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MBARGA NGUELE SUR LA ROUTE DE L’ENFER… ÉPISODE 2Ce mercredi, le Délégué général à la Sûreté nationale reprend son pèleri...
17/09/2025

MBARGA NGUELE SUR LA ROUTE DE L’ENFER… ÉPISODE 2

Ce mercredi, le Délégué général à la Sûreté nationale reprend son pèlerinage vers Mutengene, capitale camerounaise de la formation policière et, accessoirement, musée vivant des nids-de-poule. Objectif officiel : remettre galons et diplômes aux nouveaux inspecteurs et gardiens de la paix. Objectif officieux : tester une nouvelle fois sa foi en la patience sur la route Yaoundé–Mutengene.

Souvenez-vous : l’an dernier déjà, le patron de la police avait failli troquer sa casquette contre un volant de bulldozer après avoir découvert l’état apocalyptique de la chaussée. Un an plus t**d, rien n’a changé… à part la taille des cratères, désormais dignes d’un entraînement militaire grandeur nature.

À ce rythme, la route elle-même pourrait bientôt servir de terrain d’application aux élèves policiers : « Maniement du véhicule en zone de guerre », version made in Cameroun.

Punchline du jour : si Mbarga Nguélé en sort vivant, on devrait lui remettre, lui aussi, un diplôme — celui de survivant en chef des infrastructures nationales.

LES  ETATS-UNIS FERMENT LA PORTE AUX BÉBÉS ÉTRANGERS.Coup de tonnerre à Yaoundé : l’ambassade des États-Unis vient de fe...
17/09/2025

LES ETATS-UNIS FERMENT LA PORTE AUX BÉBÉS ÉTRANGERS.
Coup de tonnerre à Yaoundé : l’ambassade des États-Unis vient de fermer la porte aux futures mamans camerounaises qui rêvaient de faire naître leurs bébés directement sur le sol américain, histoire de décrocher le précieux passeport étoilé.
Dans un communiqué publié sur Facebook, l’ambassade prévient sans détour : « Si votre grand projet est d’accoucher aux États-Unis pour que bébé devienne Américain, inutile de venir sonner chez nous : votre visa sera refusé. » En arrière-plan, ce tour de vis porte la signature de Donald Trump, grand artisan de la lutte contre ce qu’il appelle « immigration clandestine Avec cette mesure, Washington envoie donc un message clair : les États-Unis ne veulent plus servir de maternité internationale.

OBALA: DES VOLEURS DE MOTOS DANS LA NASSE.À Obala, on ne parle plus de « pains-beurre des filles brunes » mais de « pain...
16/09/2025

OBALA: DES VOLEURS DE MOTOS DANS LA NASSE.
À Obala, on ne parle plus de « pains-beurre des filles brunes » mais de « pains coup-de-poing ». Ces gaillards bodybuildés, qui auraient pu défiler en mannequinat de rue, préféraient plutôt étrangler les moto-taximen comme on tord une serviette mouillée. Six spécimens bien huilés, présentés comme les nouvelles vedettes de Yaoundé, sèment la panique dans cette petite ville tranquille. Le commissaire, explique que ces champions du braquage possèdent une arme fatale : un parfum anesthésiant. Imaginez : tu prêtes ta moto, le type t’effleure de son parfum mystère et hop, tu ronfles plus vite qu’après un banquet de mariage. Résultat, moto disparue, pilote endormi. Leurs gibiers favoris ? Les pauvres travailleurs du barrage de Nachtigal, transformés en distributeurs automatiques de motos.

https://www.facebook.com/61578438640379/posts/122126449652947954/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v
16/09/2025

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MOMO MET LE RDPC EN GARDE En politique camerounaise, Jean de Dieu Momo fait figure
d’OVNI. Pas d’élection gagnée, pas de militants identifiés, pas
même un comité de quartier qui se réclame de lui…
bref, un ministre sans base, parachuté comme une mé
téorite dans le gouvernement. Sa nomination fut déjà
perçue comme un scandale, et beaucoup de barons du
RDPC continuent de le regarder comme un intrus qu’on
tolère à contrecœur.
Pourtant, c’est ce même « pied plat » qui, sur Vision4,
s’est permis un grand numéro de vérité. Sans langue de
bois, il a peint le RDPC comme un parti enfermé dans sa
propre suffisance, incapable de voir ses failles à l’ap
proche du 12 octobre. Plus surprenant encore, Momo a
lancé l’alerte : si Bello Bouba, Issa Tchiroma et Maurice
Kamto osaient former une coalition, le régime de
Yaoundé serait sérieusement en danger.
mais force est de reconnaître que le « lion de la Ménoua » a
rugi cette fois-ci avec franchise et réalisme.

https://www.facebook.com/share/1Bf8mFMrGp/
16/09/2025

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MOMO MET LE RDPC EN GARDE En politique camerounaise, Jean de Dieu Momo fait figure
d’OVNI. Pas d’élection gagnée, pas de militants identifiés, pas
même un comité de quartier qui se réclame de lui…
bref, un ministre sans base, parachuté comme une mé
téorite dans le gouvernement. Sa nomination fut déjà
perçue comme un scandale, et beaucoup de barons du
RDPC continuent de le regarder comme un intrus qu’on
tolère à contrecœur.
Pourtant, c’est ce même « pied plat » qui, sur Vision4,
s’est permis un grand numéro de vérité. Sans langue de
bois, il a peint le RDPC comme un parti enfermé dans sa
propre suffisance, incapable de voir ses failles à l’ap
proche du 12 octobre. Plus surprenant encore, Momo a
lancé l’alerte : si Bello Bouba, Issa Tchiroma et Maurice
Kamto osaient former une coalition, le régime de
Yaoundé serait sérieusement en danger.
mais force est de reconnaître que le « lion de la Ménoua » a
rugi cette fois-ci avec franchise et réalisme.

