19/03/2024
*LA TCHIZA MALÉFIQUE*😊😊😊
ÉPISODE 17
Oh lalala mince ! Comment est-ce que je procède ? Il est 18h30 et l’hôpital est à 400FCFA de sa maison. Je ne parle pas d’argent mais plutôt de de la distance qu’il y’avait. J’imagine les embouteillages qu’il y aura à ngousso. Je réfléchissais et sciençait d’y aller. Qu’est-ce que James voulait bien me dire qui ne pouvait pas attendre demain ? Je regarde mon téléphone et s’est éteint.
MOI : or ! Si seulement s’était allumé ! Je lui dirais que j’arrive demain. Maintenant... or !
--- : ma fille il y’a un problème ?
MOI : non, (avec pression)
C’était un monsieur, de la 40taine je dirais. Il était sur le banc de patient, à côté de moi.
Je me dirigeais alors vers la sortie. Et essayais de stopper un taxi. Ça faisait déjà 5 minutes que je recitais à répétition « 400 ngousso » ; mais personne ne me prenait. Au bout d’un moment j’eus une idée de prendre un dépôt. Les taxis vides passaient alors ? Voilà que gronde violement l’orage, au point où certains enfants qui marchaient ce sont mis à crier et courir. Je restais toujours là dans l’espoir de vite trouver un taxi mais non, une forte pluie se mit à tomber. Il pleuvait tellement que je pouvais croire que c’était sur moi seule ; que ça m’était destiné. Les voitures passaient en vitesse sans plus s’arrêter. Je regardais autour de moi pour voir trouver un call box et appeler james pour annuler le rendez-vous. Mais non, on dirait que la nature était contre moi. J’étais déjà bien trempé, jusqu’au caleçon. J’étais en face de l’hôpital et ne pouvais y retourner dans cet état. Alors je ne voyais qu'un seul endroit pour m’abriter. Le comble est que c’était de l’autre côté de la route. Je prenais un bon coup de souffle et m’apprêtais à traverser en courant. Mais ce n’était pas gagné, car voilà une grosse voiture qui vient et gare devant moi à l’instant T.
MOI : attendez-vous êtes sérieux de garer là ? Vous ne pouviez pas attendre que je passe d’abord ? je vous trouve très prétentieux vous.. et..
Je n’avais pas remarqué qui était en face de moi, mais quand il a baissé la vitre je l’ai reconnue.
Je baissais les yeux face à son regard car j’avais honte, honte parce que je venais de crier sur un père, un père de bonne allure dont j’ignore d’ailleurs qui il est. C’était en fait mon voisin de banc de l’hôpital, celui qui me demandait si je vais bien…
--- : bonsoir ma fille, entre.
MOI : oh euh… no… désolé pour tout à l’heure, non merci.
--- : désolé pourquoi ? vas-y entre je t’ai pardonné.
MOI : je viens de vous traiter de prétentieux, alors vous devriez me trouver vraiment impolie.
--- : si tu as pu reconnaitre que tu m’as outragé alors pourquoi ne pas te pardonner ? je suis qui pour te juger ? Alors je ne te traiterais pas de mal polie ; plutôt je pourrais-je donner des conseils.
Pendant qu’il parlait j’étais occupé à balayer de mes mains de l’eau provenant du ciel ; puis il reprit
--- : alors tu vas rester là, tu as peur de moi ou tu attends quelqu’un ?
Je tendis ma main pour ouvrir la portière lorsque j’entends une voix sortir de nulle part « si tu entre, tu meurs ! » j’étais prise de peur et lâchais à toute vitesse la portière sans l’ouvrir. Apparemment moi seule entendais cette voix, c’était celle d’Hermann mais il n’était pas là.
--- : bon bah… je vois que tu te méfie de moi… je ne vais pas te forcer, passe une bonne soirée, ma fille.
Je restais là paniquée, perdue dans mes pensées. Pourquoi hermann refusait-il que je j’entre dans cette voiture ?
--- : parce que tu cours un grand danger.
