09/07/2024
✍✍SECOURS DIVIN🙏🙏
ÉPISODE 49
A peine arrivé dans ma chambre, mon téléphone s’est mis à sonner, je jette un coup d’œil à l’écran mais c’est un numéro inconnu que je vois. Je décroche et je reconnais la voix de Blandine
-Blandine : comment tu vas mon chéri ? Je suis désolé pour ma crise de jalousie de ce matin !
-moi : ne t’inquiète pas ma chérie, c’est normale.
-Abdias m’a tout raconté.
-moi : j’en suis content. Dis demain il y a une fête ici chez mon nouveau papa en mon honneur. J’aimerais que tu viennes. J’ai indiqué lé lieu à Abdias, il pourra t’accompagner. Je vais l’appeler aussi tout à l’heure pour lui dire pour la fête.
-Blandine : d’accord mon chéri, je serai là.
-moi : okay disons à demain alors ! On a beaucoup de choses à se raconter.
-Blandine : oui à demain mon chéri.
-moi : passe une bonne nuit.
-Blandine : je t’aime
- moi : moi, encore plus.
Je suis allé prendre un bain et je me suis jetté dans mon lit. Et là maintenant toutes les images de la journée défilent devant moi comme un film. Je n’arrive toujours pas à croire tout ce qui m’arrive. Ça fait vraiment beaucoup en une seule journée! Je ne peux pas croire que cette femme soit ma mère, comme la vie peut nous faire des surprises des fois! Quand je pense qu’il y de cela quelque mois ma vie était encore misérable et je mangeait des fruit non mûr et je demandais de l’eau afin d’étancher ma soiffe. Voila qu’aujourd’hui j’ai à moi seul 5 million de la part d’un homme généreux qui n’est personne d’autre à part de l’oncle de Abdias, et de plus il me laisse une très grande maison que Dieu m’aide à fructifier cet argent et à bien prendre soin de ces biens. Aujourd’hui j’ai eu la confirmation, la preuve que Dieu existe et qu’il est vraiment grand et glorieux. Celui qui s’abandonne à lui aura toujours la victoire. Je dis ça parce que je regarde l’exemple de mon père même si il n’est pas mon père biologique. J’ai demandé à Dieu de lui redonner toute ces facultés et il l’a fait. Je savais depuis le debut que ce ne serai pas chose facile mais ça viendra quand même. J’ai prié jour et nuit et ill’a fait, il a exaucé ma prière, il l’a délivré et toute les vérités ont éclatés. Merci seigneur Dieu éternel des armés pour tous ces miracles accomplis dans ma vie.
Après avoir fait ma prière nocturne je me suis endormi, le lendemain c’est l’appel de Blandine qui m’a réveillé, elle voulait juste entendre ma voix car ça la manqué j’avoue que c’est réciproque. La journée son cours normal et comme là dit mon père biologique à la veille il a vraiment organisé la fête. Il y avait beaucoup d’invité, il me présentait à tout le monde et dit qu’il est fier de moi et cela me va droit au cœur. Blandine et Abdias aussi était de la partie ils étaient venu au environs de 17h30. Nous parlons de tout et de rien, nous nous sommes raconter tout ce que nous n’avons pas pu nous dire durant ces long mois où nous sommes resté loin l’un de l’autre. Abdias prend un air sérieux et dit à Blandine qu’elle devrait me dire quelque chose. Blandine me demande de l’amener dans un lieu tranquille afin qu’on puisse discuter. Je la prends par la main et l’emmene dans ma chambre. Aussitôt rentrés et j’eu fini de fermer la porte, elle se jette sur moi et plaque contre la porte puis m’embrasse langoureusement. Nous embrassons ainsi pendant plusieurs minutes avant de nous détacher l’un de l’autre.
-moi : waouh c’est ce que tu voulais me dire ? tes lèvres sont toujours aussi douces mais plus douces que dans mes souvenirs.
-Blandine : merci chéri. Mais non, ce n’est pas ce que je voulais te dire.
-moi : tu voulais me dire quoi alors ?
-Blandine : moi aussi j’ai eu une révélation sur mes origines.
-moi : comment ?
-Blandine : mes parents que tu connais ne sont pas mes vrais parents. C’est en réalité ma tante chez qui je suis allé hors du pays qui est ma mère et mon père est un monsieur qui est médecin.
-moi : tu l’as rencontré ?
-Blandine : oui.
-moi : pourquoi ils t’ont abandonné ?
-Blandine : ils ne m’ont pas abandonné. Mes grands parents étaient contre leur relation mais tellement ils s’aimaient qu’ils n’ont pas arrêté de se voir en cachette puis elle est tombé en ceinte. Mes grands parents étaient devenus fous de rage. Ils ont du s’enfuir après l’accouchement et c’est là qu’ils m’ont confié à mes parents d’ici avant de partir. Voila mon histoire. J’ai appelé mes parents et ils me l’ont confirmé. C’est quand j’ai eu l’information que je suis descendue au pays pour mieux digérer.
