Dynamisme Info

Dynamisme Info Quotidien Béninois d'informations générales, d'analyses objectives et de publicités


Dynamisme Reportage, Publi-reportage, Enquêtes, Analyses, Publicités

06/07/2025

*Résultats du BEPC 2025*

*77,25 % d’admissibilité ; le Zou en tête, la Donga ferme la marche*

Les résultats du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session de juin 2025 ont été proclamés ce samedi 5 juillet. Selon les chiffres rendus publics, le taux de réussite national s’établit à 77,25 %, en progression par rapport à l’année précédente où il était de 73,73 %. Organisé sur l’ensemble du territoire, l’examen a rassemblé environ 121 000 candidats. Le lancement officiel des épreuves écrites s’était déroulé le 10 juin dernier au CEG Gbégamey à Cotonou, en présence de la ministre des Enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Véronique Tognifodé. Dans son message, la ministre avait salué le sérieux et la discipline des candidats, tout en les appelant à faire preuve de rigueur et de confiance. Les statistiques révèlent également des performances variables selon les départements. En tête, le Zou enregistre le meilleur score avec 84,47 % de taux de réussite, suivi de près par le Borgou (83,80 %) et l’Atacora (83,42 %). Les Collines (69,61 %), le Littoral (71,76 %), et surtout la Donga (64,46 %) ferment la marche avec des résultats en dessous de la moyenne nationale. À noter également, la performance remarquable des candidats en situation de handicap, dont 85,25 % ont franchi avec succès cette étape importante de leur parcours scolaire. Dans les faits, l’Alibori a obtenu 71,08% ; l’Atacora 83,42% ; l’Atlantique 80,04% ; le Borgou : 83,80% ; les Collines 69,61% ; le Couffo 77,19% ; la Donga 64,46% ; le Littoral 71,76% ; le Mono 76,82% ; l’Ouémé 74,73% ; le Plateau 78,21% et le Zou 84,47%. Une mention spéciale est à décerner aux candidats en situation de handicap, dont le taux d’admissibilité atteint 85,25 %, un record qui témoigne des efforts déployés pour une école inclusive et équitable.

*Confirmation de sa condamnation par la Cour suprême*  *Séverin Adjovi ne prendra pas le risque de rentrer* Relativement...
06/07/2025

*Confirmation de sa condamnation par la Cour suprême*

*Séverin Adjovi ne prendra pas le risque de rentrer*

Relativement à l’affaire qui l’oppose à l’Etat béninois et la société Etisalat, Severin Adjovi qui espérait l’annulation de sa condamnation en introduisant un recours dans ce sens à la Cour suprême, a été débouté. La Haute juridiction dans son rendu, a confirmé la peine prononcée par la Cour d’appel de la Criet en Octobre 2023. Il s’agit de 3 mois d’emprisonnement avec sursis et 2 millions de Francs CFA d’amende contre 7 ans de prison ferme prononcés en Juillet 2020 par la Criet dans le même dossier. Le pourvoi en cassation introduit par Sévérin Adjovi, ancien maire de Ouidah et homme d’affaires bien connu, a été rejeté sur le fond malgré son admission dans la forme. En effet, réuni en audience délibéré Jeudi dernier à Porto-Novo, la Cour suprême à travers sa décision est allée dans le même sens que la Cour d’appel de la Criet. Ce qui gâche quoi qu’on dise, l’ambition nourrie par Séverin Adjovi de voir effacer la condamnation à son encontre. Et lui qui se faisait prudent depuis l’évocation du dossier en optant pour l’exil, continuera sans doute à séjourner à l’étranger le temps que le mandat de la rupture se termine. Pour beaucoup s’intéressant à l’affaire, l’ancien maire de Ouidah ne prendra pas le risque de rentrer et ceci pour se passer même si cela ne devrait pas être le cas, de déconvenues. A préciser que la décision de la Cour suprême met un point final au volet judiciaire de l’affaire. Elle vient clore un long métrage judiciaire qui a impliqué un ancien élu et une entreprise majeure du secteur de la télécommunication.

