Histoire d'amour

Histoire d'amour ✍️ Ici, on ne lit pas seulement… on ressent, on vibre, on vit.
(266)

J’écris pour ceux qui ont mal, qui aiment, qui rêvent… Parce que chaque mot peut guérir un cœur. ✍️


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19/10/2025

En raison de quelques problèmes personnels, je vous informe que je serai indisponible pendant quelques jours. En attendant que je finisse l'écriture du bad boy, je vous invite à rejoindre notre nouvelle page qui sera désormais la page principale : Les Chroniques d'HS . Je vous prie de vous abonnez massivement à cette page 🙏 et de bien réagi par rapport à l'histoire en cours 🙏.

L'épisode 23 déjà disponible sur la nouvelle page. Allez vous abonnez, à 1k d'abonnés j'enverrai un autre épisodes et n'...
16/10/2025

L'épisode 23 déjà disponible sur la nouvelle page. Allez vous abonnez, à 1k d'abonnés j'enverrai un autre épisodes et n'oubliez pas de likez. Désolé pour le re**rd j'étais pas dispo.

LE BAD BOY ET L'INSOUMISE.

CHAPITRE 23: Entre amusement et danger.

LE LENDEMAIN.

Le soleil tapait déjà fort, filtrant à travers les rideaux de la chambre. L’après-midi s’installait tranquillement, mais dans le lit, Lorenzo et Chloé étaient toujours lovés l’un contre l’autre, profondément endormis. Lorenzo ouvrit enfin les yeux après de longues heures de sommeil. Son regard se posa aussitôt sur Chloé, recroquevillée contre lui comme une enfant, son souffle léger caressant sa peau.

Un sourire discret se dessina au coin de ses lèvres. Il resta quelques secondes immobile, savourant cette image, puis il se décala doucement pour ne pas la réveiller. Avec tendresse, il tira le drap pour la couvrir, se redressa et sortit du lit.

Quelques minutes plus t**d, après un passage rapide sous la do**he, il ressortit de la salle de bain, frais, les cheveux encore humides. Il retira le bandage que le médecin lui avait posé, enfila un tee-shirt noir et un simple jogging assorti. D’un geste machinal, il referma la porte derrière lui et descendit vers le salon, silencieux.

DEVANT LA VIllA DE LORENZO.

Sous le soleil écrasant, une silhouette se tenait devant le portail, un papier froissé à la main. Une jeune femme d’à peine dix-huit ans, jean slim moulant, tee-shirt simple et sac en bandoulière au creux du bras. Ses cheveux lâchés cascadaient sur ses épaules, un peu en bataille. Elle plissait les yeux, visiblement agacée.

C’était Valentina, la meilleure amie de Chloé.

Elle leva les yeux au ciel, souffla bruyamment et appuya de nouveau sur la sonnette.

Val (marmonnant entre ses dents)
_ Putain… ça fait dix minutes que je tape sur ce bouton. Cette peste de Chloé m’aurait pas refilé une fausse adresse par hasard ?

Elle appuya encore, encore, et encore, comme si elle voulait réveiller tout le quartier. La sueur perlait sur son front, son visage crispé par la chaleur et l’impatience.

Enfin, le portail grinça légèrement, laissant apparaître le gardien, l’air endormi et surpris.

Gardien (méfiant)
_ Vous êtes qui, vous ?

Valentina leva les yeux au ciel, dramatique, une main sur la hanche.

Val (ironique)
_ Sérieux ? Dix minutes que je crève au soleil, j’appuie comme une malade, et toi, ta première question c’est « vous êtes qui » ? Mais frère, t’aurais pas un peu de logique ?

Le gardien fronça les sourcils, déstabilisé.

Gardien (perdu)
_ Vous voulez que je vous demande quoi d’autre ?

Val (tapant du pied)
_ Je sais pas moi… genre « Bonjour mademoiselle, comment puis-je vous aider ? Vous voulez un verre d’eau ? Vous fondez au soleil peut-être ? » Bref, un truc normal quoi !

Le gardien resta bouche bée.

Val (agacée, levant les bras au ciel)
_ Écoute, laisse tomber. Ouvre-moi, j’en peux plus. Je suis la sœur de la patronne, alors relax, tu vas pas perdre ton job.

Et sans lui laisser le temps de réagir, elle le bouscula et entra, d’un pas décidé.

Gardien (affolé)
_ Hé ! Mais… vous pouvez pas rentrer comme ça !

Valentina fit comme si elle n’avait rien entendu, déjà concentrée sur la villa. Le pauvre gardien hésitait à courir après elle, mais un coup de klaxon retentit derrière lui. Une voiture entra dans la cour.

C’était Marco au volant. Il gara sa caisse, claqua la portière et s’avança vers l’entrée. Son regard accrocha aussitôt la silhouette de Valentina, debout devant la sonnette de l'entrée qu’elle martelait comme si sa vie en dépendait.

Les yeux de Marco s’écarquillèrent.

Marco (murmurant pour lui-même, un sourire au coin des lèvres)
_ Mais… c’est qui ce canon encore ? Punaise, regardez-moi ce derrière une vraie dinguerie.

Il s’approcha d’un pas rapide et s’arrêta juste derrière elle. Valentina, toujours occupée à faire vibrer la sonnette, ne l’avait pas remarqué.

La voix grave de Marco claqua soudain dans son dos.

Marco (d’un ton posé mais ferme)
_ Eh, m**f… tu veux bien lui laisser une chance au bouton, là ?

Valentina sursauta violemment, manqua de tomber en arrière et se retourna d’un bloc. Leurs regards se croisèrent, et le temps sembla suspendu.

Un silence pesant s’installa, mais pas un silence gênant… un silence électrique. Val resta figée, bouche entrouverte.

