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Kinshasa/Circulation routière: Nouvelles restrictions de circulation Réforme salutaire ou illusion de progrès ? S’interr...
19/05/2025

Kinshasa/Circulation routière: Nouvelles restrictions de circulation
Réforme salutaire ou illusion de progrès ? S’interroge Routes.CD

Kinshasa, 19 mai 2025 – Face aux embouteillages chroniques qui étouffent Kinshasa, l’Exécutif Provincial a pris une série de mesures visant à réguler la circulation dans la capitale. Présentées comme une réponse urgente à la paralysie routière, ces décisions peinent pourtant à rassurer une population de plus en plus désabusée par les politiques de mobilité, souvent perçues comme inefficaces ou mal appliquées.

Selon le communiqué officiel publié le 15 mai, les camions transportant des matériaux de construction, des boissons, ou encore les bétonnières et véhicules de livraison, ne pourront circuler que de nuit, entre 22h et 5h du matin. À cela s’ajoute une mesure de restriction alternée : les véhicules portant un numéro impair à la fin de leur plaque circuleront les jours impairs (lundi, mercredi, vendredi), et ceux à chiffre pair, les jours pairs (mardi, jeudi, samedi). Le dimanche reste libre.

Cette initiative rappelle, pour certains, les tentatives d’organisation urbaine de l’époque coloniale, quand les routes de Kinshasa étaient encore synonymes d’ordre et de sécurité. "Avant l’indépendance, les artères étaient bien tracées, la circulation disciplinée. Aujourd’hui, c’est l’anarchie. Ces mesures, sur papier, c’est bien, mais est-ce qu’on peut vraiment faire confiance à leur mise en œuvre ?" s’interroge un habitant de la commune de Ngiri-ngiri.

Les autorités promettent une amélioration notable de la fluidité, mais beaucoup de Kinois restent dubitatifs. Dans une ville où les décisions sont souvent annoncées sans suivi, nombreux sont ceux qui craignent une application partielle, voire détournée, de ces règles.

"On annonce des horaires pour les poids lourds, mais qui va les faire respecter ? Et que dire de cette alternance de circulation ? Avec un transport en commun déjà à bout de souffle, cela risque d'aggraver les inégalités", estime zayamo, commerçante au marché de Matete.

Si l’intention de désengorger Kinshasa est louable, plusieurs observateurs pointent l’absence de solutions structurelles. Pas de plan clair pour renforcer le transport collectif, peu de communication pédagogique, et surtout, une méfiance persistante vis-à-vis des agents chargés de faire respecter les nouvelles règles.

Certains dénoncent déjà un risque accru de tracasseries policières, de corruption, ou d’injustices dans l’application des sanctions.

Les experts en urbanisme insistent : sans amélioration du système de transport, sans marquage des voies, sans éclairage public suffisant, et sans une réelle volonté de contrôle équitable, ces mesures risquent de rejoindre la longue liste des bonnes intentions non concrétisées.

Kinshasa, ville à l’histoire riche et autrefois modèle d’urbanisme en Afrique centrale, aspire à retrouver un semblant d’ordre sur ses routes. Les mesures annoncées pourraient marquer un tournant, mais leur succès dépendra moins des textes que de leur application rigoureuse, transparente et accompagnée de réformes de fond. En attendant, les Kinois oscillent entre espoir prudent et résignation.

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🚧Dégradation de l’avenue Université : une route oubliée qui menace des vies – Routes.CD interpelle vigoureusement le Min...
04/05/2025

🚧Dégradation de l’avenue Université : une route oubliée qui menace des vies – Routes.CD interpelle vigoureusement le Ministre des Infrastructures

Kinshasa, le 3 mai 2025 - Malgré les alertes répétées depuis plusieurs mois, la situation de l’avenue Université, axe stratégique de la capitale congolaise, continue de se détériorer dans un silence administratif assourdissant.

