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21/07/2025
21/05/2025




INTERPELLATION DE DEUX (02) INDIVIDUS PRÉSUMÉS AUTEURS DE L’ASSASSINAT D’UN VEILLEUR DE NUIT DANS LA NUIT DU 1ER AU 2 MAI 2025

Dans le cadre de l’opération Épervier 10, lors d’une mission de recherche et de destruction de fumoirs, les forces de police du Commissariat de Soubré ont interpellé vingt (20) individus dans deux (02) fumoirs à ciel ouvert.

Au cours de la procédure de signalisation, la tenue vestimentaire et l’apparence physique de l’un des individus interpellés ont attiré l’attention des agents, en lien avec l’assassinat d’un veilleur de nuit, survenu dans la nuit du 1er au 2 mai 2025, en face du Centre de Gestion Intégré.

Interrogé, le nommé O.H, âgé de 23 ans, a avoué être l’auteur de l’assassinat du veilleur de nuit. Il a précisé que son chef maçon lui avait ordonné de tuer le sieur K.C.D, 77 ans, veilleur de nuit, de prélever du sang dégoulinant de son corps, de voler son amulette et de les lui remettre en échange de la somme de 15.000 FCFA.

Il s’agit du nommé W.N, 25 ans, se présentant comme maçon, interpellé et interrogé le 17 mai 2025. Il a reconnu les faits qui lui sont reprochés.

Sur instruction du Substitut résident près le Tribunal de Soubré, une perquisition des domiciles des mis en cause a permis de retrouver le fusil calibre 12 du défunt veilleur de nuit.

Les deux (02) mis en cause seront conduits devant le Parquet pour répondre de leurs actes.

SERVIR, NOTRE VOCATION. MERCI DE NOUS FAIRE CONFIANCE.

21/03/2025
03/03/2025

[ Les rebelles sont descendus en tirant. « On veut Gbagbo ! » Je me suis levé : « C’est moi Gbagbo. » Ils m’ont saisi. J’ai reconnu Wattao. Il a dit : « Il ne faut pas le toucher. » ]

REPOST: LAURENT GBAGBO PARLE DU BOMBARDEMENT DE LA RÉSIDENCE

« L'armée française à tout filmé du début jusqu'à la fin »

Extrait du livre « Libre, pour la vérité et la justice » de Laurent Gbagbo de la page 220 à 223. Il explique les dernières heures du bombardement de sa résidence.
« Le bombardement de la résidence que beaucoup confondent avec le palais présidentiel – a commencé le 31 mars. Je ne sortais plus, je vivais dans le tunnel blindé construit par Houphouët pour permettre au Président de gagner en vitesse la résidence de l’ambassadeur de France en cas de coup d’État. Tout un symbole…

Le tunnel avait été muré. Au moment de l’intervention des forces françaises, je l’ai fait vérifier. Je ne voulais pas risquer une attaque par là, et elle n’a donc pas eu lieu, contrairement à ce qui a été écrit. Ce qui est vrai, c’est qu’il y avait des militaires français positionnés dans la résidence de l’ambassadeur de France, à quelques mètres de nous. Ils tiraient sur les occupants de la résidence présidentielle, quels qu’ils soient.

Des cibles faciles. Nombreux ont été les civils tués ou blessé par ces francs-tireurs. Et il y avait des tireurs embusqués sur le toit de la résidence du président de l’Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, qui ne s’y trouvait heureusement plus. Nous avions des provisions, de quoi tenir longtemps.

Désiré Tagro, secrétaire général à la présidence, est venu me dire, au soir du samedi 9 avril, que Gérard Longuet, le ministre de la Défense de Sarkozy m’avait appelé. En fait, il s’agissait d’un coup de fil de Charles Millon, qui avait demandé mon contact pour le compte de Longuet. Je suis monté dans ma chambre, où j’ai pu prendre une do**he, faire ma toilette, et changer de vêtements. J’ai dit à Tagro de rappeler Millon pendant ce temps.

