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Focus Jaune, Kinshasa (2025)

14/11/2022

Cop27 : La RDC et les USA signent un accord sur le renforcement du leadership de la République démocratique du Congo sur le climat.

En marge des travaux de la 27ème Conférence de Charm el-Cheikh de 2022, consacrée sur les changements climatiques, dite COP 27, une nouvelle signature de l’accord de partenariat entre la RDC et les États-Unis d’Amérique sur le renforcement du leadership de la République démocratique du Congo sur le climat et la conservation des écosystèmes, a connu le jour le vendredi 11 novembre 2022.

Lors de cette cérémonie, les États-Unis étaient représentés par le secrétaire d’État à la Croissance économique, à l’énergie et l’environnement, José Fernández, et la RDC par la vice-Première ministre, ministre de l’Environnement et du développement durable, Eve Bazaiba.

Prenant la parole à cette occasion, Eve Bazaïba a indiqué qu'Il s’agit de la mise en place d’un groupe de travail entre les Etats-Unis et la RDC. Nos partenaires américains ont pris l’engagement d’accompagner la RDC dans la réalisation de son idéal en tant que “pays solution” face à la crise climatique, avant de signifier que "Nous avons renouvelé notre engagement à protéger l’environnement et les nouvelles technologies en matière de développement pour que nous amenions notre peuple au développement durable"

A savoir que la mise en place de ce groupe de travail aura pour objectif de lier l’utile à l’agréable, c’est-à-dire lier la protection de l’environnement au développement durable, la transformation des ressources naturelles. Notamment l’exploitation du pétrole, des blocs gaziers ou autres minerais stratégiques ou encore la gestion rationnelle des ressources en eau ou l’adaptation à travers le projet agro-foresterie, agriculture en tenant compte des standards internationaux.

09/11/2022

A l’approche de la COP-27, Solange Masumbuko interpelle Ève Bazaïba sur le manque à gagner de la RDC dans les crédits carbone

D’immenses décharges à ciel ouvert de milliers de tonnes souillent la capitale de Congo Kinshasa. Considérée comme pays-solution, la RDC ne bénéficie pas de crédits carbone.

Kinshasa, qui réceptionne déjà des produits toxiques au rebut venus d’ailleurs, deviendra-t-il en plus « la poubelle du monde » des déchets plastiques ? A la Conférence des parties sur le changement climatique (COP-27) qui s’ouvre du 06 au 18 novembre à Charm El-Cheikh en Égypte, la République démocratique du Congo tentera de porter sa voix pour stopper cette pollution en plastiques.

En RDC, la capitale est souillée par d’immenses décharges à ciel ouvert où les déchets plastiques se comptent par milliers de tonnes, dégageant des odeurs pestilentielles, des fumées et particules toxiques : au péril de leur vie, hommes, femmes et enfants parmi les plus pauvres viennent y chercher de quoi survivre au quotidien.

Lundi 03 novembre lors de la plénière à l’Assemblée portée sur l’examen et l’adaption du projet de loi modifiant et complétant la loi sur les principes fondamentaux relatifs à la protection de l’environnement, la députée nationale Solange Masumbuko s’est appesantie sur un paradoxe selon lequel la RDC pays-solution mais qui ne bénéficie pas de crédits carbone.

Dans son questionnement, l’élue de la Lukunga a interpelé la ministre en charge de l’environnement Eve Bazaïba qui, en dépit de nombreux projets sur le recyclage des déchets en plastiques mais “ jusqu’à aujourd’hui nous vivons un catastrophe avec des déchets en plastiques surtout quand il pleut ”. « Pays-solution mais pays inondé », se désole Solange Masumbuko.

En outre, cette crème intellectuelle de l’Assemblée nationale s’interroge comment expliquer “ la disparité enfin de prix sur le marché de la tonne de carbone séquestrée ”.

