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Alerte!     -  Le Tchad face au péril de l'extrémisme religieux Par : La Rédaction de CharilogoneDans un pays où les div...
12/12/2025

Alerte! - Le Tchad face au péril de l'extrémisme religieux

Par : La Rédaction de Charilogone

Dans un pays où les divisions sociales et politiques s'accentuent, la voix des intellectuels résonne avec une force particulière. La sociologue tchadienne Aché Ahmat Moustapha, dans un message publié sur sa page Facebook, tire la sonnette d'alarme : « L’extrémisme religieux au Tchad est vraiment très dangereux si rien n’est fait… Même son intellectuel est dans ça ! Pauvre pays.»

Cette déclaration directe et sans concession illustre la gravité d'un phénomène qui ne se limite plus aux marges vulnérables de la société, mais infiltre jusque dans les cercles intellectuels censés défendre la raison et la tolérance. Écrit dans le style incisif et analytique de Charilogone, ce texte peut être interprété comme une mise en garde contre une dérive qui menace la stabilité nationale.

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La sociologue tchadienne Aché Ahmat Moustapha Par : La Rédaction de Charilogone Dans un pays où les divisions sociales et politiques s'accentuent, la voix des intellectuels résonne avec une force particulière. La sociologue tchadienne Aché Ahmat Moustapha,...

Alerte!     : Déclaration du Président de la   Belngar Larmé Jacques à l’occasion de la Journée Internationale des Droit...
10/12/2025

Alerte! : Déclaration du Président de la Belngar Larmé Jacques à l’occasion de la Journée Internationale des Droits de l’Homme

À la veille de la 77ᵉ édition de la célébration de la Journée internationale des droits de l’Homme, la CNDH appelle à garantir aux Tchadiens la pleine jouissance de leurs droits et libertés fondamentaux.

En prélude à cette célébration, le Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), Belngar Larmé Jacques, a fait une déclaration ce mardi 9 décembre 2025.

Le Président de la CNDH a tenu à s’adresser à cœur ouvert à ses concitoyens pour rappeler le sens profond de cette journée et les responsabilités qui en découlent. Selon lui, il s’agit globalement de relever le défi du respect des droits humains, sans discrimination aucune. Il a indiqué que le thème de cette année : « Les droits de l’Homme, nos essentiels de tous les jours », témoigne parfaitement de l’urgence et de l’impérieuse nécessité de promouvoir et de protéger les droits de l’Homme.

« C’est ce que notre pays s’est toujours engagé à faire en signant et ratifiant les traités et accords y relatifs, tout en prenant des mesures d’ordre législatif, administratif et judiciaire pour les rendre effectifs », a-t-il soutenu. « L’institutionnalisation des mécanismes démocratiques de promotion et de protection des droits humains de manière générale, et de la Commission Nationale des Droits de l’Homme en particulier, en est un exemple édifiant », a-t-il ajouté.

Le Tchad a adhéré aux principes et valeurs consacrés par la Déclaration universelle des droits de l’Homme dès son accession à la souveraineté internationale, en les incorporant dans le préambule de ses différentes Constitutions.

C’est pourquoi la CNDH réitère son appel aux autorités publiques à redoubler d’efforts pour assurer un cadre légal et institutionnel favorable au respect effectif des droits humains. Elle invite par ailleurs les forces de défense et de sécurité à faire preuve d’un professionnalisme exemplaire dans l’exercice de leur métier, en respectant scrupuleusement la dignité humaine.

L’Institution nationale des droits de l’Homme exhorte également la jeunesse, la société civile et les médias à poursuivre leur rôle essentiel de sensibilisation, de formation et d’alerte, et à s’engager résolument pour une culture de paix, de tolérance et de respect mutuel.

Cette année, le Tchad célèbre la Journée internationale des droits de l’Homme dans un contexte particulièrement difficile, marqué par des violations et abus souvent graves et massifs des droits humains.

Aussi, tout en saluant les efforts déployés par les autorités, la CNDH les appelle à lutter, entre autres, contre les violences faites aux femmes et aux enfants, contre les inégalités et la corruption, ainsi qu’à prévenir les violations des droits de l’Homme en période de tensions sociales ou politiques.

Le Président Belngar Larmé Jacques conclut que, fort de son engagement, la CNDH poursuit sa mission de veille, d’investigation, de plaidoyer et d’éducation avec un seul objectif : garantir à chaque Tchadienne et à chaque Tchadien la pleine jouissance de ses droits et libertés fondamentaux.