Ce tronçon, aujourd’hui impraticable, s’est transformé en un piège mortel pour les usagers. Routes.CD, en tant qu’observateur engagé dans la veille citoyenne sur l’état des routes, tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme et interpelle avec fermeté le Ministre des Infrastructures, Alexis Gisaro Muvunyi.

Une artère stratégique menant droit àl’université de kinshasa, abandonnée aux ornières et à l’insalubrité.

L’avenue Université, située au cœur d’un quartier densément peuplé, est devenue une zone de tous les dangers.

Les images, difficilement soutenables, témoignent de l’effondrement avancé de la chaussée, de caniveaux béants envahis par des déchets et d’une circulation chaotique où motos, piétons et véhicules se disputent un passage devenu cauchemardesque. Cette dégradation accélérée expose chaque jour la population à des risques d’accidents graves, voire mortels.

Des alertes ignorées, une inaction qui interpelle

Depuis plusieurs mois, Routes.CD a signalé l’état critique de cette route auprès des autorités compétentes. Mais en retour : silence radio. Comment expliquer que l’avenue Université n’ait pas été intégrée dans le programme prioritaire de réhabilitation des infrastructures ? À quoi sert un ministère censé planifier, exécuter et superviser les travaux publics si des axes aussi vitaux sont abandonnés à leur sort ?

Monsieur le Ministre, jusqu’à quand devrez-nous documenter la souffrance de nos routes sans réponse concrète ? L’avenue Université est un test de votre capacité à écouter, à réagir et à agir pour le bien de la population. Il ne s’agit plus de diagnostics, de discours ou de promesses : il faut agir. Immédiatement.

Routes.CD appelle non seulement à la réhabilitation urgente de cette voie, mais aussi à la mise en place d’un plan durable de gestion et d’entretien des infrastructures urbaines. Les Congolais méritent mieux que des routes ravagées, des ponts en ruine et des caniveaux transformés en dépotoirs à ciel ouvert.

L’avenue Université n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, mais son état symbolise l’échec d’une politique d’infrastructures déconnectée des réalités locales. Routes.CD invite les citoyens à rester mobilisés et les médias à relayer massivement cette situation pour que la honte de l’inaction pousse enfin à l’action.

📷✍️Routes.cd

04/05/2025

Avenue Pumbu, Kinshasa gombe DRC

06/04/2025

Manque de planification, de l’organisation ainsi que de gestion de l’espace national pour un développement harmonieux et durable !!!

Routes.CD

La rivière Ndjili accuse les autorités rdcongolaises

Les infrastructures routières Sûres dans la commune de lemba, quasiment inexistantes!
05/04/2025

Les infrastructures routières Sûres dans la commune de lemba, quasiment inexistantes!

Kinshasa : L’avenue Sefu, un calvaire quotidien qui révèle l’échec du ministère des InfrastructuresKinshasa, RDC – Situé...
06/03/2025

Kinshasa : L’avenue Sefu, un calvaire quotidien qui révèle l’échec du ministère des Infrastructures

Kinshasa, RDC – Située à quelques mètres seulement de la Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN), l’avenue Sefu, à sa sortie vers le boulevard Lumumba, est devenue un véritable parcours du combattant pour les usagers de la route. Des nids-de-poule transformés en cratères, des flaques d’eau stagnantes, des embouteillages interminables... Ce tronçon, censé être une voie stratégique, illustre à lui seul l’état de délabrement avancé des infrastructures routières dans la capitale congolaise.

Une situation inacceptable en plein 21ᵉ siècle,
à une époque où d’autres nations investissent dans des routes intelligentes et des infrastructures durables, la RDC semble régresser, laissant ses citoyens dans une détresse indescriptible. Comment justifier qu’une route aussi cruciale soit réduite à un bourbier infranchissable ? Comment comprendre l’inaction des autorités face aux souffrances quotidiennes des automobilistes, motocyclistes et piétons ?

Ce chaos urbain, qui paralyse la circulation presque tous les jours, est pourtant évitable. Mais plutôt que d’adresser le problème à la source – une mauvaise conception des routes et l’absence d’un plan de maintenance efficace – on préfère blâmer les conducteurs pour des embouteillages qu’ils subissent eux-mêmes.