Répondit la voix d’Hermann.
Il pleuvait de plus belle et je suis allé m’adosser à un mur, sans plus traverser la route, pour que la pluie finisse d’abord. A un moment je voulais rentrer chez moi, mais j’entends une voix fine sortir de loin dans ma tête.
« Reste, ne pars pas ». Cette voix me fit plus peur que celle d’Hermann. Elle était certes fine, mais douce et imposante. Je sais pas comment mais elle me mettait en confiance. Je ne sais pas ce qui se passait, je ne sais la voix de qui c’était.
J’obéissais et je restais, puis revient la voiture du monsieur.
--- : je ne sais pas qui tu es, mais quelque chose me dit de t’aider, tu en as besoin
Moi : vou… vous êtes revenue ?
--- : oui, monte sans faire de bruit, tu es sur ma ligne en plus, je te déposerais quelque part si tu veux.
J’entrais comme il l’a dit et la voix d’Hermann raisonnait en toute alerte, avec des échos. Je fermais fort la portière en essayant de boucher mes oreilles.
Il me regardait à travers le retro.
--- : tout va bien ?
--- : oui.
--- : alléluia
Je ne sais pas ce que ça voulait dire, ni même en quelle langue il parlait. Surement en son dialecte ? Oui je pense c’est ça. Ce qui me ravirait était le fait que je n’entendais plus la voix d’Hermann, j’étais tranquille. La route était libre, et le monsieur roulait. Il y’avait rien en route comme obstacle mais on a quand même failli faire un accident. Heureusement il savait conduire, alors il a échappé bel. Je me sentais si bien dans sa voiture que je fini par fermer les yeux ; séduite par un doux sommeil.
PVD_QUEEN
Ça fait 3 jours que mon état de santé s’est détérioré. J’ai des maux de tête continuellement. On m’a hospitalisé la semaine passée, puis ça s’est un peu calmé. Mais depuis plus rien ne va. Ma mère a déjà pleuré fatiguer, et même plus que moi. Mon père se bat pour trouver de l’argent pour qu’on fasse les examens pour une énième fois. Vraiment j’ai mal pour eux, mal parce que moi seule sais ce qui se passe et que je ne peux rien les dire. Je ne peux non plus rejoindre vanessa dans son clan, ça jamais je préfère mourir de maladie, cette maladie qu’elle m’a lancée. Elle me rend visite toutes les nuits. Et me menace. Si ce n’est pas d’elle que je rêve c’est du serpent qui parle en son nom.
--- : non ! nooonnn ! Je ne veux pas mourir !! Lâche-moi ! Lâche-moi vanessa ! Je ne veux pas !!
--- : Queen ! queen mon bb réveille toi. Tu as quoi. ?
--- : (étant essoufflé) non mama c’est rien.
--- : QUOI ? Tu ne vas pas me dire que c’est rien pourtant tu as crié ! je te rappelle que c’est tous les jours que tu cries ainsi ! tu fais les mêmes cauchemars.
--- : mama je ne veux pas mourir (pleurant)
--- : tu vas mourir pourquoi mon bb ? Vanessa c’est qui ?
Quand elle a prononcé le nom de vanessa je me mis à pleurer. Puis le sommeil me prit. Elle était près de moi et c’est sûr qu’elle priait dans son cœur.
VANESSA
Je me suis réveillé vers 8h, dans une chambre qui n’était pas mienne. Je ne savais pas où j’étais. Mes vêtements n’étaient plus pareils. J’avais un très grand haut sur moi et un pull-over.
--- : mais qu’est ce qui se passe !? Voilà je savais que le père-là n’était pas clair ! Il voulait juste abuser de moi ! Bon voilà c’est bien fait pour lui, il ne peut qu’attendre maintenant sa mort prochaine !
Quelqu’un ouvrit la porte et je me précipitais à me cacher derrière.
--- : bonjour jolie demoiselle. Et qui sait qui va mourir ?
Ooh ! C’était james. Je reconnaitrais sa vois entre milles.
--- : james ?
