Abakwa Breaking Newz

28/03/2025

Thaïlande

Tremblement de terre au première heure de cette journée

28/03/2025

PRÉSIDENTIELLES 2025

La nomination des ministres et directeurs généraux des entreprises publiques au sein du comité central du RDPC par le président Paul Biya peut être vue comme une préparation aux élections à venir. Cependant, cette décision soulève des questions quant à la légalité de l'action, car elle semble violer les textes du parti qui stipulent que la légitimité du président national doit être confirmée par un congrès issu des élections.

Les voix dissidentes au sein du RDPC remettent en cause la légitimité de Paul Biya et rappellent les dispositions réglementaires du parti. Cela suggère que la discipline du parti pourrait avoir des failles. La bataille au sein du RDPC pourrait être plus intense que celle observée dans l'opposition.

Il est possible que le RDPC soit un "volcan endormi" qui pourrait entraîner des conséquences inattendues. Les semaines à venir apporteront peut-être des réponses à ces questions.

The appointment by President Paul Biya of ministers and general managers of public enterprises to the central committee of the RDPC can be seen as preparation for the upcoming elections. However, this decision raises questions about its legality, as it appears to violate the party's texts, which stipulate that the national president's legitimacy must be confirmed by a congress resulting from elections.

Dissenting voices within the RDPC are questioning Paul Biya's legitimacy and recalling the party's regulatory provisions. This suggests that the party's discipline may have weaknesses. The battle within the RDPC could be more intense than the one observed in the opposition. It is possible that the RDPC is a "sleeping volcano" that could lead to unforeseen consequences. The coming weeks may provide answers to these questions.

27/03/2025

CRTV Mballa 2

Les fortes pluies d'hier ont déracinées un arbre qui s'est effondré sur les voitures garées dans le parking

26/03/2025

ENQUÊTE ABN

Peril sur la route BAMENDA - NDOP - KUMBO - NDU

Depuis le début du conflit armé dans la région du Nord ouest Cameroun relier certains départements par route est un véritable calvaire pour cause des bandes armées ayant installés des multiples check point sur certains tronçons rendant ainsi la circulation des personnes et des biens très difficiles. Les départements du NDONGA MANTUNG, BUI et NGOKETUNDJA sont des greniers de la région où l'on retrouve des cultures comme le riz, maïs, haricot, pomme de terre, igname... Etc mais depuis la présence des groupes armés il est quasi impossible d'évacuer les produits de ces zones vers Bamenda et les autres grandes villes du pays causant ainsi la rareté et l'inflation sur la marché. Le linéaire de la route BAMENDA - NDU est très dangereuses, beaucoup de personnes ont été tuées dont le récent événement l'agent Eneo tué a BAMESSING alors que ce dernier allait installer un transformateur pour aider régler le problème de l'électricité et des nombreux enlèvements contre rançons. Ce tronçon de route la plus importante de la Ring Road semble être abandonné par les autorités compétentes laissant place aux activités criminelles des bandes armées qui y prospère. BAMENDA - KUMBO coûte aujourd'hui 7 mil mais il faut prévoir 20 mil pour un aller simple pour régler les multiples points de contrôle créé par les ambazoniens où il faut débourser entre 1000 et 5mil franc dépendant des jours. Depuis 2017 plus de 12000 enlèvements ont été recensé sur cette route et près de 1800 personnes tuées. Aujourd'hui ceux qui veulent se rendre dans le département du NDONGA MANTUNG sont obligés de passer par Foumban - Magna soit 8 a 10h de route parce que c'est la seule qui semble être plus sûr pour le moment pour les voyageurs qui veulent se rendre dans ce département. Que se passe t'il sur la route BAMENDA - NDU ? Qui est devenu l'un des axes routiers le plus dangereux au Cameroun. J'interpelle les autorités administratives et militaires de prendre les mesures idoines afin de garantir la circulation des personnes et des biens sur ce tronçon devenu la route de la mort. Tenez par exemple, BAMENDA - NDU c'est environ 200km mais on ne recense que 7 contrôles de gendarmerie et a des distances effarantes favorisant les activités criminelles des ambazoniens. Les ambazoniens utilisent la plupart des virages pour s'installer avec des sentinelles placés des deux côtés les informant de l'arrivée des militaires de passage par là du coup il faut multiplier les postes de contrôle et accentuer les patrouilles mixtes, pour cela il faut un renforcement des effectifs et la logistique afin de rendre fluide les déplacements sur cette route et de réduire davantage les dangers.
BAMENDA - NDOP - BUI - NDU... La route de la mort

26/03/2025

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Chaîne d'information sur l'actualité locale et internationale / Channel of information

26/03/2025

FROM ministry of defense

26/03/2025

Vidéo exclusive après l'attaque de boko Haram hier soir au poste avancé de l'armée a wouglo faisant une dizaine de morts

26/03/2025

Dans la vidéo le général ambazonien ndiba na wata dit qu'ils veulent plus tout ce qui concerne le Cameroun sur leur territoire et pourtant ils ont beaucoup d'appétit pour le CFA.
Véritable paradoxe

26/03/2025

BAMENDA - KUMBO

Après avoir publié l'enquête réalisé sur cette route voici donc une évidence claire de ce que traverse les populations prises en otages par les bandes armées

26/03/2025

INVESTIGATION ABN

Danger on the BAMENDA - NDOP - KUMBO - NDU road

Since the beginning of the armed conflict in the Northwest region of Cameroon, traveling by road to certain departments has become a real ordeal due to armed groups setting up multiple checkpoints on certain sections, making it very difficult for people and goods to circulate.

The divisions of Ndonga Mantung, Bui, and Ngoketundja are the breadbasket of the region, where crops like rice, corn, beans, potatoes, and yams are grown. However, since the presence of armed groups, it has become almost impossible to evacuate products from these areas to Bamenda and other major cities, causing scarcity and inflation in the market.

The BAMENDA - NDU road is very dangerous, and many people have been killed, including a recent incident where an Eneo agent was killed in Bamesing while installing a transformer to help solve the electricity problem. This section of the road, which is part of the Ring Road, seems to have been abandoned by the authorities, leaving room for the criminal activities of armed groups to thrive.

Traveling from BAMENDA to KUMBO now costs 7,000 francs, but you need to budget 20,000 francs for a one-way trip to pay for the multiple checkpoints set up by the Ambazonians, where you need to pay between 1,000 and 5,000 francs, depending on the day.

Since 2017, over 12,000 kidnappings have been recorded on this road, and nearly 1,800 people have been killed. Today, those who want to travel to the Ndonga Mantung division are forced to take the Foumban - Magba route, which takes 8-10 hours traveling, as it is currently the safest route for travelers.

What's happening on the BAMENDA - NDU road? Who has turned this axis into one of the most dangerous roads in Cameroon? I appeal to the administrative and military authorities to take the necessary measures to ensure the circulation of people and goods on this section, which has become the "road of death."

For example, BAMENDA - NDU is approximately 200 km, but there are only 7 gendarmerie checkpoints, spaced at alarming distances, which favors the criminal activities of the Ambazonians. The Ambazonians use most of the curves to set up checkpoints with sentinels placed on both sides, informing them of the arrival of military personnel. Therefore, it is necessary to multiply the checkpoints and increase mixed patrols. To do this, it is necessary to reinforce personnel and logistics to make travel on this road fluid and reduce the dangers.

BAMENDA - NDOP - BUI - NDU... The road of death.

18/02/2025

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