L’État doit assumer ses responsabilités

Le ministère des Infrastructures et Travaux Publics a pour mission d’assurer un réseau routier praticable et sécurisé. Or, ce qui est observé à l’avenue Sefu est symptomatique d’une gestion défaillante et d’une absence criante de volonté politique. Pourtant, chaque année, des millions de dollars sont alloués aux infrastructures. Où va cet argent ? Pourquoi la ville de Kinshasa, qui devrait être une vitrine du pays, est-elle dans un état aussi lamentable ?

Le collectif Routes Sûres Asbl exige des réponses et des actions concrètes. Il est inacceptable que les citoyens continuent de subir les conséquences de cette négligence institutionnalisée. Nous appelons le ministère des Infrastructures à réhabiliter d’urgence cette route et à mettre en place un véritable programme d’entretien régulier des voiries urbaines.

L’inaction n’est plus une option. Les Congolais méritent mieux.

Crédits images : Routes.CD
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Kinshasa/Les routes se dégagent petit àpetit: L’hôtel de ville engagé dans l’assainissement du rond-point NgabaKinshasa,...
14/01/2025

Kinshasa/Les routes se dégagent petit àpetit: L’hôtel de ville engagé dans l’assainissement du rond-point Ngaba

Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, continue de faire face à des défis majeurs liés à la gestion des déchets et à l'assainissement urbain. Dans ce contexte, le rond-point Ngaba, l’un des carrefours stratégiques de la ville, respire depuis ce mardi 14 janvier sous une opération de nettoyage en profondeur sous l’égide de l’Hôtel de Ville de Kinshasa.

Les images sur le terrain montrent des équipes équipées de gilets de sécurité, casques, râteaux et autres outils, en train de collecter les immondices accumulées dans cette zone. Ces déchets, soigneusement ensachés, sont prêts pour une évacuation rapide vers des sites appropriés. Cette action symbolise une volonté ferme de l’administration urbaine de transformer l’environnement de vie des Kinois.

La population locale, habituée à des conditions de salubrité parfois précaires, a exprimé sa satisfaction. « C’est un soulagement de voir des efforts concrets pour améliorer l’état de nos avenues. Nous espérons que ces actions seront régulières et étendues à d’autres quartiers », a confié un commerçant.

Sous la direction de Son Excellence Daniel BUMBA LUBAKI, gouverneur de la ville-province de Kinshasa, des efforts redoublés sont déployés pour restaurer la propreté et lutter contre l’insalubrité. Cette opération au rond-point Ngaba n’est qu’une des nombreuses actions entreprises dans le cadre du programme « Kin ezo bonga», Opération Zéro déchet, un projet ambitieux visant à faire de la capitale une ville modèle en matière d’assainissement.

Les observateurs notent que ce programme, bien qu'encore en cours de mise en œuvre, commence à produire des résultats visibles. La mobilisation des moyens humains et matériels, ainsi que la sensibilisation de la population, témoignent de la détermination de l’Hôtel de Ville.

Cependant, il est important que ces initiatives soient accompagnées de mesures durables. La mise en place d’un système efficace de collecte, de tri et de recyclage des déchets est une priorité pour garantir que les efforts actuels ne soient pas éphémères. En outre, la collaboration avec les secteurs privé et public, ainsi qu’avec les associations locales, renforcera l’impact des actions de nettoyage.

L’Hôtel de Ville de Kinshasa a également lancé un appel à la responsabilité citoyenne. La lutte contre l’insalubrité ne peut réussir sans l’implication active de tous les habitants. « Kinshasa appartient à chacun de nous. Préservons-la et faisons de notre environnement un cadre sain pour les générations futures », a déclaré un responsable local.

En conclusion, cette opération d’assainissement au rond-point Ngaba est un pas significatif vers une capitale propre et attrayante.

Félicitations au gouverneur Daniel BUMBA LUBAKI et à l’Hôtel de Ville pour leur engagement à améliorer le cadre de vie des Kinois. Les citoyens espèrent que ces initiatives seront pérennes et deviendront une norme dans la gestion urbaine.

