cadre de cette seconde procédure, la banque a de manière troublante, omis de fournir l’intégralité de mes informations en tant que responsable de l’entreprise. Nous pensons que cette omission vise à éviter que le tribunal de cette juridiction ne se déclare incompétent.

Excellence monsieur le Président du Faso, cette situation met en évidence une discrimination de certains acteurs financiers qui se considèrent au-dessus de la loi, créant ainsi deux classes de citoyens dans notre pays. Nous espérons, en vous exposant ces faits, qu’un jour tous les Burkinabé seront traités sur un pied d’égalité en matière de justice et de paix. Nous reviendrons, le cas échéant, pour détailler davantage les responsabilités de chaque partie impliquée. Nous prenons à témoin les structures des droits de l’homme, les syndicats et toute la nation entière.
Nous avons jugé nécessaire de vous faire quelques suggestions :

-Demander aux Services Compétents de nous recevoir pour un Entretien Détaillé
Prendre un rendez-vous avec les services compétents afin d’exposer en détail notre situation, les obstacles rencontrés, et les documents nécessaires pour étayer nos propos. Cette rencontre permettrait de clarifier la situation et d’envisager des solutions adaptées.

-Reporter l’Acte judiciaire prévu le 4 novembre 2024
Suggérer de reporter l’acte judiciaire prévu le 4 novembre 2024 au risque de perdre nos biens sans possibilité de recours pourrait compromettre notre avenir financier et celui de nos proches. Cette demande de report permettrait de rassembler les fonds nécessaires pour assurer une défense équitable.

La Patrie ou la mort, nous vaincrons.

28/08/2024

En Dieu nous croyons, bientôt la fin du terrorisme. Le Faso reste debout

28/08/2024

Les subterfuges du Président du CNJ/Burkina : Quand la présidence du CNJ devient un enjeu personnel

Le président du Conseil National de la Jeunesse (CNJ), a récemment été invité à l’émission Sur la Brèche de la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB). À travers cette sortie, il est apparu clairement que Dialla fait du dilatoire visant à prolonger indéfiniment son mandat. Malgré une fin de mandat clairement établie, il semble prêt à s’accrocher à sa position en utilisant des stratégies subtiles pour échapper à l' élection qui devrait permettre à une nouvelle équipe de prendre les rênes du CNJ.
Lors de son passage à cette émission, il a une fois de plus esquivé les questions relatives à l’organisation des élections, avec une préférence de maintenir un discours vague et ambigu. Plutôt que d’annoncer une date claire pour les élections et de garantir un processus transparent, il a opté pour la tergiversation, évitant de s’engager fermement dans ce processus. Cette attitude laisse penser qu’il cherche à manipuler pour servir ses propres intérêts.
Le fait de vouloir jouer les prolongations au-delà des limites établies constitue un acte grave qui porte atteinte aux valeurs du CNJ, encore que cela est une insulte à la jeunesse burkinabè. Au lieu de reconnaître la nécessité de l’organisation de l’élection, Dialla semble vouloir s’accrocher au « pouvoir » en mettant ainsi en péril la crédibilité du CNJ. Il est de plus en plus évident que son attitude crée une atmosphère de méfiance et de division au sein de la jeunesse burkinabè, alors que cette institution devrait être un vecteur d’unité et de dynamisme.
Les subterfuges de Dialla ne se limitent pas seulement à l’ambiguïté de son discours public. En coulisses, il est suspecté de mener des actions pour influencer certains jeunes. Ces manœuvres s’inscrivent dans une logique de maintien au détriment de la jeunesse qu’il prétend représenter.
Cette situation doit interpeller tous ceux qui ont à cœur l’avenir du CNJ et le rôle important qu’il joue dans la formation des jeunes leaders du Burkina Faso. Si Moumini Dialla réussit à contourner les règles pour rester président, cela montrerait aux yeux de tous que la manipulation et la ruse remplaceraient la transparence et l’intégrité.
Il est donc urgent que les jeunes burkinabè se mobilisent pour exiger des élections dans les plus brefs délais. Il ne s’agit pas seulement de défendre les principes mais aussi de garantir que le CNJ demeure un organe représentatif et inclusif, à même de répondre aux aspirations des jeunes et conformément à la volonté politique du moment.
Face aux subterfuges de Dialla, il est important de se rappeler que le pouvoir ne doit pas devenir un objectif personnel, mais un service rendu à la communauté.