Val (pensée intérieure, en mode panique)
Oh Mon Dieu, C’est quoi ce BG sorti d’un clip ? Seigneur, j’étais prête à l’insulter, mais avec une gu**le pareille… pfff, je crois que pour la première fois de ma vie, je vais fermer ma grande bouche et jouer la fille timide. Il est trop mon style. Mais attends… c’est pas le mari de Chloé, j’espère ? Non, Seigneur, dis-moi que non.

Marco, lui, ne perdait pas une miette.

Marco (pensée intérieure, sourire malicieux)
Mais c’est quoi cette bombe ? Elle est carrément fraîche. J’espère que c’est pas encore une conquête de Lorenzo sinon, j’vais péter un câble. Celle-là… je veux absolument la goûter.

Leurs yeux ne se quittaient plus. Chacun attendait que l’autre parle, mais aucun ne bougeait. La porte s’ouvrit soudain, interrompant ce moment étrange. Lorenzo apparut dans l’encadrement, son regard dur et surpris à la fois.

Lorenzo (voix rauque, fronçant les sourcils)
_ Marco… c’est qui cette m**f ?

Valentina tourna brusquement la tête vers lui, toujours silencieuse, tandis que Marco gardait ce petit sourire amusé aux lèvres, les yeux pétillants d’intérêt.

Val (sourire au coin des lèvres)
– Salut, mec, Je suis là pour voir ma pote Chloé.

Lorenzo fronça les sourcils, piqué par ce surnom inattendu. Son regard s’assombrit aussitôt, mais il ne répondit pas tout de suite. À côté, Marco se mordait déjà la lèvre pour ne pas exploser de rire, comme un gamin pris en flagrant délit.

Lorenzo (calme mais ferme, la voix grave)
– J’ai un prénom. La prochaine fois que tu m’appelles “mec”, je serai un peu moins gentil.

Il lança ça froidement, puis tourna les talons sans même attendre de réaction. Val resta figée, bouche entrouverte, partagée entre l’envie de lever les yeux au ciel et celle d’éclater de rire.

Val (murmurant, un sourire amusé aux lèvres)
– Hum… il est chaud, lui.

La voix grave de Marco retentit juste derrière elle, lui donnant un léger frisson qui lui parcourut l’échine.

Marco (sourire en coin, amusé)
– Ouais… Lorenzo est un mec qui joue avec ses propres règles. Faut s’y habituer.

Val tourna les yeux vers lui, un peu surprise par la proximité. Sans répondre, elle entra dans le salon, pressée de voir Chloé. Marco la suivit tranquillement, ses mains dans les poches, et referma la porte derrière eux.

Dans le salon, l’odeur du café flottait encore dans l’air. Lorenzo était déjà assis sur le canapé, une tasse à la main, l’air concentré, comme si rien ne venait de se passer.

Marco alla s’asseoir près de lui, nonchalant, tandis que Val, légèrement mal à l’aise de se retrouver face à deux inconnus, choisit le canapé d’en face. Elle croisa les jambes et commença à balayer la pièce du regard, ses yeux cherchant désespérément Chloé.

Le silence fut vite rompu par la voix grave de Lorenzo.

Lorenzo (fixant Val, sérieux)
– Comment t’as fait pour atterrir ici, toi ?

Val fronça les sourcils et posa calmement ses yeux sur lui.

Val (d’une voix posée, mais avec une pointe d’impertinence)
– Comme je t’ai dit tout à l’heure, je suis la pote de Chloé. C’est elle qui m’a filé son adresse. Alors toi, t’es qui au juste ?

Marco, amusé par le ton de Valentina, entra aussitôt dans le jeu.

Marco (sourire taquin)
– Lui, c’est le mari de ta pote Chloé. Et moi c'est Marco son ami. Je peux savoir ton petit nom ?

Val soutint son regard, sans détourner les yeux.

Val (calme)
– Valentina mais appelle-moi Val, c’est plus simple.

Marco eut un petit rictus satisfait.

Marco (malicieux)
– Val ? Non… j’préfère Tina. Ça sonne plus doux, plus classe. Ça te va ?

Val sentit ses joues chauffer malgré elle. Elle détourna vite les yeux, cherchant à cacher ce rouge qui lui m***ait aux pommettes.

Lorenzo, qui observait la scène en silence, se leva brusquement. Il posa sa tasse sur la table basse avec calme, mais son regard, amusé, passa de Marco à Valentina.

Lorenzo (voix grave mais un brin ironique)
– Je vais chercher ta pote. Fais gaffe à ce gars… c’est un vrai coureur de jupons.

Il lança cette phrase comme une pique bien placée, puis m***a les escaliers sans un mot de plus. Ses pas s’éteignirent dans le couloir du premier étage.

Val et Marco restèrent seuls dans le salon. Leurs regards se croisèrent aussitôt, comme attirés par une force invisible. Aucun ne détourna les yeux.

Val (pensée intérieure, en se mordillant la lèvre)
Heureusement que ce n’est pas lui, le mec de Chloé. Mais… si Lorenzo dit vrai, ça veut dire quoi alors ? Que ce Marco est du genre à enchaîner les filles ? Non, non, faut que je reste focus. J’suis pas un plan d’un soir, moi.

Marco (pensée intérieure, crispant sa mâchoire)
Non mais il est sérieux, Lorenzo ? Dire ça devant elle ? Il veut me saboter ou quoi ? C’est lui le king des femmes, et c’est moi qui prends l’étiquette de coureur ? Pas question, je vais pas la lâcher comme ça, celle-là.

Le silence régnait dans le salon, presque oppressant. On aurait dit que chacun d’eux retenait même sa respiration, comme s’ils jouaient à qui craquerait en premier. Leurs regards restaient accrochés, Val essayant de paraître cool, Marco soutenant le duel avec un petit sourire malicieux. Finalement, c’est lui qui décida de rompre le calme.

Marco (curieux)
_ Alors, t’as quel âge toi ?