-moi : apparemment toi et moi sommes dans la même situation. Aller viens dans mes bras pour que je puisse te serrer fort contre moi.
-moi : tu m’a manqué Blandine
-Blandine : tu m’a manqué aussi mon amour.
Nous plongé nous regards l’un dans celui de l’autre et nous ne nous sommes pas empêché de mettre nos lèvres en fusions puis de là est née une tension qui se cqchait en nous depuis fort longtemps. Vous-même vous connaissez la suite, nous avons fait l’amour comme c’est pas permis. Nous l’avons fait avec une telle romance ! Je vous passe des détails. Quand nous avons fini, nous avons rejoins les autre à la fête. Adeline que je n’arrivais pas à voir à travers ce grand monde apparait devant nous et là maintenant nous avons fait les présentations. Blandine s’est excusée auprès d’Adeline pour son comportement de la veille et cette dernière lui fit comprendre qu’il n’y a pas de souci et qu’il est normal qu’une femme amoureuse soit jalouse. Abdias aussi nous rejoint après et nous passions tous ensemble un très bon moment. C’était une très belle journée, j’ai vraiment aimé. Le lendemain, comme me l’a dit mon père Ruben a été emmené par la police. Tout le monde était debout, quand ils l’ontemmené à mon niveau, je lui ai rappelé ce que je lui avait dit : celui qui cherche à me faire du mal fini toujours par avoir le retour à l’envoyeur car mon Dieu n’aime pas l’injustice. Il était dans un profond regret.
Les jours passent tout semble aller pour le mieux. Je vais, de temps en temps rendre visite à ma mère pour voir comment elle va. Sa santé s’est amélioré au bout de quelques semaines et disons que j’ai commencé par la pardonner. C’est vrai parfois quand je me rappel de tout ce qu’elle a avoué, il y a ce sentiment de dégout qui me prends mais l’important est que j’ai commencé par la voir autrement et maintenant je supporte sa présence. Je vais la voir de mon plein gré et j’envisage faire un trait sur le passé et le donner une seconde chance. De toutes les façons, Dieu nous demande de pardonner celui qui nous a offensé car nous ommes tous enfant du même père et le fait qu’elle déjà repenti est l’essentiel.
Tout va bien, oui mais ces derniers temps, entre Blandine et moi, ça ne va pas trop. Je reconnais que je lui fais vivre un calvaire depuis une semaine. Je ne décroche plus ses appels et je ne reponds plus à, ses messages. Si je décroche son appel c’est pour lui dire que je vaios la reppeler, chose que je ne fais pas.
Ce soir je suis dans mon lit, mon téléphone en main et je viens de lancer son numéro.
-Blandine : allo chéri, enfin tu m’appel. Je suis contente de voir ton appel.
-moi : ah bon ? okay ! Ecoute Blandine, il faut que nous mettons les choses au claire. Nous ne pouvons plus continuer ainsi. Je ne peux plus continuer ainsi.
-Blandine (pleurs) qu’est ce que je t’ai fait de mal mon chéri ? s’il te plait dis moi et je ne recommencerai plus.
-moi : il ne s’agit pas de recommencer quoi que ce soit ?
-Blandine : tu veux m’abandonner ? Tu as trouvé quelqu’un d’autre ? Pourquoi tu veux me faire ça ? Je ne peux pas vivre sans toi et tu le sais.
-moi : il est 20h15 minutes à ma montre, je passe te prendre à 20h30 minutes pour qu’on aille quelque part pour avoir une dernière discussion avant que je ne me décide.
-Blandine : tu me faire peur Aristide, j’ai fait quoi pour mériter ça ?
-moi : soit prête j’ai dit.
-Blandine : d’accord je serai là à t’attendre quelque soit ce que tu veux dire.
-moi : à tout à l’heure.
Quinze minutes après, j’étais déjà chez elle. Elle faisait tout pour que je lui dise ce qui n’allait pas mais je ne lui ai rien dit. J’ai démarré jusqu’à m’arrêter à la destination. En réalité il s’agit d’un restant un peu isolé de la ville. C’est discret mais quand on y pénètre c’est un petit paradis. J’avais déjà fait une réservation et j’ai tenue à ce que la table soit celle au centre de la pièce.
-Blandine : pourquoi veut que ce soit jusqu’ici que nous venions discuter ? Si tu veux rompre avec moi, fallait pas te gêner si tant ?
-moi : qui t’a dit que je veux rompre avec toi ?
-Blandine : tu as l’air énervé, je te parle tu ne me, réponds pas, je t’écris mais sans reponse, et depuis que tu es venu me chercher tu n’as rien à part allons. Tu me boude et tu veux que je croie quoi ?
