Serviteur Rehoboth

Serviteur Rehoboth

01/06/2025

,

19/05/2025

17/05/2025
16/05/2025

Ce que Dieu veut te révéler dans ta vie🔥

16/07/2024

LE TEMPS, C'EST LE SECOND NOM DE DIEU :02

Peu de temps après, Dd revient dans la chambre. Je l'aborde la première.
- Dd, demain je dois aller chez Marc pour qu'on s'entende sur la date où nous irons au village.
- ok, je serai avec toi.
- tu n'iras pas au travail.?
- Joana, je gère ma propre entreprise et je suis mon propre patron, ne l'oublie pas.
- merci pour ton soutien. As-tu informé ta mère que maman sera enterrée au village. ?
- oui, ce qui est sûr, elle va annoncer la nouvelle au reste de ma famille et nous allons nous organiser pour les funérailles.
Dd a voulu me cacher la réaction de sa mère. Je ne lui fais pas savoir non plus que j'ai tout entendu. Je verrai bien comment ils vont procéder. Mais je dois reconnaître que ma belle -mère m'a étonné en prononçant des paroles aussi méchantes. Je sais qu'elle m'en veut parce que je ne donne pas de descendance à Dd. Mais là., il s'agit de la mort de ma mère. Je trouve qu'elle est allée trop loin.
Je ne bouge plus du lit jusqu'au lendemain. C'est maintenant que je réalise que ma mère est vraiment partie et que je ne la reverrai plus jamais. Maman va énormément me manquer. Depuis trois mois que dure sa maladie, je me suis préparée plus ou moins pour une éventuelle séparation. Mais j'ai très mal. Maman était tout pour nous ses enfants. Lyne était dans son ventre quand papa est mort. Elle ne s'est jamais remariée et a consenti d'énormes sacrifices pour nous élever. Il est vrai, une fois ayant réussi dans la vie, nous ses enfants avions tout fait pour la combler. Mais même un cadeau en diamant, ne pourra jamais compenser les sacrifices qu'une mère consent pour ses enfants.
En ce moment, la multitude des souvenirs qui s'entrechoquent dans ma tête est la preuve de l'importance qu'elle avait dans ma vie. L' entendre chanter quand elle cuisine, parler des heures avec nous ses enfants, me réconforter quand je désespérais d'avoir un enfant. Qui va m'écouter et me donner de sages conseils désormais. ? À cette pensée, je fonds en larmes et je pleure abondamment. Pleurer dans ces cas fait beaucoup de bien et nous soulage. En pleurant, nous libérons le corps de ses tensions. L'acte de pleurer est apaisant.
Avec Dd, je me suis rendue chez Marc où vivait maman avant sa mort. La maison grouille déjà de monde venu les uns pour présenter leurs condoléances pour dire combien ils aimaient le défunt même si c'est faux, les autres pour venir assister continuellement la famille du disparu.
Ce qui est marrant chez nous, nous accordons plus d'attention au défunt qu'au malade. Lorsqu'une personne meurt, elle devient adulée alors que pendant sa maladie, il n'y a que ses proches parents qui prennent soin d'elle.