Val se dandina un peu sur le canapé, comme si la question la prenait de court.

Val (faisant semblant d’être timide)
_ Euh… dix-sept ans. Mais dans quelques mois j’aurai dix-huit.

Marco haussa légèrement les sourcils, puis afficha un sourire au coin, satisfait.

Marco (sourire amusé)
_ Cool… ça me convient. Moi j’en ai vingt et un.

Val esquissa un petit sourire discret. Elle sentait déjà son corps frissonner sous le regard brûlant de Marco, qui ne la lâchait pas d’une seconde. Ses yeux glissaient sur elle sans honte, comme s’il voulait la déshabiller du regard.

Il reprit la parole, cette fois avec une curiosité feinte, mais un ton qui laissait deviner une arrière-pensée.

Marco (fouineur)
_ Et ton mec ? Comment il va ?

Val écarquilla les yeux une seconde, mais intérieurement elle éclatait de rire.

Val (voix intérieure, amusée)
Alors lui, il me prend pour une idiote ou quoi ? T’aurais juste pu dire “T’as un mec ?”, mais non, monsieur essaie de me piéger avec sa question détournée. Pas mal… j’aime bien ta technique.

Marco la fixait toujours, un peu impatient.

Marco (relevant légèrement le menton)
_ Tu dis rien ?

Val lui lança un petit sourire malicieux, puis sortit son mensonge sans trembler.

Val (menteuse, faussement détendue)
_ Il va bien. Tout roule à merveille.

La réaction fut immédiate. Les yeux de Marco s’écarquillèrent, et il se redressa brusquement, choqué.

Marco (scandalisé)
_ Quoiiiiiiii ?! Comment ça “il va bien” ?!

Valentina étouffa un rire devant son air déconcerté. Elle afficha une mine innocente, l’air de rien, comme si elle ne comprenait pas sa réaction.

Val (mine de rien, haussant les épaules)
_ Bah quoi ? T’as pas demandé comment va mon mec ? Ben je t’ai répondu, c’est tout. Tu vas pas crier pour ça quand même.

Marco sentit un nœud dans sa gorge. Son sourire se crispa, et il tenta tant bien que mal de camoufler son agacement.

Marco (voix un peu tremblante, cherchant à se reprendre)
_ Euh… ouais, mais… j’pensais que peut-être t’étais pas en couple.

Val le fixa droit dans les yeux, un sourire en coin.

Val (taquine)
_ Et pourquoi ça ? J’ai pas l’air d’une fille capable de rester dans une relation sérieuse ?

Marco inspira profondément, reprit un semblant de calme et haussa les épaules.

Marco (calmement)
_ Si, t’as l’air… bien au contraire. Ton gars a vraiment de la chance. Franchement… t’es carrément une bombe. Et en plus t’as l’air cool.

À ces mots, Val baissa légèrement les yeux. Elle sentit ses joues s’embraser malgré elle. Ses mains croisées sur ses genoux se crispèrent un peu, comme pour cacher sa gêne.

Le silence retomba, lourd mais chargé d’une tension nouvelle. Leurs regards se cherchaient encore, comme si les mots devenaient soudain inutiles.

C’est à ce moment-là que des pas résonnèrent dans l’escalier. Val tourna la tête et aperçut Chloé qui descendait dans les bras de Lorenzo. Il la portait comme une princesse, un léger sourire sur les lèvres, tandis que Chloé se lovait contre lui, noyée dans un gros pull qui la recouvrait presque entièrement.

Lorenzo s’approcha du canapé et déposa délicatement Chloé aux côtés de Valentina, qui rayonnait déjà en voyant sa meilleure amie.

Val (souriante, moqueuse)
_Hum, ma chérie… t’as plus de pieds ou quoi ? C’est ton gars qui te porte maintenant ?

Lorenzo, qui s’était déjà assis près de Marco, posa son regard sombre sur Valentina. Sa voix grave résonna, ferme et imposante.

Lorenzo (ton imposant)
_ MARI , Je suis pas son gars, je suis son MARI.

Ces mots claquèrent dans l’air comme un coup de tonnerre. Chloé sentit un frisson traverser son corps. Ses yeux se perdirent un instant dans ceux de Lorenzo, bouleversée par la force de cette affirmation. Marco, lui, le fixait avec un sourire en coin, amusé par la façon dont son ami venait de marquer son territoire.

Valentina, de son côté, arqua un sourcil, complètement étonnée. Elle jeta un regard complice à Chloé et se pencha légèrement vers elle.

Val (à voix basse, taquine)
_ Eh, m**f… ton mari est vraiment chaud, hein.

Chloé esquissa un sourire au coin des lèvres, ses yeux pétillant de malice.

Chloé (sourire complice)
_ T’as pas idée, c’est un vrai gentleman. Arrogant, autoritaire… et…

Lorenzo, qui suivait la conversation d’une oreille, intervint aussitôt, son ton amusé mais ferme.

Lorenzo (ton amusé)
_ Tu peux arrêter de donner une mauvaise impression de moi à ta pote ?

Chloé (roulant les yeux, avec un petit sourire provocateur)
– Bah je dis juste qui tu es, moi. J’ai pas honte de t’assumer. Et puis, ouais, j’aime bien ton côté autoritaire. Mais attention, ça veut pas dire que je vais me plier à t’obéir.

Val (souriante, levant le menton)
– Exactement m**f, jamais baisser la garde pour un gars, c’est la base.

Marco (curieux, haussant un sourcil)
– Ah ouais ? Donc toi tu chauffes ton mec comme ça ?

Chloé (fronçant les sourcils)
– Hein ? Quel mec ?

Valentina tourna direct son regard vers Chloé, ses yeux criaient « rentre dans mon jeu sinon t’es morte ». Elle lui lança un clin d’œil appuyé. Marco et Lorenzo, eux, mataient la scène comme s’ils regardaient une série Netflix en live.