Routes.CD

 /  Routière/  de Route la route Bianda en péril : une érosion menace les habitants de KimbutaUne scène alarmante se dér...
14/01/2025

/ Routière/ de Route

la route Bianda en péril : une érosion menace les habitants de Kimbuta

Une scène alarmante se déroule au quartier Kimbuta, où la route Banda, reliant l'avenue By-Pass au sud et Kimwenza au nord, est aujourd’hui dans un état de dégradation avancé. Cette route, jamais achevée sur une distance de 800 mètres, est devenue un véritable danger pour les habitants, menaçant non seulement la mobilité mais aussi les infrastructures environnantes.

Sur le site, une tête d’érosion s’étend, menaçant de couper définitivement cette voie d'accès essentielle. Les sacs de sable disposés en urgence par un bienfaiteur pendant la pluie de cette nuit du 13 au 14, ne suffisent plus à contenir l’effondrement progressif du terrain. Des témoins affirment que les travaux, initialement confiés à une entreprise égyptienne, ont été abandonnés depuis près de deux ans, laissant la route dans un état chaotique.

« L’entreprise égyptienne qui travaillait sur cette route a arrêté les travaux sans explication. Depuis, la partie sabloneuse délaissée subie des menaces », déplore un habitant du quartier. L'absence de suivi et d'entretien a permis à cette dégradation de s’aggraver, exposant les riverains à des risques d’écroulement des terrains et perturbant le quotidien de nombreuses familles.

Face à cette situation préoccupante, la population de Kimbuta interpelle directement le ministère des Infrastructures et Travaux publics de la République Démocratique du Congo. Pourquoi les travaux ont-ils été abandonnés ? Quelles mesures seront prises pour réhabiliter cette route cruciale ? Ces questions restent pour l'instant sans réponse, alors que le danger s'intensifie à chaque saison de pluie.

Les habitants appellent les autorités compétentes à agir rapidement pour stabiliser la zone affectée par l’érosion et relancer les travaux de construction. La route Bianda n’est pas seulement un axe de communication ; elle est aussi un espoir de désenclavement pour de nombreuses communautés.

Ministère des Infrastructures et Travaux Publics de la RD Congo
Ministère des Transports RDC

Credits photos : Routes.CD

DOSSIER DE PRESSE---------------------------------Thème : "Kinshasa ezo bonga" – Un slogan face à la réalitéIntroduction...
04/01/2025

DOSSIER DE PRESSE
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Thème : "Kinshasa ezo bonga" – Un slogan face à la réalité

Introduction : Contexte du slogan "Kinshasa ezo bonga"

Le slogan "Kinshasa ezo bonga", traduit par "Kinshasa sera embelli", symbolise l'ambition affichée par les autorités de la capitale congolaise de transformer la ville en un espace moderne, propre et agréable à vivre. Ce slogan, largement relayé par les médias et les campagnes institutionnelles, suscite de grands espoirs chez les Kinois.

Cependant, à travers les réalités visibles dans les rues, telles que l'accumulation des déchets, la dégradation des infrastructures et l'absence d'organisation urbaine, de nombreux citoyens remettent en question l'application concrète de cette vision

Problèmes observés : Une réalité préoccupante

Malgré les promesses, plusieurs défis majeurs persistent à Kinshasa, comme en témoignent les images ci-dessous. Parmi les problèmes les plus flagrants, on note :

1. Accumulation des déchets :
Les dépôts d'ordures envahissent les espaces publics, obstruant les caniveaux et rendant les rues insalubres. Ces déchets, non collectés, posent des problèmes environnementaux et sanitaires graves, notamment la prolifération des maladies.

2. Infrastructures en mauvais état :
Les routes et trottoirs, censés faciliter la circulation et la vie quotidienne, sont souvent endommagés ou inachevés. Les caniveaux débordants deviennent des décharges à ciel ouvert, aggravant les risques d'inondations pendant la saison des pluies.

