Unir côte d'ivoire

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En ce jour exceptionnel, je souhaite un joyeux anniversaire à Son Excellence Monsieur le *SEM Faure Essozimna GNASSINGBE...
06/06/2025

En ce jour exceptionnel, je souhaite un joyeux anniversaire à Son Excellence Monsieur le *SEM Faure Essozimna GNASSINGBE*, Président du Conseil de la cinquième République, Que cette nouvelle année de vie vous accorde santé, sagesse et sérénité dans la poursuite de vos nobles missions au service de la nation togolaise. Puisse votre leadership continuer d’inspirer paix, stabilité et progrès pour notre chère patrie. Bon anniversaire, Monsieur le Président !

06/06/2025

Ou sont les voyous qui avaient prédit la fin de SEM Faure Essozimna Gnassingbé là, l'heure du bilan de leur meeting est arrivée qu'ils viennent faire leur bilan maintenant

*_Les activistes brillent par leur absence_*Des mouvements *_d’humeur très limités_* ont été enregistrés ce vendredi dan...
06/06/2025

*_Les activistes brillent par leur absence_*

Des mouvements *_d’humeur très limités_* ont été enregistrés ce vendredi dans certains quartiers de la capitale, en réponse à un appel à manifester lancé par des groupes d’activistes.

Toutefois, les incidents constatés ont été rares et rapidement maîtrisés.

Des regroupements de jeunes ont été observés à proximité de quelques carrefours stratégiques, notamment à GTA et au marché de Bè.

*_Un peu d’agitation, rien de plus._*

Ces manifestations visaient à contester la nouvelle Constitution adoptée en mai 2024 et à exprimer des revendications liées à la vie chère, au chômage et à l’accès aux libertés publiques.

Cependant, la mobilisation est restée très limitée et peu suivie.

À l’heure actuelle, la situation est *_calme_* et *_sous contrôle sur l’ensemble de la capitale_*, avec une présence visible mais discrète des forces de sécurité, déployées en prévention de tout débordement.

La journée est fériée en raison de la fête de la Tabaski.

13/03/2024

Les fruits du sang bleu

13/03/2024
*Que dit la VAR?**Après Me  Zeus Ajavon, qui pour raisonner ce groupe d'OSC*Hum, il est inconcevable et cynique de const...
13/03/2024

*Que dit la VAR?*

*Après Me Zeus Ajavon, qui pour raisonner ce groupe d'OSC*

Hum, il est inconcevable et cynique de constater que jusqu'à ce jour certains plaisantins continuent de tenter de manipuler la population sur une supposée illégitimité des députés actuels.

Alors que le dernier alinéa de l'article 52 stipule clairement : "Les membres de l’Assemblée nationale et du Sénat sortants, par fin de mandat ou dissolution, restent en fonction jusqu’à la prise de fonction effective de leurs successeurs", une franche des organisations de la société civile se ridiculise à travers des communiqués sans tête ni queue en rejetant la poursuite des activités parlementaires.

"Les organisations de la société civile togolaise mettent en garde les anciens députés dont le mandat a expiré depuis le 31 décembre 2023 contre le coup d'État constitutionnel en préparation et en appellent à une mobilisation générale ", lit-on dans un communiqué pondu par ces dernières.

Cette sortie a surpris plus d'un vu que cet amalgame était déjà recadré en dehors de la constitution par Me Zeus Ajavon, un éminent professeur de droit privé des universités du Togo et un pilier de cette même société civile.

"Je suis juriste et constitutionnaliste. Il n’y a jamais de vide juridique dans le fonctionnement de l’Etat et des institutions de la République. Je ne sais même pas où les Africains ont trouvé cette incongruité", s'indignait l'avocat.

Au tant il est vrai que le mandat du parlement actuel est arrivé à terme le 31 décembre 2023, au tant il est vrai aussi les dispositions du dernier alinéa de l'article 52 de la constitution en vigueur maintiennent les députés actuels jusqu'aux législatives.

Par conséquent, tant que les successeurs ne sont pas élus, les députés restent en place.

Et ça tous les Togolais l'ont compris depuis, sauf des comédiens en manque de sujets peuvent s'en servir pour amuser la galerie.

D'ailleurs aucun Togolais n'accorde plus de crédit à ces organisations de la société civile, cependant il est temps que le procureur de la république puisse interpeler les auteurs de ces communiqués inopportuns qui jettent du discrédit sur les institutions de la république.

