CluB d'ARticle, Kinshasa (2025)

05/09/2025

Enfants de la rue : un appel à la générosité et au cœur humain
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‎Ils dorment à même le sol, sous des cartons qui ne protègent ni de la pluie ni du froid. Chaque jour, dans les rues de nos villes, des enfants cherchent à survivre : certains se nourrissent de restes trouvés dans les poubelles, d’autres lavent des vitres pour quelques pièces. Ils n’ont ni toit, ni sécurité, ni même parfois un prénom que l’on prononce avec tendresse.
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‎Ces enfants de la rue ne sont pas des inconnus. Ce sont nos frères, nos sœurs, nos enfants. Ils portent en eux des rêves étouffés par la misère, mais toujours vivants. Derrière chaque regard fatigué se cache une envie d’apprendre, de rire, de jouer, d’aimer.

Jonas Styno Iboko

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05/09/2025

🚨🚨🚨 Un geste de toi aujourd’hui peut transformer la vie d’un enfant demain.
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‎ La rue n’est pas une maison
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‎La rue tue lentement l’innocence. Mais un regard, une main tendue, une action citoyenne peuvent rallumer l’espoir. Ces enfants ne sont pas un problème, ils sont une solution pour demain… à condition que nous choisissions de les sauver aujourd’hui.
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‎👉 Aider un enfant de la rue, c’est sauver un rêve.
‎👉 Nos enfants ne doivent pas grandir sous les étoiles, mais sous un toit digne.
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‎Citoyens, associations, Églises, autorités, chacun de nous est concerné. Ne laissons plus nos enfants disparaître dans l’ombre des rues. Leur avenir est entre nos mains.

Jonas Styno Iboko

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03/09/2025

🚨🚨🚨 Ce matin je suis venu vous parlez sur un devoir....

‎Chaque soir, dans nos rues, des milliers d’enfants dorment à même le sol.
‎Ces enfants qu’on appelle “les enfants de la rue” ne sont pas des ombres. Ce sont des vies. Ce sont des rêves. Ce sont des futurs médecins, des musiciens, des avocats, des pères et des mères de famille.
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‎La vie qu’ils mènent est chaotique. Pas de toit, pas de repas, pas de protection. Ils sont exposés à la violence, à la drogue, à l’exploitation. Certains ont perdu leurs parents. D’autres ont été abandonnés à cause des croyances ou trompés par de faux prophètes. Mais aucun d’eux n’a choisi la rue.

Jonas Styno Iboko

01/09/2025

🚨🚨🚨 Une société interpellée
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‎Le regard de Josepha interpelle. Son engagement accuse. Car elle ne cesse de poser une question brûlante : jusqu’à quand allons-nous détourner les yeux ?
‎Chaque enfant qui mendie au feu rouge, chaque fille livrée aux dangers de la rue, est un appel au secours. Un appel qui résonne dans le silence de notre indifférence collective.
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‎Josepha, par sa voix et ses actions, nous met devant notre responsabilité :
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‎Responsabilité des familles brisées qui abandonnent.
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‎Responsabilité des institutions qui ferment les yeux.
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‎Responsabilité de chacun de nous, citoyens, qui passons à côté sans tendre la main.
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Jonas Styno Iboko
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01/09/2025

🚨🚨🚨 Un engagement au-delà des projecteurs
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‎Josepha n’a pas choisi la facilité. Elle aurait pu se contenter de briller dans sa carrière de communicante, savourer son succès et ses applaudissements. Mais elle a décidé d’utiliser sa notoriété comme un porte-voix pour les plus faibles. Dans les centres d’accueil, dans les quartiers populaires, on la voit partager un repas, écouter, réconforter, parfois même porter les plus petits dans ses bras.
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‎Elle le répète sans relâche :
‎« Ces enfants ne sont pas un problème à écarter, mais une richesse à protéger. L’avenir du Congo ne peut se construire en laissant derrière lui ses propres enfants. »