LUI : oui princesse ; c’est moi.
Je sors de ma cachette et il m’embrasse
MOI : mais… je fais quoi là ? Je veux dire comment je me suis retrouvé là ?
LUI : calme-toi. Attends, on prend un petit café je t’explique
MOI : non, je veux savoir maintenant.
LUI : ok mon commandant.
Il se mit à me raconter que son oncle est arrivé avec moi.
MOI : ton oncle ?
LUI : oui, c’est mon tuteur en fait. Je ne savais pas qu’il venait. Mais il est arrivé avec toi, tu dormais. Je t’ai reconnue alors je t’ai changé, vu que tu étais trempé. Je t’ai installé dans sa chambre, puisqu’il n’allait pas dormi là.
MOI : attends comment il a fait pour savoir que je me rendais chez toi ?
LUI : il ne savait pas. Mais comme tu dormais il a préféré venir là, et ça coïncidait juste. Enfaite lui il ne vit pas ici donc c’est la seule maison qu’il connaisse.
MOI : d’accord. Et lui, il est où ? Je veux le remercier.
LUI : il est à une conférence biblique, il arrive.
Je restais là, collé à james comme une enfant. Puis je me rappelais de la raison pour laquelle je devais être là.
MOI : james. Hier tu me parlais comme si la maison se brulait. Me voici, il y’a quoi ?
LUI : je préfèrerais que tu prennes d’abord une do**he et un petit déjeuné avant qu’on en parle.
MOI : tu oublies que je n’ai pas de vêtements de rechange ?
LUI : ne t’inquiète pas, tes habits vont sécher.
MOI : quoi ? Avec combien de temps ? Si on m’attrape ici je suis morte, stp parle vite.
LUI : morte ? Que qui va te tuer ? Hermann ? ahaha non, ne t’inquiète pas.
MOI : quoi ??? Hermann ? Qui t’as parlé de lui ? Et qui t’as dit que c’est de lui dont je parlais ?
LUI : tu viens de le confirmer. Ecoute princesse, va faire ce que je t’ai dit.
MOI : non, je veux savoir tout de suite. C’était quoi cette révélation que tu avais à faire ?
LUI : ma question va paraitre bête, mais dis-moi, tu connais Dieu ?
MOI : dieu ? oui, je le connais.
LUI : tu connais le Seigneur Jésus Christ ?
MOI : quoi ? aie (mon ventre chauffait) tu m’as appelé jusqu’ici pour me parler de.. de lui ?
LUI : oui. En fait ça fait des jours que je rêve de toi. Je te vois dans un trou tout noir. Et une voix du seigneur qui me demande de te sauver. Cela se passe bien depuis qu’on ne se voit plus. J’ai même vu ta copine à la fac mais elle ne voulait pas entendre parler de toi. Or vous vous entendiez bien. Cela a attiser ma curiosité, et j’ai cherché ta maison en vain ; mais rien. Hier avant que je ne t’appelle, je t’ai vu en songe, entouré des gros serpents. Et hermann, mon ami d’enfance qui était avec toi. Je ne sais pas dans quoi tu t’es mis mais je veux te sauver.
MOI : quoi ? Mais c’est absurde tout ce que tu dis là. Me sauver comment ça ? Tout ça n’est qu’un rêve et tout peut arriver dans les rêves.
LUI : c’est vrai vanessa mais crois moi, mes rêves ne me trompent jamais.
MOI : (me levant) toute cette histoire est ridicule. (En sortant)
Non mais il est sérieux là ? Me sauver comment alors que je gagne bien mon argent ? en plus je mourais si seulement je renonçais.
LUI : non van… ça ne l’ai pas. Jésus christ est Seigneur et Sauveur, donne te vie à lui et tu seras sauvé.
Ses mots me brulaient mais je supportais.
Il continuait dans mon dos, j’en pouvais plus et je me suis retourné et j’ai crié.
MOI : ne me brule plus !! James arrête stp arrête !
