15/08/2025
PARLONS DE DÉPIGMENTATION
Substances : poisons déguisés
Hydroquinone, corticoïdes, mercure… on croit appliquer de la beauté, on applique du danger.
L’hydroquinone bloque la mélanine, exposant la peau au soleil et aux agressions.
Les corticoïdes amincissent la peau, perturbent les hormones, fragilisent l’organisme.
Le mercure, insidieux, s’accumule et attaque foie, reins, cerveau. Invisible, silencieux, mais implacable.
Peau : un terrain trahi
Chercher la clarté transforme la peau en terrain instable.
Taches sombres et blanches s’entremêlent comme une peinture mal mélangée.
Brûlures, cicatrices, vergetures : chaque application laisse des traces irréversibles, rendant la peau vulnérable et moins résistante.
Corps : machinerie en alerte
Les toxines pénètrent dans le sang, circulent, attaquent chaque organe.
Le système immunitaire s’affaiblit, les reins ploient, le foie ploie sous le poids du poison.
Même des doses répétées, faibles, deviennent une bombe lente, un stress permanent pour l’organisme.
Esprit : piège subtil
Au départ, un éclat artificiel semble séduisant.
Puis apparaissent taches, brûlures, marques visibles.
Le regard des autres devient obsession, la confiance vacille.
La dépendance s’installe : toujours plus de produits, toujours plus de dommages, et un contrôle qui s’évanouit.
Beauté : réinventée et détournée
L’éclat véritable ne se mesure pas en teinte mais en santé, vitalité et soin.
Une peau protégée, hydratée, respectée raconte une histoire de force et de soin.
Blanchir sa peau, c’est effacer sa propre identité, trahir la beauté naturelle et la force innée.
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