Jonas Styno Iboko

01/09/2025

🚨🚨🚨 Josepha Kaketa : la voix qui plaide pour les enfants de la rue
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‎Kinshasa bruisse de vie, mais dans ses ruelles, ses marchés et ses carrefours, des milliers d’enfants survivent dans l’ombre. Leurs visages racontent la faim, la peur, l’abandon. Pourtant, derrière chaque regard perdu, il y a une histoire, un rêve étouffé, un potentiel ignoré. Ces enfants dorment sur le béton glacé, mais rêvent grand, parfois plus grand que ceux qui les croisent sans les voir.
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‎Un enfant dans la rue n’a pas besoin de pitié. Il a besoin d’opportunités. D’une main tendue, d’une chance de redevenir ce qu’il est : un enfant.
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‎C’est ce combat que porte avec dignité Josepha Kaketa, devenue l’ambassadrice des enfants de la rue. Femme de cœur, figure de la scène artistique congolaise, Josepha n’a jamais voulu fermer les yeux sur cette tragédie humaine qui se déroule à nos pieds. Sa générosité dépasse les mots. Elle ne se limite pas aux discours ni aux images symboliques : elle s’engage, concrètement, à donner une voix à ces invisibles.

Jonas Styno Iboko

31/08/2025

🚨🚨🚨 Chadwick Boseman : l’étoile éternelle qui illumine encore le cinéma et l’humanité

Cinq ans déjà…

Le 28 août 2020, le monde entier retenait son souffle : Chadwick Boseman s’éteignait à seulement 43 ans, après une bataille silencieuse contre le cancer du côlon. Une nouvelle brutale qui a frappé de plein fouet les cinéphiles, les fans de super-héros, mais aussi les millions d’anonymes qui voyaient en lui une source d’inspiration. Cinq ans plus t**d, son souvenir reste intact, presque incandescent.

Beaucoup l’associent immédiatement à son rôle mythique de T’Challa dans Black Panther (2018), devenu symbole de fierté africaine et afrodescendante. Pourtant, Chadwick Boseman fut bien plus qu’un « roi de Wakanda ». Formé à l’université Howard, perfectionniste dans son art, il s’est toujours battu pour donner au cinéma noir américain des figures dignes et profondes.

De 42 (où il incarne Jackie Robinson, premier joueur noir en Major League Baseball), à Get on Up (où il prête son corps et son énergie à James Brown), en passant par Marshall (où il campe le premier juge noir à la Cour suprême des États-Unis), Boseman a construit une filmographie cohérente : donner des visages à l’histoire, mettre en avant des héros oubliés ou méconnus.

Ce qui impressionne encore davantage, c’est qu’au moment où il enchaînait ces performances remarquées, Chadwick luttait déjà contre une maladie implacable. Diagnostiqué en 2016 d’un cancer du côlon, il a choisi le silence, refusant d’exposer sa souffrance pour ne pas détourner l’attention de son art et de ses messages. Ses proches racontent qu’il tournait entre deux opérations, qu’il jouait entre deux séances de chimiothérapie. Une discipline et un courage qui forcent le respect.

Chadwick Boseman n’a pas seulement marqué Hollywood, il a marqué l’histoire. Avec Black Panther, il a offert au monde une Afrique futuriste, fière, riche, souveraine, qui a redonné confiance à une génération entière. Son fameux « Wakanda Forever » a dépassé les salles obscures pour devenir un cri identitaire et un symbole d’unité.

« Le but est un élément essentiel de vous. C’est la raison pour laquelle vous êtes sur cette planète à ce moment précis de l’histoire. »
Ces mots, rapportés par sa co-star Lupita Nyong’o, sont devenus un mantra universel, une invitation à chercher en chacun de nous la mission profonde qui nous relie à l’humanité.

Hollywood a perdu une étoile, mais le monde a gagné un héritage. Cinq ans après, Chadwick Boseman continue d’inspirer artistes, militants, jeunes créateurs et simples rêveurs. Chaque projection de Black Panther rallume la flamme. Chaque discours qui parle de résilience rappelle son combat.

Aujourd’hui, son nom est associé à la dignité, à la persévérance et à l’idée qu’il est possible de transformer sa douleur en lumière.

Chadwick Boseman n’est pas seulement « parti trop tôt ». Il a marqué une époque, il a ouvert des brèches, il a changé la manière dont le cinéma raconte l’histoire noire. Sa vie, bien que courte, a été immense. Et son absence, bien que douloureuse, a transformé sa mémoire en légende.

Repose en paix, Chadwick. Ton règne n’a pas de fin. Wakanda Forever.

