đ‘ș𝒕𝒆𝒑𝒉 & đ‘ș𝒕𝒆𝒑𝒉.

đ‘ș𝒕𝒆𝒑𝒉 & đ‘ș𝒕𝒆𝒑𝒉. âŁïžTu as captivĂ© mon cƓur, ma sƓur(
) Cantique des Cantiques 4:9

En ce moment oĂč les cƓurs sont partagĂ©s, j’aimerais juste rappeler quelque chose de simple : nous avons un seul pays, un...
24/10/2025

En ce moment oĂč les cƓurs sont partagĂ©s, j’aimerais juste rappeler quelque chose de simple : nous avons un seul pays, une seule terre, une seule famille. 🇹🇼

Avant nos opinions, nos origines, il y a notre humanité.
C’est elle qui nous lie, c’est elle qui fait que la douleur de l’autre me touche, que la joie de l’autre m’élĂšve aussi.

Ce n’est pas le moment de se diviser, mais de se souvenir que la paix, c’est notre plus belle victoire.
Le temps passe, les Ă©lections passent, les dirigeants restent ou changent, mais nos liens, nos familles, nos amitiĂ©s, notre CĂŽte d’Ivoire doivent rester debout.

Alors, aimons-nous un peu plus, parlons avec douceur, prions avec foi et gardons la tĂȘte froide.
Parce qu’au fond, ce pays qu’on aime tant mĂ©rite nos priĂšres, pas nos colĂšres.

đŸ•Šïž “Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelĂ©s fils de Dieu.”
— Matthieu 5:9

Les conflits il y en a toujours au quotidien,  un simple "Bonjour" peut t’occasioner un conflit. Mais dans la vie mĂȘme s...
17/10/2025

Les conflits il y en a toujours au quotidien, un simple "Bonjour" peut t’occasioner un conflit. Mais dans la vie mĂȘme si cela te tombe la dessus il faut tout faire pour les Ă©viter.

Tu peux avoir raison, avoir la preuve palpable, avoir la plus belle rĂ©partie
 mais tout ça Ă  quel prix ?
Entrer dans un conflit pour « prouver » qu’on a raison, c’est souvent se polluer l’esprit, donner Ă  l’ennemi une arme (une parole, un geste) qui va revenir plus t**d.

Que ce soit avec ton ou ta partenaire, un ami, un collĂšgue il y a des combats qui ne valent pas la peine.
Parfois il vaut mieux étouffer le feu quand il est encore petit : ne pas répondre, respirer, dire « tu as raison » pour calmer, prendre la décision de protéger la relation plutÎt que de protéger son ego.

Parce qu’une parole lancĂ©e dans la colĂšre peut blesser profondĂ©ment, rĂ©pĂ©ter un mal, briser une confiance, et parfois laisser une trace qu’on traĂźne pendant des annĂ©es.

Dans le couple surtout, fais attention : certains mots ne se disent pas quand on partage le mĂȘme lit, la vie, le coeur.
Une phrase lùchée en colÚre peut devenir une blessure qui resurgit au moindre différend. Mieux vaut perdre une dispute que perdre la paix du foyer.

La sagesse chrĂ©tienne nous invite Ă  cela : ĂȘtre artisans de paix, pas collectionneurs de « preuves ». Ne laisse pas l’orgueil dicter ta bouche. Choisis la paix. ProtĂšge ce que Dieu t’a donnĂ©, une amitiĂ© saine, un mariage, une bonne ambiance au travail en rendant la paix prioritaire.

Garde ta langue dans ta poche comme on garde une graine rare, protĂšge-la, choisis oĂč la semer.
La paix d’aujourd’hui vaut mieux que la « victoire » de demain qui coĂ»te trop cher.

On peut tous tĂ©moigner d’une dispute qu’on a soit fait ou qu’on a vu qui s’est mal terminĂ©e (un mot mal placĂ©, un geste dĂ©placĂ© etc..) et qui continue d’avoir des consĂ©quences.
Alors Ă©vitons cela tant qu’on peut

« Une rĂ©ponse douce dĂ©tourne la fureur, mais une parole blessante excite la colĂšre. » — Proverbes 15:1

Je m’appelle Clarisse Kouaho.32 ans, diplĂŽmĂ©e en Ressources Humaines, pleine d’énergie, pleine de rĂȘves
 et pleine de fo...
16/10/2025

Je m’appelle Clarisse Kouaho.
32 ans, diplĂŽmĂ©e en Ressources Humaines, pleine d’énergie, pleine de rĂȘves
 et pleine de foi.
Enfin, c’est ce que je croyais.

