05/08/2025
đVIES PARALLĂLES/ Il pissait dans ma bouche pour arroser mon BaccalaurĂ©at
Je m'appelle Linda, j'ai 18 ans et je viens d'avoir le Bacc. J'ai une amie qui s'appelle Vanessa avec qui j'étais en Terminale au Lycee de Nyalla. C'était la fin d'année, il fallait aller en vacances. Ma mÚre vit à Ebolowa et mon papa je ne le connais pas. Vanessa avait ses parents qui vivaient à Yde et je voulais aller passer les 2 mois de vacances restants chez eux avant d'entrer en fac. J'allais souvent chez eux pour les congés.
Nous voici Ă Akwa, Finex, Mvan, YaoundĂ©, taxi, maison au quartier Ngousso, juste aprĂšs la ToTal. Vanessa avait des parents encore trĂšs jeunes et sa maman Ă©tait une dame tellement gentille. Son pĂšre, whaouuuhhh ! Quel beau gosse! Le genre qui peut faire tomber mĂȘme une dame de 60 ans.
Je monte dans la chambre mettre mes bagages et quand je redescends, je tombe sur Roland (le pĂšre de Vanessa) et Carole (la mĂšre de Vanessa).
-MOI: Bonjour Ă vous
-EUX: Bonjour ma fille, ça va ?
-Roland: T'as beaucoup grandi hein, tu as beaucoup changé.
J'ai vu de la perversitĂ© dans son regard quand il sortit cette phrase. Je ne sais pas pourquoi mais Ă ce moment, ma ch**te est devenue chaude, mouillĂ©e. J'Ă©tais troublĂ©e. J'ai essayĂ© de chasser les idĂ©es lĂ dans ma tĂȘte, bref j'ai essayĂ©. La journĂ©e se passait Normalement et puis le soir tout le monde passait Ă la table. AprĂšs avoir mangĂ©, Vanessa et moi dĂ©barrassions la table puis elle fila dormir quand moi je lavais encore les assiettes. Carole Ă©tait en train de voir QUESTIONS POUR UN CHAMPION, il Ă©tait 18h. J'Ă©tais seul Ă la cuisine Ă chantonner quand je l'ai senti. J'Ă©tais prĂ©cisĂ©ment en train de mettre les assiettes dans le panier Ă assiettes quand j'ai senti un corps Ă©tranger collĂ© sur mon c^^u^^l, sur mes fe^^sses. Je savais que c'Ă©tait lui car il ba^^ndait. Je fe^^ins de ne rien ressentir, ça s'est passĂ© en 5 secondes mais c'Ă©tait suffisant pour me mouiller littĂ©ralement. Mon s^^e^xe Ă©tait moite et br^^Ă»lant. J'aurais aimĂ© qu'il s'aventure un peu plus mais il Ă©tait dĂ©jĂ sorti de la cuisine. L'avait-il fait sciemment ? Regrette t-il ? J'Ă©tais abarsourdie mais trĂšs e^^x^ci^^tĂ©e. Je me voyais bien en train de le s^^u^^cer et tout. Puis mes pensĂ©es sont revenues quand j'ai entendu Vanessa qui m'appelait depuis sa chambre. Elle voulait qu'on sorte pour aller Ă Odza dans un snack nommĂ© "Penalty". Nous y sommes allĂ©es mais ma tĂȘte Ă©tait bloquĂ©e sur le geste que j'ai eu avec Roland. Le lendemain matin, je me levai vers 11h et Vanessa format toujours. Quelle pareusseuse cette fille! J'allais aux toilettes pour me laver les dents et la figure. Et puis je descendis pourvoir un film Ă la tĂ©lĂ©. Il yavait "POWER" qui passait Ă Canal. Je me suis assise, le regard lourd pour voir cette sĂ©rie. AprĂšs 30 secondes, je sentis un regard sur moi, c'Ă©tait comme si quelqu'un me regardait. Mais qui c'Ă©tait ? Quand je tournai ma tĂȘte pour regarder Ă ma gauche, je vis Roland assis. Je sursautai car je l'avais pas