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*Détenus dits politiques*  *Une nouvelle requête à Talon pour la libération de Aïvo, Madougou et autres* Au Bénin, une n...
06/07/2025

*Détenus dits politiques*

*Une nouvelle requête à Talon pour la libération de Aïvo, Madougou et autres*

Au Bénin, une nouvelle requête vient d’être adressée au Chef de l’Etat pour la libération des détenus dits politiques. Elle émane d’un Béninois de la diaspora au nom de Aziz Adjakpè qui plaide pour la libération du Professeur Joël Aïvo, en prison depuis 2021 et d’autres. « Nous voilà bientôt à la fin du deuxième et dernier mandat constitutionnel du Président Patrice Talon et de son gouvernement. C’est l’occasion de saluer les efforts fournis et de reconnaître le travail accompli. Le Bénin a incontestablement changé dans plusieurs domaines, et la transformation la plus visible demeure celle des infrastructures routières, qui ont redessiné nos villes et amélioré la mobilité de millions de citoyens », reconnaît-il, avant de plaider « .Cependant, il reste un dernier acte politique, un geste fort et symbolique pour parachever ce parcours présidentiel : la libération du Professeur Joël Aïvo, constitutionnaliste éminent, ainsi que de toutes les personnes incarcérées pour leurs opinions politiques ». Pour lui, ce « geste ne serait pas seulement un acte de justice, mais aussi un signe d’apaisement et de réconciliation nationale, dans l’esprit de la démocratie que nous construisons ensemble ».

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*Planification du développement jusqu’en 2060*  *L’option quoi qu’on dise ambitieuse de la rupture* Le régime de la rupt...
06/07/2025

*Planification du développement jusqu’en 2060*

*L’option quoi qu’on dise ambitieuse de la rupture*

Le régime de la rupture dont le passage se matérialise par des réformes et des réalisations notamment au plan infrastructurel a une vision globale et futuriste pour le développement qu’il consigne l’ensemble de ses souhaits dans un document validé par les députés. « Vision Bénin 2060 Alafia » ; c’est l’intention concrétisée à travers une loi adoptée ce Vendredi 4 Juillet 2025 par l’Assemblée nationale et qui définit les grandes lignes du développement du Bénin pour les 35 prochaines années, au-delà des gouvernements successifs. Selon le ministre d’État chargé du Développement et de la Coordination de l’action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, ce texte de loi composé de 32 articles répartis en six chapitres pourrait être comparé à une " Maison ", elle-même le symbole d’un Bénin uni, prospère, enraciné et solidaire. Cette maison dira-t-il, est magnifiquement construite, entretenue avec soin, et pensée pour accueillir chacun avec dignité et sécurité. A en croire toujours le ministre d’État, chaque pièce représente un secteur vital : éducation, santé, économie, culture, sécurité, gouvernance et ’ensemble forme un cadre harmonieux, propice à l’épanouissement de tous. Cette Vision 2060 soulignera-t-il, est le fruit d’un travail collectif et traduit une ambition de faire du Bénin un pays qui est un modèle de résilience et d’innovation malgré les défis du monde. Une projection quoi qu’on dise, ambitieuse et qui ne fera que profiter au Bénin en terme de politique stable pour son développement. En tout cas, de l’avis de beaucoup opinant sur le sujet, cette nouveauté évitera les navigations -à- vue au sommet de l’Etat et facilitera le développement du pays.

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*Élections générales 2026 au Bénin*  *Lequel des deux grands regroupements de la mouvance gagnera la confiance de "Nouve...
06/07/2025

*Élections générales 2026 au Bénin*

*Lequel des deux grands regroupements de la mouvance gagnera la confiance de "Nouvel Élan »* ?