Mon aide de camp m’a informé que mon Premier ministre et le patron de Petroci [la compagnie pétrolière nationale de Côte d’Ivoire] voulaient me parler. J’ai eu mon ministre en ligne, et ensuite, j’ai parlé au président du Ghana John Atta-Mills. C’était un bon copain et il m’a rasséréné. J’étais en train de parler au directeur de Petroci, quand une bombe est venue frapper le bâtiment et exploser très exactement au-dessus de ma tête. Sans doute un repérage grâce à ma communication téléphonique. En tout cas, je n’ai jamais eu Longuet. Les frappes étaient destinées à tuer. J’aurais été présenté comme un dommage collatéral, pas comme une cible directe, sans doute. Les forces gouvernementales se battaient. Elles reprenaient les positions rebelles.

Oui, l’armée ivoirienne avait le dessus, mais chaque fois qu’elle obtenait un résultat, une avancée, l’aviation française venait la bombarder. Mon ancien ministre des Affaires étrangères s’est réfugié à ce moment-là à l’ambassade de France : ils ont cru que je l’avais envoyé pour négocier… Il n’y avait aucune arme lourde à la résidence de Cocody.

C’est pourtant la raison qui a été invoquée pour bombarder la résidence, où s’étaient réfugiés une centaine de civils : tous ceux parmi mes ministres ou amis qui croyaient être plus en sécurité chez moi que chez eux, les pauvres ! En plus de ma famille, il y avait des gens âgés, des enfants, des bébés, des adolescents. Parmi eux, la sœur du footballeur Basile Boli, qui s’occupait d’une association caritative en faveur des enfants de policiers. Il y en avait aussi au dehors, autour de la résidence, et beaucoup ont été tués.

Des avions français gros porteurs sont arrivés à Abidjan avec des chars, dans la nuit du 2 au 3 avril 2011 et ont débarqué des soldats de la Légion étrangère, et du matériel de combat, dont des blindés. Les soldats sont allés stationner dans le camp français proche de
l’aéroport. Des gens nous téléphonaient de leur portable pour nous renseigner sur les mouvements des blindés. Le nombre des hélicoptères de combat français a lui aussi augmenté.

C’est en connaissance de toutes ces informations, et non pour politiser le débat, ou me faire plaindre, que j’ai pu affirmer dans ma dernière interview – je l’ai donnée par téléphone à la chaîne française LCI, le mardi 5 avril – que la France venait d’entrer en guerre « directement » contre nous à Abidjan. Avant, elle l’était déjà, mais de façon indirecte, en transportant les troupes rebelles d’un point à un autre de la ville, en les armant, en leur donnant des munitions. J’ai dit au journaliste Vincent Hervouët que mon objectif n’était pas de mourir, et que je ne voulais que la vérité des urnes. J’ai parlé de négocier, je n’ai pas appelé à la guerre.

« Vous allez vous battre dos au mur ? » m’a demandé le journaliste, toujours dans cette logique qui me présentait comme « celui qui s’accroche au pouvoir » : j’ai répondu que je ne me battais pas, que je me défendais, que je n’avais jamais été dans ma vie un fauteur de guerre, de guerre civile, ou de coup d’État. Pour ça, ai-je dit, il faut regarder de l’autre côté. Je lui ai fait part de l’incompréhension qu’était la mienne devant les agissements des Autorités françaises. Pourquoi faire intervenir de manière si violente l’armée française contre les forces gouvernementales alors qu’il s’agissait
de régler un litige électoral, ce qui aurait pu être fait par un simple recomptage des votes. Pourquoi bombarder la résidence d’un chef
d’État ?

Pourquoi détruire la radio-télévision nationale ? Ce que j’ai réclamé pour finir, c’était, une fois encore, la vérité des urnes. Parce que là est la question : qui a gagné ces élections ? Un cessez-le-feu militaire était encore possible, je voulais un dialogue politique. J’étais bien le seul. En face, ils voulaient la guerre. Moi, je n’ai jamais eu de fusil dans les mains – sauf pendant mon service militaire ! –, je n’ai jamais utilisé les armes. Depuis les premières attaques des rebelles en 2000 nous n’avons jamais été à l’origine des violences.