10/12/2025

L'affaire Succès MASRA au : Dobian Assingar, vice-président de la FIDH et ancien président de la LTDH, appelle Mahamat Idriss Déby à le libérer. Le pays est divisé, affirme-t-il.

09/12/2025

Urgent! ⛔️ Mardi 09 décembre 2025: Il est 21h12 à dans le sud kivu : Le mouvement rebelle l'AFC/M23 vient de faire son entrée dans la cité ! Le mouvement contrôle maintenant la frontière avec le Burundi !.

Par: Correspondance particulière à - Rédaction

Alerte!     - Neuf militaires et deux membres d’équipage de l’avion militaire nigérian, intercepté à Bobo Dioulasso, son...
09/12/2025

Alerte! - Neuf militaires et deux membres d’équipage de l’avion militaire nigérian, intercepté à Bobo Dioulasso, sont actuellement en garde. Les enquêtes se poursuivent afin de déterminer les véritables intentions et missions de cet appareil appartenant à la fédération nigériane. L’Alliance des États du Sahel (AES) a placé ses forces en alerte et affirme qu’elle ne cédera devant aucune violation de son espace aérien. Avant toute décision de libération, l’AES exige de connaître les raisons exactes de cet acte.
Force et détermination au capitaine Ibrahim Traoré, au général Abdourahamane Tiana et au général Assimi Goïta.

08/12/2025

: Premier meeting de L'AFC/M23 face à la population de Luvungi, ce lundi, 08 décembre 2025.

Un seul message important, le vivre-ensemble entre les communautés pour la reconstruction d'une Nation digne et respectueuse.

Alerte!   : La compagnie pétrolière nationale chinoise demande une réunion urgente à Juba pour discuter d'un retrait tot...
07/12/2025

Alerte! : La compagnie pétrolière nationale chinoise demande une réunion urgente à Juba pour discuter d'un retrait total du secteur pétrolier soudanais

Dans une démarche considérée comme la plus grave pour le secteur énergétique soudanais depuis le début de la guerre, la Compagnie pétrolière nationale chinoise, par l'intermédiaire de sa filiale Petro Energy, a officiellement demandé au ministère soudanais de l'Énergie et des Mines de tenir une réunion urgente à Juba, capitale du Soudan du Sud, en décembre 2025. L'objectif de cette réunion est de discuter de la résiliation anticipée de toutes les opérations pétrolières de la compagnie au Soudan, ainsi que de la clôture de l'accord de partage de production et du pipeline du bloc 6 avant la fin de l'année en cours.

Dans une lettre détaillée, la compagnie explique que cette décision fait suite à trois décennies de coopération commencées en 1995, qui ont contribué à la découverte de plusieurs champs pétroliers, notamment Fula, Moga, Heik, Ki, Waf N, Naha, Shoka, Hadida et Sufian. Elle souligne que le bloc 6 a été un exemple réussi de partenariat pétrolier entre le Soudan et la Chine, tant en termes de production que d'opportunités sociales offertes aux communautés locales.

Cependant, la Compagnie pétrolière nationale chinoise insiste sur le fait que la guerre déclenchée au Soudan le 15 avril 2023 a entraîné un effondrement quasi-total de l'environnement opérationnel. Son siège à Khartoum a été évacué en quelques heures, les opérations ont été transférées à Port-Soudan puis à Pékin, et ses installations pétrolières dans le bloc 6 ont subi des vagues de sabotage, de pillage et de blocus, entraînant l'arrêt complet de la production le 30 octobre 2023. Les infrastructures occidentales ont été détruites et celles de l'est gravement endommagées.

La compagnie affirme que toutes les tentatives de redémarrage depuis 2024 jusqu'à mi-2025 ont échoué, malgré la mise en place de nouvelles mesures de sécurité et de voies d'approvisionnement alternatives, en raison de l'effondrement des chaînes d'approvisionnement, du manque de pièces de rechange et de la détérioration continue de la sécurité. Elle a émis un avis de "force majeure" en juin 2025, affirmant son incapacité à poursuivre ses dépenses sans revenus.

Selon la lettre, la Compagnie pétrolière nationale chinoise cherche à mettre fin aux accords PSA et COPA relatifs au bloc 6 au plus t**d le 31 décembre 2025, qualifiant cette décision de "regrettable et douloureuse mais inévitable". Elle précise que ce retrait n'implique pas une rupture des relations futures avec le Soudan, si la stabilité et l'arrêt des hostilités sont rétablis.