vu. Il sourit et toujours ce regard p^^e^^rv^^ers dans moi. Moi qui croyais ĂȘtre seule, j'avais mĂȘme pas changĂ© ma n^^uis^^ette transparente qui dĂ©voilait un corps vide. Je fei^^gnais de regarder la tĂ©lĂ© pourtant j'Ă©tais m^^or^^te de honte et en mĂȘme temps ma ch**te Ă©tait m^^oui^^llĂ©e. Mon Dieu quel supplice! Et lui qui ne faisait que me dĂ©v^^orer du regard. Je voulais qu'il saute sur moi, je le voulais lĂ lĂ . Je voulais lui sucer la bite, je voulais lui mo^^rdre les tĂ©^^tons. Je voulais qui me trimballe dans ce salon, je voulais lui offrir ma ch^a^^tte mĂȘme si ma n^^ui^^sette lui laissait dĂ©jĂ voir tout. Surtout qu'Ă un moment, il ya eu une scĂšne de b^a^^^ise. C'Ă©tait Ghost qui sautait la substitut du procureur. Elle g^^Ă©^^m^^issait, c'Ă©tait beau. Cette scĂšne a failli me faire bondir sur Roland Mais quand j'ai pensĂ© Ă Carole et ma pote Vanessa, j'ai pris mes pieds et mon courage pour quitter le salon. Je sentais son regard de p^^er^^v^^ers me mater et puis j'ai lancĂ© un coup d'oeil sur lui avant de disparaitre du salon, j'ai eu le temps d'apercevoir une bosse Ă©norme dans son short. Je suis allĂ©e aux toilettes me ma^^st^^urb^^er pour me soulager. Je pensais Ă lui quand j'avais les doigts dans la ch^a^^^tte. Je me sentais honteuse mais l'e^^xcit^^ati^^on Ă©tait au dessus de ça.
2 jours, nous Ă©tions Ă la cour avec d'autres amis Ă Roland en train de boire. J'ai un peu abusĂ© sur l'al^co^^ol et Vanessa aussi. On s'est chamaillĂ© je ne sais plus pourquoi et je suis montĂ©e dans la chambre me coucher, il Ă©tait 20h environ. J'Ă©tais triste et je voulais ĂȘtre seule. De lĂ haut, j'entendais des rires Ă la cour, des bavardages et parmi je cherchais la voix de Roland. En vain, je ne l'entendais pas.
Soudain la porte s'ouvrit, c'Ă©tait lui. Il me demandait la raison de notre dispute et pendant que je lui expliquais tout doucement il se rapprochait pour mieux Ă©couter. Je m'assis alors sur le lit en posant mon dos au chevet, il Ă©tait aussi assis en bordure du lit. Il faisait noir dans la chambre mais la fenĂȘtre laissait passer une lueur et grĂące à ça je vis qu'il avait un jogging et un tricot. Sous son jogging on pouvait apercevoir une belle bosse. Je me mis alors Ă pleurer en lui expliquant, il me prit dans ses bras et me recoucha sur le lit tout en me calmant. Je pouvais sentir sa bite sur mon ventre quand il essayait de me faire co^^ucher. Mais ça ne suffisait pas, je pleurais de plus belle tout doucement et il se co^^ucha pour mieux me consoler. Je pouvais sentir sa b^^i^^te sur la c^^u^^isse tandis que sa bouche me ch^^uchotait des mots d'apaisement Ă l'oreille. Sa bite faisait des va et viens sur ma c^^^u^isse, mes tĂ©^^^tons Ă©taient durs, j'Ă©tais e^^^x^^citĂ©e. Puis sa main se posa sur mon ventre, il me c^^are^^^ssait le ventre. J'avais une jupe et juste le soutien. Il e^^^^nf^onça sa main dans ma jupe pour constater qu'il n'y'avait rien en dessous. Mon ventre se contracta de pla^^isir, Il introduit son doigt dans ma cha^^^tte dĂ©jĂ mo^^uillĂ©e. C'Ă©tait bon.