Esta., une amie proche m'a raconté un jour, que son oncle avait été malade et manquait d'argent pour les soins.Toutes les tentatives de sa femme pour se faire aider par la famille ont été vaines. L'oncle devant se faire opérer appelle sa femme et lui demande d 'aller dire à la famille qu'il est mort et qu'elle a besoin d'argent pour les formalités de morgue et aussi pour payer les dettes des soins en suspens. Rapidement, la famille avait cotisé et l'argent nécessaire fut réuni. Je me souviens avoir franchement rigolé de cette farce.
Les nombreux visiteurs sont assis dans la cour, sur la terrasse et dans le salon. Certains se roulent par terre. Parmi eux, je remarque ma belle -mère et quelques autres membres de ma belle -famille.Je les salue et ils me présentent leurs condoléances. Ma soeur Lyne est toujours inconsolable. Ensemble avec mon frère, nous décidons de nous rendre au village le lendemain annoncer la nouvelle à la grande famille au village et convenir avec eux d'une date pour l'enterrement.
Tout se passe très rapidement. La famille de ma mère ne nous a pas trop compliqué la tâche comme c'est souvent le cas chez nous. Une date est décidée et les obsèques ont effectivement lieu à la date indiquée. Dd a deux soeurs et un frère. Une d'entre les soeurs, son frère et quelques autres membres de leur famille ont été présents. Aucune trace de ma belle-mére et de la soeur aînée de Dd.
Une fois, les cérémonies terminées, je reviens chez moi. Je décide de poser la question sur l'absence de sa mère à Dd.
- Dd je n'ai pas vu ta mère et ta soeur aînée aux obsèques. Pourquoi. ?
- Maman est malade et ma soeur est restée pour prendre soin d'elle.
- est - elle hospitalisée. ?
- non, mais elle se sentait vraiment mal au point où elle ne pouvait plus effectuer le déplacement.
Je comprends Dd. Il cherche à me cacher la vérité pour ne pas me faire de la peine.
Le lendemain, je me rends chez ma belle-mére. Je la trouve devant une assiette de riz bien garnie.
- Bonjour maman. J'ai appris que tu as été malade et c'est pour cela que tu n'as pas pu te déplacer.
- qui t'a raconté ce mensonge. ? Est-ce que j'ai l'air d 'une malade. ?
- c'est pourtant ce que Dd m'a dit.
- il t'a menti.
Moi-même je savais que c'était un mensonge mais je n'ai jamais imaginé qu'elle me le dirait en face. J'eus quand même le courage de poursuivre.
- dans ce cas maman, pourquoi n'étais tu pas présente aux funérailles. ?
- parce que la route qui mène au Nord n'est pas en bon état.
- mais maman, je ne comprends pas. C'est à cause d'une route en mauvais état que tu n'es pas venu aux obsèques. ?
- Joana, depuis que tu t'es marié à Dd, ton corps est resté intact. Pourquoi veux - tu que j' abîme le mien en passant sur des routes cahoteuses. ?
Je la regarde terrifiée. Ma belle -mère avait osé me le dire en face. Là., cela devient inquiétant.