Il continuait et pour me défendre j’ai dû l’invoquer mes forces surnaturelles que j’avais. Je l’ai poussé au mur et le serrais fort contre. Il me suppliait de le laisser mais non, j’insistais. Il n’arrivait plus à prier et même la force il n’avait plus. Je n’arrivais plus à me contrôler, j’ai failli le tuer sans le vouloir puis son oncle est arrivé. Il a prononcé un mot qui m’était étrange « yawé ». J’ai laissé james et je suis retourné chez moi à toute vitesse, sans prendre mes habits.
Je me dirigeais direct dans ma salle de bain, je ressentis la présence physique de quelqu’un derrière moi
--- : tu as très bien fais. Ahhahah, mais je te conseillerais d’en finir avec lui.
À Suivre.....🙈🙈🙈
Partager la famille des bonnes choses et des surprises sont en cours, encourager moi et vous aurez des leçons à travers cette histoire la famille
*LA TCHIZA MALÉFIQUE*
_Auteur: Larrime_
ÉPISODE 18
--- : non mais pu**in ! Qu’est ce qui ne va pas avec toi hermann ? Faut-il toujours que tu me suives partout ?
--- : (il renifle dans mon cou.) or bb ton beau corps m’a manqué. Tu es si..huummm
MOI : mouf dégage ! Vas voir ta femme (cherchant une serviette)
LUI : c’est toi que j’aime, elle ne peut pas me faire la pipe comme toi… les sensations fortes hmmmm. Fais le princesse (m’enlaçant)
MOI : dégage idiot ! Ma mère est mourante !
LUI : ta mère est mourante parce que tu ne veux pas être obéissante, tu ne veux pas obtempérer…(avec une voix rauque, il parlait avec une telle lenteur)
MOI : qu’est-ce que j’ai refusé ? Depuis que tu m’as trainé dans ce… truc tout noir, y’a que des personnes qui meurent ! et des sacrifices immondes que j’effectue.
LUI : oh noooo… princesse tu parles sous la forme humaine. Ça fait combien de temps t’as pas bu du bon sang frais ? hein ? Souvient toi qu’il y’a pas de mal quand on boit le sang. Qui a dit que tuer est un pêché ? C’est d’ailleurs l’une des 1ere règles du royaume, le 1er commandement. Hein mon amour… il te faut ça pour survivre, c’est comme aller à la chasse. Viens je te dis quelque chose (s’approchant sur mon oreille il chuchote) il y’a ta voisine qui a accouché d’un très jolie bb un petit garçon… fait toi plaisir sur son minou avant que je ne te devance.
MOI : fou moi la paix bon sang...
LUI : frais
MOI : je dois retrouver ma mère tout de suite.
LUI : sa vie dépend de toi, jolie. La paix tu l’as perdue depuis ce jour, dans ma voiture.
MOI : et qu’est-ce que je dois faire ?
LUI : 1èrement tu t’abstiens de parler de notre business à qui que ce soit. Même pas à james. Segundo, (se retournant) voici nousha. Elle ne t’a pas manqué ? Tu vas… bref il me semble que t’as besoin de relaxation… puisque tu ne veux en aucun cas me sentir, tu vas gentiment te laisser aller avec elle…
MOI : quoi ????
LUI : je te connais intelligente, ma sorcière d’amour. Nousha est gentille. Alors pour sauver ta maman sans plus dépenser de l’argent, laisse qu’elle te fasse un beau cunnilingus…
MOI : tu es carrément fou ! C’est quelle folie ça !
LUI : à toi de voir ; ma prinsexe vanousha ahahah
MOI : je ne ferais rien !
LUI : c’est sans complexe… elle meurt au calme. La vie c’est quoi ? Ma belle tante serait très, mais alors très très ravie. Tu vois ce que tu as fait à ma nièce ? je ne parle pas.
MOI : mon père ne peut pas mourir et ma mère aussi part sans que je ne fasse quelque chose.
LUI : tu ne peux rien faire à part ce que je t’ai dit.
Je lui répondais en portant mes habits. Il a fait je ne me suis même plus lavé. Il fallait que je m’assure que ma mère va bien.