*La VAR a parlé*

Savanes: Un peuple deux crises et des enseignements à tirésS’il y avait un trophée à décerner à un peuple au Togo, il se...
06/03/2024

Savanes: Un peuple deux crises et des enseignements à tirés

S’il y avait un trophée à décerner à un peuple au Togo, il serait sans doute remis à celui de la région des savanes.

Par sa résistance et sa résilience, elle a su faire face à deux grandes crises jamais traversées par le Togo: la covid 19 ou elle a payé le plus lourd tribut et la crise sécuritaire quelle continue de gérer depuis 2021 avec le débordement de la crise du sahel.

Pendant ces deux crises , la région a perdu non seulement certains de ses fils et filles mais aussi son économie et sa vie sociale ont connu de graves chocs.

Frontière avec le Ghana, le Bénin et le Burkina Faso, elle a dû s’adapter et garder la tête haute malgré tout.

Dans un premier temps, grandement touchée par la covid 19, sa population a subi les mesures restrictives édictées par le gouvernement pour lutter efficacement contre ce nouveau virus qui tuait des milliers de personnes dans le monde . Des bouclages en passant par les couvres feu et les fermetures des lieux de rassemblement, les populations n’ont jamais baissé les bras et ont au contraire été les plus résilients du Togo pendant cette période.

Comme s’il ne suffisait pas et alors qu’elles commençait par se soigner des séquelles de la covid 19, a surgi la première attaque terroriste repoussée en 2021 à sanloaga…

Malgré l’existence d’un dispositif de défense et de sécurisation des frontières Togolaises appelé “opération koundjoare” la région des savanes est retombée dans une autre crise encore plus sensible ” la crise sécuritaire”. Au même moment que le Burkina Faso sombrait avec la multiplication des attaques, le grand nord devenait la cible de ces hommes sans foi ni loi…
Ce qui, amenait également le pouvoir de Lomé a prendre la mesure de la chose et en prenant des mesures dont l’état d’urgence sécuritaire. A partir de là, la vie des populations a commencé à prendre un sérieux coup , des milliers de déplacés et réfugiés Burkinabè trouvaient refuge dans des localités plus sûres à l’intérieur de la région…

L’opération grandissait et a à partir delà élargi son champ avec la multiplication des actions sur le terrain. Malgré toute l’énergie versée dans la bataille tant par les autorités locales, le chef suprême des armées , le Togo a perdu ses fils tant dans les rangs et dans les populations.

Les réfugiés et déplacés sont accueillis dans des familles d’accueil, certains ont soit perdu ou quitté leurs proches ,des biens abandonnés, des volailles et le bétail vendus à vile prix pour se sauver , l’état d’urgence a imposé des mesures, certaines populations sont obligées de quitter leur localités pour faciliter les manœuvres militaires , les activités commerciales prennent un sérieux coup, la vigilance entre les populations s’accentue encore plus, les évènements de grandes foules sont interdits, certains mouvements ne sont plus autorisés , le coup de la vie est devenu très cher.

Face à cette situation qui devenait de plus inquiétante , le chef de l’état Faure essozimna Gnassingbé prend la mesure de la situation, il rencontre à plusieurs reprises les forces vives de la région et rassure de sa détermination à ne rien céder à l’ennemi…

” Aucun centime de nos territoires ne sera cédé à l’ennemi, nous n’avons rien fait , ils viennent nous attaquer , désormais nous allons passer à l’offensive.., je mettrai tout en œuvre pour que la population puisse retrouver sa sécurité d’avant…” a t’il en affirmé en juillet 2022 au cretfp Dapaong.

Il procède a plusieurs nominations à la tête de l’armée, du matériel de sécurité arrivent, les éléments montent en puissance et rassurent les populations…

Dans la foulée, il est créé le PURS, le programme d’urgence pour la résilience dans les savanes, cet ambitieux programme lance l’exécution de plusieurs travaux, les pistes ,les grands ponts , la construction et la rénovation des centres des santé et des salles classes , l’extension des réseaux électriques et d’eau potable, les transferts monétaires et les vivres et non vivres pour soutenir les plus populations affectées.