A suivre.........

12/07/2024

LE TEMPS, C'EST LE SECOND NOM DE DIEU: 01
Auteur : Djiffa B

Je suis assise dans ma cuisine, surveillant le repas sur le feu et j'en profite pour réfléchir. Que se passe t'il avec moi.? J'ai fais tous les examens. Dieudonné aussi et rien. Pourtant depuis cinq ans que nous nous sommes mariés, rien ne pointe. Même pas une fausse couche.
Tout le quartier me désigne du doigt. Dans ma belle-famille, ce sont les moqueries et les embêtements à peine voilés. Pour l'instant, je supporte mais jusqu'à quand.? Pendant que je suis plongée dans mes pensées, mon téléphone sonne: c'est ma soeur Lyne.
- Allô.
- Joana. Viens tout de suite. Maman a encore chuté.
Je me lève rapidement, éteins le feu, enfile mes sandales et prends ma voiture pour aller rejoindre Lyne à l'hôpital.
Cela fait bientôt trois mois que ma mère est souffrante. Les médecins ne nous donnent aucun espoir. Nous avons déjà pleuré ma soeur Lyne et moi comme si elle était déjà morte. Au fur et à mesure que les jours passent, l'espoir s'amenuise. Mon frère Marc a même suggéré qu'elle soit soignée à l'étranger mais les démarches n'ont pas encore abouti. Nous avons commencé ce processus depuis deux semaines seulement.
Je gare la voiture devant l'hôpital et je cours vers sa chambre. Malheureusement, je rencontre un homme poussant un brancard avec un drap blanc recouvert sur une personne . Ayant vu Marc et Lyne qui suivent le brancardier, la mine triste, je comprends que c'est maman. Ma soeur et mon frère se jetèrent dans mes bras et nous nous serrons fortement.
Je n'arrive même pas à pleurer, tellement j 'avais coulé des larmes durant sa maladie. C'est dur de perdre un être cher à soi.Que l'on y soit préparé ou confronté brutalement, le décès d'un être cher est l'une des plus pénibles épreuves de la vie. Il faut le vivre pour mieux comprendre. On n'est jamais assez préparé pour la perte d'un être cher.
Avec Lyne et Marc, nous nous dirigeons vers la morgue, l'endroit où l'on conserve les corps avant leur inhumation. Après les formalités, Marc prend Lyne et part avec elle. Lyne est ma soeur et la plus attachée à maman car elle est la benjamine. Elle n'a pas cessé de pleurer.
Je prends départ également. Mon mari m'appelle. Il vient de rentrer. Je ne décroche pas, surtout que je suis sur le chemin de la maison. Je préfère lui annoncer la mauvaise nouvelle une fois rentrée.
Dieudonné est mon mari officiellement depuis cinq ans mais nous nous connaissons depuis huit ans. Il est grand, beau et sympathique. Dans son entourage, tout le monde l'appelle habituellement Dd.
Une fois chez moi, je gare et m'avance dans le bâtiment principal. Je me demande même comment j'ai pu conduire après avoir perdu ma mère, il y à peine quelques heures.
- Salut Dd.
- Salut Joana.J'ai voulu me servir mais le repas était cuit à moitié.
- oui Dd, j'étais en pleine préparation quand Lyne m' a appelé parce que maman allait mal.
- et elle se porte mieux. ?
- elle est partie avant mon arrivée Dd.
- Oh! Désolée Joana. C'est vrai que nous nous y attendons mais c'est quand même difficile. Viens t'asseoir ma chérie.
Il essuie les larmes qui s'échappent de mes yeux et me fit asseoir. Il reprit:
- je sais Joana, c'est difficile. Mais dis-toi qu'elle ne souffre plus à présent. Tu dois plutôt prier pour le repos de son âme. Il faut que tu te reposes pour reprendre tes esprits. Pleure si tu en as envie. Ça t'aidera à évacuer ton chagrin.Il y aura toujours quelque chose de plus fort que la mort. C'est la présence des absents dans la mémoire des vivants.Prends courage ma chérie.
Dd me conduit dans notre chambre et m'aide à m'allonger. Il me donne des cachets pour que je trouve vite le sommeil. Puis, il se couche près de moi et continue de me reconforter.
Je me repose quelques heures jusqu'à ce que le coup de fil de mon frère Marc me tire de mon sommeil. Il me rappelle que nous devons nous rencontrer le lendemain chez lui pour choisir une date où nous irons au village pour annoncer la mort de maman.
Après avoir fini de parler avec lui, je sens la soif. Je n'avais encore rien mangé de la journée et je n'ai pas de l'appétit. Dd n'est plus près de moi. Je sors de la chambre pour aller à la cuisine pour chercher de l'eau à boire.
Lorsque je finis de boire, je sens que Dd discute avec une personne au salon. Je prête oreille, pensant même que c'est un visiteur ayant déjà appris la nouvelle mais je constate que c'est la voix de ma belle-mére. Elle est certainement venue nous rendre visite après avoir appris la mort de ma mère.
Au lieu de retourner dans la chambre, je me dirige au salon. Dès que ma belle -mère me voit, elle m'adresse la parole la première.
- mes condoléances Joana. Du courage. Ainsi va la vie. Dieu l'accueillera dans son royaume.Sois forte.
- merci Maman.
Je m'excuse auprès d'elle et je me retourne dans la chambre. Je suis trop triste pour participer à leur discussion. Une fois dans la chambre, je me rallonge sur mon lit mais je pouvais entendre clairement Dd qui parlait avec sa mère.
- Maman, je compte sur toi et la famille pour nous assister comme il se doit. Elle sera enterrée au Nord dans son village natal.
- pourquoi pas ici à la capitale Dd. ?
- le village était sa volonté et elle l'a souvent répété.
- nous irons jusqu'au Nord pour enterrer ta belle-mére pour quelles raisons. ? Combien d'enfants sa fille nous a donné pour que je sacrifie mes reins durant ce voyage alors que les routes sont en mauvais état?
Je n'en crois pas mes oreilles. Je pense que j'ai mal entendu. Ma belle-mére ne peut pas prononcer de tels mots. Je rêve peut être. ?

