21/07/2025
Yacouba Doumbia
🇨🇮 BRAVADOR ET LA NOUVELLE GUERRE CONTRE LA CÔTE D’IVOIRE : QUAND LA TRAHISON PORTE DES FILTRES TIKTOK
Et si la guerre moderne ne se faisait plus avec des fusils, mais avec des followers ?
Et si les ennemis de l’intérieur portaient des baskets et une caméra frontale plutôt qu’un uniforme ?
Ce 17 juillet 2025, un pas gravissime a été franchi : un influenceur ivoirien tristement célèbre pour ses insultes contre la République, Bravador, a été reçu officiellement par un membre du gouvernement burkinabè. Pas en cachette. Pas en aparté. Mais en fanfare, sous les drapeaux, avec promotion officielle sur les canaux de l’État putschiste.
Ce n’est pas un hasard.
Ce n’est pas un voyage touristique.
C’est un acte de guerre symbolique.
Bravador n’est pas un humoriste mal compris. Il est le visage souriant d’une entreprise toxique de désinformation, de haine et de sabotage numérique contre la Côte d’Ivoire.
À travers ses posts, ses vidéos, ses provocations, il cherche à démonter, ridiculiser, salir les institutions ivoiriennes. Il se fait l’écho des putschistes, des fauteurs de guerre, des régimes militaires qui veulent affaiblir l’AES de l’intérieur.
👉🏾Quand un influenceur traite la Côte d’Ivoire de “pays de Woobi”, pendant qu’il glorifie le Burkina, le Mali et le Sénégal de Sonko, ce n’est pas de l’opinion : c’est une stratégie cognitive.
👉🏾Quand il est reçu par un ministre de la Culture, c’est une légitimation politique de ses propos antirépublicains.
👉🏾Quand des institutions étrangères le célèbrent, c’est un signal à nos jeunes : “crache sur ton pays et tu seras acclamé ailleurs”.
👉🏾Le message est clair : l’ennemi s’adapte. Il ne vient plus armé d’un fusil, mais d’un micro-cravate et d’un compte Instagram.
Il infiltre les esprits. Il détruit les repères. Il travestit la vérité.
La Côte d’Ivoire est attaquée. Non par des chars, mais par des récits.
🔥Il est temps d’agir.
Ce n’est plus une question de buzz, mais de sécurité nationale.