Le parti Nouvel Élan qui, à travers sa ligne politique, a toujours privilégié l'intérêt des populations par des actions concrètes, entend faire peser sa voix aux élections générales de 2026 pour continuer à se donner des chances de défendre la cause commune. Selon des indiscrétions, cette formation politique présidée par Moussiliou Djaboutouboutou, pourrait s'engager avec l'un des deux grands regroupements de la mouvance présidentielle pour acter la victoire aux scrutins qui s'annoncent. Si le nom du regroupement d'accueil reste pour le moment non dévoilé, une chose se précise tout de même à savoir l'adhésion très prochaine de Nouvel Élan à l'un des deux grands blocs de la mouvance. De sources bien introduites renseignent que cette décision est le fruit d'actions concertées et réfléchies pour combler les attentes en rapport avec l'avenir politique des jeunes et accélérer la dynamique pour l'épanouissement de tous. Le choix de Nouvel Élan de se mettre ensemble avec l’Union Progressiste Le Renouveau (UP-R) ou encore le Bloc Républicain (BR) serait donc motivé par le désir de servir encore plus les populations avec une attention particulière sur les préoccupations non encore prises en compte. Mais entre le parti présidé par le Professeur Joseph Djogbénou et celui dont à la charge le ministre d'État Abdoulaye Bio Tchané, lequel gagnera la confiance de Nouvel Élan pour des actions communes en vue de la victoire aux élections générales de 2026 ? Une question en droit d'être posée par des observateurs avertis de la chose politique qui suivent de près les options et décisions de Nouvel Élan. Et au Président Moussiliou Djaboutouboutou et à toute son équipe de chercher à répondre très prochainement à cette interrogation pour situer les uns et les autres sur la question. Car, les orientations politiques de la part de Nouvel Élan relativement aux élections à venir seront déterminantes et le regroupement pour lequel s'engagera ce parti n'en tirera que profits. Les heures, jours ou semaines à venir renseigneront sur le choix politique de Nouvel Élan pour les batailles de 2026.

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*Levée de l’interdiction d’exportation des produits vivriers*  *Le gouvernement s’explique sans pour autant convaincre* ...
06/07/2025

*Levée de l’interdiction d’exportation des produits vivriers*

*Le gouvernement s’explique sans pour autant convaincre*

Réagissant à la levée de la mesure portant interdiction d’exportation des produits vivriers, le Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole du gouvernement, a au cours d’une séance d’échanges avec les médias en ligne ce Vendredi 04 Juillet 2025, laissé entendre qu’il s’agit d’une décision pour permettre aux producteurs de s’enrichir et donc à l’analyse, de profiter comme cela se doit de leurs productions. Il a fait savoir que l’idée à travers l’interdiction de la sortie du territoire national de certains produits vivriers prise par le ministère de l’industrie et du commerce il y a un an, est de fournir de matières premières aux industries en place dans le pays, et notamment à la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Selon ses explications, l’objectif est de faire en sorte que, lorsque la campagne agricole s’achève, les premiers mois servent à fournir les usines en intrants et le marché national. Il s’agit dit-il, de faire en sorte que toute la production ne sorte au détriment de la consommation nationale et au détriment de la transformation au plan national, du fait d’étrangers qui proposent de prix mirobolants. Selon toujours Wilfried Léandre Houngbédji, la décision de levée d’interdiction a été prise parce que les usines ont été ravitaillées, et le marché national « suffisamment » alimenté. Et s’il y a de l’excédent, le souhait d’après lui, est de faire en sorte que les producteurs au regard des efforts qu’ils font pour nourrir la population, exportent et fassent un peu de chiffres. Et c’est cette partie de ses propos qui a en quelque sorte mis mal à l’aise beaucoup qui se demandent si le gouvernement a réellement à l’idée l’épanouissement des producteurs. En effet, au dévoilement de cette nouvelle, les réactions se multiplient sur les réseaux sociaux pour se surprendre de la sorte de générosité du gouvernement à assurer à quelques mois de la fin du mandat l’épanouissement des producteurs. « Nous voulons que nos producteurs s’enrichissent », a soutenu le Porte-parole du gouvernement qui reconnaît que les producteurs souffrent beaucoup pour la consommation locale. « Quand ils font plus que nos besoins de consommation, il faut qu’ils s’enrichissent », a appuyé Wilfried Léandre Houngbédji qui souligne que la décision de l’exécutif vise à faire en sorte que les producteurs ne s’enrichissent pas au détriment de tous les Béninois et du pays. Mais faut-il se fier à ces arguments ? La réponse n’est pas tout à fait OUI en tout cas de l’avis de plusieurs internautes qui ont fait savoir leur avis sur le sujet. « C’est maintenant qu’ils veulent que les producteurs s’enrichissent ? », balance en interrogation un internaute visiblement agacé par les motifs avancés. « Une décision prise depuis selon le communiqué mais les agents de la Police continuent d’arrêter les transporteurs de ces produits », ajoute un autre. « J’ai envie de pleurer quand j’entends ces arguments qui donnent comme à abuser du silence ou de l’ignorance des pauvres parents paysans », laisse entendre un troisième pour qui les raisons balancées semblent être des moqueries à l’endroit des producteurs. Ils rejettent donc l’idée selon laquelle la levée de la mesure d’interdiction vise à faire souffler pleinement les producteurs et demandent à sortir carrément d’autres idées. A préciser qu’au cours de sa sortie médiatique, le Porte-parole du gouvernement a fait savoir que ce qui est « formellement interdit », c’est les exportations par voie de terre. « L’exportateur ou l’opérateur économique qui arrive dans le pays et qui souhaite avoir une partie des productions, doit exporter règlementairement. Il faut qu’il passe par le port de Cotonou s’il ne veut pas mettre dans un cargo en avion », a-t-il indiqué évoquant la nécessité de statistiques fiables sur le volume des exportations, la balance commerciale ; et le gain à payer en contrepartie en tant qu’exportateur au cordon douanier. Mais sur la plupart des exportateurs, souligne-t-il, quelques-uns seulement respectent les règles et passent par le port. Le gros lot préfère passer par des pistes qui ne sont pas de voies d’entrée formelles. Chose qui relève de la fraude, et à laquelle le gouvernement aspire mettre fin à travers ses décisions. « Ce qu’on demandait aux gens de payer, ce n’est pas à la charge du producteur. Mais c’est celui qui vient acheter chez le producteur et qui veut passer par les pistes pour envoyer dans les pays voisins. Les services de douane l’interceptent en lui demandant de payer ce qu’il refuse de ne payer en ne passant pas par le port de Cotonou », a déclaré le Porte-parole du gouvernement fustigeant l’intox née après la décision d’interdiction de sortie. Mais son développement surtout l’argumentaire sur l’épanouissement des producteurs n’est pas du goût de plus d’un qui placent ces propos dans le champ d’actions de charme pour les élections générales 2026.