À suivre........
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09/07/2024

✍✍SECOURS DIVIN🙏🙏
ÉPISODE 49
A peine arrivé dans ma chambre, mon téléphone s’est mis à sonner, je jette un coup d’œil à l’écran mais c’est un numéro inconnu que je vois. Je décroche et je reconnais la voix de Blandine
-Blandine : comment tu vas mon chéri ? Je suis désolé pour ma crise de jalousie de ce matin !
-moi : ne t’inquiète pas ma chérie, c’est normale.
-Abdias m’a tout raconté.
-moi : j’en suis content. Dis demain il y a une fête ici chez mon nouveau papa en mon honneur. J’aimerais que tu viennes. J’ai indiqué lé lieu à Abdias, il pourra t’accompagner. Je vais l’appeler aussi tout à l’heure pour lui dire pour la fête.
-Blandine : d’accord mon chéri, je serai là.
-moi : okay disons à demain alors ! On a beaucoup de choses à se raconter.
-Blandine : oui à demain mon chéri.
-moi : passe une bonne nuit.
-Blandine : je t’aime
- moi : moi, encore plus.
Je suis allé prendre un bain et je me suis jetté dans mon lit. Et là maintenant toutes les images de la journée défilent devant moi comme un film. Je n’arrive toujours pas à croire tout ce qui m’arrive. Ça fait vraiment beaucoup en une seule journée! Je ne peux pas croire que cette femme soit ma mère, comme la vie peut nous faire des surprises des fois! Quand je pense qu’il y de cela quelque mois ma vie était encore misérable et je mangeait des fruit non mûr et je demandais de l’eau afin d’étancher ma soiffe. Voila qu’aujourd’hui j’ai à moi seul 5 million de la part d’un homme généreux qui n’est personne d’autre à part de l’oncle de Abdias, et de plus il me laisse une très grande maison que Dieu m’aide à fructifier cet argent et à bien prendre soin de ces biens. Aujourd’hui j’ai eu la confirmation, la preuve que Dieu existe et qu’il est vraiment grand et glorieux. Celui qui s’abandonne à lui aura toujours la victoire. Je dis ça parce que je regarde l’exemple de mon père même si il n’est pas mon père biologique. J’ai demandé à Dieu de lui redonner toute ces facultés et il l’a fait. Je savais depuis le debut que ce ne serai pas chose facile mais ça viendra quand même. J’ai prié jour et nuit et ill’a fait, il a exaucé ma prière, il l’a délivré et toute les vérités ont éclatés. Merci seigneur Dieu éternel des armés pour tous ces miracles accomplis dans ma vie.
Après avoir fait ma prière nocturne je me suis endormi, le lendemain c’est l’appel de Blandine qui m’a réveillé, elle voulait juste entendre ma voix car ça la manqué j’avoue que c’est réciproque. La journée son cours normal et comme là dit mon père biologique à la veille il a vraiment organisé la fête. Il y avait beaucoup d’invité, il me présentait à tout le monde et dit qu’il est fier de moi et cela me va droit au cœur. Blandine et Abdias aussi était de la partie ils étaient venu au environs de 17h30. Nous parlons de tout et de rien, nous nous sommes raconter tout ce que nous n’avons pas pu nous dire durant ces long mois où nous sommes resté loin l’un de l’autre. Abdias prend un air sérieux et dit à Blandine qu’elle devrait me dire quelque chose. Blandine me demande de l’amener dans un lieu tranquille afin qu’on puisse discuter. Je la prends par la main et l’emmene dans ma chambre. Aussitôt rentrés et j’eu fini de fermer la porte, elle se jette sur moi et plaque contre la porte puis m’embrasse langoureusement. Nous embrassons ainsi pendant plusieurs minutes avant de nous détacher l’un de l’autre.
-moi : waouh c’est ce que tu voulais me dire ? tes lèvres sont toujours aussi douces mais plus douces que dans mes souvenirs.
-Blandine : merci chéri. Mais non, ce n’est pas ce que je voulais te dire.
-moi : tu voulais me dire quoi alors ?
-Blandine : moi aussi j’ai eu une révélation sur mes origines.
-moi : comment ?
-Blandine : mes parents que tu connais ne sont pas mes vrais parents. C’est en réalité ma tante chez qui je suis allé hors du pays qui est ma mère et mon père est un monsieur qui est médecin.
-moi : tu l’as rencontré ?
-Blandine : oui.
-moi : pourquoi ils t’ont abandonné ?
-Blandine : ils ne m’ont pas abandonné. Mes grands parents étaient contre leur relation mais tellement ils s’aimaient qu’ils n’ont pas arrêté de se voir en cachette puis elle est tombé en ceinte. Mes grands parents étaient devenus fous de rage. Ils ont du s’enfuir après l’accouchement et c’est là qu’ils m’ont confié à mes parents d’ici avant de partir. Voila mon histoire. J’ai appelé mes parents et ils me l’ont confirmé. C’est quand j’ai eu l’information que je suis descendue au pays pour mieux digérer.
