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The Gnim's Ensemble, construisons une identité forte !

✓ Regards critiques et avis tranchés sur l'actualité politique, économique, sociale d'ici et d'ailleurs ;
✓ Chronique politique, humoristique ou satirique ;
✓ Instant divertissement ;
✓ Motivation.

29/05/2025

Savoir donner envie aux autres de vous suivre suppose de :

✓ comprendre votre public,

✓ ajuster votre discours à ses attentes,

✓ maîtriser les outils de la rhétorique,

✓ vous exprimer avec clarté et sincérité,

✓ cultiver l’écoute autant que l’art oratoire.

29/05/2025

Une parole responsable, une écoute active

29/05/2025

Communiquer, ce n’est pas imposer une vérité, ni séduire à tout prix. C’est proposer une vision du monde, avec humilité et exigence. C’est dialoguer, interroger, écouter, s’adapter. C’est faire en sorte que la parole donnée soit aussi parole tenue.

👉 Savoir convaincre, c’est respecter l’esprit.
👉 Savoir persuader, c’est honorer le cœur.
👉 Savoir combiner les deux, c’est devenir un artisan du lien social, un bâtisseur d’avenir.

Alors que vous soyez formateur, manager, étudiant ou porteur d’idéal, n’oubliez jamais : chaque mot est une graine, et toute communication est une chance de faire naître l’adhésion – libre, éclairée, durable.

🚨 Convaincre et persuader : l’alchimie subtile de la parole responsableÀ l’heure où la communication règne en maître dan...
29/05/2025

🚨 Convaincre et persuader : l’alchimie subtile de la parole responsable

À l’heure où la communication règne en maître dans toutes les sphères de la vie — politique, économique, sociale, éducative, culturelle — il devient essentiel de redécouvrir les ressorts profonds qui la rendent véritablement féconde. Trop souvent, nous réduisons l’acte de communiquer à un simple échange d’informations. Pourtant, il est bien davantage : un engagement de l’esprit, une rencontre des intelligences, une alliance entre la clarté du raisonnement et la puissance des émotions.

Deux piliers fondent cet art exigeant : convaincre et persuader. L’un relève de la démonstration ; l’autre de la suggestion. L’un éclaire la raison ; l’autre touche le cœur. Tous deux se répondent, s’enrichissent, s’équilibrent, pour donner naissance à une parole crédible, inspirante et féconde.

Convaincre, d’abord, c’est faire usage de la logique, de la rigueur, de la structure argumentative. C’est bâtir un édifice rationnel, solide, construit sur des faits avérés, des preuves tangibles, des raisonnements cohérents. L’on convainc lorsque l’on invite l’autre à adhérer à une idée non par contrainte, mais par la force intrinsèque des arguments qui la soutiennent. La conviction naît alors de la compréhension lucide. Elle suppose que l’interlocuteur soit libre, éclairé, et capable de juger en toute conscience.

Mais la vérité, pour qu’elle soit incarnée, doit aussi être ressentie. Et c’est ici que la persuasion entre en scène. Persuader, ce n’est pas convaincre autrement : c’est parler à un autre registre de la personne humaine. C’est atteindre non plus seulement l’intellect, mais les fibres sensibles de l’être. C’est éveiller les sentiments, susciter des images mentales, évoquer des souvenirs, invoquer des valeurs. Là où convaincre cherche l’assentiment logique, persuader cherche la résonance intime.

Dans la vie quotidienne, dans les discours politiques, dans les campagnes de sensibilisation ou dans les dynamiques de mobilisation sociale, ces deux modalités doivent être habilement conjuguées. Car une idée, même juste, ne suffit pas à entraîner l’adhésion si elle ne fait pas vibrer. Et une émotion, si elle n’est pas portée par une pensée cohérente, risque de sombrer dans la manipulation ou l’illusion.

Celui qui parle en homme libre, pour des hommes libres, ne peut se satisfaire ni du pur raisonnement ni de l’envoûtement affectif. Il doit parler juste et parler vrai. Il doit penser ce qu’il dit, et ressentir ce qu’il pense. Il doit construire un discours qui informe et qui émeut, qui instruit et qui touche, qui explique et qui rassemble.

Dans notre époque saturée de messages contradictoires, de slogans faciles, d’algorithmes qui favorisent l’instantané au détriment de la réflexion, il y a une urgence à réhabiliter cette parole exigeante, profonde, responsable. Il faut refuser les simplifications abusives, les caricatures, les discours binaires. Il faut redonner de la noblesse à l’argumentation, de la sincérité à l’émotion.