Entre-temps, j’ai reçu un message – le 8 ou le 9 – nous indiquant que des soldats français étaient montés à la tour de contrôle de l’aéroport. À une femme qui était là en service, ils ont demandé : « Vous êtes pro-Gbagbo ou pro-Ouattara ? » C’était une femme sensée, et bien informée, elle a répondu intelligemment.

Vers le dimanche 10 avril, les officiers m’ont dit : « Président, on ne peut plus tenir. Nos équipements sont détruits, nos hommes sont morts. » Je leur ai dit : « Mettez tous vos vies à l’abri. » Le patron militaire du Plateau, ainsi que celui qui commandait à la résidence sont
allés voir l’ONUCI, pour leur remettre leur mission : la protection des civils et des bâtiments.

J’ai compris que c’était fini. Le 11 avril au matin, arrive un coup de fil de Port-Bouët, où se trouvent un aéroport et un camp militaire français, pour nous dire que cinquante blindés français sont sortis et font route dans notre direction. Ils sont arrivés peu après, ont pris position autour de la résidence.

Les hélicoptères français ont mis le feu à l’intérieur de la résidence en tirant des munitions incendiaires, des murs sont tombés, la bibliothèque a été entièrement détruite. Ma collection de livres classiques est partie en cendres. C’est devenu tout de suite intenable pour les familles et les civils qui étaient regroupés là. Il n’y avait plus aucun militaire. Nous sommes tous descendus en sous-sol dans des abris plus sûrs, même si il y avait partout une fumée qui rendait l’air irrespirable.

Des militaires français sont venus devant le portail, un de leurs chars l’a défoncé à coups de canon. Il y a eu ensuite des coups de feu, des rafales, et dans la fumée, j’ai entendu : « On veut Gbagbo ! On veut Gbagbo ! » Avec nous, dans une petite pièce plongée dans l’obscurité, il y avait la mère de mon ministre Sangaré, une femme de quatre-vingt-dix ans, des enfants de quatre ans, de sept ans, et un bébé. Les rebelles sont descendus en tirant. « On veut Gbagbo ! » Je me suis levé : « C’est moi Gbagbo. » Ils m’ont saisi. J’ai reconnu Wattao. Il a dit : « Il ne faut pas le toucher. »

Il y avait aussi Ouattara Morou, Cherif Ousmane, beaucoup de chefs rebelles. Ma chemise étant déchirée, j’ai demandé qu’on m’en donne une autre, c’est Wattao qui me l’a apportée. Pendant que je changeais de chemise, j’ai été filmé. Comme je l’ai dit, toujours par des caméras de l’armée française. Depuis le début, tout était filmé par les soldats français, tout jusqu’à la fin…»

RÉPARTITION ADMINISTRATIVE DU PEUPLE BAOULELES CANTONS BAOULELe pays baoulé a été divisé en 39 cantons :1. Canton Goli :...
02/03/2025

RÉPARTITION ADMINISTRATIVE DU PEUPLE BAOULE

LES CANTONS BAOULE
Le pays baoulé a été divisé en 39 cantons :