-moi : crois ce que tu veux.
-Blandine : et en plus tu es sec avec moi.
-moi : est ce que nous pouvons manger tranquillement et discuter puis rentrer ?
Après ça elle s’est tue et nous avons commandé nos plat puis, j’ai commencé par manger tout en faisant semblant del’ignorer. Je constate qu’elle ne mange pas sa ration. Et qu’elle ne fait que me regarder.
-moi : tu ne mange pas ?
-Blandine : je n’ai pas d’appétit. Tu voulais me dire quelque chose alors dis le, maintenant. Je me lève donc de mon siège et je lui tends la main pour la faire lever puis elle a obtempéré.
-Blandine : tu m’emmène où encore ? Parle maintenant j’ai dit. Je la tire légèrement vers l’allée et je hausse le ton puis je me lance.
-moi : tu veux le savoir ? Tu veux que je te dise ?
Tout le monde s’était mis à nous regarder.
-Blandine : mais que fais tu ? Tout le monde nous regarde ! Tu m’as amené ici pour me fo**re la honte ?
-moi : Je sais que ces derniers temps j’ai changé de comportement envers toi. J’ai été méchant avec toi. Tu me demande si je veux rompre avec toi, non loin de là si je romps avec toi alors ce serait la fin de ma vie. Tu as dit que je suis en colère mais ce n’est pas de la colère, c’est de la peur. Si j’ai laissé ce froid s’installer entre nous deux ces derniers jours, c’est parce que j’ai une chose à te dire mais je ne sais comment m’y prendre et du coup ça me fait peur. Mais il est temps que je le fasse sortir. C’est pourquoi devant tous ceux qui sont ici présent, et devant Dieu je m’envais te poser une question.
Je m’agenouille puis je fais sortir de ma poche une bague que je tends à Blandine en lui posant la fameuse question
-moi : Blandine, veux tu m’épouser ?
Elle me regarde ne sachant quoi dire. Elle fond en larme puis se jette à mon coup et après, m’embrasse langoureusement puis se détache, me regarde et se lance
-Blandine : Aristide, c’est quoi cette question ? Pourquoi poser une question dont tu connais la réponse ? Bien sure que oui ! Je t’aime énormément et tu le sais bien. Tu es illumine ma vie que je n’imagine pas passer sans toi. Devant Dieu et touts ceux qui sont ici présent, je dis oui. Oui je veux t’épouser Aristide. Puis elle m’embrasse à nouveau
Comme si nous étions à une séance, toute la pièce vibrait d’applaudissement et ce fut un bon moment.
Trois jours plus t**d ce fut un samedi. Je dormais encore quand mon téléphone me réveille de part son bruit. C’était mon père adoptif. Il me demande de venir en urgence chez lui et que ça concerne ma mère. Pris de panique je me dépêche pour m’y rendre. Mon père qui s’était déjà réveillé et était au salon m’arrêta quand je lui ai dépassé sans même m’apercevoir de sa présence.
-ou vas-tu comme ça Aristide ?
-moi : bonjour père, je reviens, il y a un souci avec ma mère.
-Je viens avec toi.
Ensemble nous sommes allés là-bas en vitesse. Mon père adoptif était au salon entrain de pleurer .
Moi : pourquoi vous pleurez ? ou est ma mère ?
- dans sa chambre, elle s’est suicidée.
-moi : non non non non.
Je me suis précipité pour aller voir si c’est vrai et c’est avec amertume que la trouve le coup accroché à une corde au centre du plafond.
Je me mis en larme puis mon père adoptif vient me prendre par l’épaule.
-elle t’a laissé une lettre
Il me la tend, je la prends puis lis :
Aristide mon fils, je suis désolé que tu aies à lire cette lettre, si tu la lis, cela signifie que je suis partie. C’est les larmes aux yeux et un cœur plein de chagrin et de remord que je l’écris. Ne dis surtout pas que je t’abandonne une fois encore ! Non, car je serai toujours là à veiller sur toi. J’ai fait des choses horribles et je ne mérite plus de vivre. Je voulais que tu me pardonne et tu l’as fait. Je ne pouvais pas partir sans savoir que tu m’as pardonné. Mais maintenant que tu l’as fait il faut que je te dise à Dieu car je n’arrive plus à me regarder dans la glace après tout ce que je t’ai fait. Ton geste de pardon m’a redonné la joie mais ça ne peut pas changer ce que je t’ai fait. Si seulement je pouvais revenir en arrière je ferais les choses autrement. Je suis désolé mon fils. Ton père est quelqu’un de bien, il saura prendre soin de toi et depuis là haut moi aussi je veillerai sur toi. Je t’aime mon garçon !
FIN ! FIN ! FIN !
Comment avez-vous trouvé cette histoire, chers lecteurs ???
Merci à vous tous qui m'avez suivis .