Communiquer, ce n’est pas gagner un duel, ni imposer un point de vue par la ruse ou la force. Ce n’est pas user de la langue comme d’une arme, mais comme d’un pont. Le bon communicant n’est pas celui qui s’impose, mais celui qui propose. Il ne cherche pas à séduire à tout prix, mais à éveiller un consentement libre. Il ne cherche pas à avoir raison seul, mais à faire émerger une vérité partagée.

Dans cette optique, convaincre et persuader ne sont pas des moyens d’asservir : ils sont les instruments d’une liberté partagée. Par eux, on peut transformer les idées en actions, les rêves en projets, les convictions individuelles en engagements collectifs. Car au fond, bien communiquer, c’est faire naître chez l’autre une confiance. Confiance dans ce qui est dit. Confiance dans celui qui le dit. Confiance en soi, surtout, pour juger, choisir, agir.

Voilà pourquoi la parole, lorsqu’elle est pleinement assumée, devient un acte éthique. Elle engage celui qui parle. Elle respecte celui qui écoute. Elle construit une relation fondée sur la vérité, la considération, la responsabilité. Dans cette perspective, convaincre et persuader ne sont pas des armes. Ce sont des chemins vers l’autre. Des chemins de rencontre, d’échange, de transformation réciproque.

Et si nous réapprenions à parler pour bâtir, à écouter pour comprendre, à répondre pour avancer ensemble ?
Alors seulement, la communication retrouverait sa vocation première : non celle d’influencer à tout prix, mais celle d’élever, d’unir, d’humaniser.

10/05/2025

Nouveaux prix du gaz domestique au Bénin !

Le gouvernement du Président Patrice Talon allège les charges des ménages :

🔸1,5 kg : 1000 FCFA

🔸3 kg : 2000 FCFA

🔸6 kg : 4500 FCFA

La bouteille de 12,5 kg n’est pas subventionnée (mesure destinée aux petites bourses).

Même prix partout : stations, revendeuses, ville ou campagne !

Une mesure sociale forte pour plus d’équité et de bien-être.

30/04/2025
30/04/2025

😱Fadal Dey frappe fort dans sa nouvelle sortie musicale !
L'artiste n’a pas mâché ses mots : il s'attaque au président Ibrahim Traoré du Burkina Faso🇧🇫 dans un son percutant, sans détour. Une chanson qui risque de faire du bruit au pays des Hommes intègres !

Écoute et juge par toi-même !

"Tu parles trop mon frère, tu parles trop………
Il faut fermer un peu ta bouche tu parles trop.
Quand on est devant on doit savoir se taire souvent………..
Tu parles trop, Il faut fermer un peu ta bouche……………….
Un leader doit avoir de la grandeur, Tu parles trop……..
Gouverner c’est pas woba woba………..
Diriger c’est pas woba woba…..
Personne ne t’a appelé tu es venu de toi-même……………….
Que je suis venu pas pour garder le pouvoir je viens juste faire mon devoir, je suis votre espoir....
Qu'avec moi c'est au-revoir nos débois……….
J’ai la solution à ces problèmes donnez-moi 6 mois seulement……………
Le pays sera comme avant………………..
Tu vends cacao avec woba woba….
C’est un championnat si tu ne peux pas il faut quitter et donner la place à quelqu’un d’autre…….
Organise les élections et bars-toi tu rentreras dans l'histoire, tu parles trop mon frère……
Tu parles trop tu parles, Il faut fermer un peu ta bouche tu parles trop…………"

30/04/2025

La déclaration du Chef de l’unité spéciale de la Gendarmerie nationale du Burkina Faso, François Zoungrana, selon laquelle les terroristes sont bel et bien des citoyens burkinabè, constitue une prise de parole d’une rare lucidité dans un contexte souvent dominé par le déni, la désinformation et l’instrumentalisation politique. En reconnaissant cette vérité que beaucoup taisent ou manipulent à des fins idéologiques, le haut gradé apporte une lumière salutaire sur la complexité du terrorisme au Sahel, et en particulier sur la responsabilité endogène des États dans cette crise. Ce constat vient contredire frontalement les accusations gratuites proférées par le capitaine Ibrahim Traoré, qui a tenté de faire porter à des pays voisins — notamment le Bénin — le poids de ses propres faiblesses en matière de gouvernance sécuritaire. La posture du Chef Zoungrana, en rupture avec la rhétorique belliqueuse de la junte, s’inscrit dans une dynamique de vérité et d’éthique républicaine. Elle rappelle que la lutte contre le terrorisme ne saurait être victorieuse sans un diagnostic honnête de ses causes internes. À cet égard, l’histoire tranchera, et le temps finira toujours par désavouer les artisans de la manipulation.