Des analystes estiment que cette évolution pourrait porter un coup économique sévère au Soudan, la Compagnie pétrolière nationale chinoise étant le plus grand investisseur dans le secteur pétrolier depuis le milieu des années 1990, ouvrant ainsi la voie à de nouveaux défis pour les infrastructures et l'avenir de l'industrie pétrolière du pays.

03/12/2025

Alerte! - Figures congolaises et discours officiels : un signal inquiétant pour le Sud-Kivu et le Nord-Kivu

Dans cette vidéo, trois personnalités majeures de la République Démocratique du Congo prennent la parole. Le Général Eddy Kapend, commandant de la première région militaire du Haut-Katanga, ouvre la séquence en évoquant les enjeux sécuritaires. Il est suivi par Jules Alingete, ancien Inspecteur général et chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), qui aborde les questions de gouvernance et de gestion des ressources publiques. Enfin, Patrick Muyaya, ministre national chargé de la Communication et porte-parole du gouvernement congolais, s’exprime au nom des autorités centrales de Kinshasa.

Leur discours, bien que centré sur des problématiques nationales, révèle une inquiétante omission : les provinces du Sud-Kivu et du Nord-Kivu semblent reléguées en marge des priorités gouvernementales. Cette absence de considération soulève des interrogations sur la place de ces régions dans la stratégie nationale, alors même qu’elles demeurent au cœur des tensions sécuritaires et des défis socio-économiques du pays.

Correspondance spéciale - L'équipe éditoriale de Charilogone.

30/11/2025

- !!! LE BUDGET NATIONAL NE PRENDRA PAS EN COMPTE LE SUD KIVU . APRÈS LES PROPOS DU MINISTRE MUYAYA QUI A DIT QUE LA RDC N'ÉTAIT PAS EN GUERRE PARCE QUE LE KIVU ÉTAIT UN TERRITOIRE MARGINAL VOICI QUE LE RÉGIME DE TSHILOMBO PASSE À L'ACTE EN EXCLUANT LE SUD KIVU DU BUDGET NATIONAL POUR FAIRE SIMPLE LE SUD KIVU POUR TSHILOMBO N'EST PLUS LA RDC.
QUESTION SIMPLE QUI EST LE VRAI PARTISAN DE LA BALKANISATION ?

ALERTE!       : Les hommes du FDPC menacent de reprendre les armesSelon les sources bien introduites et crédibles de not...
25/10/2025

ALERTE! :
Les hommes du FDPC menacent de reprendre les armes

Selon les sources bien introduites et crédibles de notre rédaction, les hommes du FDPC restés fidèles au général Abdoulaye Miskine envisagent de reprendre les armes dès le début de l’année 2026 contre le régime centrafricain. Ils dénoncent l’absence de volonté réelle du gouvernement de Bangui à instaurer une paix inclusive avec tous les Centrafricains, et pointent du doigt le silence complice du régime face à la détention prolongée de leur chef à N'Djaména.

Toujours selon notre source, cela fait longtemps que ces combattants souhaitent reprendre les hostilités, mais le général Miskine leur avait demandé de rester calmes. Après six années sans leur leader, ils affirment ne plus pouvoir patienter. Leur porte-parole déclare que le régime du président Touadéra ne fait plus avancer la Centrafrique, alors que le pays avait été le premier en Afrique centrale à se rapprocher de la Russie, bien avant les États de l’AES. Pourtant, ces trois pays de l’AES ont progressé en matière de réformes, de réconciliation et de développement, contrairement à Bangui.

Le groupe fidèle au général Miskine serait composé d’environ une centaine d’hommes. D’autres anciens membres du FDPC ont rejoint le régime sans bénéficier de véritables conditions de réconciliation.

Par : La Rédaction Charilogone
N'Djaména, le 24-25 octobre 2025

Alerte!   au   - Six ans de détention arbitraire du général Abdoulaye Miskine : une affaire qui défie la conscience judi...
25/10/2025

Alerte! au - Six ans de détention arbitraire du général Abdoulaye Miskine : une affaire qui défie la conscience judiciaire du Tchad

N'Djaména, 25 octobre 2025 — Ce jour marque un triste anniversaire dans l’histoire judiciaire du Tchad : six années se sont écoulées depuis l’arrestation du général Abdoulaye Miskine, chef du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC), et de ses trois compagnons centrafricains — Adoum Rakhis, Ringo Djouma et Abdelaziz Gros — survenue le 25 octobre 2019. Depuis cette date, ils sont détenus à la maison d’arrêt de Klessoum, sans procès, sans jugement, et dans des conditions qui bafouent les principes fondamentaux du droit et de la dignité humaine.