Chloé (chuchotant, un peu paumée)
– Mais c’est quoi tes yeux là ? Tu me fais peur wesh.

Marco (sourire en coin, l’air malin)
– Alors Tina, tu balances rien ?

Chloé (les yeux écarquillés)
– Tina ?! C’est qui ça encore ?

Lorenzo (amusé, secouant la tête)
– Ta pote, voyons. C’est le petit surnom que Marco vient d’inventer. Apparemment, il a déjà des projets pour elle.

Chloé tourna son regard vers Valentina qui, elle, commençait à rougir comme une tomate.

Chloé (sourire taquin)
– Ahhh m**f, dis la vérité… t’es venue me voir ou t’es venue te pêcher un futur mari ? Parce que t’as vite oublié Mario et son coup de poignard dans ton dos, hein ! T’as pas peur de te faire encore éclater le cœur ?

Valentina ouvrit la bouche pour protester, mais Marco, trop rapide, prit la parole.

Marco (curieux, les yeux brillants)
– Attends, attends… Chloé, c’est qui ce Mario ?

Chloé (sourire au coin, avec un ton moqueur)
– Son ex, un loser qui a osé tromper ma cocotte.

Marco (choqué, écarquillant les yeux)
– Hein ? Donc elle est célib’ là ?!

Chloé hocha la tête en mode « bah oui ». Valentina, vexée, lança un regard noir à son amie. Elle poussa un soupir, carrément grillée. Marco, lui, souriait comme si c’était déjà gagné.

Valentina (soupirant, faussement vénère)
– Chloé, t’abuses… t’aurais pu fermer ta grande bouche.

Lorenzo (amusé, un petit sourire en coin)
– Donc t’as mentir à mon ami ?

Val (gênée, jouant avec ses doigts)
– Mais non… enfin si… j’ai dit ça parce qu’il m’a posé une question piège. « Comment va ton mec », sérieux ? Bah j’ai répondu >, voilà.

Lorenzo (rigolant)
– Vous deux, vous êtes vraiment des gamines, c’est abusé.

Val et Chloé (en chœur, en criant presque)
– J’ai 17 ans, JE SUIS PAS UNE GAMINE, OKAY !

Les deux garçons explosèrent de rire. Leur fou rire résonna dans tout le salon, pendant que les filles faisaient la moue.

Lorenzo (reprenant son souffle, sourire au coin)
– C’est bon, calmez-vous. Vous êtes pas des gamines, d’accord.

Chloé (le regard doux, mais faussement vexée)
– Donc tu m’appelles plus jamais gamine, clair ?

Lorenzo (regard charmeur, avec un ton tendre)
– Non, ma puce… toi, t’es ma gamine aujourd’hui, demain, et pour toute ma vie. Même si tu vieillis, pour moi tu resteras ma gamine.

Chloé sentit son cœur se serrer et un sourire sincère illumina son visage. Elle fixa Lorenzo, oubliant carrément qu’ils n’étaient pas seuls. Leur échange était tellement intense que Marco, assis à côté, se mit à sourire lui aussi, sauf que lui, ses yeux se posaient sur Valentina. Dans sa tête, ça tournait déjà à mille à l’heure.

Le silence revint, lourd et électrique. Et pile à ce moment-là, la sonnerie du salon retentit, coupant net l’ambiance et les ramenant tous sur terre.

Marco (curieux)
– Lorenzo, tu attendais Fabio ?

Lorenzo secoua la tête, les sourcils froncés. Lui aussi était intrigué. Qui pouvait bien sonner à cette heure-ci ? Sans perdre une seconde, il se leva d’un bond, ses pas lourds résonnant dans le salon, et se dirigea vers la porte. Tous les regards étaient braqués sur lui, l’air tendu.

Il ouvrit brusquement la porte et tomba nez à nez avec un livreur, un jeune type qui tenait une grande enveloppe bien scellée entre ses mains.

Lorenzo (ton grave, méfiant)
– C’est pour qui cette enveloppe ?

Livreur (calmement)
– On m’a dit de la remettre à mademoiselle Chloé Martin.

À l’instant où il entendit le mot mademoiselle, les mâchoires de Lorenzo se crispèrent. Son regard s’assombrit, ses yeux lancèrent des éclairs.

Lorenzo (voix dure, imposante)
– C’est madame Chloé, pas mademoiselle. Qui t’a donné ça ?

Livreur (mal à l’aise)
– Je… je sais pas monsieur. La personne n’a pas donné son nom. Elle m’a juste dit de livrer ça ici.

Sans réfléchir, Lorenzo arracha l’enveloppe de ses mains avec une brutalité glaciale. Ses doigts la déchirèrent aussitôt, et il en sortit un téléphone. À peine l’eut-il en main que l’appareil vibra. Son cœur s’accéléra, il l’alluma.

L’écran s’illumina. Et là, son souffle se coupa. Sur la vidéo, il reconnut immédiatement le père de Chloé, allongé sur un lit d’hôpital. Son corps amaigri était branché à une multitude d’appareils, son visage pâle, presque éteint.

Lorenzo (murmurant entre ses dents serrées)
– Putain… c’est quoi ce bo**el ?

À peine eut-il le temps de reprendre ses esprits qu’une notification apparut à l’écran. Un message, il l’ouvrit.

« Une heure, ton beau-père n’a plus qu’une heure. Je t’ai prévenu, parce que peut-être que ta femme voudrait le voir une dernière fois. Pauvre Chloé… elle sera détruite quand elle saura que son père allait mourir de toute façon, qu'il lui a menti, la mariant à toi en échange d’argent. Argent qui, au final, n’a même pas pu lui sauver la vie, ce que lui même savais depuis le début. »

Le sang de Lorenzo se glaça. Son cœur rata un battement, puis la rage prit le dessus. Ses yeux s’écarquillèrent, ses traits se durcirent. Il serra le téléphone si fort qu’on aurait cru qu’il allait l’écraser dans sa paume.