Pendant un instant tout se brouillait dans ma tête. Tout ce que j’ai fais pour en arriver là. Je pensais à mon père, je pensais à james, à son oncle, ma mère souffrante et à martine que j’avais blessé.
LUI : tu vas où ?
MOI : je croyais que tu lisais dans les pensées.
En sortant. Mais bann ! Dès que j’ouvre la porte qui je vois ?
MARTINE !
MOI : ma…martine ?
Hermann était juste derrière moi et je parie qu’elle l’a vu.
ELLE : je vois que je suis arrivé au mauvais moment.
MOI : no.. non martine… je suis désolé, stp reste, il allait partir.
HERMANN : bonjour mon amour, ma femme chérie… ne m’en veux pas stp, j’ai perdu mes clefs et t’étais pas là, vanessa avait le double de…
Il n’a pas fini de parler qu’elle s’était déjà retournée pour partir. J’avais tenté de la retenir en vain. Je pouvais lire dans ses yeux une lueur de désappointement. Je me sentais mal, très mal même.
Les jours qui suivaient j’allais à l’hôpital mais personne ne me gérait. Je parlais à martine elle ne me répondait point, ni même Tatiana. Elle devrait être toute aussi au courant du fait que je sois la maitresse de son mari.
Une semaine était passée. Une semaine durant lesquelles je ne parvenais à dormir. Cauchemars sur cauchemars. J’étais dans le noir et voyais la lumière de loin. Un homme en blanc propre qui m’appelait et un autre (mon grand maitre) qui me défendait d’y aller. J’essayais de me défaire de cet endroit de ténèbres, mais à chaque fois que je faisais un pas vers la lumière je brulais. J’avais peur d’avancer mais l’homme en blanc me mettait en confiance. Voilà que j’avance et non seulement je brulais de l’intérieur, mais mon argent aussi et tous mes biens précieux que j’avais.
--- : noooon nooon ! je ne peux pas !! Laissez-moi ! je ne peux paaas ! mon argennnnt ! noooooooooooooooooooon !
Je sentais quelqu’un me secouer, me demandant de me réveiller. J’ouvris les yeux et c’est où j’ai su que c’était un rêve, il était 12h ; et James qui était à mon chevet.
MOI : James ?
LUI : oui princesse c’est moi.
MOI : snif… vas t’en stp
LUI : m’en aller ? Pourquoi ?
MOI : si tu ne veux pas mourir reste loin de moi.
LUI : c’est toi la mourante ici ; je ne te quitterais pas.
Je ne sais pas comment il a su que j’habitais ici, ni même qui l’a conduit ici. Il ne connait pas martine à ce que je sache. J’essayais de me lever du lit mais je ne pouvais pas. J’avais un terrible mal de tête.
MOI : aie ma tête.
LUI : reste couché. Je vais te donner un peu d’eau.
Il est allé chercher et me la donner.
MOI : (en essayant de me lever) snif… ma mère ! Ma mère ! Elle est toujours à l’hôpital.
LUI : vanessa, laisse-moi t’aider ; l’état de santé de ta mère dépend de toi.
MOI : oui, je sais. On me l’a déjà dit ; je sais ce qu’il faut faire mais je ne peux pas, je ne peux …
LUI : chuttttt… ce que t’a dit hermann est un pur mensonge.
MOI : comment ça ?
LUI : tu n’as pas besoin de faire ces saletés pour guérir.
MOI : comment tu sais tout ça ? Que c’est lui qui m’a dit ça ?
C’est où il s’est mis à me raconter que le où je causais avec hermann, lui il cherchait ma maison. Puis s’est placé à la porte pour tout suivre.
MOI : et pourquoi je ne t’ai pas vu ?
LUI : il ne fallait pas qu’Hermann me voit. Il est très violent cet homme ; il me déteste aussi. Il fallait que je m’arme avant de l’affronter.
MOI : snif… tout le monde va mourir. J’ai refusé de faire cde qu’il a dit et il a promis la mort à ma mère.