1. Canton Goli : chef-lieu Bodokro (68 villages) ;
2. Canton Satikran : chef-lieu Botro (37 villages) ;
3. Canton Kodè : chef-lieu Béoumi (99 villages) ;
4. Canton walèbo : chef-lieu Sakassou (172 villages) ;
5. Canton Ahali : chef-lieu Kouadianikro (61 villages) ;
6. Canton Gblo : chef-lieu Diabo (78 villages) ;
7. Canton Dohoun : Bendèkouassikro (18 villages) ;
8. Canton Faafouè : chef-lieu Kouassiblékro (34 villages) ;
9. Canton Fari : chef-lieu Konankankro (42 villages) ;
10. Canton Ndranoua : chef-lieu le chef lieu Amoinkanoukro (20 villages) ;
11. Canton Pepressou : chef-lieu Kahankro (34 villages) ;
12. Canton Saafouè : chef-lieu Djèbonoua (53 villages) ;
13. Canton Soundo : chef-lieu administratif Mbahiakro ; Chef-lieu traditionnel Kondorobo (42 villages) ;
14. Canton Abé (Abé et Ngan) : chef-lieu Kouassikro (37 villages) ;
15. Canton Ando : chef-lieu Bouniakro (43 villages) ;
16. Canton Badara : chef-lieu Aounianou ou Misribo (23 villages) ;
17. Canton Aïtou : chef-lieu N’Gatadoloukro (72 villages) ;
18. Canton Nanafouè : chef-lieu Aman Salékro (28 villages) ;
19. Canton Ngban : chef-lieu Yao Loukoukro (32 villages) ;
20. Canton N’Zipkli : chef-lieu Molonou Blé (110 villages) ;
21. Canton Bonou : chef-lieu Bengassou (55 villages) ;
22. Canton Katiénou Nord : chef-lieu Kouassi-Kouassikro (42 villages) ;
23. Canton Katiénou Sud : chef-lieu Boni Kouassikro (30 villages) ;
24. Canton N’Damé : chef-lieu administratif Ouellé Koumannou ; Chef-lieu traditionnel Foutou (46 villages) ;
25. Canton Salé : chef-lieu Daoukro (16 villages) ;
26. Canton Agba : chef-lieu Dimbokro (quartier Langui Broukro) (26 villages) ;
27. Canton Aïtou : chef-lieu Aka Okoukro (Abigui) (16 villages) ;
28. Canton Ahali Saki : chef-lieu Kparakro (26 villages) ;
29. Canton Aïtou Sud : chef-lieu Lomo Nord (33 villages) ;
30. Canton Faafouè Sud : chef-lieu Kplessou (21 villages) ;
31. Ca

05/02/2025

Avec Les Buzz De Salvateur – Je viens d’être reconnu(e) comme l’un(e) de ses super fans !

Avec Debordo Leekunfa – J’ai une série en cours ! Je suis super fan depuis 3 mois d’affilée. 🎉
24/01/2025

Avec Debordo Leekunfa – J’ai une série en cours ! Je suis super fan depuis 3 mois d’affilée. 🎉

FAIS-TOI RESPECTER EN 2025✔1- Arrête de chercher quelqu'un qui ne te cherche pas.2- Arrête de supplier.3- Arrête de dire...
20/01/2025

FAIS-TOI RESPECTER EN 2025✔

1- Arrête de chercher quelqu'un qui ne te cherche pas.

2- Arrête de supplier.

3- Arrête de dire plus que nécessaire.

4- Quand les gens te manquent de respect, affronte-les immédiatement.

5- Ne mange pas la nourriture des autres plus qu'ils ne mangent chez toi.

6- Réduis le nombre de fois que tu rends visite à certaines personnes, surtout si elles ne te rendent pas la pareille.

7- Investis en toi-même. Fais toi plaisir.

8- Arrête de faire les commérages sur les autres.

9- Réfléchis avant de parler. 80 % de la façon dont les gens t'apprécient est ce qui sort de ta bouche.

10- Toujours être au top. Habille-toi de la façon dont tu devrais être adressé.

11- Sois un réalisateur. Occupe-toi de tes objectifs

12- Respecte ton temps.

13- Ne reste pas dans une relation où tu ne te sens pas respecté et valorisé. Va-t'en.

14- Apprends à dépenser de l'argent pour toi et sur toi. C'est comme ça que les gens vont apprendre à dépenser pour toi.

15- Sois rare parfois.

16- Sois un donneur plus qu'un receveur. La main qui donne est toujours au dessus de celle qui reçoit.