3. Manque de sensibilisation citoyenne :
Si les autorités ont une responsabilité majeure, le manque d'éducation environnementale au sein de la population contribue également à la persistance de ces problèmes. Beaucoup jettent les ordures dans la rue par défaut ou faute d'alternatives pratiques.

Engagement des autorités : Promesses non tenues ?

Les autorités municipales et provinciales ont promis des projets ambitieux pour l’assainissement et l’embellissement de la ville, notamment :

La mise en place de services efficaces de collecte des déchets.

La réhabilitation des routes et infrastructures.

La plantation d'arbres et la création d'espaces verts.

Cependant, ces promesses restent largement insuffisantes face aux réalités quotidiennes. Plusieurs questions se posent :

Où vont les budgets alloués aux infrastructures urbaines ?

Pourquoi la collecte des déchets demeure-t-elle irrégulière ?

Où sont les politiques de contrôle et de sanction pour lutter contre les comportements irresponsables en matière de propreté urbaine ?

Appels à l’action : Recommandations pour une vraie transformation

Pour que le slogan "Kinshasa ezo bonga" devienne une réalité tangible, plusieurs mesures doivent être prises :

1. Améliorer la gestion des déchets :

Augmenter les points de collecte et leur accessibilité.

Investir dans des campagnes de recyclage et sensibiliser la population à l’importance de la propreté.

2. Réhabiliter les infrastructures de base :

Réparer les routes et les caniveaux endommagés.

Assurer un entretien régulier des infrastructures.

3. Renforcer la collaboration entre les autorités et la population :

Organiser des journées communautaires de nettoyage.

Éduquer les citoyens sur les enjeux de l’environnement et de l’assainissement.

4. Transparence dans l’utilisation des fonds :
Les autorités doivent rendre compte publiquement des budgets alloués à l'embellissement de la ville, afin de renforcer la confiance des citoyens.

Témoignages ou exemples : La voix des Kinois

Jean, 34 ans, chauffeur de taxi : "Chaque saison des pluies, c'est la même chose. Les caniveaux débordent et les routes deviennent impraticables. Où va tout l'argent de la taxe d’assainissement ?"

Maman zebola, vendeuse au marché zigida: "On nous demande de garder nos espaces propres, mais il n’y a pas de poubelles ou de camions pour ramasser nos déchets."

Ces témoignages reflètent une frustration collective, mais aussi une volonté de voir les choses changer.

Conclusion : Construire un avenir meilleur pour Kinshasa

"Kinshasa ezo bonga" doit aller au-delà d’un slogan pour devenir une réalité concrète. Cela passe par une implication ferme des autorités et un engagement collectif de la population. Kinshasa, capitale et vitrine de la RDC, mérite de devenir une ville propre et moderne où il fait bon vivre. Les promesses doivent se traduire en actions durables, car les Kinois méritent mieux.

Contacts presse :
Pour toute information supplémentaire ou collaboration, veuillez contacter Routes.CD

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KIN/SÉCURITÉ ROUTIÈRE: Les infrastructures et la gestion routière à Kinshasa, des défaillances majeures en contradiction...
31/12/2024

KIN/SÉCURITÉ ROUTIÈRE: Les infrastructures et la gestion routière à Kinshasa, des défaillances majeures en contradiction avec les exigences de l'ISO 39001:2012

Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, est confrontée à une crise structurelle et organisationnelle en matière de sécurité routière. Outre l'état déplorable des infrastructures routières, le manque d'une politique rigoureuse sur l'octroi des permis de conduire et la négligence dans la surveillance des véhicules aggravent considérablement les risques d'accidents. Ces défaillances mettent en lumière l'absence d'une gestion systématique conforme aux exigences de l'ISO 39001:2012, qui promeut un système de management intégré pour réduire les accidents de la route.

