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Dans son discours, Kabila a vivement critiqué la gouvernance du président Félix Tshisekedi, l'accusant de transformer le pays en une dictature et de réduire le Parlement à un simple instrument de validation de sa volonté. Il a dénoncé une gestion autoritaire et une dérive institutionnelle, affirmant que le respect de la Constitution et des lois du pays est sacré .
 
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                                                                                     
                                         
   
   
   
   
     
   
   
  