Lors d’une émission à la TV5 Monde, la patronne de l’environnement congolais s'est débattue bec et ongle, “ pour réclamer aux grands pollueurs en Afrique notamment au Congo et la RDC, de payer des taxes de tonnes sur le carbone : les tourbières, pour la protection de l'environnement !

Peut-on croire que la Cop 27 qui s'ouvre en Egypte, sera meilleure que les précédentes notamment en matière de payement des taxes sur le carbone ; dont les tonnes de gaz sont enfouies dans les forêts du Congo et la RDC. Au détriment des populations surtout des paysans !

La rédaction

08/11/2022

URGENT : Selon un rapport, aucune des entreprises du Glencore, ni MMG ni Kamoa Copper SA ou encore le chinois Zijin et Metalkol… aucune n'a respecté ces 2 obligations de construire leurs sièges sociaux et de faire participer les congolais à leurs capitaux sociaux.

Mines.CD

19/10/2022

Journée mondiale de l’alimentation en RDC, Edwina Lokaso martèle sur la malnutrition et l’insécurité alimentaire !

Samedi 15 octobre, l’Institut national pilote d’enseignement des sciences de santé (INPESS) a abrité dans ses installations, une conférence et exposition dénommée JIA sous le thème « L’alimentation en RD Congo » à l’occasion de la journée mondiale de l’alimentation qui marque cette année le 77ème anniversaire de l’Organisation mondiale des Nations Unies pour l’alimentation et agriculture (FAO).

Se joignant du reste du monde, Edwina Lokaso, CEO de l’entreprise agro-alimentaire Winabio, n’a pas voulu passé cette journée inaperçue d’autant que cette lutte cadre avec ses objectifs. « Les objectifs que nous devons poursuivre en veuillant de ne pas laisser des personnes qui comptent dans notre pays, de souffrir de la malnutrition et de l’insécurité alimentaire », martèle l’organisatrice de ladite activité.

La célébration de la journée mondiale a permis à l’entreprise agroalimentaire Winabio ainsi que d’autres participants œuvrant dans ce secteur, de faire un état des lieux sur la situation alimentaire en République démocratique du Congo (RDC). « le moment est venu, d’apprendre et d’entreprendre des actions visant à garantir une meilleure production, une meilleure alimentation, un meilleur environnement et une meilleure vie », rappelle-t-elle à l’assistance.

Les changements climatiques, la Covid-19, les conflits et les ralentissements économiques ont augmenté la pression sur les systèmes alimentaires mondiaux au cours des dernières années.

Selon la FAO, pour faire face aux crises mondiales, il nous faut déployer plus que jamais des solutions mondiales. Atravers l’amélioration de la production, de la nutrition, de l’environnement et des conditions de vie, nous pouvons transformer les systèmes agroalimentaires et construire un avenir meilleur en appliquant des solutions durables et holistiques qui visent un développement à long terme, une croissance économique inclusive et une plus grande résilience.

Dans un rapport publié en 2021 par la FAO, rappelle la CEO de Winabio, concernant la situation alimentaire en RDC, environ « 27.000.000 des personnes souffrent d’insécurité alimentaire ».

Le monde tend aujourd’hui à la promotion d’une agriculture soucieuse du changement climatique, de l’épuisement des ressources fossiles mais aussi des enjeux environnementaux (protection de la biodiversité, lutte contre les pollutions…) et sanitaire qui imposerait un changement de modèle pour tendre vers plus de durabilité.

L’ensemble des associations et coopératives ont tous affirmé leur volonté de s’entraider pour aller de l’avant et de travailler pour promouvoir ensemble des secteurs porteurs d’opportunités économiques.

La rédaction

15/10/2022

Industrie: Un jeune Entrepreneur congolais basé à Goma, Baraka Safari Élie fabrique des fers à repasser rechargeables depuis 2020, il vient de mettre sur le marché une nouvelle version avec des nouvelles performances.