Lorenzo (murmurant d’une voix rauque, tremblante de colère)
– Salaud… comment tu sais tout ça, qui que tu sois, je vais te retrouver… et t’enterrer vivant.

Chloé (depuis le salon, la voix inquiète)
– Mon cœur ? Tout va bien ? C’est qui ?

Lorenzo ne répondit pas. Il rangea le téléphone dans l’enveloppe d’un geste sec, puis planta ses yeux froids dans ceux du livreur.

Lorenzo (voix grave, tranchante comme une lame)
– Écoute-moi bien. Si je te revois traîner, même à cent mètres autour de ma maison, je te descends sur place. Et dis à celui qui t’a donné ça… que si quelque chose arrive à mon beau-père… je le retrouve, et je l’écrase.

Son ton ne laissait aucune place au doute. Ce n’était pas une menace, c’était une promesse. Il claqua violemment la porte, le bruit résonna dans toute la maison comme un coup de tonnerre. D’un pas rapide, presque militaire, il revint dans le salon. Ses yeux lançaient toujours des éclairs, son corps entier respirait la fureur.

Lorenzo (voix imposante, autoritaire)
– Chloé, va t’habiller, on sort. Marco, suit moi.

Il n’attendit aucune réponse. Il traversa le salon d’un pas pressé, m***a les escaliers deux par deux et disparut à l’étage. Marco, confus mais discipliné, se leva aussitôt et le suivit, sans un mot.

Sur le canapé, Valentina et Chloé étaient figées, le souffle court, le cœur serré.

Val (paniquée, chuchotant)
– Chloé… qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi ils partent comme ça ?

Chloé (le cœur battant, la voix tremblante)
– J’en sais rien… mais j’ai peur. Allez viens, faut que je me prépare, comme il a dit.

Val (inquiète, presque suppliant)
– Mais… pour aller où ?

Chloé (secouant la tête, paniquée)
– Je sais pas, Val… je sais pas…

Les deux filles se levèrent précipitamment, quittèrent le salon à leur tour, disparaissant dans le couloir. Le silence pesait, lourd, étouffant.

À suivre...

Abonnez vous à la page : Les Chroniques d'HS. À 1k d'abonnés je vous enverrai un autre épisode c'est promis. J'étais vraiment indisposé.

16/10/2025

La suite du bad boy sera publié à 17h sur notre nouvelle page : Les Chroniques d'HS donc vous qui n'êtes pas encore abonné allez y. Et svp ne me demandé par le pourquoi. Je vous ai bien dit qu'il se pourrait que je publie désormais sur la nouvelle page parce que notre page : Histoire d'amour rencontre quelques problèmes.

Allez vous abonnez à la page : Les Chroniques d'HS. J'arrive avec la suite du bad boy mais atteignons au moins 1k là bas...
16/10/2025

Allez vous abonnez à la page : Les Chroniques d'HS. J'arrive avec la suite du bad boy mais atteignons au moins 1k là bas svp 🙏.

MA VENGEANCE OU MON AMOUR.

ÉPISODE 02: LE DIABLE.

Layanne ❤️

Je viens d'arriver à l'entreprise après 10 min , j'ai conduire comme une f***e. Je gare ma voiture dans le parking et entre dans l'entreprise ,les regards se fixent sur moi comme si j'avais tué quelq'un , de toute façon je m'en fou. Je voulais entré dans le bureau de Lys quand notre directeur général me Stop en se mettant devant moi. Il m'énerve tellement et je risque de faire un délire s'il continue de me dragué.

Layanne( imposante): Que voulez vous monsieur ? j'ai une réunion avec Madame Lys,je peux passer ?

DG( souriant): La belle Layanne toujours sur la défensive. Je veux juste t'inviter à déjeuner se soir ça te dit ?

Layanne ( calme): Non merci.

DG( en touchant son épaule): Pourquoi tu fais la dur tout le temps ? n'a tu pas un peu de sentiments pour moi ? .

_ J'arrache sa main de mon épaule et le bloque derrière sa taille avec force en appuyant bien fort pour qu'il ressent la douleur.

Layanne ( visage noir): La prochaine fois que tu m'arrêtera pour me parler de sentiments , je vais te casser les bras et c'est pas finir , je vais t'étrangler tellement que tes coles vocal vont tous se casser et tu ne pourras plus prononcé le mot sentiments de toute ta vie.

DG( avec douleur): ok ok lâche moi maintenant Layanne stp.

_ Je le lâche et entre dans le bureau de Lys.Celle ci était déjà en réunion avec deux hommes , sûrement les collaborateurs dont elle parle. Son visage est tellement rouge de colère , je suis hyper en re**rd c'est normal.

Layanne ( debout devant eux): Bonjour à vous.

Lys ( en se levant): Je vous présente la garde du corps la plus talentueuse de notre entreprise.

_ Les hommes se retournent et me dévore du regard , je serre bien mon visage pour leur montrez que je ne m'amuse pas.

H1: Whaou vous êtes sûr qu'elle est une garde du corps ?

H2( en léchant les lèvres): Elle est super jolie.

Lys( gêné): Euh ... revenons à nos points. Comme je le disais il y a quelques minutes , nous allons vous proposez trois de nos gardes du corps et vous choisirez celle ou celui qui vous plaît.

H1( en regardant Layanne): C'est bon on va signez le contrat . Celle ci sera ma garde du corps durant les trois mois et si elle est Performante je vais la garder pour qu'elle soit ma gardienne personnel.

H2( visage rouge): Et moi alors , je te rappelle que je cherche aussi un garde du corps personnel et c'est celle ci moi aussi je veux.