Jonas Styno Iboko

25/08/2025

Déborah Djema, nouvelle étoile de la beauté congolaise

Kinshasa, 22 août 2025 Le Centre Culturel et des Arts de Kinshasa a vibré d’émotion et de fierté ce vendredi soir. Sous les applaudissements d’un public en liesse, Déborah Djema, 26 ans, a été sacrée Miss Univers RD Congo 2025, succédant ainsi à Ilda Amani. Devant neuf autres prétendantes, elle a su imposer son charme, son intelligence et sa vision, décrochant une couronne qui symbolise bien plus que la beauté.

Originaire de la diaspora congolaise, Déborah incarne cette nouvelle génération de reines de beauté, audacieuses et engagées. Diplômée d’un master en digital business et e-commerce de l’European Business School Paris, elle défend un projet novateur : l’autonomisation de la femme africaine grâce aux outils du numérique. Une vision qui fait d’elle non seulement une ambassadrice de l’élégance congolaise, mais aussi une stratège digitale déterminée à impulser le changement.

Ce couronnement ouvre pour elle un nouveau chapitre : elle représentera la République Démocratique du Congo à la grande finale de Miss Univers 2025, prévue le 21 novembre prochain en Thaïlande. Une opportunité historique pour la RDC, qui signe ainsi son grand retour sur la scène internationale de la beauté et du prestige.

Mais Déborah n’en est pas à son premier triomphe. Avant de séduire le jury national, elle avait déjà fait parler d’elle en remportant le titre de Miss Africa France, marquant les esprits par son charisme et sa capacité à allier grâce et leadership.

Avec son sourire rayonnant et son parcours impressionnant, Déborah Djema ne se contente pas de porter une couronne : elle porte un message, celui d’une Afrique féminine, ambitieuse et connectée au monde. À l’heure où le Congo cherche à rayonner par sa jeunesse et son talent, elle s’impose déjà comme une figure inspirante, prête à hisser haut les couleurs nationales sur la scène planétaire.

Bénédicte Mbiye ✍️

21/08/2025

🚨🚨🚨 Noushka : la brûlure du couple et l’écho des désillusions

Dans l’univers passionné et tourmenté d’Assani, Noushka apparaît comme la première femme, mais surtout comme la plaie vive d’un mariage en déroute. Elle est cette épouse marquée par l’instabilité, rongée par les disputes incessantes et les infidélités qui déchirent son quotidien.

Personnage complexe, elle incarne à la fois la douleur intime d’une femme trahie et la révolte d’une épouse qui refuse de s’éteindre dans le silence. Sa présence à l’écran devient le miroir des conflits conjugaux, mais aussi le cri de toutes celles qui se heurtent aux désillusions du mariage.

L’actrice qui prête ses traits à Noushka livre une performance bouleversante : entre colère fulgurante, désespoir silencieux et rares éclats de tendresse, elle fait palpiter le spectateur au rythme de ses cicatrices invisibles. Chaque regard, chaque geste, chaque éclat de voix est une onde qui traverse la salle et ancre la fragilité du couple au cœur du drame.

Son jeu puissant donne au film une intensité dramatique rare, poussant le spectateur à réfléchir sur la précarité des liens amoureux, la violence des passions et la vulnérabilité des promesses conjugales. Avec Noushka, le cinéma n’offre pas seulement un personnage : il tend un miroir à notre époque et à ses désillusions.

Jonas Styno Iboko
waznydios

19/08/2025

🚨🚨🚨 Emie Mokonzi : l’audace au féminin, entre cinéma et entrepreneuriat

À Kinshasa, il y a des visages qui marquent par leur énergie et leur détermination. Celui d’Emie Mokonzi en fait partie. Actrice au talent affirmé, productrice visionnaire, réalisatrice audacieuse et scénariste inspirée, Emie n’est pas qu’une artiste : elle est une véritable bâtisseuse d’univers.

Derrière les caméras, elle façonne des récits qui résonnent avec le public congolais et africain, donnant vie à des personnages forts, des histoires vibrantes et des images qui restent. En fondant Miko Ciné Prod, elle a pris le pari de donner au cinéma local une structure indépendante et ambitieuse, capable de rivaliser sur la scène internationale.

Mais Emie n’est pas seulement une femme de cinéma : elle est aussi une entrepreneure qui n’a pas peur de diversifier ses horizons. Avec Miko Fast Food, elle prouve que créativité et sens des affaires peuvent cohabiter, en offrant une expérience culinaire accessible, jeune et moderne.

