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27/09/2025

LOLO BEAUTE nous parle...

27/09/2025

On vous souhaite un faux papa comme ça 😅

27/09/2025

Ça se passe au Mali 🇲🇱 dans le cercle de bankass. Les oiseaux envahissent la récolte des paysans 😭 C'est triste 😥

27/09/2025

[Justice] 🇨🇮 Le Procureur de la République, Braman Koné, a mis en garde les créateurs de contenus sur les réseaux sociaux lors d’une rencontre avec les influenceurs à Abidjan. Il a insisté sur la responsabilité légale des publications et averti que les commentaires haineux, menaçants ou discriminatoires pourraient engager leur responsabilité pénale.

27/09/2025

On peut touché le coeur de quelqu'un comme ça ??

27/09/2025

| 𝐏𝐫𝐢𝐱 𝐀𝐥𝐚𝐬𝐬𝐚𝐧𝐞 𝐎𝐮𝐚𝐭𝐭𝐚𝐫𝐚 𝐝𝐮 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐞𝐮𝐫 𝐞́𝐦𝐞𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭 : 𝟔𝟎 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐜̧𝐨𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐭𝐨𝐭𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝟑𝟎𝟎 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐅𝐂𝐅𝐀

Abidjan, le 26 septembre 2025 – Le Premier Ministre Robert Beugré Mambé et le ministre, gouverneur du District Autonome d'Abidjan, Cissé Bacongo, ont remis, ce vendredi 26 septembre 2025, à Abidjan-Cocody, des chèques d'un montant total de 300 millions de FCFA à 60 jeunes ivoiriens, dont 31 femmes.

Ces jeunes sont les lauréats de l'édition 2025 du "Prix Alassane Ouattara du Jeune Entrepreneur Emergent". Parmi 1 050 candidatures reçues provenant des 13 communes du District Autonome d'Abidjan, les candidats ont été évalués selon des critères scientifiques, mettant l'accent sur l'innovation, l'originalité, la créativité, la capacité à produire de la valeur ajoutée et à créer de l'emploi.

Institué en 2014 à l'initiative du Premier Ministre, alors gouverneur du District Autonome d'Abidjan, le Prix Alassane Ouattara s'inscrit pleinement dans la vision du Président de la République de promouvoir et récompenser les efforts et les talents d'une jeunesse actrice du développement.

Le montant du financement, qui a été porté, cette année, de 200 millions à 300 millions de FCFA, témoigne de l'engagement renforcé du District Autonome d'Abidjan à soutenir la créativité, l'innovation et l'entrepreneuriat des jeunes. Toutefois, un écosystème d'accompagnement est mis en place pour aider les jeunes entrepreneurs à concrétiser leurs projets, avec des formations, du mentorat, un suivi technique, ainsi que des facilités pour établir des partenariats.

Dans son discours, le Premier Ministre a souligné l'honneur, mais aussi la responsabilité qu'implique ce prix : « Vous avez été distingués parmi plusieurs centaines de candidatures. Recevoir ce prix est un honneur, mais aussi un défi : celui de persévérer, de partager, et de devenir des modèles pour d'autres jeunes qui rêvent d'innover et d'entreprendre. Vous êtes désormais des catalyseurs de changement pour notre pays ».

Robert Beugré Mambé a également encouragé les lauréats à faire de leurs entreprises des instruments de transformation sociale, et a exhorté toute la jeunesse ivoirienne à « oser rêver grand, dépasser les obstacles », et participer activement à la construction de la Nation.

Le ministre, gouverneur Cissé Bacongo, quant à lui, a rappelé que ce financement n'est qu'un point de départ. « Il ne s'agit pas d'une fin en soi, mais d'un levier pour bâtir des projets solides et durables, bénéfiques pour vous-mêmes, vos familles et la Nation tout entière », a-t-il précisé, avant d'insister sur l'importance de valeurs telles que la discipline, l'humilité, l'innovation, la persévérance, le travail en réseau et l'amour de la patrie.

Au nom des lauréats, l'actrice Marie-Odile Gondo a exprimé leur gratitude envers le Président de la République, le Premier Ministre et le ministre gouverneur. « Nous nous engageons à travailler avec acharnement et responsabilité pour concrétiser nos rêves entrepreneuriaux et contribuer au développement de notre pays », a-t-elle déclaré.

En savoir plus : https://www.gouv.ci/actualite/19037

27/09/2025

Présidentielle 2025.

Grandeur et Espérance.
Le Septennat des Grandes Espérance.

27/09/2025

C’est vraiment un hommage à Wilfried Singo !

Le défenseur ivoirien s’est déjà mis tout le monde dans la poche du côté d’Istanbul. Il s’est joué de son adversaire direct avant de servir Mauro Icardi.

Singo est en pleine forme …

27/09/2025

Cette application risque de t'espionner encore longtemps...

26/09/2025

Histoire du moment gênant de Ahmed Sékou Touré giflé en plein défilé par le jeune Tidiane Keïta...