Lys( gêné): Calmez vous svp monsieur , on pourra toujours vous présentez un autre aussi compétent que Layanne.

H2(se levant avec rage): Non il est hors de question , je ne signe pas le contrat si ce n'est pas elle.

H1( se levant avec colère): Tu es malade ? je l'ai déjà engagée et elle travaillera pour moi.

H2( en attrapant le col de H1): Tu m'insulte de malade à cause d'une p**e de gardienne que tu vas baisé ?

Layanne( furieuse): Qui est la p**e ? vous parlez bien de moi là ?

Lys ( se levant): Calme toi stp Layanne.

Layanne ( en prenant H2 pas le col): Tu m'a insulter de prostituée ? toi et moi on se connaissaient ? ai je baisé une fois ton pu**in de père ?

H2( effrayé): Lâchez moi immédiatement.

Lys ( en s'approchant de Layanne): stp lâche le Layanne.

_ Je lui envoi un coup au visage et il tombe , je monte sur lui et le roule de Coup correctement. Lys crie mais je ne la calcul pas . Cet idiot m'a chercher et il va être servir. Je le frappe encore et encore en bloquant ses pieds et ses mains sous mon emprise.

Lys ( criant): Layanne arête , est tu devenu F***e, lâche cet homme immédiatement.

_ Le second homme qui était debout s'approche de moi et me tire sur celui qui est à terre , je me relâche de ses mains et lui envoie un coup à la figure.

Layanne ( en colère): Co***rd qui t'a autoriser à me touché ?

Lys ( criant): Dans ton bureau immédiatement Layanne.

_ Je sort furieuse et part dans mon bureau en les laissant, ces hommes ne perdent rien pour attendre.

Dans le bureau de Lys.

Lys : vraiment désolé monsieur , Layanne est un peu professionnelle.

H2( Sang au visage): Professionnelle ? cette fille est une malade mentale. Le contrat est annulé.

Après cette phrase , les deux sortent du bureau de Lys avec difficulté et douleur. Lys sort également et entre dans le bureau de Layanne qui est juste à côté du sien. Celle ci était assise tranquillement regard noir dans le vide. Quant elle l'a voir elle se lève immédiatement.

Lys ( en marchant avec colère): Tu es consciente de ce que tu viens de faire ?

Layanne ( calme): Oui , mais ils m'avaient provoquez.

Lys ( furieuse): Provoqué ? tu es sérieuse ? est ce la première fois que les gens t'insulte ou parle Mal de toi ?

Layanne( calme): Et c'est pas aussi la première fois que je réplique , je continuerai à le faire encore et encore. Je ne regrette rien , un homme ne marchera pas sur moi.

Lys ( en colère): Tu nous a faire perdre deux contrats en même temps , et tu me parle de réplique ? tu es devenu F***e ? Combien de temp compte tu resté ainsi ? toujours enragée contre tout le monde , c'est comme ça que tu compte te venger ? Si tu ne contrôle pas tes émotions comment veux tu contrôler ton ennemis ?

Layanne ( visage rouge): J'ai pas envie de parlé de ça avec toi.

Lys (en s'approchant d'elle): Si ,tu le fera petite fille . Pour que notre plan marche il nous faut d'abord nous rapprocher de notre ennemis sans qu'il ne nous soupçonne. Ces hommes sont des associés d'Antonio GUERERO. En signant un contrôle avec eux et en devenant la gardienne d'un d'entre eux , tu pourras te rapproché d'Antonio ,tu pourras entendre et écouter si possible leurs conversations même si ça sera difficile. Mais à cause de ta rage tu as tout gâché.

Layanne( s'asseyant): Je suis désolée.

Je l'ai vue aujourd'hui.

Lys ( curieuse): Qui ?

Layanne ( visage sombre): Le diable.

Lys( choquée): Quoi ? où l'a tu vu?

Layanne : A l'hôpital.

Lys ( s'asseyant devant Layanne): Tu était à l'hôpital aujourd'hui ? tu est malade ?

Layanne( soupirant): C'est une longue histoire. Mais rassure toi je ne suis pas malade.

Lys : Ok et comment allons nous faire maintenant que tu a renvoyer les deux associés avec tes coups de poing ?

Layanne : Je ne sais pas , de plus ses hommes sont des coureurs de jupons , ils ne cherchent pas une gardienne mais une p**e , et moi j'en suis pas une.

Lys ( se levant): Vraiment tu dois revoir ton comportement. Je vais essayer de voir si je peux trouver un autre piste pour qu'on se rapproche d'Antonio. Le temps passe et il est temps de commencé à planifié.

Layanne : Encore désolé.

Lys : tkt ,je te laisse détend toi un peu.

Lys sort et Layanne se lève de son fauteuil , elle se dirige vers le canapé qui est juste placé au fond devant son bureau et s'allonge dessus. Elle ferme les yeux doucement et quelques larmes coulent , avec un geste rapide elle les essuie.

Quelques heures plut**d.

Le soir.

À l'hôpital.

On voir Eunice assise à côté de son fils toujours inconscient et branché à plusieurs machine médical. Ces larmes coulent encore et encore , Isadora essaie de la rassurer mais tant que son fils n'est pas encore réveillé elle ne pû s'empêcher de pleurer.

Isadora( caressant son dos): Maman calme toi stp .Alex va s'en sortir tu verras , il est fort et il va se battre , de plus le docteur avait dit qu'il l'on déjà maîtrisez. Attendons jusqu'à demain matin.

Eunice ( en larme): Mon pauvre fils , il ne fait que payé pour les atrocités de son père. Ça fait maintenant la troisième fois qu'il a reçu des balles dans se mois , si ça continue ainsi je risque de perdre mon fils.

Isadora ( paniquée): Maman pourquoi tu dis que c'est à cause des atrocités de papa . Mon père est un homme honnête et je suis sûr que c'est sûrement l'un des concurrents politique qui a planifier se plan pour ternir l'image de papa.

