Justin Mbwebwe Créateur de contenu, écrivain, informaticien et analyste politique.

28/06/2025

💔 Quand l’amour attendait, elle regardait ailleurs… 💔

Il s’appelait Junior. Diplômé 🎓, motivé 💪, mais sans boulot… Pas parce qu’il ne voulait pas travailler, non. Mais dans ce pays, parfois ton diplôme ne paie même pas un ticket de bus 🚌.

Prisca, sa copine, elle voulait la vie version Instagram 📸 : habits de luxe, sorties chaque week-end, transferts à minuit 💸. Elle disait l’aimer… à condition qu’il réponde à ses besoins.

Mais Junior ? Il faisait de son mieux : petits jobs, galères, rêves… Un jour, Prisca l’a quitté :
_"Tu es gentil, mais moi je ne mange pas les gentillesses."_

⏳ 2 ans plus t**d…

Junior trouve un vrai job dans une boîte tech 💼, commence à se refaire. À ses côtés ? Aïcha, la fille simple, qui vendait des beignets 🍩 et partageait même ses bénéfices avec lui. Elle croyait en lui, même quand lui-même doutait.

Et Prisca ? Elle le voit dans une interview YouTube 🎥. Elle glisse un message :
_"Tu te souviens de moi ?"_
Mais c'était trop t**d. Le cœur de Junior avait changé d'adresse 📬.

👑 CONSEIL À MES SŒURS 👑

L’argent attire, mais le respect bâtit.
Un homme fauché aujourd’hui n’est pas un homme sans destinée 🌟.
Ne rate pas le diamant brut en courant après des paillettes 💎✨.

❤️ Une fille qui soutient dans la galère mérite de goûter à la victoire.
📌 À bon entendeur, salut.

Congolaises, congolais, sœurs et frères de la jeunesse,Je parle avec la sincérité d’un jeune qui aime profondément son p...
29/05/2025

Congolaises, congolais, sœurs et frères de la jeunesse,

Je parle avec la sincérité d’un jeune qui aime profondément son pays. Aujourd’hui, certains visages du passé veulent revenir au pouvoir, alors même que leurs traces dans notre histoire sont encore fraîches et douloureuses.

N’oublions pas : c’est sous leur régime que des Congolais comme , , et tant d'autres ont été injustement arrachés à la vie. Ils rêvaient d’un Congo plus juste, plus digne. Ils ont payé ce rêve de leur sang.

Je pense aussi au pasteur . Il n’avait lancé ni mouvement ni rébellion. Il avait simplement prononcé un message de réveil : « Sauvons le Congo ». Pour cela, il a été condamné à dix ans de prison. Pas pour un crime, mais pour avoir osé éveiller les consciences. Voilà ce qu’on faisait à ceux qui osaient parler.

Aujourd’hui, je vous demande : allons-nous laisser ces fantômes du passé revenir et replonger notre peuple dans la peur et le silence ? Allons-nous trahir la mémoire de ceux qui ont souffert pour que nous soyons libres ?

La jeunesse congolaise ne peut rester indifférente face à ces tentatives de résurgence. Nous devons nous lever, non avec violence, mais avec détermination et clarté, pour dire non à l'impunité et oui à un avenir meilleur.

Il est temps de bâtir un Congo nouveau, fondé sur la justice, la transparence et le respect des droits de chacun. Un Congo où chaque jeune peut rêver, entreprendre et réussir sans craindre l'oppression ou la répression.

Ensemble, éveillons nos consciences, mobilisons-nous et construisons l'avenir que nous méritons.

Justin Python Mbwebwe
Grace Emie Kutino
Constant Mutamba
Primature de la République Démocratique du Congo
La Présidence RDC

« À quoi bon la lumière, si personne ne veut ouvrir les yeux ? »Il est frustrant de voir des vérités évidentes ignorées,...
24/05/2025

« À quoi bon la lumière, si personne ne veut ouvrir les yeux ? »

Il est frustrant de voir des vérités évidentes ignorées, des injustices tolérées, des mensonges acceptés. La lumière de la vérité brille, mais beaucoup préfèrent l'obscurité confortable de l'ignorance.Mais faut-il pour autant éteindre cette lumière ? Non. Car même si peu la voient, elle est là, prête à éclairer ceux qui auront le courage d'ouvrir les yeux.

Notre rôle est de maintenir cette lumière allumée, d'être des éclaireurs, des éveilleurs de conscience. Un jour, peut-être, elle guidera ceux qui cherchent la vérité.

Réveillez-vous, chèr(e)s compatriotes.

Justin Mbwebwe
La Présidence RDC
Primature de la République Démocratique du Congo
Constant Mutamba

Dans ce tumulte d’accusations injustes, je me tiens debout pour rappeler au monde que Son Excellence Monsieur le Ministr...
21/05/2025

Dans ce tumulte d’accusations injustes, je me tiens debout pour rappeler au monde que Son Excellence Monsieur le Ministre Constant Mutamba n’est pas seul. Accusé à tort d’un détournement de 39 millions de dollars, il affronte aujourd’hui un réseau mafieux bien organisé qui tremble face à sa détermination, son intégrité et sa foi en une République forte et juste.