Quand j’ai terminĂ© mes Ă©tudes, je croyais que le monde m’attendait.
Je croyais que les portes allaient s’ouvrir parce que j’avais bien travaillĂ©, parce que j’étais sĂ©rieuse, honnĂȘte, fidĂšle Ă  Dieu.
Mais le monde du travail m’a vite montrĂ© une autre rĂ©alitĂ© :
Le talent ne suffit pas toujours quand tu es une femme.

La premiĂšre fois qu’on m’a refusĂ© un poste, on m’a dit :

“Vous ĂȘtes brillante, mais vous risquez de tomber enceinte bientĂŽt. Nous cherchons quelqu’un de plus
 stable.”

J’ai souri, j’ai dit merci, mais dans le taxi, j’ai pleurĂ© comme une enfant.
Je n’avais mĂȘme pas d’enfant, pas de mari
 et pourtant, c’était dĂ©jĂ  un “problĂšme”.

La deuxiĂšme fois, c’était pire.
Un responsable m’a regardĂ©e droit dans les yeux et a dit :

“Mademoiselle Clarisse, vous avez trop de caractùre. Ici, on a besoin de femmes qui savent rester à leur place.”

J’ai compris.
Ma place, pour eux, c’était derriĂšre.
Silencieuse. Soumise. Effacée.

Mais le pire, c’est ce qui est arrivĂ© dans ma troisiĂšme entreprise.
J’avais enfin Ă©tĂ© embauchĂ©e dans une PME Ă  Cocody.
J’étais fiĂšre, reconnaissante.
Je disais à Dieu : “Merci Seigneur, cette fois c’est la bonne.”

Mais trÚs vite, le directeur, un homme marié, influent a commencé à me faire venir souvent dans son bureau.
Au dĂ©but, c’était pour “parler du travail”.
Puis c’est devenu :

“Clarisse, tu es belle aujourd’hui.”
“Tu sais, je peux t’aider Ă  Ă©voluer ici, si tu es gentille avec moi.”

J’ai dit non.
Fermement.
Et le lendemain, l’ambiance avait changĂ©.
Les réunions se faisaient sans moi.
Mes collĂšgues m’évitaient.
Et quelques semaines plus t**d, on m’a licenciĂ©e pour “mauvais comportement”.

Ce jour-lĂ , j’ai criĂ©.
Pas contre l’entreprise.
Mais contre Dieu.

“Seigneur, oĂč es-tu ?
Tu dis que tu es juste, mais les injustes prospĂšrent !
Tu dis que tu bĂ©nis ceux qui t’obĂ©issent, mais moi je perds tout parce que j’ai voulu te rester fidĂšle !
OĂč es-tu ?”

Je n’arrivais plus à prier.
Je regardais ma Bible, mais chaque mot me semblait vide.
Je me sentais seule, trahie, sale mĂȘme

Parce que le systĂšme m’avait fait croire que ma dignitĂ© Ă©tait un handicap.

Les mois ont passé.
Plus de travail.
Plus d’argent.
MĂȘme mes amis commençaient Ă  me dire :

“Clarisse, il faut ĂȘtre un peu souple, sinon tu vas rester pauvre toute ta vie.”

Et lĂ , j’ai doutĂ©.
Oui, j’ai doutĂ© de Dieu.
J’ai mĂȘme doutĂ© de ma valeur.
Je me suis demandĂ©e : “Et si c’était moi le problĂšme ?”

Un soir, seule dans ma chambre, j’ai pleurĂ© toutes les larmes de mon corps.
Et au milieu de mes sanglots, j’ai dit :

“Seigneur, si tu existes encore pour moi, montre-le.”

Deux semaines plus t**d, j’ai reçu un mail.
Une ONG internationale cherchait une responsable RH.
J’ai postulĂ© sans trop y croire.
Et tu sais quoi ?
J’ai Ă©tĂ© retenue.
Non pas parce que j’étais jolie, non pas parce que j’ai cĂ©dĂ©, mais parce que j’étais compĂ©tente.

Le jour oĂč j’ai signĂ© mon contrat, j’ai pleurĂ© encore.
Mais cette fois, c’était des larmes de reconnaissance.

Dieu n’était pas en ret**d.
Il m’attendait simplement Ă  l’endroit oĂč ma valeur serait reconnue, et non marchandĂ©e.