Eunice ( en regardant Isadora): Image ? tu me parle d'image ? ton frère est cloué au lit et vous vous intéressez à l'image de votre père ? D'ailleurs où est George ? son frère est à l'hôpital et il est où ? sûrement à l'entreprise. Cette famille va s'effondre si vous continuez à suivre les parts de votre père.

Isadora : Maman arrête d'être dramatique stp. Papa va chercher celui qui a faire ça et il ira en prison.

Eunice ( Faux rire): Prison mon œil , je suis là on verra bien. Moi je prie juste pour que mon fils se réveil.

Isadora ( en prenant son téléphone): Je vais appeler George.

Eunice : oui vas y on verra si il viendra au moin voir son frère.

Isadora lance l'appel et quelques minutes après celui ci décroche.

Isadora : George où est tu ?

George : Je viens de rentré, pouquoi tu m'appelle ?

Isadora : Tu ne sais pas que Alex est à l'hôpital ?

George : Oui et alors ?

Isadora ( surprise): Et tu ne viens pas ?

George : c'est moi le docteur ? c'est pour ça que toi tu m'appelle pour me dérangé ? toi et maman vous êtes déjà là non ? tu me veux là bas encore pourquoi ?

Eunice ( en prenant le téléphone chez Isadora): George tu va bien ?

George : oui maman très bien même , si c'est pour me reprocher de n'avoir pas été là , sache que moi je boss pour gardé notre image en place pendant que ton fils se promène dans la rue. Après c'est pour encaisser des balles chaque mois et ternir notre image dans toute la ville.

Eunice( choquée): Tu me parle ainsi ? moi ta mère ?

George : Je suis avec ma copine actuellement , demain je verrai si je peux venir. Bonne nuit à vous.

Il racloche l'appel sans plus attendre.

Eunice ( en larme): Isa tu vois ? tu vois ton grand frère ?

Isadora ( caressant son dos): calme toi stp maman. Alex ira mieux.

Villa des GUERERO 💥

On voir Antonio assise confortablement dans son bureau ,un wisky à la main et les yeux fixé vers la porte. Quelques minutes après un homme entre et s'assoit devant lui.

Antonio : Je veux que me trouve la fille qui est sur cette vidéo.

Il lui tend son téléphone et celui ci regarde la vidéo avant de posé maintenant ses yeux sur Antonio tout curieux.

H: C'est qui cette fille et pourquoi tu la cherche ?

Antonio : Tu ne vois pas que c'est elle qui a sauver mon fils ? Je veux tout savoir sur elle , absolument tout.

H: Ok très bien.

Antonio : Ou en est tu avec le commanditaire ?

H( sourire): J'ai déjà retrouvez les hommes, grâce à l'un de mes hommes sûr.

Antonio : Et comment les a tu coincés.

H: La voiture qu'ils avaient utiliser , c'est l'un de mes hommes qui les a vendu ça. Et c'est hier dans la journée ils ont achetez , celui ci m'a appeler aujourd'hui et m'a donner leurs photos. Grâce à ça je les ai coincés sans plus t**der.

Antonio ( sourire sombre): Bien, j'aime ton efficacité. Tu sais quoi faire maintenant.

H( souriant): Tkt je gère.

Antonio : ok tu peux disposer.

H( souriant): ok boss.

Il sort et Antonio se lève à son tour , il monte les escaliers et entre dans sa chambre conjugal. Sa femme étant toujours à l'hôpital , il se couche tout seul en regardant le plafond avec un air dangereux.

Layanne ❤️

Je viens de rentré dans mon appartement après une longue journée. Aujourd'hui ça a été le cata. D'abord cet homme que j'ai dû amener à l'hôpital, ensuite ce diable que j'avais rencontrer là bas et enfin ses deux cons qui disent vouloir d'un garde du corps alors qu'ils veulent se vidé les co****es. Je veux me rapproché d'Antonio mais si ça sera grâce à ses pervers je refuse.
Je me déshabille et entre dans ma salle de bain. Je prends un bon bain et ressort , j'ai tellement faim à cause de tout ses coups que j'avais donner aujourd'hui. Je porte un short de nuit et un haut avant d'entré dans ma cuisine. Lys m'a appris à préparé quelques plats et je m'en sort plutôt bien. Je fini et je me couche directement , je suis fatiguée.

Le lendemain.

A l'hôpital.

Dans la chambre d'Alex, celui-ci est toujours inconscient. Sa mère et Isadora avaient dormir sur le canapé , elles se réveillent tout les deux quand le docteur entra.

D: Madame vous devez rentrer , votre fils se réveillera mais ça sera pas aujourd'hui. Il est encore trop faible.

Eunice : Non je ne veux pas rentré, Isadora toi rentre et repose toi .

Isadora : Ok c'est compris maman , je vais te ramener des habits d'échange et de la nourriture le soir.

Eunice : Merci ma chérie.

Isadora prend son sac et sort . Le docteur s'approche d'Alex et vérifie sa respiration après il lui administre quelques calmants.

D( se retournant vers Eunice): Quand les calmants auront faire leurs effets , il se réveillera.

Eunice : Dans environ combien de temps docteur ?

D: Disons 24h où 48h ça dépend de comment son corps réagira.

Eunice : ok je comprends. J'aimerais aussi vous demandez le nom de cette fille qui l'avait amener.

D: J'ai déjà envoyé les vidéos de surveillance au premier ministre votre époux , je connais pas le nom de la fille.

Eunice : Ok merci.

Le docteur sort et celle ci s'approche de son fils , elle caresse doucement ses cheveux pas peur de bougé quelque chose.

Eunice : Mon bébé tout ira bien ,tu est fort et tu t'en sortiras. Personne ne te fera du mal mon chéri, personne.