Des routes impraticables et non sécurisées

Les routes de Kinshasa souffrent d'une dégradation avancée. Nids-de-poule, chaussées effondrées, et intersections non régulées sont monnaie courante. Ces conditions augmentent le risque d'accidents graves. Selon les principes de l'ISO 39001:2012, une infrastructure routière sécurisée est essentielle pour minimiser les risques pour les usagers. Or, dans de nombreuses zones de la ville, ces standards sont ignorés, rendant la circulation dangereuse et chaotique.

Permis de conduire : une politique défaillante

L'obtention d'un permis de conduire à Kinshasa est souvent entachée de corruption et d'un manque de rigueur. De nombreux conducteurs obtiennent leur permis sans formation adéquate, ignorant les règles de conduite et de sécurité de base. L’ISO 39001:2012 exige une évaluation stricte des compétences des conducteurs et une formation axée sur la prévention des risques. Cependant, en l'absence d'une politique rigoureuse, les routes de Kinshasa sont peuplées de conducteurs non qualifiés, amplifiant les dangers.

Véhicules mal entretenus et négligence réglementaire

La surveillance des engins roulants est un autre point faible. Des véhicules obsolètes, non entretenus, et souvent surchargés circulent librement, mettant en péril la sécurité des usagers. L'ISO 39001:2012 souligne l'importance d’une vérification technique régulière des véhicules pour garantir leur conformité aux normes de sécurité. Pourtant, à Kinshasa, les contrôles techniques sont rares ou inefficaces, faute de régulation stricte et de volonté politique.

Signalisation et régulation routière insuffisantes

En plus des problèmes liés aux conducteurs et aux véhicules, la signalisation routière est quasiment inexistante ou en mauvais état. Les intersections sont souvent laissées sans feux de signalisation fonctionnels, et les panneaux sont absents ou illisibles. Ce manque d’infrastructure basique va à l’encontre des principes de l’ISO 39001, qui insiste sur l’importance d’une signalisation claire pour réduire les conflits de circulation et améliorer la sécurité.

Les conséquences humaines et économiques

L'absence de gestion rigoureuse du système routier à Kinshasa a des conséquences dramatiques : des centaines de vies perdues chaque année et des coûts économiques faramineux. Les accidents de la route, souvent évitables, touchent les familles, paralysent l’économie et nuisent à la productivité de la ville.

Une transformation urgente nécessaire

Pour aligner Kinshasa sur les exigences de l’ISO 39001:2012, des réformes profondes s’imposent :

1. Mettre en place une politique rigoureuse d’octroi des permis de conduire, basée sur des formations pratiques et théoriques obligatoires.

2. Établir un système de contrôle technique obligatoire pour tous les véhicules, accompagné de sanctions strictes pour les non-conformités.

3. Investir dans la réhabilitation des infrastructures routières, en priorité les routes principales et les intersections à fort trafic.

4. Renforcer la signalisation et les mesures de régulation, notamment par l’installation de feux de signalisation fonctionnels et de panneaux clairs.

5. Collaborer avec les parties prenantes (gouvernement, secteur privé, organisations de transport) pour assurer une gouvernance transparente et efficace.

un système routier à repenser

Le système routier de Kinshasa, dans son état actuel, représente un risque majeur pour ses usagers. En s’appuyant sur les principes de l’ISO 39001:2012, les autorités peuvent non seulement réduire le nombre de décès et de blessures, mais aussi restaurer la confiance dans la gouvernance publique. Sans une action rapide et déterminée, les routes de Kinshasa continueront à être des lieux de tragédies évitables, à un coût humain et économique inacceptable.

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KIN/CIRCULATION ROUTIÈRE : FORTE DENSITÉ DE TRAFIC SUR LA ROUTE DE L'AÉROPORT NDJILI En ce moment, il s'observe une fort...
30/12/2024

KIN/CIRCULATION ROUTIÈRE : FORTE DENSITÉ DE TRAFIC SUR LA ROUTE DE L'AÉROPORT NDJILI

En ce moment, il s'observe une forte densité de trafic sur la route boulevard Lumumba qui mène vers l'aéroport de ndjili.

Même Cortège du ministère des infrastructures est coincé bien que roulant dans le sens contraire.

