Poètes de brousse

09/24/2025

Les désordres de la création arrive en librairie dans exactement une semaine! Pour vous donner un avant-goût de ce collectif d'essais dirigé par Simon Harel, Catherine Mavrikakis, Pascale Millot et Colette Zouvi, voici la liste de toustes les collaborateur•ices, ainsi que quelques extraits qui permettent de voir la diversité des formes qu'on retrouve dans le livre.

En librairie le 1er octobre!

09/23/2025

Claude L'Anthrope, the lancement.

09/22/2025

Le 11 octobre au OFF Festival de poésie de Trois-Rivières 🤘😎!

09/17/2025

En librairie dès AUJOURD'HUI : Les lumières ont tué la nuit, le premier recueil de Claude Périard! 🎉

Dans notre univers anxiogène où les repères s'effondrent les uns après les autres, que nous reste-t-il pour garder ardente notre aptitude à la joie ? Parmi les lumières criardes de la modernité, comment percevoir la magie propre aux secrets de la nuit ?

Ce premier recueil de poésie de la compositrice et artiste Claude Périard célèbre l'amitié et les liens communautaires comme remparts à tout ce qui s’écroule. À la virtualité de notre rapport au monde et l’effritement du réel, Les lumière ont tué la nuit oppose la puissance joyeuse des choses tangibles, portant une attention accrue à la fulgurance, à la chaleur des instants partagés et à tout ce que la sphère intime a de politique. Sous forme d’appels à la révolte ou à la démission généralisée, les poèmes sondent l’expérience humaine à l’échelle d’un cosmos qui nous rappelle la grandeur de l’infime et le pouvoir de la fragilité.

Œuvre en couverture : F***y Desroches

09/16/2025

À Hôtel Poésie (CKIA), Elizabeth Lord a de belles choses à dire à propos du recueil d'Azucena Pelland, L'été en travers de la gorge.

Pour écouter le balado :

https://ckiafm.org/emission/hotel-poesie

Le segment sur ce livre débute vers à 46:20 🎙🎧

CKIA 88,3 FM - Radio urbaine

09/16/2025

Merci à Catherine Sardi pour cette recension 🎯 du recueil de Ralph Elawani dans le nouveau numéro de Lettres québécoises.

09/15/2025

En librairie le 15 octobre prochain : Pathologique, le premier roman de Sarah McNeil!

Après avoir tenté de mettre fin à ses jours, une pharmacienne se réveille à l’hôpital. Convaincue que tout le monde dans son village gaspésien sait ce qu’elle a fait, elle tente tant bien que mal de surmonter la honte et de réintégrer sa routine. Pourtant, cette expérience a ouvert une brèche dans le récit qu’elle tisse depuis si longtemps autour de ses maux. Par celle-ci s’immiscent d’autres vérités, d’autres histoires. Parmi elles, celle de Thomas, un jeune homme vivant avec un trouble lié à l’usage d’opioïdes qui amorce un traitement à la pharmacie pour tenter de vaincre sa dépendance. Thomas et la pharmacienne apprendront à se connaître dans cet espace étroit et mouvant qu’est la relation soignant-soigné et seront tous deux confrontés à l’impact des inégalités dans l’accès aux ressources.

Oscillant entre un cynisme désabusé, un humour grinçant et un espoir timide, mais tenace, Pathologique explore la possibilité d’une vision transformée des soins de première ligne. En donnant voix à une protagoniste qui se trouve des deux côtés du système, le livre ouvre un espace de réflexion complexe sur la médicalisation, la souffrance psychique et les rouages du réseau de la santé. Qu’est-ce qui définit une maladie ? Qui décide du moment où le corps ou l’esprit basculent dans la pathologie ? À qui le système profite-t-il ? Et surtout, que signifie vraiment guérir ?

Œuvre en couverture : Anne-Marie Proulx

09/13/2025

Dans  Devoir, Yannick Marcoux a lu le premier recueil d'Azucena Pelland, L'été en travers de la gorge, une première œuvre « remplie de promesses ».

09/10/2025

Les lumières ont tué la nuit, le premier recueil de Claude Périard, arrive en librairie dans une semaine!

Voici quelques mots de l'auteure pour vous en donner un avant-goût :

« Une pandémie mondiale, des guerres, l'inflation, la crise du logement, la montée de la droite, l'emprise toujours plus grande du virtuel sur nos vies, la disparition progressive de nos lieux underground, un resserrement, une perte de repères... J'avais l'époque en travers de la gorge, l'impression que le monde qui m'avait vu danser chaque soir s'écroulait. Pas nécessairement la fin du monde, mais la fin de notre monde, celui de nos fêtes et de nos luttes, aux marges de la nuit. J'ai voulu sauver ce qu'il restait de la joie, et c'est dans nos amitiés tangibles, dans la présence et l'intime que j'ai trouvé ses dernières flammes. »

📸 : Agathe Dessaux