Dans le bureau d'Antonio 💥

On le voir assise avec le même homme d'hier.

Antonio : A tu les informations ?

H: Cette fille est vraiment mystérieuse. Elle n'a aucune famille , ni aucun passé. Tout ce que j'ai pû savoir , c'est qu'elle est une Bodyguard dans l'entreprise d'une certaine Lys TAYLOR. C'est l'une des meilleures gardienne que tout les hommes riche aimeraient avoir. Elle est tellement sexy et mignonne.

Antonio : Tu a bien fouillé ? Comment s'appelle t'elle ?

H: Bien-sûr que oui , elle s'appelle Layanne williams,cette fille n'a rien d'intéressantes à part son travail et sa beauté envoûtante , elle est super canon avec des forme pas possible.

Antonio ( en se levant): Je t'avais pas demandé ses gens de détails. Maintenant je veux que tu contact l'entreprise dans laquelle elle travaille , je veux parler avec sa patronne.

H: Mais pourquoi ? ne me dit pas que tu veux une jolie gardienne en plus de tes robuste garde du corps inh.

Antonio : Arrête de parlé et appel moi cette femme immédiatement.

H : tout de suite ?

Antonio ( regard noir): Tout de suite.

Celui-ci lance l'appel et quelques minutes après une jeune femme décroche.

F: L'entreprise TAYLOR que puis je faire pour vous monsieur ?

H: J'aimerais parler avec Madame Lys .

F: Désolé elle est en réunion actuellement.

H(en regardant Antonio): C'est de la part du premier ministre.

F( paniquée): D'accord attendez quelques secondes je lui transmets l'appel.

Quelques secondes après.

Lys( curieuse): Allô, à qui ai je l'honneur ?

H: Le premier ministre veux vous parler.

Il passe le téléphone à Antonio , celui-ci le prend et s'assit dans son fauteuil les pieds desous dessus.

Antonio : Madame Lys TAYLOR comment allez vous.

Lys ( visage noir): Bien Monsieur le premier ministre. Que puis je pour vous ?

Antonio : J'aimerais rencontrer l'une de vos employés , Layanne williams.

Le coeur de Lys fit un boom elle est très curieuse de savoir ce que Antonio veux à Layanne.

Lys( essayant d'être sereine): Et je peux savoir la raison de votre demande ?

Antonio ( arrogant): Ceci ne vous concerne pas , assurez vous juste de lui passer le message , je la veux demain dans mon bureau.

Lys ( calme): Ok monsieur le premier ministre.

Celui-ci racloche et remet le téléphone à l'homme devant lui.

H: Pourquoi tu cherche cette fille ? elle te plaît c'est ça ?

Antonio( visage rouge): Cette fille peut être ma fille , elle est trop jeune pour moi , rassure toi j'ai d'autres plans. Maintenant sort de mon bureau et occupe toi de ses cons qui on osez toucher Alex , je veux aussi savoir le commanditaire.

H( se levant): Bien , j'y vais.

Il sort et Antonio fixe la porte avec un sourire au lèvre , un sourire démoniaque.

Entreprise Taylor.

Lys💥

Je dois prévenir Layanne , je crois qu'une opportunitée se présente pour nous. Je prends mon téléphone fixe et lance l'appel.

Quelques secondes après.

Layanne : Oui allô Lys.

Lys : Viens dans mon bureau immédiatement on doivent parler.

Layanne ( curieuse): De Quoi ?

Lys : Ne pose pas de questions.

Layanne : Ok j'arrive.

Quelques minutes après on l'a voir entré dans le bureau de Lys. Elle s'assoie devant celle ci le regard inquiétant.

Layanne : Lys je suis là.

Lys ( le fixant): Il veux te rencontrer.

Layanne ( plus curieuse): Qui ? Soit directe stp.

Lys : Le diable.

Layanne( surprise): Pourquoi le diable veux me rencontrer ? Il ne me connais pas alors comment a t'il sûr que je travaille ici ? Et pourquoi il me demande ? , je ne comprends pas.

Lys : Calme toi je t'explique tout.

Lys lui raconte sa discussions précédente avec Antonio. Celle ci fût choquée et en même temps curieuse.

Layanne : Selon toi pourquoi il me cherche ? J'ai déjà suprimer tout mon passé , je ne comprends pas pourquoi il me cherche.

Lys : Je l'ignore mais je sais une chose.

Layanne ( la fixant): Quoi ?

Lys : Notre vengeance va commencer.

Layanne : Et comment ?

Lys : S'il veux que tu soit sa garde du corps alors on a gagner un point. Être prêt de son ennemis et connaître ses faits et gestes c'est la base et cette opportunitée on l'a cherche depuis.Tu comprends ce que je dis ?

Layanne ( soupirant): Oui mais c'est mieux que je le rencontre d'abord après on en parlera.C'est pour quand le rendez vous ?

Lys : Demain dans son bureau.

Layanne ( se levant): Ok très bien il me verra alors bien en chair et en os.

Lys ( se levant): Layanne promets moi tu vas garder ton sang froid.

Layanne ( soupirant): Désolée mais je ne promets jamais et tu le sais. Si c'est de le tué tkt pas , je le ferai mais pas demain. Maintenant j'y vais , j'ai quelques rapports à faire à ton directeur général de pacotille.

Lys ( souriante): Tu devrait plutôt dit "mon dragueur".

Layanne ( visage noir): Lys , ne commence pas , aujourd'hui je veux être calme.

Lys : Ok mais réfléchir tu es jeune et tu doit trouver un homme qui...

Layanne ( en sortant): Aurevoir.

Elle sort en laissant Lys souriante.

Quelques part dans la ville💥

On...

A suivre...

De Quoi Antonio veut il parlé à Layanne ?

Qui est cet homme qui est son bras droit ?

Selon vous Lys a raison de dire qu'une opportunité se présente pour eux ?

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