Sur le tronçon compris entre entrée siforco et route buma, une seule bande de circulation est réservée aux véhicules en provenance du centre ville.

La circulation routière à Kinshasa demeure très préoccupante.

Dans les volants des différents véhicules les comportements des conducteurs sont les mêmes.

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KIN/INFRASTRUCTURES ROUTIÈRES : LA DÉGRADATION DE LA ROUTE BY PASS, C'EST DE L'INCOMPÉTENCE, LA MAUVAISE FOI, L'IGNORANC...
28/12/2024

KIN/INFRASTRUCTURES ROUTIÈRES : LA DÉGRADATION DE LA ROUTE BY PASS, C'EST DE L'INCOMPÉTENCE, LA MAUVAISE FOI, L'IGNORANCE OU JUSTE UNE SITUATION NON PRIORITAIRE ?

Ces images suffisent pour illustrer l'état catastrophique des infrastructures routières dans la capitale congolaise.

Les scènes capturées, où l'on voit des véhicules zigzaguer autour de cratères béants, d'autres abîmés par les nids-de-poule et des piétons risquant leur vie pour traverser des rues délabrées, est le symbole de l'échec flagrant des autorités en charge des infrastructures et de l'entretien routier en RDC.

En effet, malgré les nombreuses promesses faites par le ministère des Infrastructures et Travaux Publics ainsi que le Fonds National d'Entretien Routier (FONER), la réalité sur le terrain est accablante : des routes impraticables, des embouteillages interminables et un quotidien qui devient de plus en plus difficile pour les usagers.

Cette situation soulève des questions légitimes : où vont les milliards de francs congolais collectés auprès des contribuables pour financer les travaux d’entretien des routes ? Comment justifier l’absence de planification efficace face à une dégradation aussi flagrante ?

Le FONER, censé garantir l’entretien régulier du réseau routier national grâce à un fonds dédié, semble être devenu une institution de façade. Selon plusieurs enquêtes, les détournements de fonds, la mauvaise gestion et l'absence de contrôle rigoureux sont monnaie courante. Pourtant, chaque jour, les Congolais paient des taxes, notamment sur le carburant et les péages, avec l'espoir d'une amélioration tangible des infrastructures. Malheureusement, cet espoir se heurte à une réalité marquée par l'inaction et la négligence.

De son côté, le ministère des Infrastructures multiplie les annonces, mais très peu de projets voient réellement le jour. Lorsqu’ils sont lancés, et sont caractérisés par un lenteur qui laisse à désirer. Ils sont souvent mal exécutés, abandonnés ou rapidement dégradés faute d'entretien. Les exemples sont nombreux et ces routes photographiées en témoignent éloquemment.

Le manque de drainage, l’absence de pavage adéquat et la gestion inefficace des chantiers contribuent à transformer les routes en véritables pièges pour les usagers.

L'impact sur la population

Cette situation a des conséquences désastreuses. Les accidents de la circulation se multiplient, causant des pertes en vies humaines et des blessures graves. Les commerçants, transporteurs et autres usagers se plaignent des coûts élevés pour réparer leurs véhicules endommagés. Pire encore, cette dégradation affecte directement l'économie, ralentissant les échanges commerciaux et augmentant les coûts de transport.

Un appel à la responsabilité

Il est temps que les dirigeants en charge de ces secteurs cessent de détourner les fonds publics et commencent à rendre des comptes. Les citoyens congolais ne méritent pas de vivre dans de telles conditions alors que les ressources pour améliorer leurs infrastructures existent.

Un audit transparent du FONER, accompagné de sanctions pour les responsables de détournements, et une réforme du ministère des Infrastructures sont indispensables pour redresser cette situation critique.

En attendant, les habitants de Kinshasa en général et de la Commune de Lemba en particuliers continueront à subir les conséquences de cette incompétence flagrante.

Les routes ne sont pas seulement des voies de passage, elles sont aussi un indicateur du développement d'un pays. Et dans ce domaine, la RDC est tristement en re**rd.

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