-moi : apparemment toi et moi sommes dans la même situation. Aller viens dans mes bras pour que je puisse te serrer fort contre moi.
-moi : tu m’a manqué Blandine
-Blandine : tu m’a manqué aussi mon amour.
Nous plongé nous regards l’un dans celui de l’autre et nous ne nous sommes pas empêché de mettre nos lèvres en fusions puis de là est née une tension qui se cqchait en nous depuis fort longtemps. Vous-même vous connaissez la suite, nous avons fait l’amour comme c’est pas permis. Nous l’avons fait avec une telle romance ! Je vous passe des détails. Quand nous avons fini, nous avons rejoins les autre à la fête. Adeline que je n’arrivais pas à voir à travers ce grand monde apparait devant nous et là maintenant nous avons fait les présentations. Blandine s’est excusée auprès d’Adeline pour son comportement de la veille et cette dernière lui fit comprendre qu’il n’y a pas de souci et qu’il est normal qu’une femme amoureuse soit jalouse. Abdias aussi nous rejoint après et nous passions tous ensemble un très bon moment. C’était une très belle journée, j’ai vraiment aimé. Le lendemain, comme me l’a dit mon père Ruben a été emmené par la police. Tout le monde était debout, quand ils l’ontemmené à mon niveau, je lui ai rappelé ce que je lui avait dit : celui qui cherche à me faire du mal fini toujours par avoir le retour à l’envoyeur car mon Dieu n’aime pas l’injustice. Il était dans un profond regret.
Les jours passent tout semble aller pour le mieux. Je vais, de temps en temps rendre visite à ma mère pour voir comment elle va. Sa santé s’est amélioré au bout de quelques semaines et disons que j’ai commencé par la pardonner. C’est vrai parfois quand je me rappel de tout ce qu’elle a avoué, il y a ce sentiment de dégout qui me prends mais l’important est que j’ai commencé par la voir autrement et maintenant je supporte sa présence. Je vais la voir de mon plein gré et j’envisage faire un trait sur le passé et le donner une seconde chance. De toutes les façons, Dieu nous demande de pardonner celui qui nous a offensé car nous ommes tous enfant du même père et le fait qu’elle déjà repenti est l’essentiel.
Tout va bien, oui mais ces derniers temps, entre Blandine et moi, ça ne va pas trop. Je reconnais que je lui fais vivre un calvaire depuis une semaine. Je ne décroche plus ses appels et je ne reponds plus à, ses messages. Si je décroche son appel c’est pour lui dire que je vaios la reppeler, chose que je ne fais pas.
Ce soir je suis dans mon lit, mon téléphone en main et je viens de lancer son numéro.
-Blandine : allo chéri, enfin tu m’appel. Je suis contente de voir ton appel.
-moi : ah bon ? okay ! Ecoute Blandine, il faut que nous mettons les choses au claire. Nous ne pouvons plus continuer ainsi. Je ne peux plus continuer ainsi.
-Blandine (pleurs) qu’est ce que je t’ai fait de mal mon chéri ? s’il te plait dis moi et je ne recommencerai plus.
-moi : il ne s’agit pas de recommencer quoi que ce soit ?
-Blandine : tu veux m’abandonner ? Tu as trouvé quelqu’un d’autre ? Pourquoi tu veux me faire ça ? Je ne peux pas vivre sans toi et tu le sais.
-moi : il est 20h15 minutes à ma montre, je passe te prendre à 20h30 minutes pour qu’on aille quelque part pour avoir une dernière discussion avant que je ne me décide.
-Blandine : tu me faire peur Aristide, j’ai fait quoi pour mériter ça ?
-moi : soit prête j’ai dit.
-Blandine : d’accord je serai là à t’attendre quelque soit ce que tu veux dire.
-moi : à tout à l’heure.
Quinze minutes après, j’étais déjà chez elle. Elle faisait tout pour que je lui dise ce qui n’allait pas mais je ne lui ai rien dit. J’ai démarré jusqu’à m’arrêter à la destination. En réalité il s’agit d’un restant un peu isolé de la ville. C’est discret mais quand on y pénètre c’est un petit paradis. J’avais déjà fait une réservation et j’ai tenue à ce que la table soit celle au centre de la pièce.
-Blandine : pourquoi veut que ce soit jusqu’ici que nous venions discuter ? Si tu veux rompre avec moi, fallait pas te gêner si tant ?
-moi : qui t’a dit que je veux rompre avec toi ?
-Blandine : tu as l’air énervé, je te parle tu ne me, réponds pas, je t’écris mais sans reponse, et depuis que tu es venu me chercher tu n’as rien à part allons. Tu me boude et tu veux que je croie quoi ?