*Dynamisme Info*

Une de Dynamisme Info du Lundi
06/07/2025

Une de Dynamisme Info du Lundi

02/07/2025

*Augmentation des frais de transactions MoMo*

*Une charge supplémentaire pour les abonnés déjà essorés*

Un message en direction de ses abonnés et des utilisateurs du Service Mobile Money, a suffi au réseau de téléphonie mobile MTN Bénin d’informer sa clientèle de l’augmentation dès le vendredi 4 Juillet 2025 des frais de transactions MoMo. « Cher abonné, une nouvelle grille tarifaire entre en vigueur le 4 Juillet Consultez ….» ; c’est l’extrait du message balancé aux clients de MTN Bénin qui , poussant qui, curiosités, se sont rendus compte de terribles modifications dans les frais de transactions MoMo. Selon la nouvelle grille tarifaire, les retraits de 5000 FCFA sont facturés à 125 FCFA, 10 000 FCFA à 225 F CFA ainsi de suite. Des montants qui peuvent sembler insignifiants mais représentent un coût significatif pour les usagers à faibles revenus ou pour les petites entreprises, pour qui, chaque franc compte dans un contexte d’inflation généralisée. Pour beaucoup, cette mesure prise en période de crise économique, n’est pas la bienvenue en ce sens qu’elle causera de préjudices aux abonnés. Déjà, sur les réseaux sociaux, à l'annonce de ladite mesure, les abonnés n'hésitent pas à crier leur ras-le-bol face à cette taxation. Ils invitent le réseau MTN Bénin à rapporter au besoin cette décision qui ne profite guère dans un environnement de concurrence. On fait savoir que la population soumise déjà à des exigences fiscales, supporterait difficilement la situation à leur imposée pratiquement sans une préparation. D’où des messages à l’endroit de l’ARCEP de chercher à voir clair dans la décision pour la rendre profitable à la clientèle de MTN Bénin. Il faut dire que cette augmentation annoncée des frais de retrait d’argent et autres sur MTN Mobile Money effective dès le 04 Juillet suscite une vive indignation au sein de la population béninoise, déjà éprouvée par une situation économique difficile. Cette décision, prise alors que le coût de la vie ne cesse de grimper, est perçue comme une nouvelle charge sur les épaules des citoyens et des petites entreprises qui dépendent massivement des services de transfert Mobile Money pour leurs transactions quotidiennes.