Sidbewendé Farid Sawadogo

Célébration de la journée internationale de la jeunesse sur fond de manœuvres politiciennes :  la soif de pouvoir trahit...
13/08/2024

Célébration de la journée internationale de la jeunesse sur fond de manœuvres politiciennes : la soif de pouvoir trahit le serment de servir la jeunesse du Burkina Faso !

La jeunesse burkinabè, souvent admirée pour son engagement civique et son désir de justice sociale, est aujourd'hui confrontée à une réalité amère. Alors que la Journée internationale de la jeunesse aurait dû être une occasion de se rassembler autour de valeurs communes de solidarité et de progrès, cet événement a été terni par des manœuvres politiciennes indignes de ceux qui se prétendent ses leaders.

Moumini Dialla, président du Conseil National de la Jeunesse (CNJ), dont le mandat a expiré en juillet dernier, a choisi de transformer cette journée en une tribune politique pour se maintenir, cherchant ainsi à prolonger illégalement son mandat en courtisant les autorités actuelles. Mais la transition en a cure. Elle se préoccupe plutôt de préparer la jeunesse à être un véritable levier de développement endogène. Et de ce fait, elle se doit de comprendre les enjeux du moment et apporter une plus value à la gouvernance « révolutionnaire » du gouvernement de la transition. Hélas, ce qui aurait dû être une célébration unificatrice est devenu un véritable meeting politique, qui révèle ses ambitions personnelles au détriment des intérêts collectifs des jeunes.

Cette situation est non seulement déplorable mais aussi inacceptable. Le CNJ, en continuant à opérer sous un bureau dont le mandat est expiré, plonge dans une illégalité manifeste. Les tentatives de passer outre les élections ne sont rien de moins que des manœuvres qui visent à se maintenir au « manoir » de la jeunesse Burkinabè pour encore glaner des intérêts aux dépens de la majorité des jeunes qu'ils sont censés servir.
Mais le « lenga » ne passera tant que la transition s’est donnée pour mission de rebâtir des valeurs d’intégrité , de responsabilité, d’équité dans les services publics. Que Dialla et compagnie se detrompent. ils ne peuvent en aucun cas embrigader la conscience populaire et passer outre les élections qui doivent se tenir. Ils risquent gros dans le giron de la jeunesse qui pour l’heure observe et analyse. Elle ne saurait faire les pieds de grue pendant longtemps en subissant des comportements ignominieux de la part d’un représentant illégitime et illégal.

Pire, au CNJ, le manque de transparence dans la gestion des ressources financières, notamment les subventions de l'État et autres financements ont engendré une crise de confiance entre les membres du Bureau Exécutif et Dialla. Le blackout sur la gestion des fonds et la communication interne déficiente ne font qu'accentuer les frustrations. Attendez voir, il n’y aura pas de bilan financier sur les activités qui viennent de se dérouler. La jeunesse burkinabè mérite mieux que cette gestion opaque et autoritaire. Elle a besoin de leaders intègres, transparents, et qui placent le bien-être collectif au-dessus de leurs propres ambitions.

Il est donc impératif que des élections transparentes soient rapidement organisées pour rétablir la légitimité à la tête du CNJ. Si rien n'est fait, le CNJ risque de s'imploser de l'intérieur, victime de ses propres dysfonctionnements et de la marmaille habile de celui qui occupe la tête.

Au CNJ et à tous ses partenaires, à quand le renouvellement des instances ? La jeunesse Burkinabè attend ce tournant !

🇧🇫 Conférence de presse de la C.N.P.F ( Coalition Nationale Pour le Faso)  ! Chers compatriotes,Nous sommes heureux de v...
23/11/2023

🇧🇫 Conférence de presse de la C.N.P.F ( Coalition Nationale Pour le Faso) !

Chers compatriotes,

Nous sommes heureux de vous convier à la conférence de presse de la Coalition Nationale Pour le Faso (C.N.P.F), qui se tiendra ce vendredi, 24 novembre 2023 à 09 H à la salle de conférence de RAN HÔTEL. Cet événement revêt une importance capitale, symbolisant l'unité et la détermination sans faille de la jeunesse burkinabè à prendre en main le destin de notre pays bien-aimé.

La C.N.P.F vous attend nombreux pour cette conférence de presse !

Coalition Nationale Pour le Faso (C.N.P.F), Osons l'union pour la Patrie. 🇧🇫

HENRI SEBGO OU LE TRIBUN  DES OFFICINES DU TERRORISME ET LEURS MAÎTRES À PENSER.  Quand la vermine et la cabale politiqu...
18/08/2023

HENRI SEBGO OU LE TRIBUN DES OFFICINES DU TERRORISME ET LEURS MAÎTRES À PENSER.