Aujourd’hui, je recrute moi-mĂȘme des jeunes femmes.
Et quand je les vois baisser la tĂȘte, dĂ©couragĂ©es, je leur dis :

“Ne laisse pas un homme te faire croire que tu dois t’humilier pour exister.
Ce que tu refuses par principe, Dieu te le rendra en promesse.”

J’ai compris que Dieu ne m’a jamais abandonnĂ©e.
Il m’a simplement retirĂ©e des endroits oĂč ma lumiĂšre aurait Ă©tĂ© Ă©teinte.

“Car je connais les projets que j’ai formĂ©s sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espĂ©rance.”
— JĂ©rĂ©mie 29:11


Je m’appelle Kevin Kouadio.Il fut un temps, on disait de moi : “c’est le futur Drogba.”À 19 ans, j’étais dans un centre ...
09/10/2025

Je m’appelle Kevin Kouadio.
Il fut un temps, on disait de moi : “c’est le futur Drogba.”
À 19 ans, j’étais dans un centre de formation Ă  Abidjan, et tout le monde voyait en moi une Ă©toile montante.
J’avais le talent, la vitesse, la frappe. Et surtout
 l’arrogance de croire que tout ça venait de moi.

Un agent m’a repĂ©rĂ©, j’ai eu ma premiĂšre opportunitĂ© Ă  l’étranger.
Direction le Maroc.
LĂ -bas, j’ai dĂ©couvert une autre vie : un peu d’argent, des filles, les boĂźtes de nuit, les premiers habits de marque.
Je priais Ă  peine, et quand quelqu’un me disait “mets Dieu au centre”, je rĂ©pondais :

“Quand j’aurai rĂ©ussi, je vais penser Ă  ça.”

Mais le destin, lui, n’attend personne.

Un jour, avant un match dĂ©cisif ou il y avait des recruteurs EuropĂ©ens venus spĂ©cialement me voir jouer, j’ai ressenti une douleur Ă©trange au genou.
Au dĂ©but, je pensais que c’était juste une fatigue.

J’ai forcĂ© pour jouer malgrĂ© la douleur mais aprĂšs le match
 ma jambe s’est mise Ă  enfler.
Les mĂ©decins parlaient d’une blessure grave, d’autres murmuraient dans mon entourage que j’avais Ă©tĂ© “GbassĂ©â€.
Un ami m’a dit que c’était liĂ© Ă  la sorcellerie, que certains ne supportaient pas de me voir monter.
Moi, je ne croyais pas à tout ça.
Mais tout s’est arrĂȘtĂ© lĂ .

Mon genou droit puis mon genou gauche du jour au lendemain ont commencé à « pourrir »

Plus de contrat.
Plus d’argent.
Plus de rĂȘves.
Je suis rentrĂ© en CĂŽte d’Ivoire
 brisĂ©.
J’ai consultĂ© de nombreux mĂ©decins puis des marabouts mais rien n’y fit.

De retour dans mon quartier, les gens riaient dans mon dos:

“Lui lĂ , il se voyait trop en star, il pensait dĂ©ja ĂȘtre arrivĂ© Ă  un niveau!”

J’avais mes Ă©conomies mais aucune perspective rĂ©elle. Je broyais du noir et j’ai glissĂ© doucement mais sĂ»rement dans le dĂ©sespoir total.
J’ai commencĂ© Ă  limiter mes sorties au quartier pour limiter les moqueries ou les nombreuses questions sur mon retour Ă  Abidjan.

C’est dans cette pĂ©riode noire qu’un fait majeur a changĂ© ma vie.
Pas dans un stade, mais juste en partant acheter du pain.
J’ai croisĂ© mon ex copine Cynthia Kipre Ă  la Boulangerie. Elle m’a dit qu’elle travaillait dans une agence immobiliĂšre et qu’elle habitait toujours Ă  Yopougon.

Je lui ai expliquĂ© briĂšvement que j’étais revenu au pays suite Ă  ma blessure et elle a profitĂ© pour m’invitĂ© Ă  un programme dans son Ă©glise.

Je suis venu juste pour “voir” oĂč du moins « LA VOIR » parce qu’elle Ă©tait devenue encore plus belle. Il faut dire que elle a rompu par le passĂ© avec moi elle m’avait qu’elle ne me trouvais pas assez mature.

Bref j’y suis allĂ© sans grande attente mais ce jour-lĂ , quand pendant son message le pasteur a dit :

“Dieu peut encore se servir de ceux que le monde a jetĂ©s”,
j’ai senti une Ă©motion qui m’a foudroyĂ© et je me suis retenu Ă  peine de couler des larmes.