*Dynamisme Info*

*Mission pré-électorale de la CEDEAO en Côte d’Ivoire*  *Aller au-delà de l’ordinaire pour amener à respecter les règles...
02/07/2025

*Mission pré-électorale de la CEDEAO en Côte d’Ivoire*

*Aller au-delà de l’ordinaire pour amener à respecter les règles démocratiques*

Dans le cadre des préparatifs de l’élection présidentielle d’Octobre 2025 en Côte d’Ivoire, la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), dans la posture de promouvoir la démocratie, la stabilité et la bonne gouvernance dans la sous-région conformément aux exigences de l’article 12 du Protocole additionnel de l’institution sur la démocratie et la bonne gouvernance, ainsi qu’à l’article 53 alinéa C de son Cadre de prévention des conflits, a dépêché une mission pré-électorale dans le pays d’Alassane Ouattara. La mission dirigée par le Professeur Théodore Holo, ancien Président de la Cour constitutionnelle du Bénin, Juriste chevronné et fin connaisseur des processus électoraux, a pour objectif de collecter des données sur le climat politique et sécuritaire, l’état de préparation des parties prenantes et les dispositifs mis en place pour garantir un scrutin crédible. Il s’agit d’une démarche pour formuler à la fin des recommandations dans le sens de renforcer la transparence et prévenir les tensions électorales. La délégation conduite par le Professeur Théodore Holo et composée notamment l’Ambassadeur Abdel-Fatau Musah, Commissaire aux Affaires politiques, Paix et Sécurité de la CEDEAO, et S.E. Mme Adjovi Yekpe, Ambassadrice du Bénin auprès de la CEDEAO, Envoyée du Comité des représentants permanents des États membres et qui réunit également des experts électoraux issus de plusieurs pays de la sous-région et une équipe technique de la Commission de la CEDEAO, dirigée par S.E. Fanta Cissé, représentante résidente en Côte d’Ivoire, jouera un rôle central dans l’évaluation du cadre juridique et institutionnel en vue du scrutin à venir en Côte d’Ivoire. Une démarche de la CEDEAO saluée par beaucoup qui demandent à mettre à profit l’occasion pour exiger sur la terre ivoirienne le respect à tout prix le moment venu des règles démocratiques. En effet, il se susurre que le Président Alassane Ouattara pourrait briguer un quatrième mandat pour sans doute empêcher d’autres compétences de prouver leur savoir-faire à la tête du pays. Déjà en actions, les soutiens du Président ivoirien n’attendent que son OK pour enclencher le nécessaire en vue de son maintien au pouvoir. Des manières de faire qui ne contribuent pas à la préservation de la paix dans un pays par le passé secoué par la guerre. Et il est demandé à la mission pré-électorale de la CEDEAO, une fois sur le terrain, de mettre les uns et les autres faces à leurs responsabilités pour la paix en Côte d’Ivoire. Il ne s’agira pas de chercher à caresser dans le sens des poils mais de cracher les quatre vérités pour alerter face aux éventuelles tentatives de caporalisation du pouvoir d’Etat.

*Dynamisme Info*

*Supposées défections dans le rang de ses soutiens*  *Les élections : seul baromètre pour jauger le poids de Houngbédji*...
02/07/2025

*Supposées défections dans le rang de ses soutiens*

*Les élections : seul baromètre pour jauger le poids de Houngbédji*

Dans le bras de fer entre Me Adrien Houngbédji et les responsables de l’Union Progressiste Le Renouveau (UP-R), il est scandé que des soutiens et alliés politiques se sont désolidarisés de la nouvelle ligne politique du patriarche pour demeurer fidèle au parti présidé par Joseph Djogbénou. Et cela sert d’arguments pour tenter de montrer que l’ancien Président de l’Assemblée nationale se retrouve de plus en plus seul face à sa décision de sortir le Parti du Renouveau Démocratique (PRD) de l’UPR. Il est par exemple dit qu’à l’exception du député Charlemagne Honfo, des soutiens comme l’ancien maire de Sèmè-Podji Gbèdan, Noël Akissoé, ancien député de l’Assemblée nationale, Thomas Singbo, l’ancien conseiller communal Robert Houessou, le Secrétaire Général adjoint du ministère de la décentralisation Abraham Sidokpohou, Mathieu Sahui, et la liste n’est pas exhaustive, ont signifié à Me Adrien Houngbédji qu’ils respirent l’air de l’Union Progressiste Le Renouveau ou rien. « Nous avons décidé à Èkpè qu’il n’y aura plus de ex-PRD et ex-UP. Aujourd’hui, nous formons une équipe, nous sommes un et indivisibles », lance Mathieu Sahui, ex-bras droit de Charlemagne Honfo. « Il ne peut en être autrement. Tous les militants sont conscients que ce n’est que dans la solidarité et la symbiose qu’on peut vraiment gagner les élections », renchérit Thomas Singbo. Et en tant que tel, le patriarche est présenté comme un capitaine sans troupe dont les actions seront sans impacts. Mais pour des observateurs avertis de la chose politique, il n’y a pas à se précipiter pour aller à des conclusions hâtives. Il faudra attendre les élections générales de 2026 pour mesurer la force de frappe de Me Adrien Houngbédji qui demeure pour beaucoup, un animal politique surtout dans le département de l’Ouémé.