La tension tombe à petit coup, des conférences avec les pays frères sont initiées sur la sécurité transfrontalière, la force armée s’adapte très rapidement, elle maîtrise le terrain , elle a su compter sur l’étroite collaboration des populations , elle frappe à plusieurs reprises et prend à dépourvu l’ennemi… Alors que les hommes du colonel Kombate s’évertuent à ramener la paix et la sécurité dans la région, les populations commencent à s’adapter, les anciennes habitudes sont petit à petit abandonnés, certaines se tournent vers une nouvelle vie , elles ont compris qu’il faut vivre avec comme au temps de la covid 19 et avancer malgré la menace.

Dans certaines communautés d’accueil, les populations réfugiées et déplacées se sentent plus en sécurité, elles déclarant leur flamme à l’armée Togolaise et à son chef suprême pour non seulement l’hospitalité mais aussi les différents accompagnements dont ils bénéficient…

Malgré ces deux grandes crises, la région des savanes est restée debout et très résiliente, elle est devenue encore plus forte , elle s’est adaptée et s’est réinventée, elle est au centre des projets de développement.
À tout moment de l’année, ses agriculteurs remuent le sol, ses jeunes commencent à se prendre elles-mêmes en charge…

Quoiqu’on dise, les deux crises ont gravement impactés sur le développement de la région des savanes, mais elle a également réveillé en ce peuple le sursaut patriotique et la solidarité avec les autres peuples…

On l’imagine à l’heure actuelle sans la crise dûe à la covid 19 et la sécurité….

Bracool YENDABRE

Savanes/footbal ...Ce un secret de polichinelle. La région des savanes ne dispose pas d’infrastructures modernes pour le...
06/03/2024

Savanes/footbal ...

Ce un secret de polichinelle. La région des savanes ne dispose pas d’infrastructures modernes pour les activités sportives et de loisirs de la jeunesse.

Les multiples tentatives de construction d’un nouveau stade par le ministère des sports ont échoué par manque d’espace adéquat . La réserve de nassablé 1 initialement désignée est devenue sujet de litige et est occupée par des individus.

Conscient de la nécessité de doter la région d’un terrain moderne, le président de foadan football club du grand Tône Benjamin LARE avec l’appui du général Yark Damehame ont obtenu du ministère de l’agriculture 06 hectares à toaga à la sortie Est de la ville de Dapaong.

Ce mercredi 06 mars 2023, les services techniques du cadastre (OTR), de la direction régionale de l’agriculture et des membres du bureau de foadan sont allés visiter les lieux et ont rempli les formalités administratives.

Désormais, à ce lieu , pourra être ériger un stade moderne pour diverses activités sportives dans la région.

Cette démarche marque un grand pas dans la volonté des autorités à offrir à la région un stade moderne. Il est aussi perçu comme un ouf de soulagement pour les acteurs régionaux surtout du football. Il vient aussi réduire beaucoup de charges aux clubs de la région jusqu’ici obligés de jouer hors de leur région.

Quoi de plus que de témoigner sa gratitude et de jetter des fleurs à tous ces acteurs qui ont œuvré à l’aboutissement de cette démarche, notamment au Général Yark Damehame qui a toujours été présent aux côtés des bonnes initiatives et au dynamique président de foadan benjamin LARE très proche de la jeunesse de la savane.

Bracool YENDABRE

Interview de Atcholi Aklesso secrétaire exécutif de UNIR : « La vocation de tout parti politique est d’aller à la compét...
04/03/2024

Interview de Atcholi Aklesso secrétaire exécutif de UNIR : « La vocation de tout parti politique est d’aller à la compétition électorale pour mesurer son poids politique »

Le 26 février dernier à Kara, le député togolais et secrétaire exécutif du parti l’Union pour la République (UNIR), Atcholi Aklesso était au four et au moulin en tant qu’organisateur du deuxième congrès statutaire du parti. C’est à cet ancien haut fonctionnaire passé à la politique que Faure Essozimna Gnassingbé a confié les clés du parti au pouvoir. Administrateur civil, ancien préfet de Blitta (Région centrale), ex-directeur de cabinet du ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation (2016-2017), élu en 2017 secrétaire exécutif du parti lors de son premier congrès, le député et président du groupe parlementaire de UNIR a appris à naviguer dans les eaux tumultueuses de la politique togolaise en suivant le sillage de son mentor, le Chef de l’État.
Ce dernier attend aujourd’hui de lui qu’il mobilise la base pour qu’une forte participation soit enregistrée lors des élections législatives et régionales du 20 avril, et que celles-ci donnent une majorité claire au parti présidentiel. À quelques semaines de ces élections, Atcholi Aklesso, explique, à travers une interview accordée à Jeune Afrique, les enjeux de ce double scrutin pour le parti de Faure Essozimna Gnassingbé. Lisez plutôt !