J’ai donnĂ© ma vie Ă  JĂ©sus. On a prier pour mes douleurs chroniques qui m’empĂȘchaient de bien marcher. Petit Ă  petit j’ai commencĂ© Ă  me rĂ©tablir mĂȘme si au final mon Ăąge Ă©tait avancĂ© pour reprendre le Football.

Et pourtant c’est lĂ  que ma vraie carriĂšre a commencĂ©.
Pas une carriĂšre de footballeur, mais une carriĂšre de foi.

Par le biais d’un proche Ă  l’église j’ai fait une formation en tant qu’agent de joueurs, parce que Dieu m’a mis Ă  cƓur d’aider les jeunes Ă  ne pas tomber dans les mĂȘmes erreurs.

Aujourd’hui, je suis mariĂ© Ă  une femme du nom de CYNTHIA 😅
Oui oui j’ai Ă©pousĂ© mon ex qui m’aime sincĂšrement, et nous attendons notre premier enfant.
Je n’ai plus la cĂ©lĂ©britĂ© que je voulais, mais j’ai quelque chose de plus fort : La paix.

Si je devais parler à un jeune joueur aujourd’hui, je lui dirais :

“Ne laisse pas ton talent t’éloigner de Dieu. Parce qu’un genou peut se briser
 mais un cƓur qui s’attache Ă  Dieu reste debout.

“Ceux qui sĂšment avec larmes moissonneront avec chants d’allĂ©gresse.”
— Psaume 126:5

Sache que Tu peux tout perdre, sauf Dieu.
Et si tu l’as, mĂȘme aprĂšs la blessure, Il te donnera une nouvelle voie.
La grñce n’annule pas la chute, elle la transforme.



05/10/2025

Aujourd’hui, prends un moment pour dire merci. Pas pour ce qui manque, mais pour ce qui est dĂ©jĂ  lĂ . La gratitude ouvre les portes de la joie.
Bon Dimanche 🙏

04/10/2025

Le bonheur ne se trouve pas dans les choses, ni mĂȘme dans les gens. Il se trouve dans une paix profonde que seul Dieu peut donner. Si ton cƓur est en paix, alors tu es vraiment riche.

03/10/2025

Tu crois ĂȘtre Ă  bout ?
Tu n’as plus de force?
Confie-toi Ă  Celui qui ne se fatigue jamais. Ta faiblesse est l’endroit parfait oĂč Sa puissance se rĂ©vĂšle.

Il y a des jours oĂč tu te sens fatiguĂ© de prier. Tu n’arrives pas Ă  expliquer pourquoi. Tu prends ton tĂ©lĂ©phone, tu scro...
02/10/2025

Il y a des jours oĂč tu te sens fatiguĂ© de prier.
Tu n’arrives pas Ă  expliquer pourquoi. Tu prends ton tĂ©lĂ©phone, tu scrolles, tu ris un peu, tu regardes tout
 et pourtant, Ă  la fin, tu n’as rien fait de vraiment utile.

Tu dis : “Demain, je vais prier”, mais quand demain arrive, tu passes une heure Ă  faire la mĂȘme chose et au final tu te couches avec un vide dans le cƓur.

Si tu vis ça, sache que tu n’es pas seul.
Ton Ăąme n’est pas morte. Elle est juste encombrĂ©e et a besoin de respirer autrement.

La vĂ©ritĂ©, c’est que ce n’est pas que tu n’as pas le temps. C’est que ton esprit cherche une issue facile. Mais Dieu n’a pas besoin d’une grande performance de ta part.

Alors au lieu de scroller encore et encore, arrĂȘte-toi. Commence petit.
Une phrase.
Un soupir.
Un « Seigneur, aide-moi à revenir à Toi. »

Un autre jour, lis un verset. Dis une courte priĂšre. MĂȘme 2 minutes valent mieux que 0.

Ne culpabilise pas. Reviens doucement. Reviens vrai.
Parce que Dieu ne te demande pas une belle priùre, Il te demande ton cƓur.

“De mĂȘme aussi l’Esprit nous aide dans notre faiblesse ; car nous ne savons pas ce qu’il nous convient de demander dans nos priĂšres. Mais l’Esprit lui-mĂȘme intercĂšde par des soupirs inexprimables.” (Romains 8:26)

02/10/2025

Ne mĂ©prise pas tes petites avancĂ©es. Lire un verset, sourire Ă  quelqu’un, pardonner un mot blessant
 Ces petites victoires sont des graines que Dieu fait grandir.