*Dynamisme Info*

*Bourde communicationnelle lors d'une activité organisée par Gbadamassi*  *Akponna ne doit pas seul payer pour une faute...
02/07/2025

*Bourde communicationnelle lors d'une activité organisée par Gbadamassi*

*Akponna ne doit pas seul payer pour une faute commise à deux*

Invité par le ministre conseiller Rachidi Gbadamassi pour entretenir les populations de certaines localités de Parakou sur les thématiques liées à l'eau et à l'énergie, Paulin Akponna est sorti du couloir pour porter des accusations contre son prédécesseur Samou Adambi. Selon les dires de celui qui par la suite a été éjecté du gouvernement, un dossier de siphonage de dizaines de milliards de francs CFA serait caché au Chef de l'Etat au détriment des populations. Il soutient que cette bagatelle a profité des individus plutôt d'être affectée à la rubrique envisagée. Et il n'en fallait pas plus pour faire acter son limogeage du gouvernement. Le Bloc Républicain, le parti dont il est membre par le truchement d'un communiqué s'est insurgé contre l'acte à travers lequel il dit ne pas se reconnaître. Se sentant diffamé, l'ex ministre Samou Adambi a déposé une plainte contre Paulin Akponna au Tribunal d'Abomey -Calavi. Une bactérie d'actes pour faire regretter au concerné le fait décrié. Mais il est à constater que son associé Rachidi Gbadamassi n'a pas encore écopé de sanctions depuis le regrettable événement. Lui a qui a assisté Paulin Akponna lors de l'activité à cet effet, n'a pas encore vu la chicotte atteindre sa personne comme s'il était intouchable. Une réalité qui amène beaucoup à réclamer des sanctions contre lui pour éviter de faire lire un deux poids deux mesures dans le dossier.

*Dynamisme Info*

02/07/2025

*Participation à la gouvernance du Bénin*

*Ces ministres et préfets qui bouclent les dix ans avec Talon*

Le Président Patrice Talon qui n’est pas de nature à remplacer pour remplacer, a gardé à ses côtés depuis 2016, des compétences nommées par ses soins qui bouclent pratiquement les dix ans de gouvernance du pays avec lui. Dans le rang de ces hommes de confiance, il y a des ministres et des préfets maintenus à leurs postes depuis l’avènement du pouvoir en place et qui passent pratiquement les deux mandats avec le Chef de l’Etat. Assurément pour leur savoir-faire et leur loyauté, ces personnalités résistent aux vents de limogeage pour continuer à manger dans l’assiette de la rupture. Les ministres et préfets dans le cas traduisent visiblement en actes sans chercher à tricher les consignes depuis le sommet pour les services appropriés aux populations. Des qualités qui amènent à renouveler la confiance placée en eux pour leur reconduction dans le gouvernement ou leur maintien à la tête de départements. Les remaniements ministériels ou les sanctions à titre individuel lors des conseils des ministres ne vont jamais en défaveur des concernés ; ce qui les maintient au premier plan pour la prise des décisions. Bénéficiant en contrepartie de traitements financiers conséquents, ils gardent la tétine du biberon sans montrer que tout baigne dans l’huile à leur niveau. La preuve en est que dans leur rang, il y en a qui, assurément pour ne pas s’illustrer positivement dans le social, ne font que de se plaindre que ça ne va pas en tant quel pour eux pourtant installés autour de la marmite.

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