« Nous avions arrêté notre production à l'époque par manque des fonds, c'est grâce à l'autofinancement que nous avons repris la production et mis en place une nouvelle version du fer à repasser rechargeable» Nous a révélé le jeune Entrepreneur

«Aron» c’est le nom du fer à repasser rechargeable de l'entreprise AMINI sarl que dirige Baraka Safari Elie. Le fer possède une batterie interne lithium 12V DC autonomie d’une à deux heure selon le réglage de la température.

Il est offert à 169$ la pièce mais avec possibilité de réduction jusqu’à 140$ si vous achetez aux moins 2 pièces.

Goma Fleva

15/10/2022

Industrie: A Goma, le jeune entrepreneur congolais Muhindo Kasiki Joseph, a crée sa propre usine spécialisée dans la production des tuyaux (PVC) et bouteilles plastiques sous la marque «Entre nous renove »

Soutenons cet entrepreneur en achetant ses produits made in Goma / RDC . Ce jeune a certainement besoin d'investissement aussi ! Les anciens doivent apprendre à miser de l'argent sur les jeunes entrepreneurs . Apana Ku uza ma Fuso tuh , Il y a plusieurs façons d'utiliser de l'argent chers Boss.

Goma Fleva

15/10/2022

Industrie: OKAPI BUSINESS, société de production des céréales et boissons made in DRC

Pour l'entrepreneur congolais Bernard Bahati, Le rêve devient réalité, «Le premier produit Okapi Agro est sorti de notre usine aujourd'hui. Une farine de maïs de qualité supérieure produit à Goma (Autofinancement). » a-t-il déclaré sur son compte Twitter

Bernard Bahati s'apprête à lancer une usine de production, transformation et distribution des produits agroalimentaires .

Sa société OKAPI AGRO BUSINESS devra produire céréales & boissons non alcoolisées made in DRC et créer 57 emplois directs.

Goma Fleva

14/10/2022

Blocs pétroliers et gaziers en RDC: Greenpeace parle du pillage des écosystèmes

Une dizaine de sociétés et consortiums ont souscrit pour les droits d’exploitation de trois blocs de gaz méthane dans le lac Kivu, à la frontière entre la RDC et le Rwanda.

Didier Budimbu, ministre des Hydrocarbures a fait remarquer que qu’il envisageait signer des accords de partage de l’exploitation avec les candidats retenus d’ici fin octobre, « un délai qui va à l’encontre de la procédure de vérification requise par la loi congolaise ».

Signer des contrats pour le gaz fossile en Congo-Kinshasa en deux semaines : « mission impossible », selon Greenpeace Afrique. « La loi prévoit un long processus d'évaluation et de vérification après la réception des premières manifestations d'intérêt et le dépôt des offres ».

« Un processus précipité est une invitation ouverte à piller le peuple congolais et les écosystèmes dont il dépend, tout en enrichissant rapidement une élite écocide.", Irène Wabiwa, responsable de la campagne pour les forêts du Bassin du Congo chez Greenpeace Afrique

Cette organisation environnementale dénonce qu’ « aucune évaluation environnementale stratégique de la décision de mettre aux enchères les droits pétroliers et gaziers n'a été réalisée à ce jour, comme l'exige la loi congolaise ». « Trois des appels d'offres comportent des anomalies procédurales flagrantes », rapporte Greenpeace.

Depuis son lancement fin juillet, l’appel d’offres pour les trois blocs gaziers et 27 blocs pétroliers suscite des contestations de la part des organisations environnementales, notamment Greenpeace qui prévient plusieurs conséquences catastrophiques. De son côté, le Gouvernement congolais tient à sa décision. Le ministre des Hydrocarbures a assuré mercredi que le processus d’appel d’offres qui se poursuit jusqu’au 29 janvier, allait demeurer « public, transparent, impartial et concurrentiel » et puis qu’ « aucun acte de corruption ne serait toléré ».