LUI : vanessa !
MOI : oui james.
LUI : je t’aime, je veux t’aider mais il faut que tu sois disposé à m’écouter.
MOI : quoi donc ?
LUI : il y’a un Dieu qui délivre, un Dieu qui pardonne, un Dieu Miséricordieux, un Dieu Divin. Ce n’est pas pour te dire qu’il y’a plusieurs Dieux. Il est le seul qui règne au-dessus de tout. C’est un Dieu qui pardonne, qui restaure, qui comprend. Un Dieu pur, le Roi des rois, le Seigneur des Seigneurs. Il aime sans distinction, un Dieu qui ne connaît pas de tribus. Vanessa, il existe un Dieu de lumière, 3 fois saint…
MOI : snif… le grand maitre aussi est puissant.
LUI : détrompe-toi vanessa chérie. Le grand maitre te demande de tuer, de manger les organes et de boire le sang. Tu crois qu’un Dieu qui aime ses enfants demande de faire ça ? Quand tu sers le Dieu vivant tu n’as pas recours à faire tout ça. Il suffit de le croire et il combattra pour toi. Mais nul ne peut arriver chez lui sans passer par son fils…
MOI : snif
LUI : son fils est Jésus, Jésus christ.
MOI : james va t-en tu es venu me tuer c’est ça ? ce nom me dérange et tu le sais, va t-en !
LUI : je sais que ça te dérange, mais c’est parce que tu es souillé. Prononce son nom, crois et tu seras sauvé. Dit Jésus.
Il m’a demandé jusqu’à 3 reprises de le dire mais ma bouche pesait. Je ne pouvais pas.
LUI : tu peux le faire, c’est simple.
MOI : hermann m’…
LUI : c’est un menteur. Tu veux sauver ta mère ?
MOI : je… Jésus.
LUI : est-ce que tu es morte ? Voilà redit le chaque fois et prie
MOI : je ne..
LUI : je t’apprendrais.
James m’apprenait comment prier, je ne répétais que ce qu’il me disait. Je prononçais continuellement le nom de ce Jésus mais rien. Oui, rien ne se passait chez moi, l’état de ma mère était toujours intact. Rien n’avançait ni ne reculait.
MOI ; james je suis fatigué de cette histoire. Depuis un mois je fais comme tu dis mais rien. Rien ne change. Ma mère est toujours couchée, et mes sœurs malheureuses. C’est peut-être mieux que j’accepte la condition d’Hermann. Au moins là-bas le résultat est instantané. C’est du tic au tac.
LUI : tu fais une grave erreur. C’est vrai que tu fais ce que je dis, mais le fais-tu parce qu’il faut faire ou parce que tu crois ? il faut avoir ce qu’on appelle la FOI. Il s’agit d’un Dieu responsable dont on parle. Ne prononce pas son nom en vain, prononce le parce que tu es convaincu que tout va aller mieux.
MOI : je fais comment pour savoir ? je ne sais pas comment ça se passe.
LUI : pense à ce que tu as qui ne vient pas des ténèbres. Pense à tous les malheurs que tu as pu éviter. Tu crois que tu n’es pas morte parce que c’est hermann qui le veut ? Non, c’est Jésus qui te sauve. Si tu allais mourir tu le serais depuis, mais nom ; Dieu veut accomplie à travers toi de grandes œuvres. Il veut faire de toi son instrument. Alors dit toi que sans lui tu n’es rien. Le souffle c’est lui qui te l’a donné, crois en lui du fond du cœur, et tu seras préservé. Prends la bible, médite-le et vois tout ce qu’il a accompli dans ce monde. Tu ne verras jamais qu’il a envoyé un de ses disciples tuer.
MOI : la bible ?
LUI : oui, c’est le saint livre. Le seul livre qui possède la vraie magie du monde.