26/09/2025

Décryptage juridique des propos du Procureur sur la responsabilité des administrateurs de pages Facebook

Lors d’une récente conférence sur l’utilisation responsable des réseaux sociaux, le Procureur de la République a affirmé que les administrateurs de pages Facebook pourraient être tenus responsables des commentaires publiés sur leurs pages.

Cette déclaration suscite de nombreuses interrogations et appelle un décryptage juridique précis.

A. Principe fondamental : la responsabilité pénale est personnelle

L’article 94 du Code pénal ivoirien dispose : « La personne responsable de ses actes est seule soumise à une sanction pénale. Est responsable de ses actes celui qui est apte à comprendre et à vouloir. »

Cela signifie qu’en Côte d’Ivoire, seule la personne qui commet une infraction peut être poursuivie et sanctionnée, sauf s’il est prouvé qu’un tiers a participé volontairement à cette infraction (complicité, incitation, organisation).

En conséquence, un administrateur de page Facebook ne peut être tenu responsable des propos publiés par des tiers, sauf disposition spécifique ou preuve de complicité active. Or, sauf erreur de ma part, aucun texte légal clair ne le prévoit à ce jour.

B. Les textes applicables

1. Le Code pénal

Article 110 : « Est complice d’une infraction la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation. »

L’Article 111 quant à lui étend la complicité à ceux qui donnent des instructions.

Autrement dit, l’administrateur d’une page ne peut être poursuivi que s’il est démontré qu’il a sciemment aidé ou facilité la commission d’une infraction (ex. encourager, relayer, inciter). La simple inaction (ne pas supprimer un commentaire) ne suffit pas.

L’Art 1 précise que : « Nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou condamné que dans les cas prévus par la loi et dans les formes qu’elle prescrit. » C’est le principe de légalité bien connu de tous les juristes.

L’Art 2 dispose que « Constitue une infraction tout fait, action ou omission, qui trouble ou est susceptible de troubler l’ordre public ou la paix sociale en portant ou non atteinte aux droits des personnes et qui comme tel est légalement sanctionné. »

L’Article 25 confirme que la complicité suppose une volonté d’aider l’auteur d’une infraction.

Ainsi, la responsabilité pénale reste individuelle sauf disposition spéciale, texte que nous n’avons pas identifié.

2. La loi n°2013-451 du 19 juin 2013 relative à la lutte contre la cybercriminalité

Cette loi sanctionne la diffusion, via un système informatique, de contenus à caractère raciste, xénophobe, obscène, violent, haineux, diffamatoire ou attentatoire à la dignité humaine.

Les Articles 33 à 35 de cette loi visent surtout l’auteur des propos et, à titre accessoire, l’hébergeur ou le fournisseur d’accès. Aucun article ne prévoit la responsabilité automatique de l’administrateur d’une page Facebook.

3. La loi n°2017-867 du 27 décembre 2017 portant régime juridique de la presse

Cette loi organise une chaîne de responsabilité dans les médias (directeur de publication, éditeur, journaliste). Elle ne s’applique pas aux pages Facebook personnelles ou associatives, sauf si celles-ci sont déclarées comme médias en ligne.

C. Droit comparé : France

La loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN) du 21 juin 2004 prévoit
que les auteurs sont responsables de leurs propos.

En ce qui concerne les hébergeurs (Facebook, YouTube, etc.), ils ne sont responsables qu’en cas de passivité face à un contenu manifestement illicite après notification.

Les administrateurs de pages ne sont responsables que s’ils ont participé activement à la diffusion.

D. Les risques d’atteintes aux libertés fondamentales en Côte d’Ivoire

La Constitution ivoirienne du 8 novembre 2016 garantit un certain nombre de droits fondamentaux en ses articles 4, 19 et 21 notamment :

L’art 4 pose le principe de l’égalité devant la loi et l’interdiction de discrimination. L’article 19 en ce qui le concerne est relatif à la liberté de pensée, d’opinion et d’expression, dans le respect de la loi et des droits d’autrui. Quant à l’article 21 il détermine le principe de légalité des délits et des peines.

Si l’interprétation du Procureur venait à être consacrée par la jurisprudence :

1. Elle violerait le principe de légalité des délits et des peines.
2. Elle porterait atteinte disproportionnée à la liberté d’expression.
3. Elle instaurerait une responsabilité collective contraire à la responsabilité individuelle en matière pénale.

En droit ivoirien actuel, le propriétaire d’une page Facebook ne peut être tenu responsable des propos tenus par des tiers sans preuve de participation active ou disposition spécifique.

L’extension de cette responsabilité, sans cadre légal précis, constituerait une dérive liberticide et une atteinte grave aux libertés fondamentales garanties par la Constitution.

La déclaration du Procureur, si elle devait être validée par la jurisprudence, ferait peser un risque sérieux pour la liberté d’expression en Côte d’Ivoire.

26/09/2025

KEROZEN DJ :

Après avoir validé le stade 🏟 Champroux l'Elu de Dieu arrive sur les terres de ses ancêtres GAGNOA.. Ce sera phénoménal !!! watokehi.

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