Le monde de Zazoo

Le monde de Zazoo Art is the only way to run away without leaving home.

17/12/2025

Un extraordinaire extraterrestre

©Zazoo






lesoleiletlalune

L’amour n’est pas ce qui nous élève, c’est ce qui nous empêche de nous désagréger. 🌹❤️©Zazoo
15/12/2025

L’amour n’est pas ce qui nous élève, c’est ce qui nous empêche de nous désagréger. 🌹❤️

©Zazoo






Vous savez la jalousie…c’est une pu**in de bête qui gémit dans le ventre. Elle ne parle pas... elle griffe.... Elle mord...
07/12/2025

Vous savez la jalousie…c’est une pu**in de bête qui gémit dans le ventre. Elle ne parle pas... elle griffe.... Elle mord l’intérieur des côtés... elle boit le sang de la confiance et recrache une paranoïa toxique. C’est le plus petit des sentiments et pourtant le plus dévastateur. Il ressemble à un ver noir qui se nourrit de ce qu’il touche et qui transforme l’amour en enquête... Je peux te dire qu'elle t'arrache la dignité, une bouchée à la fois. Elle te fait fouiller les ombres, décoder des regards, traquer des preuves qui n’existent pas. Elle te fait devenir détective du néant.. Voir même espion de ton propre malheur. Ah.. cette addition, , c’est comme un poison qui se prend pour la vérité. Elle nous murmure des mensonges avec une voix tellement douce qu’on finit par l’écouter. Je vous jure... Elle détruit ce qu’elle prétend protéger...

On veut garder l’amour et on finit par l’étouffer sous la peur de le perdre.

Elle n’a pas besoin d’être réelle pour tuer. C’est une honte qu’on cache mais qui suinte dans chaque mot, dans chaque doute, dans chaque message relu dix fois. La jalousie est une larve qui se gorge de ton cœur jusqu’à ce qu’il devienne méfiant, laid, immonde. Et le pire dans tout ça ?

Cette jalousie, c’est toi.... Tu portes ton propre bourreau. Tu lui tiens la main et tu l’écoutes, encore, encore, encore…jusqu’à ne plus reconnaître ton visage dans le miroir fissuré qu’elle te tend.

©Zazoo






Il y a des cœurs qui ne savent pas mourir... Et cela même lorsqu’on les dépose sous la terre des silences, ils se metten...
04/12/2025

Il y a des cœurs qui ne savent pas mourir... Et cela même lorsqu’on les dépose sous la terre des silences, ils se mettent à germer... Ils percent les nuits lourdes et se dressent à nouveau vers le ciel comme si le soleil était une promesse inscrite dans leurs veines.

Tu es de ceux-là.

La vie t’a déjà arraché des morceaux mais ne t'inquiète pas, elle n’a jamais pris ta volonté de renaître. Tu as appris que survivre, c’est parfois marcher avec des cicatrices au lieu de chercher des ailes neuves. La résilience, ce n’est pas retourner à ce qu’on était. Oh bien au contraire, c’est devenir ce que la douleur n’avait pas prévu.
C’est dire être debout... Et chaque jour où tu respires malgré ce qui t’a brûlée, tu écris une victoire silencieuse. Une victoire que même les étoiles reconnaissent tquand elles brillent un peu plus fort au-dessus de toi.

©Zazoo







Dans son silence... on voit tout ce qu’elle a perdu tout comme ceux que les tempêtes ont arrachés ou encore comme ceux q...
03/12/2025

Dans son silence... on voit tout ce qu’elle a perdu tout comme ceux que les tempêtes ont arrachés ou encore comme ceux que les guerres ont vidés... Elle porte encore debout ce qui n’existe plus. Son regard n’est pas une tristesse, elle est une mémoire de celle de ceux qui ont dû apprendre à vivre après l'effondrement. Elle est la preuve que même brisée et encore capable de lumière.

©Zazoo







Dans le bleu de sa peau dort l’océan et dans ses yeux vides, il y'a une mémoire ancienne. Elle marche comme un écho du m...
02/12/2025

Dans le bleu de sa peau dort l’océan et dans ses yeux vides, il y'a une mémoire ancienne. Elle marche comme un écho du monde noyé, gardienne silencieuse d’un royaume englouti.
Une fleur d’or veille au-dessus d'elle comme une dernière lumière d’Atlantis, c'est le souffle oublié d’un rêve qui respire encore.

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Moi, je suis ce visage penché vers l'intérieur... Un souffle qui cherche encore sa place dans le monde qui marche avec d...
29/11/2025

Moi, je suis ce visage penché vers l'intérieur... Un souffle qui cherche encore sa place dans le monde qui marche avec des doutes et parfois... je m’appuie sur le silence pour ne pas tomber.

Nous, c’est ce moment où je comprends que je ne suis jamais seule. Nous, c’est la chaleur d’une épaule qui rejoint la mienne... la promesse discrète d’une présence vraie... le droit d’être de la couleur que l'on veut, sans honte.

Moi, je suis la peau craquelée de mes histoires, les lignes inscrites par le temps... par les pertes.... par les renaissances. Je suis la femme qui tient debout même quand elle tremble. Celle qui cherche au delà d'une connexion même quand elle a les yeux fermés.

Nous, c’est quand trois souffles deviennent un... quand les corps se penchent les uns vers les autres comme des arbres fatigués qui se soutiennent contre le vent. C’est le mystère des êtres qui se reconnaissent avant même d’avoir parlé.

Moi, je suis l’encre d’une seule vie.
Nous, nous sommes le livre entier.

Moi, je doute.
Nous, nous continuons.

Moi, je tombe.
Nous, nous relevons.

Moi, je respire.
Nous, nous vivons.

©Zazoo






Dans la poussière tiède du monde,  le sable ancien est retenu encore par un fil invisible. La lumière glisse sur lui en ...
27/11/2025

Dans la poussière tiède du monde, le sable ancien est retenu encore par un fil invisible. La lumière glisse sur lui en murmures d’aube et tout son être semble écouter un secret que le vent n’a pas encore livré.

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