Je suis un jeune politicien, témoin du combat courageux qu’il mène. Ce combat n’est pas personnel, il est historique. Il est celui de la souveraineté, celui de la dignité nationale. C’est le même combat qu’ont mené Patrice Emery Lumumba, Mzee Kabila, Étienne Tshisekedi et tant d’autres martyrs qui ont payé le prix fort pour que la voix des opprimés résonne dans les couloirs du pouvoir.

n’est pas seul. Il a le soutien silencieux mais puissant de tous ceux qui refusent de courber l’échine. Il porte avec lui la prière de ceux qui croient encore en un Congo nouveau. Il a le regard bienveillant de Dieu, et derrière lui, se lève une jeunesse consciente, prête à défendre la vérité.

Ne cédons pas à la peur. Ne laissons pas le mensonge étouffer la lumière. Dans cette tempête, souvenons-nous : les justes finissent toujours par triompher. Le combat continue, et l’histoire saura distinguer ceux qui ont tenu bon.

Justin Mbwebwe, coordinateur adjoint de la Génération Rupture Kasaï-Oriental.

« J'ai tout perdu, sauf ce que je suis devenu »Il arrive que la vie nous dépouille de tout ce que l'on croyait essentiel...
20/05/2025

« J'ai tout perdu, sauf ce que je suis devenu »

Il arrive que la vie nous dépouille de tout ce que l'on croyait essentiel : des êtres chers, des rêves, des repères. On se retrouve face à soi-même, nu, vulnérable.Mais dans ce vide, une nouvelle force émerge. Une résilience insoupçonnée, une capacité à se reconstruire, à redéfinir ce qui compte vraiment. Ce que l'on devient après avoir tout perdu est souvent plus authentique, plus aligné avec notre essence profonde. La perte, bien que douloureuse, peut être une renaissance. Elle nous pousse à puiser en nous des ressources que nous ignorions posséder.

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« Je ne cherche pas à être compris, je cherche à être vrai »Il y a des jours où je me sens comme un livre ouvert que per...
19/05/2025

« Je ne cherche pas à être compris, je cherche à être vrai »

Il y a des jours où je me sens comme un livre ouvert que personne ne prend le temps de lire. Je parle, j’écris, je vis… mais souvent, mes mots tombent dans le vide, mal interprétés, ou simplement ignorés. Et pourtant, je continue.

Je ne cherche pas à être compris, car j’ai appris que la compréhension est un luxe rare. Chacun perçoit le monde à travers le prisme de ses expériences, de ses douleurs, de ses joies. Alors, comment pourrais-je espérer que l’on saisisse pleinement ce que je ressens au plus profond de moi ?

Ce que je veux, c’est être vrai. Authentique. Ne pas me travestir pour plaire ou pour correspondre à des attentes. Être en accord avec moi-même, même si cela signifie être seul dans ma vérité.

Il y a une certaine liberté dans cette quête de vérité. Elle me libère des chaînes du regard des autres, des jugements, des incompréhensions. Elle me permet de marcher la tête haute, même lorsque le monde autour de moi semble me tourner le dos.

Être vrai, c’est accepter ses failles, ses blessures, ses imperfections. C’est reconnaître ses erreurs, sans chercher à les masquer. C’est vivre avec intégrité, même lorsque c’est difficile.Alors, non, je ne cherche pas à être compris. Je cherche à être vrai. Et dans cette vérité, je trouve la paix.

Justin Mbwebwe

L'impact de la gouvernance de Tshisekedi : Réformes et défisLorsque Félix Tshisekedi a pris les rênes du pays en janvier...
18/05/2025

L'impact de la gouvernance de Tshisekedi : Réformes et défis

Lorsque Félix Tshisekedi a pris les rênes du pays en janvier 2019, de nombreux Congolais ont vu en lui un espoir, une chance pour le pays de sortir de l’impasse où il se trouvait depuis tant d’années. Après des décennies de lutte, de changements de régimes, de promesses non tenues, le peuple congolais aspirait à une ère nouvelle, une époque où les réformes ne seraient pas seulement des paroles mais des actions concrètes.

L’un des points les plus marquants de son mandat a été l’introduction de réformes pour renforcer la justice et lutter contre la corruption. Le pays, longtemps perçu comme l’un des plus corrompus au monde, a vu des efforts pour instaurer plus de transparence. Des ministères ont été réorganisés, des enquêtes ont été lancées pour débusquer les détournements de fonds publics, et des personnalités politiques de haut rang ont été poursuivies. Mais malgré ces initiatives, beaucoup de citoyens se demandent si ces réformes vont vraiment porter des fruits durables. La corruption, profondément enracinée, semble résister à toutes les tentatives de la combattre. Et ce manque d’efficacité dans certaines réformes engendre une frustration chez ceux qui espéraient plus de changements.