17- Ne vas pas là où tu n'es pas invité. Et quand tu es invité, n'essaie pas d'attirer l'attention sur toi à tout prix. Passe inaperçu.

18- Traite les gens exactement comme tu veux être traité.

19- Sauf qu'ils te doivent de l'argent, deux tentatives d'appel suffisent. S'ils t'apprécient, ils te rappelleront.

20... Sois bon dans ce que tu fais.

🚫LES DIFFERENTS TYPES DE MOUGOUPAN  A LA  MODE  CES TEMPS CI: ✅Il prend ton numéro et à chaque fois quand il te voit, il...
20/01/2025

🚫LES DIFFERENTS TYPES DE MOUGOUPAN A LA MODE CES TEMPS CI:

✅Il prend ton numéro et à chaque fois quand il te voit, il te donne 50.000f, tu es fan. Tu décides donc de le remercier en mougoussant avec lui. Après le mougouli, il ne t’appelle plus, ça c’est un MOUGOUPAN ENTREPRENEUR.😭

✅Il loue une grande maison en résidence meublée, il te donne le double de la clé tout ça pour te mettre en confiance. Tu penses que tu as eu foyer donc il te mougou. Le lendemain, tu vas dans le foyer, on dit que c’est une résidence meublée, ça c’est un MOUGOUPAN RESIDENTIEL .😭

✅Il prend ton numéro et à chaque fois quand il va te voir, il change de voiture. Aujourd’hui c'est Range Rover, demain Santafé, après Chevrolet. Il change les grosses cylindrées seulement, tu es fan et le quartier t’acclame, donc il te mougou. Après, tu apprends qu’il est mécanicien. Ça c’est un MOUGOUPAN SCIENTIFIQUE.😭

✅Le gars n’a rien mais il est présent, il est attentionné, tu aimes ça. Il est très doux, tu aimes les hommes attentionnés et doux donc il te mougou. Ensuite, il disparaît, ça c’est un MOUGOUPAN CHATON.😭

✅ Il te croise dans la rue, il te demande ton numéro tu hésites, mais après tu le lui donnes. Il t'appelle chaque dimanche pour t'inviter au culte, il est saint. À chaque conversation avec lui,i tu attends: "La bible nous dit, dans Mathieu" et bim, tu trouves ton homme charmant qui craint Dieu et comme la chaire est faible, un bon matin il te mougou. Et bomm bomm, il disparaît , ça c'est un MOUGOUPAN GOSPEL 😭😭..

Que Dieu vous éloigne de ces différents mougoupanseurs.🙏

Conseil du soir ! Avant de dormir veillez vérifier si toutes les clés de votre gaziniere sont bien fermées et veillez fe...
19/01/2025

Conseil du soir !
Avant de dormir veillez vérifier si toutes les clés de votre gaziniere sont bien fermées et veillez fermer le robinet du tendeur à la base de la bouteille ou veillez fermer le robinet de la bouteille !
En cas d’odeur de gaz , ne pas allumer la lumière 💡 dans la pièce où se trouve la bouteille et mettez votre téléphone en mode avion si vous voulez utiliser la lumière de ce dernier pour vous orienter afin que le téléphone ne puisse pas sonner à côté de la bouteille et créer un incendie ou une explosion !
La première chose à faire en cas d’odeur de gaz est d’ouvrir les portes et les fenêtres pour que le courant d’air fasse en sorte que le gaz se dissipe et aller rapidement fermer la bouteille !
Si la bouteille est fermée et qu’une fuite se manifeste ! N’essayez pas de la réparer ! Démontez la bouteille rapidement et faites la descendre dans un grand espace à l’air libre , assurez vous qu’il n’y ait personne et qu’aucune source de chaleur n’est à proximité ! Ouvrez la bouteille et faites évaporer le gaz à l’air libre !
En aucun cas il ne faut réparer ou faire réparer une bouteille défectueuse ! Il faut la changer !
Que Dieu nous garde !

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