La rédaction

12/10/2022

Mines : la RDC veut la levée des «sanctions» américaines contre Dan Gertler pour j***r de ses «actifs»

Dans un briefing hebdomadaire du lundi, le porte-parole du Gouvernement congolais, Patrick Muyaya a fait savoir que son pays la RDC est en pourparlers avec l’administration américaine sur le dossier Dan Gertler pour « la levée des sanctions » qui pèsent sur lui.

« Concernant le dossier Dan Gertler, des options ont été prises grâce aux sanctions américaines pour récupérer nos actifs et en faire profiter à nos compatriotes », a déclaré le Ministre pendant son briefing. Patrick Muyaya pense qu’à ce moment « l’enjeu pour nous aujourd’hui, c’est de regarder est-ce l’accord qui a été fait constitue un moyen de détournement des sanctions contré Dan ».

Cette levée de sanction américaine permettra à l’Etat congolais de j***r de ses actifs récupérés, grâce à l’accord signé avec le groupe Ventora.

« Le Gouvernement congolais est dans plusieurs cadres des discussions avec le Gouvernement américain », a rapporté le Ministre de la communication et médias. Et c’est dans ce cadre, à en croire le porte-parole du gouvernement, que ce sujet sera abordé. « Nous voulons que le congolais profite de ses actifs », a souligné le patron des médias congolais.

L’accord signé entre le Gouvernement congolais et le groupe Ventora de Dan Gertler contient l’inclusion d’une clause astreignant l’Etat congolais à défendre l’accord auprès des médias, des ONGs et de l’administration américaine afin d’obtenir la levée des sanctions américaines ciblées contre Dan Gertler et ses sociétés affiliées, selon plateforme " Congo n’est pas à vendre (CNPAV) " qui a participé à la table ronde organisée par la présidence de la République.

La rédaction

12/10/2022

Industrie: Les étudiants de la troisième année de graduat à la faculté des sciences, du département de chimie de l’Université de Kinshasa (UNIKIN), ont fabriqué à base des fruits du carambole « Pakapaka », une nouvelle marque de vin rouge dénommé « Starfruit wine », a appris, mardi l’ACP des sources proches de cette institution d’enseignement supérieur.

11/10/2022

Relance de la MIBA : Adèle Kayinda devant les sénateurs ce mercredi

À travers une question orale avec débat adressée à la ministre du Portefeuille, le sénateur Auguy Civuila s’inquiète sur la problématique de la relance de la société minière de l’Etat MIBA. C’est ce qui indique une correspondance du président du Sénat, Bahati Lukwebo.

L’autorité de tutelle des entreprises du portefeuille, Adèle Kayinda, rapporte ce correspondance, sera auditionnée ce mercredi 12 octobre concernant cette société congolaise de production de diamant industriel et de joaillerie, qui désespérément cherche sa relance à travers des nouveaux financements afin de renouveler son outil de travail.

« Conformément aux dispositions des articles 161 et 166 du règlement intérieur du Sénat, j’ai l’honneur de vous notifier, par la présente, question orale avec débat de l’honorable sénateur Auguy Civuila sur la problématique de la relance de la société minière de Bakwanga », peut-on lire dans cette correspondance.

Le projet de la relance de la Miba a été voté depuis plusieurs mois par les deux chambres du Parlement, mais jusque-là rien n’a été fait. Mi-septembre, le Premier ministre Sama Lukonde avait, lors de sa mission officielle dans la province du Kasaï Central, promis à la population de cette province de relancer dans un futur très proche les activités de la société MIBA.

La descente aux enfers de la minière de Bakwanga (MIBA) reste bien sûr la source des malheurs dont, la population Kasaïenne vit actuellement. Cette entreprise publique a toujours été considérée comme la mère nourricière de cette partie du pays. Et cela, pour la simple raison, qu'elle disposait d'une grande diversité de tâches dont, les Est Kasaiens furent bénéficiaires. Nous pouvons comme l'engagement des fils et filles à ses services, la fourniture de l'électricité et l'eau potable, l'entretien des principales de la voirie de la ville, ses cantines de vivres alimentaires étaient envahies par les populations locales, et cela pour son approvisionnement, le transport aérien, sans oublier le domaine de la santé comme de la scolarité, tout c’est la Miba qui n'avait pas cessé de répondre aux besoins de cette population.