Il se mit à m’apprendre à lire et comprendre les passages. Je mentirais si je disais que ça a été facile. Pas du tout. Car chaque soir quand je dormais seul, j’avais les visites nocturnes de tante giselle et d’Hermann. Ils me martyrisaient et je n’avais pas la force de les combattre. Ils m’ordonnaient de rentrer au royaume. Je voyais aussi papa qui me demandais de na pas lâcher prise ; de persévérer. Il me rassurait que j’ai pris le bon choix.
--- : papa c’est dur
--- : oui je sais ma fille, c’est dur de faire du bien, et très facile de faire du mal. Mais crois-moi, c’est la meilleure voie. Si seulement je t’avais parlé de cette route du Seigneur de mon vivant, tu ne serais pas là. Ecoute ce que te dis james. Il n’est peut-être pas parfait, mais il croit.
J’avais désormais peur de dormir seule et en parlait avec james. Il s’est proposé soit de dormir avec moi, soit à moi d’aller chez lui.
Avec lui, on priait sans relâche, on avait nos heures de prières. James allait souvent à l’Hôpital voir ma mère. Il connaissait désormais mes sœurs. Je lui avais interdit de dire à ma famille que j’étais dans le monde des ténèbres.
LUI : pourquoi tu ne veux pas qu’ils sachent ? Je te rappelle que tu as gravement blessé martine. Tu dois te repentir, lui demander pardon. Et pour ça tu dois avouer tout ce que tu as fait.
MOI : non… comment est-ce qu’elles vont me regarder ? non, je ne peux pas, ça va encore plus les blesser.
LUI : au contraire ! Une faute avouer est à moitié pardonné. Quand on sert Dieu on ne connait pas la honte.
MOI : tu ne trouves pas que j’en fais déjà un peu trop ? N’est-ce pas j’ai cessé d’y aller ?
LUI : ta famille doit savoir ce dans quoi tu passes pour t’aider à te sortir de là. Martine croit en Dieu, elle prie. Mais elle ne pourra sauver votre maman sans toi. Car c’est toi la cause principale. Abandonne ce monde définitivement, libère-toi, avoue. Confesse tes péchés, demande pardon. Dieu est humble, alors soit humble quand tu es devant lui. Il aime ceux qui se comportent comme des tout petits, non pas les orgueilleux.
MOI :…
LUI : vanessa, tu pries c’est vrai, tu ne pars plus dans ce trou c’est vrai. Mais ce n’est pas tout. La santé de ta mère s’améliore mais très très lentement. Cela va déjà à 3 mois qu’elle est hospitalisée et c’est l’argent qui part. Pense à ta camarade qui ne va plus à l’école… Queen souffre. Même si son entourage prie et qu’elle se rétablie, il te faut toi pour accentuer. Imagine comment ses parents peuvent se sentir ? et elle qui a peur de mourir, ne dira rien à ses parents. Il faut te confesser. Je veux appeler le pasteur mais tu refuses. La guérison te parviendra si tu acceptes de la recevoir. Mais pour cela il faut TOUT ABANDONNER.
MOI : c’est ce que je fais déjà.
LUI : quand je parle de tout abandonner, je parle aussi d’argent ; tous ces trucs que tu trouves beaux et précieux.
MOI : QUOI ? James oublie ! Je ne peux pas faire ça. je ne veux pas devenir pauvre.
LUI : et là tu crois que tu es riche ? Tu as la paix ? Tu as la joie de vivre ? Le bonheur tu l’as ? Je me rappelle quand je t’ai vu pour la première fois, tu dégageais cette joie de vivre à nulle autre pareil. C’est cette vanessa qui m’a tapé dans l’œil. Vanessa l’OR et l’ARGENT appartiennent à Dieu.
MOI : c’en est de trop ce DIEU demande tout au final. J’ai accepté prier, chanter son nom, lire ses passages et il me demande de laisser l’argent ? Et tous les sacrifices que j’ai dû faire avant alors ? C’était pour perdre ainsi ? Je commence à croire que le dieu dont tu me parle, est un fé-man (frappeur, trompeur)
LUI : non vanessa, ne pars pas attend
MOI : non, désolé mais je ne peux pas faire ça.
À Suivre
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