-moi : crois ce que tu veux.
-Blandine : et en plus tu es sec avec moi.
-moi : est ce que nous pouvons manger tranquillement et discuter puis rentrer ?
Après ça elle s’est tue et nous avons commandé nos plat puis, j’ai commencé par manger tout en faisant semblant del’ignorer. Je constate qu’elle ne mange pas sa ration. Et qu’elle ne fait que me regarder.
-moi : tu ne mange pas ?
-Blandine : je n’ai pas d’appétit. Tu voulais me dire quelque chose alors dis le, maintenant. Je me lève donc de mon siège et je lui tends la main pour la faire lever puis elle a obtempéré.
-Blandine : tu m’emmène où encore ? Parle maintenant j’ai dit. Je la tire légèrement vers l’allée et je hausse le ton puis je me lance.
-moi : tu veux le savoir ? Tu veux que je te dise ?
Tout le monde s’était mis à nous regarder.
-Blandine : mais que fais tu ? Tout le monde nous regarde ! Tu m’as amené ici pour me fo**re la honte ?
-moi : Je sais que ces derniers temps j’ai changé de comportement envers toi. J’ai été méchant avec toi. Tu me demande si je veux rompre avec toi, non loin de là si je romps avec toi alors ce serait la fin de ma vie. Tu as dit que je suis en colère mais ce n’est pas de la colère, c’est de la peur. Si j’ai laissé ce froid s’installer entre nous deux ces derniers jours, c’est parce que j’ai une chose à te dire mais je ne sais comment m’y prendre et du coup ça me fait peur. Mais il est temps que je le fasse sortir. C’est pourquoi devant tous ceux qui sont ici présent, et devant Dieu je m’envais te poser une question.
Je m’agenouille puis je fais sortir de ma poche une bague que je tends à Blandine en lui posant la fameuse question
-moi : Blandine, veux tu m’épouser ?
Elle me regarde ne sachant quoi dire. Elle fond en larme puis se jette à mon coup et après, m’embrasse langoureusement puis se détache, me regarde et se lance
-Blandine : Aristide, c’est quoi cette question ? Pourquoi poser une question dont tu connais la réponse ? Bien sure que oui ! Je t’aime énormément et tu le sais bien. Tu es illumine ma vie que je n’imagine pas passer sans toi. Devant Dieu et touts ceux qui sont ici présent, je dis oui. Oui je veux t’épouser Aristide. Puis elle m’embrasse à nouveau
Comme si nous étions à une séance, toute la pièce vibrait d’applaudissement et ce fut un bon moment.
Trois jours plus t**d ce fut un samedi. Je dormais encore quand mon téléphone me réveille de part son bruit. C’était mon père adoptif. Il me demande de venir en urgence chez lui et que ça concerne ma mère. Pris de panique je me dépêche pour m’y rendre. Mon père qui s’était déjà réveillé et était au salon m’arrêta quand je lui ai dépassé sans même m’apercevoir de sa présence.
-ou vas-tu comme ça Aristide ?
-moi : bonjour père, je reviens, il y a un souci avec ma mère.
-Je viens avec toi.
Ensemble nous sommes allés là-bas en vitesse. Mon père adoptif était au salon entrain de pleurer .
Moi : pourquoi vous pleurez ? ou est ma mère ?
- dans sa chambre, elle s’est suicidée.
-moi : non non non non.
Je me suis précipité pour aller voir si c’est vrai et c’est avec amertume que la trouve le coup accroché à une corde au centre du plafond.
Je me mis en larme puis mon père adoptif vient me prendre par l’épaule.
-elle t’a laissé une lettre
Il me la tend, je la prends puis lis :
Aristide mon fils, je suis désolé que tu aies à lire cette lettre, si tu la lis, cela signifie que je suis partie. C’est les larmes aux yeux et un cœur plein de chagrin et de remord que je l’écris. Ne dis surtout pas que je t’abandonne une fois encore ! Non, car je serai toujours là à veiller sur toi. J’ai fait des choses horribles et je ne mérite plus de vivre. Je voulais que tu me pardonne et tu l’as fait. Je ne pouvais pas partir sans savoir que tu m’as pardonné. Mais maintenant que tu l’as fait il faut que je te dise à Dieu car je n’arrive plus à me regarder dans la glace après tout ce que je t’ai fait. Ton geste de pardon m’a redonné la joie mais ça ne peut pas changer ce que je t’ai fait. Si seulement je pouvais revenir en arrière je ferais les choses autrement. Je suis désolé mon fils. Ton père est quelqu’un de bien, il saura prendre soin de toi et depuis là haut moi aussi je veillerai sur toi. Je t’aime mon garçon !
FIN ! FIN ! FIN !
Comment avez-vous trouvé cette histoire, chers lecteurs ???
Merci à vous tous qui m'avez suivis .

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