Aujourd'hui, en observant les premiers pas de son gouvernement, on peut dire qu'il y a eu des avancées, certes, mais aussi des défis, des épreuves et des déceptions. Les réformes mises en place par Tshisekedi ont touché plusieurs domaines : la gouvernance, la justice, l’économie, la lutte contre la corruption. Cependant, les résultats sont souvent contrastés, et c’est dans cet entre-deux que beaucoup de Congolais se trouvent, partagés entre espoir et réalité.

Le secteur économique, un autre pilier de sa gouvernance, présente aussi des avancées mais des défis immenses. Le pays a connu des périodes difficiles avec des chocs externes, des tensions internes, et une économie qui peine à décoller malgré ses ressources naturelles. La réforme de la gestion des finances publiques et l’amélioration de l’environnement des affaires étaient censées stimuler les investissements et diversifier l’économie. Toutefois, ces efforts sont entravés par l’instabilité politique, la faible infrastructure et une gouvernance locale parfois inefficace. De plus, le secteur minier, malgré sa richesse, reste souvent sous-exploité, et la population locale, malgré les promesses, peine à voir les retombées directes de l’exploitation des ressources.

Mais au-delà de ces réformes économiques et institutionnelles, il y a aussi un aspect humain dans le bilan de la gouvernance de Tshisekedi. De nombreux Congolais, surtout ceux qui vivent dans des régions reculées, n’ont pas ressenti une amélioration de leur quotidien. L’accès à l’éducation, à la santé, à l’eau potable, reste encore trop limité. Dans les provinces, l’aspiration à un mieux-être semble toujours lointaine, et les infrastructures se font toujours attendre.

Les promesses d’amélioration des conditions de vie des Congolais ne sont pas encore toutes tenues. Cela laisse une certaine frustration chez les jeunes, qui restent l’avenir du pays, mais qui ont souvent l’impression que la politique est un cercle fermé qui ne leur permet pas de s’épanouir. Les rêves d’une vie meilleure à travers un emploi stable, une maison, une sécurité financière semblent toujours inaccessibles.

Le plus grand défi de Tshisekedi reste sans doute de réussir à unifier le pays, de faire en sorte que les différences politiques ne créent pas une fracture sociale de plus en plus profonde. L'unité du pays, entre le gouvernement central et les provinces, est parfois mise à mal par des tensions politiques. Certaines parties de la population continuent de se sentir marginalisées, tandis que d’autres ont l’impression que leurs attentes ont été ignorées.

Cependant, il est aussi important de souligner les progrès dans certains domaines, même si ces avancées sont lentes et souvent invisibles pour ceux qui sont les plus en besoin. Il existe une volonté réelle de moderniser certains secteurs, et certains dirigeants locaux ont fait preuve d’innovation et de résilience malgré les défis. Le président Tshisekedi, en tant qu’individu, incarne cette vision de l’espoir, mais les enjeux politiques, économiques et sociaux restent colossaux.

En fin de compte, l'impact de la gouvernance de Tshisekedi reste un mélange d’espoirs déçus et d’espoirs toujours vivants. Ce gouvernement n’est pas parfait, et ses résultats ne sont pas immédiats. Mais il est possible de voir, dans les petites actions quotidiennes, dans les gestes de la société civile, dans les yeux des Congolais, un changement lent mais prometteur. Ce changement ne viendra pas du jour au lendemain, mais il faut croire qu’il est encore possible, pour ce pays, de se relever et de bâtir une nation forte, unie et prospère.

Justin Python Mbwebwe
La Présidence RDC
Primature de la République Démocratique du Congo

L'UDPS au pouvoirMbujimayi, un mouroirMême cas à l'hôpital BlaiseLes malades y sont mal à l'aiseMalgré leurs rangsCes hô...
17/05/2025

L'UDPS au pouvoir
Mbujimayi, un mouroir
Même cas à l'hôpital Blaise
Les malades y sont mal à l'aise
Malgré leurs rangs
Ces hôpitaux manquent du carburant
En cas de délestage
Tu es fauché avant l'âge
Comme l'Etat n'a pas d'argent
Apprenez à aider les gens
Avec des bons salaires
Mettez fin à notre galère
Avec ça, vous nous demandez de nous taire
Voici notre promesse : ça ne va pas se faire !
Mbujimayi
Ville haïe
Mbujimayi
Ville trahie
Par les vices
De ses propres fils !

Par : Abbé Blaise KANDA

25/07/2024

Jusqu'à quand allez-vous nous parler de l'expérience ? Cela n'est qu'une excuse pour que l'on ne parle pas de vos erreurs.

23/07/2024

Nous sommes profondément déçus par le désordre qui règne au sein de l'UDPS. Nous espérions une gouvernance exemplaire, mais nous sommes confrontés à la confusion et à l'inefficacité.

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