Quel est l’enjeu des élections législatives du 20 avril pour votre parti ?
Il s’agit bien évidemment d’enregistrer une victoire électorale qui renforce notre nombre de sièges au Parlement, afin de permettre au président de notre formation politique [Faure Essozimna Gnassingbé] de poursuivre la mise en œuvre de son projet de société, de maintenir la stabilité politique du pays et de renforcer nos acquis démocratiques.

L’Assemblée nationale togolaise a modifié une loi organique portant de 91 à 113 le nombre de députés. Pourquoi l’Unir a-t-elle soutenu cette réforme ? Que change-t-elle pour votre parti ?
Cette modification est le fruit d’un dialogue consensuel au sein du Cadre permanent de concertation [CPC]. En outre, c’est une modification nécessaire, qui permet de renforcer la représentation nationale des populations, de consolider la démocratie, ainsi que l’État de droit dans notre pays.

Les élections régionales, qui doivent se tenir elles aussi le 20 avril, revêtent un caractère inédit, puisque ce sont les premières organisées au Togo. Que représente cette échéance pour vous ?
Ces élections régionales sont une opportunité pour notre pays de renforcer la démocratie locale et le développement à la base. Une occasion de parachever le processus de décentralisation enclenché depuis quelques années et de s’acheminer vers l’organisation des élections sénatoriales.

Ces élections législatives et régionales devaient initialement se tenir en 2023, avant d’être décalées. Où en sont les préparatifs ?
À notre connaissance, les préparatifs de ce double scrutin se passent bien. En l’état actuel du processus, un nouveau fichier électoral fiable est disponible, et les partis politiques participent activement à cette phase préliminaire à travers le Cadre permanent de concertation. La Ceni [Commission électorale nationale indépendante] est également à pied d’œuvre pour veiller aux modalités nécessaires au bon déroulement du double scrutin.

L’opposition annonce son intention de participer, alors qu’elle avait largement boycotté les législatives en 2018. Que cela change-t-il pour votre parti ?
En 2018, l’opposition dans son ensemble n’avait pas boycotté les élections. Quelques partis politiques ont décidé de ne pas y présenter de candidats et le regrettent encore aujourd’hui. En outre, ces élections avaient vu la participation de partis tels que l’UFC [Union des forces de changement, de Gilchrist Olympio, 7 sièges], le NET [Nouvel engagement togolais, de Gerry Taama, 2 élus], le MRC [Mouvement des républicains centristes, 1] et le PDP [Parti des démocrates panafricains, 1]. Ces partis de l’opposition siègent au sein de l’Assemblée nationale actuelle.

Nous en profitons pour saluer la décision de ces forces politiques républicaines issues de l’opposition, qui ont pris conscience que les absents ont toujours tort et que, dans un système démocratique, la vocation de tout parti politique est d’aller à la compétition électorale pour mesurer son poids politique et peser sur la gestion de la cité.

Pour nous, être confrontés à des adversaires en matière électorale est un atout parce que c’est le moment de nous jauger nous-mêmes et de mesurer la confiance que le peuple place en nous. Cette participation de la classe politique d’opposition n’est pas une nouveauté pour notre parti, puisque après les législatives de 2018, il y a eu deux élections majeures dans notre pays, les élections municipales [en 2019] et présidentielle [en 2020, auxquelles elle a participé]. Et notre parti, l’Unir, a remporté ces consultations avec des victoires écrasantes et sans appel.

À l’heure où les Togolais s’apprêtent à élire pour la première fois leurs conseillers régionaux, la répartition des missions entre les collectivités locales et les différents échelons de l’administration publique est-elle assez claire pour éviter les conflits de compétences ?

Le législateur a clarifié les missions et compétences de chaque collectivité territoriale. Ainsi, le conseil régional peut engager des actions complémentaires à celles de l’État, des communes et des établissements publics situés dans la région, dans les domaines et les conditions fixés par les lois qui déterminent la répartition des compétences entre l’État, les régions, les communes et les districts autonomes.