29/04/2025

🟢🟡🔴 🚨 𝗧𝗲𝗿𝗿𝗼𝗿𝗶𝘀𝗺𝗲 : 🇳🇪𝗡𝗶𝗮𝗺𝗲𝘆 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗶𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝗹𝗲 𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲 𝗱'𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝘃𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗰𝗮𝗿𝗯𝘂𝗿𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗼𝗿𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀

“Nous avons la preuve que près de 60% du carburant qui est vendu aux terroristes part de Niamey”

Brigade Assoumane ABDOU HAROUNA, Gouverneur de la région de Niamey/Niger

🟢🟡🔴 Adoption de la loi sur la chefferie traditionnelle  Vers une reconnaissance institutionnelle de l’autorité coutumièr...
29/04/2025

🟢🟡🔴 Adoption de la loi sur la chefferie traditionnelle

Vers une reconnaissance institutionnelle de l’autorité coutumière au Bénin

L’adoption récente de la loi portant reconnaissance et statut des chefferies traditionnelles au Bénin marque un tournant historique dans les rapports entre l’État moderne et les institutions ancestrales du pays. Longtemps reléguée à une forme d’oubli juridique, la chefferie traditionnelle, pourtant pilier de la mémoire collective et des pratiques communautaires, bénéficie désormais d’un cadre légal qui consacre sa légitimité, sa dignité et son rôle dans l’édification de la nation.

L’émotion contenue dans la déclaration du Haut Conseil des Rois du Bénin (HCRB) témoigne de la portée symbolique et politique de cet acte législatif. Depuis l’indépendance en 1960, les régimes successifs, oscillant entre centralisation étatique et méfiance vis-à-vis des pouvoirs coutumiers, n’avaient jamais engagé une telle reconnaissance formelle. Ce n’est qu’avec le régime dit de la Rupture, sous l’impulsion du Président Patrice Talon, que les autorités traditionnelles ont été réhabilitées dans leur dignité et réintégrées dans le champ institutionnel.

La loi sur la chefferie traditionnelle offre aux rois, chefs supérieurs et chefs coutumiers un statut clair, des responsabilités définies, et une place dans la gouvernance locale, sans pour autant concurrencer l’ordre républicain. Elle répond à une exigence de conciliation entre modernité politique et fidélité aux structures sociétales endogènes. En structurant un cadre de dialogue entre l’État et les garants des us et coutumes positifs, le Bénin réaffirme que sa construction démocratique peut s’appuyer sur ses racines les plus profondes.

Ce geste politique est d’autant plus significatif qu’il réconcilie le droit positif avec la légitimité coutumière, souvent marginalisée par un juridisme importé. Il reconnaît que la chefferie n’est pas une survivance folklorique, mais une autorité morale, culturelle et parfois judiciaire encore opérante dans de nombreuses communautés. En cela, la loi ouvre la voie à une gouvernance plus inclusive, enracinée dans les réalités sociales et historiques du pays.

Il convient cependant d’accompagner cette avancée par une vigilance constante : l’institutionnalisation des chefferies ne doit pas servir d’instrument politique, ni altérer l’autonomie des dynasties traditionnelles. La réussite de cette réforme dépendra de la capacité de l’État à respecter la diversité des formes d’organisation coutumière, et à favoriser un cadre de collaboration respectueuse et équilibrée.

En somme, l’adoption de cette loi consacre une forme de renaissance institutionnelle de la tradition au Bénin. Elle renforce l’unité nationale autour de ses fondements historiques, tout en consolidant une démocratie soucieuse de sa mémoire collective.

La société, lasse et désabusée, ne peut plus se contenter de cette politique du paraître. Il est temps de rendre à la pa...
18/04/2025

La société, lasse et désabusée, ne peut plus se contenter de cette politique du paraître. Il est temps de rendre à la parole publique sa dignité, et à l’action politique son exigence. Les peuples ne sont ni des foules amnésiques, ni des masses manipulables à volonté. Le réveil civique s’impose comme une nécessité : exiger des comptes, évaluer les actes, sanctionner les défaillances.

18/04/2025

“Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m’enrichis”.

Saint Exupéry

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Abomey-Calavi

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