22/06/2025
SD: Le professeur Jean Calvin Aba Oyono et sept figures éminentes du Sud viennent de lancer un appel solennel aux populations : rompre définitivement avec le RDPC. Ces personnalités, issues des terroirs traditionnellement acquis au pouvoir, dénoncent un parti qui aurait trahi ses promesses et les intérêts fondamentaux des citoyens. Leur message claironne une rupture sans précédent avec le parti au pouvoir.
Leur prise de position s'appuie sur un constat sévère : échec dans la lutte contre le chômage, dégradation des services publics, et abandon des régions productrices de richesse nationale. Ces élites soulignent que des décennies de loyauté n'ont été récompensées que par des désillusions économiques et sociales. Leur statut d'acteurs influents leur confère une légitimité incontestable pour sonner la révolte.
Au-delà du rejet, cet appel exhorte à bâtir des alternatives politiques crédibles. Portée par des voix autrefois silencieuses, cette fronde symbolise une fracture majeure au sein des bastions historiques du régime. Elle pourrait précipiter une recomposition durable de l'échiquier politique camerounais, marquant un tournant décisif dans le paysage partisan national.
Le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) incarne l'idéal d'une refonte démocratique et citoyenne du Cameroun. Porté par une vision de justice sociale, de souveraineté populaire et d'alternance politique, il se positionne comme le fer de lance de la lutte contre un système jugé clientéliste et sclérosé. Son projet mobilisateur promeut la transparence électorale, l'État de droit et l'émergence économique inclusive, fédérant une jeunesse avide de changement et des citoyens lassés des promesses non tenues. Plus qu'un parti, le MRC représente l'espoir d'une véritable renaissance nationale où chaque voix compte et où la dignité retrouvée devient le socle d'une nouvelle patrie.
Stani DEYO, UN CITOYEN ENGAGÉ POUR LE CHANGEMENT
SU de l'unité UM NYOBE De Nkozoa
SD
