14/09/2025
đđđCe jour-lĂ , jâai enfilĂ© un pantalon avec exactement les mĂȘmes traits que ceux des militaires. JâĂ©tais dehors, en train de marcher tranquillement, mon ventre đ€€ collĂ© Ă mon dos Ă cause de la faim. Je cherchais juste quelquâun qui pouvait me donner mĂȘme đ” 1 FC, mais personne !
đą JâĂ©tais tellement fatiguĂ© et un peu nerveux que je mâĂ©tais promis : "Si quelquâun ose me parler mal aujourdâhui, on meurt ensemble sur place."
đ¶ââïž En avançant, je croise un groupe de militaires. Ils me regardent tous fixement đł. Moi jâavais complĂštement oubliĂ© que jâĂ©tais habillĂ© presque comme eux.
đȘ Lâun dâeux mâappelle :
đźââïž : "Mon frĂšre, venez un peu !"
Moi direct đ :
đ§ââïž : "Câest comme ça que vous ĂȘtes ? MĂȘme pas bonjour ! Vous savez pas ce que je ressens lĂ ?! Si je tombe ici, vous allez faire comment ?! Jâai le vertige de faim et vous mâappelez encore comme si on Ă©tait amis !"
đž LĂ , un autre militaire a sautĂ© sur moi comme une grenouille, mâa attrapĂ© et PAAAH đïž une claque ! Les Ă©toiles đ ont commencĂ© Ă danser devant mes yeux.
Moi encore : "Mais quâest-ce qui ne va pas chez vous ?!"
Et PAAAH đïž deuxiĂšme claque sur lâautre joue.
đ§ Les larmes ont commencĂ© Ă couler toutes seules, la faim et la douleur mĂ©langĂ©es⊠et lĂ PIM blackout đ”, je me suis Ă©vanoui.
đźââïž Un autre militaire dit : "Laissez-le, ces gens-lĂ cherchent la mort⊠Enlevez-lui seulement le pantalon !"
đł Ils mâont enlevĂ© mon pantalon et mâont laissĂ© comme ça, moitiĂ© nu.
âł AprĂšs environ 30 minutes, je rouvre les yeux lentement. Je vois plein de gens autour qui me regardent đ€Ż.
Moi aussi je les regarde đłâŠ et lĂ je rĂ©alise que je nâavais plus de pantalon.
đââïž Jâai couru sans frein, ventre toujours vide mais maintenant avec un problĂšme en plus : pas de pantalon ! đđ
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