Les moyens financiers alloués par l’État aux communes vous semblent-ils suffisants ?
L’État accompagne chaque année financièrement les communes à travers le Fonds d’appui aux collectivités territoriales [Fact], qui est un mécanisme national de transfert de ressources de l’État aux collectivités territoriales.

De 2020 à 2023, il a été alloué aux communes une enveloppe de plus de 23 milliards de F CFA [plus de 35 millions d’euros]. En plus de ce mécanisme de financement, l’État intervient ponctuellement pour apporter des appuis nécessaires aux collectivités territoriales, notamment dans certains domaines tels que l’assurance maladie ou le transport de déchets.

Togo : l’opposants Agbeyomé  Kodjo n'est plusRetourné en exil aux lendemains de l’élection présidentielle de 2020, Gabri...
04/03/2024

Togo : l’opposants Agbeyomé Kodjo n'est plus

Retourné en exil aux lendemains de l’élection présidentielle de 2020, Gabriel Messan Agbeyome Kodjo n’est plus. L’ancien Premier ministre du Togo est décédé dans la nuit de samedi à dimanche.

Distillée sur les réseaux sociaux depuis l’après-midi de dimanche, l’information du décès d’Agbeyome Kodjo est confirmée par plusieurs sources proches de la famille. L’homme d’Etat avait 70 ans.

Il nous revient que le président du Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (MPDD) a eu un malaise samedi et a été conduit à l’hôpital. Il a expiré au petit matin de dimanche, selon notre informateur.
Quelques semaines seulement après le décès de Monseigneur Philippe Fanoko Kpodzro, c’est autour d’Agbeyome Kodjo, qu’il a soutenu à l’élection présidentielle de 2020, de mourir en exil. L’opposant a été contraint à l’exil aux lendemains de la proclamation des résultats de l’élection présidentielle de 2020. M. Kodjo avait quitté le pays affirmant à l’époque qu’il y avait un plan d’emprisonnement contre lui.

Agbeyome Kodjo, un parcours politique dense
Messan Agbéyomé Kodjo, né le 12 octobre 1954, a été Premier ministre de Gnassingbé Eyadèma du 31 août 2000 au 29 juin 2002. Mais avant, il a servi comme ministre des sports, ministre de l’intérieur, Directeur général du Port autonome de Lomé, Président de l’assemblée nationale.

Après sa défection au sein du Rassemblement du peuple togolais (RPT) en 2002, il part en exil avant de rallier les rangs de l’opposition togolaise. Après le décès d’Eyadéma, il est rentré au Togo le 8 avril 2005, mais a été emprisonné pour un détournement de fonds présumé alors qu’il était directeur général du port autonome de Lomé. En septembre 2005, il a fondé avec Dahuku Péré le parti l’Alliance démocratique pour la patrie (connue simplement sous le nom d’Alliance).

Il va fonder en 2008 son propre parti politique, l’Organisation pour bâtir dans l’union solidaire togolaise (OBUTS) avec lequel il a été candidat à la présidentielle de 2010. En 2018, il change le nom de sa formation politique. OBUTS devient alors le Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (MPDD).

M. Kodjo a été de nouveau candidat à l’élection présidentielle de 2020. Les résultats officiels le proclament 2e derrière Faure Gnassingbé avec 19,45% des voix. Des résultats qu’il a contestés jusqu’à son dernier souffle le 03 mars 2024, estimant être le président

BURKINA-MALI-NIGER : LE TOGO SUSPEND LA REDEVANCE STATISTIQUELe Burkina, le Mali et le Niger bénéficient de quelques ava...
03/03/2024

BURKINA-MALI-NIGER : LE TOGO SUSPEND LA REDEVANCE STATISTIQUE

Le Burkina, le Mali et le Niger bénéficient de quelques avantages au niveau du Togo. Le pays de Faure Gnassingbé suspend la redevance statistique pour ces trois pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). Décision prise par l’Office Togolais des Recettes (OTR) et rendue publique depuis le 19 février dernier.

La suspension de la redevance statistique concerne les marchandises arrivant par voie maritime au Port de Lomé et déclarées en transit à destination du Burkina Faso, du Mali ou du Niger.

En effet, cette redevance est un prélèvement appliqué aux importations et exportations. Elle sert à financer les activités statistiques du pays, incluant la collecte, le traitement et la diffusion des données économiques et commerciales.