Quand la vermine et la cabale politique prennent place dans les médias sociaux et les Websphères burkinabè.

Quelle désinvolture !

Les écrits d’un certain Henri Sebgo, pseudonyme emprunté à feu Norbert Zongo, font la polémique à chaque fois que ce dernier par la plume haineuse distille des mensonges, des escarmouches et des manipulations savamment orchestrés contre le régime de la transition.

Que peuvent valoir les opinions d’un apatride en catimini, aux pamphlets et diatribes contre le Président Ibrahim Traoré et ses collaborateurs ? Diantre !

N’a-t-il pas de co****es ou de carapaces solides pour affronter les tenants de la transition ?

Les écrits diarrhéiques et sadomasochistes ne sont pourvus que de la jalousie et des excitations stériles qui sont sans conséquences dans le déroulement de la transition soutenue par une jeunesse patriote engagée résolument.

À l’analyse, les sorties porte-flingue et ostentatoires de Henri Sebgo sont l’orchestration des officines avides de pouvoirs et de privilèges nostalgiques d'un passé lugubre à jamais révolu pour annihiler et saper les efforts considérables de la transition et mettre à l’index les premiers responsables de la celle ci.

Mais à l’envers du décor, la transition fait feu de tout bois face aux esprits maléfiques et des trublions de tous les acabits. Les agitateurs coalisés qui tentent par toutes les arguties, roublardises et subterfuges aux desseins opprobres de nuire ,tombent dans leurs propres guet-apens.

La preuve tangible est que le peuple est lucide et averti des combines et des manigances souterraines pour contrer les grands exploits de la transition.

Plus que jamais, il reste debout face à toute tentative de déstabilisation.

Henri Sebgo et ses compères de mission téléguidée peuvent toujours se complaire dans leur cynique malice parce qu’ils ont des prébendes à percevoir, mais qu’ils sachent pour leur gouverne que les autorités de la transition,fortes de ses hommes patriotes et du soutien inconditionnel des patriotes des villes et des campagnes de la patrie de Thomas Sankara tiendront sans coup férir le gouvernail du navire burkinabè battant pavillon de la dignité et de l'honneur jusqu'à bon port.
Celui de la souveraineté retrouvée et du salut libérateur.

À bas les traîtres !
À bas les apatrides !

MANAGEMENT ET DIPLOMATIE PARLEMENTAIRE SOUS LE LEADERSHIP DU PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE DE TRANSITION.Le conte...
17/08/2023

MANAGEMENT ET DIPLOMATIE PARLEMENTAIRE SOUS LE LEADERSHIP DU PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE DE TRANSITION.

Le contexte actuel du Burkina Faso marqué par la lutte contre le terrorisme et la conquête d’une véritable souveraineté du peuple, nécessite l’engagement des patriotes invétérés et des hommes valeureux qui puissent accompagner le Président de la Transition sur les grands chantiers de la refondation et du repositionnement géostratégique de notre Pays dans un contexte mondial en reconfiguration.

Au demeurant chaque citoyen doit jouer son rôle historique à l'effet d'accompagner les autorités de la transition. En clair,le combat qui est le nôtre est celui de la libération du peuple digne et intègre du Burkina de la férule humiliante en le débarrassant de la rapacité venue de loin pour nous asservir. Il nous faut donc changer de paradigme et faire un tri minutieux des hommes de poigne,de valeurs et des patriotes convaincus et convaincants qui puissent porter avec brio le flambeau de ce combat qui honore nos aïeux et rendra fière notre progéniture.
Sont de ceux là, le Dr Ousmane Bougouma, Président de l'Assemblée législative de transition.
Homme de conviction,travailleur invétéré, combinant avec dextérité humilité et efficacité.

Nous tenons à saluer l'engagement du Président de l’ALT, son Excellence Dr Ousmane Bougouma, pour ses qualités du management des hommes et son sens élevé de responsabilité dans la conduite de la 8 ème législature.
Dans la situation de la lutte contre toutes les formes de domination, la représentation nationale, sous le magistère du Président de l’ALT emploie plus que jamais une diplomatie parlementaire des plus efficaces qui vaut déjà des lauriers à notre Pays.

Tous nos vœux de succès vous accompagnent, excellence Monsieur le Président.

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