-Hmmmmmmm! C'est bon, t'es telle5doux Roland
-Merci ma biche, je rĂȘve te faire ça depuis 2 ans dĂ©jĂ que t'Ă©tais venue en vacances ici.
-Ca valait le coup d'attendre, j'Ă©tais pas prĂȘte comme maintenant.
-S^^^u^ce moi, petite "péthace"
J'ai aimé quand il a sorti cette injure, ma ch^^a^^tte a b^^at^^^tu au rythme de mon coeur à l'écoute de ce mot. Je bai^^ssai son jogging et je pris sa bite. Elle était voluptueuse, ma main n'arrivait pas à la tenir entiÚrement tellement elle était grosse. Mais elle n'était pas si longue que ça. Moi ça m'allait. Je le s^^^u^çais tout en faisant attention du bruit qu'il yavait dehors. Plus le risque était grand plus le plaisir était énorme. Il me prit aussi la ch**te avec sa langue mais il ne dura pas, il voulait ba**er. Il en^^fon^^ça sa bite dans ma ch^^atte.
-Ăalhope tu veux ma bite ?
-Ouuuiiiiiiiii!
-Depuis combien de temps tu la veux petite traßnée ?
-Depuis toujours ! V^^as y, ne t'arrĂȘte pas, j'aime cette fougue.
Il me prit et me colla Ă la fenĂȘtre. Je pouvais voir les autres continuer l'apĂ©ro sur la cour. J'Ă©tais Ă ch^^eval la tĂȘte Ă la fenĂȘtre. Heureusement il faisait noir. Ce p^^e^^rvers me limait la ch**te de plus en plus fort.
-Ooooouuuuuuiiiiiiiiii Rrrrrrrroooooooooollllllllllllaaaaaaaaaaannnnnnnnndddddddd! Oui b^ai^^^se moi! Tape fort! Dérange moi la ch^^atte! Elle est pour toi! Oh oui! Oh oui!
-C'est qui le meilleur ?
-C'est toi. Tu es meilleur que la plupart de mes profs.
- Ah bon ma chaudasse! Tu baises aussi avec tes profs ?
-Oui oui j'aime la b^^ite et aussi la langue sur ma cha^^^tte.
Une vague de ch;^aleur m'envahit la cha^^tte, il ta^^pait si fort que je ressentais sa bi^^te dans mon ventre. Je ressentais ses boules taper sur ma ch^^atte. Il me tenait par les cheveux mais je pouvais toujours voir sa femme avec les autres qui riaient à la cour. Je l'entendis respirer fortement et je sentis que la jo^^uis^^^^sance arrive déjà .
-T'inquiĂšte pas pour moi je prends les p^^ilules, jouis dans ma cha^^tte
-Ah bon?!? đł T'es quelle race de traĂźnĂ©e ?
-Tais toi et jouis dans ma c^^^ha^tte, je veux le sp^^er^^me dans ma ch**te.
Il me serrai fort et je sentis un liquide qui coulait le long de mes c^^u^isses. Il avait jo^^ui le s^^alo. Mais moi j'avais pas encore joui, il me fallait la langue dans la ch^^att^^e pour me faire jo^^u^ir. Je le lui dis et se courba pour me s^^u^^cer le con. C'était bon, j'aimais. Mais il bavardait beaucoup. Il retirait sa langue tout le temps pour me demander si j'aime et moi ça me v^^exait.
-Dis moi, tu aimes quand je te s^^uc^^e ? Je suis le meilleur ?
-T'es pas le meilleur, vas y s^^u^^cer moi et.........suite et fin de l'histoire ici en un seul clic đ https://www.youscribe.com/BookReader/Index/3649461?documentId=5793437