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Faure Gnassingbé ouvre le 2e congrès UNIR avec une conviction de victoireFaure GnassingbéFaure Gnassingbé lors de l'ouve...
26/02/2024

Faure Gnassingbé ouvre le 2e congrès UNIR avec une conviction de victoire

Faure Gnassingbé
Faure Gnassingbé lors de l'ouverture du congrès

Faure Gnassingbé préside le 2e congrès statutaire du parti Union pour la République (UNIR) qui s’est ouvert lundi à Kara. Près de 1.500 délégués prennent part aux travaux. Ouvrant les travaux, le président du parti a salué la mobilisation des militants. Il a appelé ses partisans à l’humilité, à la discipline et à la solidarité pour rester fidèle au projet politique. Pour les prochaines élections, M. Gnassingbé est déjà convaincu de la réussite de UNIR.

Contents
Appel de Faure Gnassingbé
Au ménu du congrès UNIR
A l’ouverture des travaux, Faure Gnassingbé a partagé quelques pistes de réflexion avec les congressistes. D’abord, il a rappelé aux participants que UNIR est une vision pour construire ensemble. Pour lui, le Togo ne sera grand que si ses citoyens le construisent ensemble.

« Lorsque nous avons décidé d’opérer le 14 avril 2012 cette mutation majeure dans la vie politique de notre pays, nous étions animés d’une conviction profonde, celle que notre force vient de notre unité ; de notre qualité à transcender nos différences pour forger un avenir commun », a-t-il dit.

Faure Gnassingbé appelle à travailler pour manifester cette idée dans la vie de tous les jours. Selon lui, les programmes, projets, actions, les attitudes et gestes doivent témoigner d’un engagement permanent à être au service des populations togolaises. Le président du parti au pouvoir souhaite un alignement et une complémentarité entre les actions du gouvernement et celles des structures de base ainsi que des militants du parti sur le terrain.

Faure Gnassingbé note également que le volet sécuritaire est à prendre en compte parce que la sécurité est le socle de tout développement. Pour lui, les militants du parti doivent collaborer avec les forces de défense et de sécurité dans les localités touchées.

Appel de Faure Gnassingbé
Le président de UNIR appelle les militants à l’humilité, à la discipline, à la solidarité pour rester fidèle au projet politique qui a sous-tendu la création de la formation politique. Pour lui, si le parti peut être fier de ce qu’il a déjà réalisé, les défis du terrain doivent l’amener à beaucoup d’humilité.

« Ce congrès se tient dans un contexte du calendrier républicain qui est celui de la tenue dans quelques semaines des élections législatives et régionales. Si nous étions en classe et si j’étais un enseignant, je vous dirai pour les examens, conjuguer le verbe UNIR. Pour rester unis et solidaires dans vos relations interpersonnelles. Restez unis et solidaires à l’échelle de vos circonscriptions électorales respectives, restez unis et solidaires avec les instances du parti. Je suis devant vous convaincu que nous pouvons réussir et c’est mon intime conviction », a-t-il lancé.

Les congressistes sont venus de toutes les préfectures du pays. Selon la direction du parti, ils vont échanger sur la vie du parti, sur l’actualisation des textes fondamentaux, notamment les statuts, le règlement intérieur, et la charte des valeurs.

Au ménu du congrès UNIR
L’actualité politique du pays ne sera pas en reste. Le calendrier électoral intéresse fortement les militants de UNIR. En effet, le Togo tient le 20 avril prochain des élections législatives et locales. Ce double scrutin permettra de renouveler l’Assemblée nationale, dont le nombre de sièges est désormais porté de 91 à 113. Par ailleurs, les élections régionales permettront d’élire les premiers conseillers régionaux de l’histoire du pays.

Le parti UNIR révèle qu’il se prépare activement à mobiliser ses militants dans toutes les circonscriptions électorales du pays pour solliciter le suffrage des électeurs pour les consultations de 2024. On apprend que lors de ce congrès, les candidats aux élections législatives et régionales du 20 avril 2024 seront investis.

Les travaux du congrès sont présidés par le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, également président fondateur du parti UNIR.

La formation politique est fondée le 14 avril 2012 à Atakpamé. Elle est actuellement majoritaire à l’Assemblée nationale et au sein des conseils municipaux.

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