Ce qui la distingue, c’est cette capacité rare à incarner plusieurs visages à la fois : l’artiste passionnée qui joue, écrit et réalise, et la cheffe d’entreprise qui ose investir et innover. À travers son parcours, Emie porte haut une vision : celle d’une femme congolaise qui s’impose dans des secteurs souvent dominés par les hommes, en mêlant audace, discipline et authenticité.

Emie Mokonzi est plus qu’une actrice. Elle est une marque, une inspiration, une voix qui compte.

Jonas Styno Iboko

19/08/2025

🚨🚨🚨 NOLA : La voix du peuple qui illumine le grand écran

Au cœur de l’histoire d’Assani, homme égaré par ses passions et ses blessures, surgit une figure inattendue. Elle n’a pas les atours de la puissance ni les éclats de la gloire, mais elle détient une force plus grande encore : celle de la vérité et de la résilience.

Cette figure, c’est Nola.
Domestique dans la maison d’Assani, elle est bien plus qu’un simple témoin silencieux. Elle est la confidente, la mémoire vivante, la conscience qui refuse de se taire. À travers son regard, le spectateur plonge dans l’envers du décor : celui des humiliés, des oubliés, des invisibles qui pourtant portent sur leurs épaules le poids du monde.

Nola n’est pas seulement un personnage secondaire. Elle est l’incarnation de la sagesse populaire, l’écho des souffrances d’un peuple souvent réduit au silence. Dans ses gestes simples, dans ses mots mesurés, s’entend la dignité d’une classe sociale trop longtemps ignorée.Son rôle dépasse la fiction : il devient un cri universel d’espérance.

L’actrice qui prête vie à Nola signe une performance magistrale. Par son jeu subtil, elle incarne avec une intensité rare la dignité dans la souffrance et la force dans la fragilité. Chaque regard, chaque silence devient une déclaration. Chaque sourire voilé devient une victoire contre le désespoir.

Si Assani attire par ses contradictions, c’est Nola qui, discrètement, captive et bouleverse. Elle touche le spectateur en plein cœur, car son histoire est celle de milliers de femmes, de familles, de vies construites dans l’ombre mais portées par une lumière intérieure inextinguible.À travers elle, le film prend une dimension sociale inédite, transformant l’écran en un miroir où chacun peut se reconnaître.

Dans le tumulte des passions, Nola surgit comme un phare. Elle n’a pas besoin de grands discours pour briller : sa vérité est son arme, sa résilience son triomphe. Et lorsqu’elle apparaît, le spectateur comprend que l’espoir n’est pas un luxe réservé aux puissants, mais un droit universel.

Un personnage qui transcende le cinéma pour devenir symbole.Un souffle gigantesque qui marque l’histoire du film et du public.

Jonas Styno Iboko

19/08/2025

🚨🚨🚨 NOLA: la voix discrète mais puissante du peuple.

Personnage secondaire en apparence, Nola incarne pourtant l’âme du film. Aide-ménagère au destin humble, elle porte en elle la vérité et l’espoir d’un peuple souvent réduit au silence.

Dans l’ombre des tumultes amoureux d’Assani, Nola se distingue par sa simplicité et sa vérité. Présente dans la maison comme aide-ménagère, elle observe les excès, les trahisons et les contradictions sans jamais se laisser happer par ce chaos. Son regard discret devient celui du spectateur : une conscience muette, mais essentielle.

Nola porte en elle la dignité des oubliés. Dans son rôle, on retrouve la résilience et la force tranquille de celles et ceux qui, malgré la dureté de la vie, continuent de tenir debout. Elle rappelle que les véritables gardiens de la mémoire et de la vérité ne sont pas toujours ceux qui crient le plus fort, mais ceux qui avancent dans le silence et la constance.

L’actrice qui prête ses traits à Nola déploie une performance marquée par la retenue et l’authenticité. Son jeu, profondément humain, apporte une dimension sociale au film : elle relie les drames personnels d’Assani aux réalités collectives du peuple. Chaque geste, chaque silence devient une parole lourde de sens.

Dans un récit dominé par les passions et les contradictions d’Assani, Nola apparaît comme un souffle d’air pur. Elle incarne la vérité, la compassion et l’espoir. Bien plus qu’un rôle secondaire, elle est la voix du peuple, simple et indestructible.

Jonas Styno Iboko

CluB d'ARticle

05/09/2025

05/09/2025

03/09/2025

01/09/2025

01/09/2025

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25/08/2025

21/08/2025

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19/08/2025

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