La rédaction

10/10/2022

Agriculture : «Kasiki», vin préféré de la population de l’Est en voie de disparition

« Kasiksi ou Kasi-kisi », c’est cette bière produite à base des bananes qu’on aime locale et qui immortalise la culture des plusieurs peuples du Kivu, à l’Est de la RDC. Mais l’apparition du wilt bactérien, cette maladie qui décime les bananiers, gâche petit à petit toute cette ambiance qui a toujours régné au tour de ce vin.

Quand une feuille morte de bananier flotte sur une petite hampe en bois, dans un carrefour ou perché sur la clôture d’une parcelle, dans des quartiers de Beni-Lubero, à environs 300 Km au Nord de Goma, à l’Est de la RDC, c’est un signe de quelque chose : « le Kasiksi est en vente ici ». C’est un annonciateur d’un bar de Kasiksi, une boisson locale brassée à base des bananes, rapportent nos confrères d’Ici Congo.

Le soir du samedi 1er Octobre, en commune Kimemi, en ville de Butembo, à en croire notre source, des clients arrivent en compte-goutte dans la buvette de Nya Munywa, au quartier Fatuma, un des coins chauds de la ville de Butembo. Une musique reposante et un reggae en Kinande (langue locale très parlée dans la Région), la Rumba congolaise suivie de la musique d’Afrique de l’Est, emplit la petite buvette. Pour les clients, l’heure est aux bals, aux bavardages et aux rires comme si enfin les groupes armés responsables des enlèvements, tueries, massacres et autres atrocités s’étaient volatilisés dans la nature pour de bon. Sa fierté est de créer un environnement de sérénité et de camaraderie pour une quarantaine de clients qui fréquentent ce bar chaque jour.

Pour les clients, « la Kasiksi leur offre des moments charmants pour noyer leur infortune et se mettre à l’abri de la douloureuse réalité de l’insécurité devenue leur lot quotidien », confie Jean Marie Mumbere, un des clients fidèles. Il ajoute que la Kasiksi est aussi le symbole de paix, de possibilité et de lien dans la communauté locale. C’est sont des grands lieux de rencontre. Des amitiés s’y tissent, certaines personnes y trouvent même des orientations sur les difficultés qu’ils traversent… « Ce sont des véritables lieux de palabre. On y trouve des conseils, on discute de tout et de rien et on parle librement. On a même des occasions d’exécuter quelques pas de dance », explique Alphonse Kyamakya, qui vient d’ingurgiter son verre de ce vin dans une buvette au quartier Malepe, en ville de Beni.

Pour des fins rituelles

Cette bière est appréciée aussi pour ses valeurs nutritionnelles. elle est faite à base des bananes, du sorgo, millet, blé et de l’eau potable. « Ce qui fait d’elle une boisson naturelle, nourrissante et pleine de vie », témoignent plusieurs consommateurs. « Elle est une des meilleures boissons car elle ne cause pas des maladies comme la cirrhose de foie. Elle n’est pas comme des liqueurs fortement alcoolisées qui vous causent de la gueule-de-bois », témoigne Benjamin Mayongesa, vendeur de cette bière à Kalimbute, en ville de Butembo.

Il y a quelques années, cette bière était en grande partie réservée aux vieux.

Aujourd’hui, on voit un engouement des jeunes, filles et garçon et garçons, qui en consomment. D’ailleurs nombreux n’acceptent plus de prendre d’autres bières en dehors de la Kasiksi. « Nos vieux qui buvaient de la kasiksi continuent de la prendre jusqu’aujourd’hui. Si vous regardez bien quelqu’un ne peut pas vivre plus de dix ans en train de consommer des boissons trop alcoolisées », réagit un preneur en donnant le jarre à son voisin.

Focus Jaune/ Icicongo

Focus Jaune

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