Le général Miskine avait été invité au Tchad par le général Mahamat Mamadou Aboubakar, alors directeur général adjoint du renseignement militaire (DGRM), au nom du maréchal Idriss Déby Itno, pour finaliser les engagements du Khartoum Agreement signé le 6 février 2019 entre le gouvernement centrafricain et quatorze groupes armés. Ce déplacement diplomatique s’est révélé être un piège soigneusement orchestré. À peine arrivés sur le territoire tchadien, les quatre hommes ont été arrêtés et informés de charges dont la légitimité reste contestée.

Le dossier judiciaire est marqué par des incohérences flagrantes. Une première plainte, déposée entre 2004 et 2005 alors que le général était en exil au Togo, a été suspendue après qu’il fut établi qu’il n’était pas présent au Tchad au moment des faits. Une seconde plainte a été instruite après que le juge Tobaye Bedoumti se rendit dans les camps de réfugiés centrafricains à Sarh, Sido et Maro pour y chercher de nouveaux plaignants. Lors d’une session d’identification, les supposées victimes désignèrent un autre individu, jetant un doute sérieux sur la crédibilité des accusations. Selon ses avocats, le dossier aurait été clos dès janvier 2021, sans qu’aucun procès n’ait été engagé. Une demande de mise en liberté, enregistrée sous le numéro 031/CA/2025 du 18 septembre 2025, reste à ce jour sans suite.

Les conditions de détention du général Miskine sont alarmantes. Souffrant d’hypertension, d’insuffisance rénale et de troubles cardiaques, il a vu ses soins interrompus par des actes arbitraires. Une perquisition nocturne dans sa cellule les 9 et 10 mai 2025 a conduit à la confiscation de ses médicaments et de 345 000 FCFA destinés à des examens médicaux urgents. Malgré les promesses du procureur Oumar Mahamat Kedelaye de restituer les fonds, aucune visite ni restitution n’a eu lieu. Le général a entamé une grève de la faim le 15 mai pour protester contre cette négligence, suspendue après une intervention partielle.

En 2019, le général Miskine jouait un rôle actif dans la protection des réfugiés centrafricains contre les incursions rebelles à la frontière entre la Centrafrique et le Soudan. Son engagement dans le processus de paix témoigne de sa volonté de stabiliser la région. Pourtant, son arrestation et sa détention prolongée traduisent une instrumentalisation politique de la justice.

Alors que la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) du Tchad, dirigée par M. Belngar Larme Jacques, participe à la 46ᵉ session du Comité des Droits de l’Homme à Genève pour obtenir le Statut A — reconnaissance internationale de son indépendance et de son efficacité — son silence sur l’affaire Miskine interroge. Bien que cette reconnaissance soit une avancée importante pour la CNDH, elle exige plus qu’une présence internationale : elle demande un engagement concret et courageux sur le terrain. Le président de la CNDH doit aller plus loin et s’impliquer activement dans l’amélioration des dossiers des accusés qui ne trouvent pas justice, à l’exemple du général Miskine et de ses compagnons. Sans cette volonté d’agir, le statut A risque de n’être qu’un label sans substance.

Dans ce contexte, les paroles du Conseiller fédéral suisse Ignazio Cassis, prononcées lors de l’ouverture de la 46ᵉ session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève le 22 février 2021, résonnent avec force :

« Ce qui nous concerne tous ne peut être résolu que par tous. » — Friedrich Dürrenmatt

Ce rappel à la responsabilité collective est d’autant plus pertinent que la pandémie de COVID-19 a mis en lumière les inégalités et les atteintes aux libertés fondamentales. Comme l’a souligné Ignazio Cassis :

« La liberté d’accès à des informations fiables est indispensable si nous voulons, en tant que société, relever les défis d’aujourd’hui. Les journalistes doivent pouvoir exercer leur métier sans craindre de représailles ni trembler pour leur vie. »

Et encore :

« L’Agenda 2030 nous montre clairement que sans libertés fondamentales, aucun développement durable n’est possible. »

Ces extraits rappellent que la justice, la transparence et la protection des droits humains ne sont pas des options, mais des fondements indispensables à toute société démocratique.

Les hommes du FDPC menacent de reprendre les armes

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