Je m’appelle Franck Yao, j’ai aujourd’hui 42 ans.Autrefois, ma vie paraissait belle aux yeux du monde : un poste de comp...
01/10/2025

Je m’appelle Franck Yao, j’ai aujourd’hui 42 ans.
Autrefois, ma vie paraissait belle aux yeux du monde : un poste de comptable dans une grande entreprise d’Abidjan, un appartement confortable Ă  Cocody, une fiancĂ©e avec qui je prĂ©parais le mariage
 bref, tout ce que beaucoup d’hommes de mon Ăąge pouvaient envier.

Mais derriĂšre cette façade, j’étais prisonnier de mes vices. L’alcool Ă©tait devenu mon refuge, les boĂźtes de nuit ma seconde maison, et je croyais plus aux sorciers que m’assoir pendant des heures pour suivre un message biblique.

Plus les jours passaient, plus je sombrais. Un soir, aprĂšs avoir trop bu, j’ai payĂ© une fille pour coucher avec elle. Sur le chemin du retour, alcoolisĂ©, j’ai percutĂ© un jeune homme Ă  moto. Il a survĂ©cu mais avec plusieurs fractures et un pied amputĂ©, la fille qui Ă©tait dans ma voiture ce soir-lĂ  a elle aussi Ă©tĂ© blessĂ©e.

Ce drame a marquĂ© le dĂ©but de ma descente aux enfers : j’ai Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  plusieurs annĂ©es de prison pour conduite en Ă©tat d’ebrietĂ© et un petit sachet de c.o.c.a.ĂŻ.n.e. Ma fiancĂ©e m’a quittĂ© quand elle a appris pour la femme. J’ai perdu mon travail, ma rĂ©putation et mes illusions.

C’est dans cette prison, alors que je pensais que ma vie Ă©tait finie, que la grĂące m’a trouvĂ©. Un pasteur venait chaque semaine prĂȘcher aux dĂ©tenus.

Au dĂ©but, je me moquais. Mais au fil des cultes, j’ai commencĂ© Ă  Ă©couter, puis Ă  rĂ©flĂ©chir
 et un jour, je ne saurais comment expliquer mais j’ai donnĂ© ma vie Ă  JĂ©sus-Christ. Ce fut le plus grand tournant de mon existence.

Les annĂ©es sont passĂ©es, j’ai eu le privilĂšge de profiter de la grĂące prĂ©sidentielle.
Mais Ă  ma sortie, une autre Ă©preuve m’attendait : on m’a diagnostiquĂ© une cirrhose du foie.

Les mĂ©decins m’ont dit que c’était irrĂ©versible, consĂ©quence de mes annĂ©es d’excĂšs. J’aurais pu me rĂ©volter, mais au contraire, j’ai dĂ©cidĂ© d’assainir ma vie : j’ai commencĂ© Ă  faire du sport, Ă  mieux manger, et surtout Ă  servir Dieu.

Un ami d’enfance m’a tendu la main pour redĂ©marrer comme comptable Ă  mon propre compte. Mais plus encore, j’ai créé une association pour aider les alcooliques. Je vais dans les quartiers populaires et mĂȘme dans les prisons, pour parler de mon histoire et annoncer la Bonne Nouvelle de JĂ©sus.

Aujourd’hui, je ne sais pas combien de temps il me reste sur cette terre. Mais je sais une chose : je suis dans les mains de Dieu, et c’est la plus grande sĂ©curitĂ© qui puisse exister.

Ne laissez pas l’orgueil, l’alcool, ou le pĂ©chĂ© dĂ©truire votre vie. JĂ©sus-Christ peut relever mĂȘme celui qui est tombĂ© le plus bas. Je suis une preuve vivante de Sa grĂące.

“Voici, Dieu est mon salut; je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien; car l’Éternel, l’Éternel est ma force et le sujet de mes louanges; c’est lui qui m’a sauvĂ©.”
(Ésaïe 12:2)



01/10/2025

Ce n’est pas difficile d’aimer quelqu’un qui nous aime. Le vrai dĂ©fi, c’est d’aimer quand c’est injuste, quand ça fait mal. Mais c’est lĂ  qu’on ressemble le plus au PĂšre cĂ©leste.

30/09/2025

Tu n’as pas besoin de prouver ta valeur aux autres. MĂȘme si personne ne t’applaudit, ta vie a du prix. Dieu t’a créé unique. Ne cours pas aprĂšs l’approbation des hommes, marche dans l’assurance de Son regard.

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