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L'IMPOSSIBLE COALITION DE L'OPPOSITION Présidentielle 2025 : Kamto sort le shaker de l’unité, mais la sauce tourne
À l’approche de 2025, Maurice Kamto, fraîchement débarqué du Manidem, s’improvise chef étoilé de la cuisine politique. Son plat du jour ? Une opposition mijotée à feu doux, servie en un seul candidat pour faire vaciller le buffet présidentiel. Problème : la recette ne prend pas. La mayonnaise refuse obstinément de monter, et les œufs de l’unité semblent périmés.
Éjecté du bal électoral mais pas du dancefloor politique, le patron du MRC joue les entremetteurs, distribuant des poignées de main comme des flyers de concert. C’est Jean Michel Nintcheu, porte-voix de l’APC, qui a lâché le scoop : Kamto veut rassembler. Sur le papier, ça sent bon l’alternance. Dans les coulisses, ça sent surtout le parfum des ambitions contrariées.
Pendant ce temps, Ekanè Anicet, fidèle du camp Kamto, prépare son propre spectacle. Un show parallèle, censé dévoiler un candidat consensuel. Résultat : ambiance feutrée, sourires crispés, poignards bien aiguisés. Les lieutenants du même général se tirent la cravate en coulisse pendant que le chef prêche l’unité sur scène.
Et pendant que Kamto tente de faire s’embrasser Bello Bouba et Issa Tchiroma, les observateurs se demandent s’il ne serait pas plus simple de faire signer un traité de paix à deux chats affamés. Certes, Bello Bouba a récemment papoté avec Kamto, mais de là à imaginer un front commun capable de faire trembler le fauteuil présidentiel… il faudrait déjà qu’il y ait des secousses.
Alors pourquoi certains MRCistes gardent-ils foi en un miracle diplomatique entre leur leader et celui de l’UNDP ? Espèrent-ils une nomination de Kamto à la primature ou au Conseil constitutionnel en cas de victoire ? Ou rêvent-ils d’un grand ménage institutionnel, avec le code électoral en tête de liste ? Mystère et boule de Koki. En attendant, l’unité de l’opposition reste un plat qui se mange froid… et qui n’est toujours pas servi.

OMP : LEON THEILLER ONANA DECROCHE LE FAUTEUIL, APRES AVOIR CLAQUE LA PORTE DU RDPC.Il y a des rebonds politiques qui re...
15/09/2025

OMP : LEON THEILLER ONANA DECROCHE LE FAUTEUIL, APRES AVOIR CLAQUE LA PORTE DU RDPC.
Il y a des rebonds politiques qui ressemblent à des figures acrobatiques. Après avoir milité pour la destitution de Paul Biya — rien que ça — puis avoir été catapulté hors du RDPC comme un ballon trop gonflé, Léon Theiller Onana vient de retomber sur ses pieds… et sur un fauteuil présidentiel. Celui de l’Organisation du Mouvement Patriotique (OMP), qu’il dirige désormais avec le sceau de la légalité et le sourire du renouveau.
L’élection s’est tenue dans un décor bien huilé : Assemblée Générale, statuts respectés au millimètre, membres statutaires alignés comme à la parade, et cerise sur le gâteau, un huissier de justice pour garantir que personne ne triche au Monopoly politique. Bref, une cérémonie sous contrôle, où même les stylos semblaient homologués.
Dans son communiqué, l’OMP annonce fièrement que cette élection marque un tournant. Un virage, même. Peut-être pas celui de l’histoire, mais au moins celui du parti. L’arrivée de Léon Theiller Onana serait, selon les mots choisis, un gage de stabilité et de développement. Rien que ça. On attend de voir si le développement ira plus vite que les discours.
Le nouveau président, fraîchement couronné, promet de s’adresser bientôt à la Nation. Au programme : les enjeux de la présidentielle du 12 octobre 2025, un plan d’action pour mobiliser les troupes, et sans doute quelques phrases bien senties pour rappeler qu’il n’est pas là pour faire de la figuration. En attendant, l’OMP savoure son moment, et Léon Theiller Onana peut enfin ranger son parachute.

15/09/2025

DOUALA: PÉNÉTRANTE OUEST, UN CHANTIER À LA DÉRIVE.
Le Ministre des Travaux Publics a la semaine passée, débarqué à Douala, costume Alpaga bien repassé, pour "fluidifier la circulation". Traduction : ajouter un peu de vernis sur une route qui ressemble à un vieux CD rayé. Première escale de sa tournée : la pénétrante Ouest, ce tronçon mythique où les klaxons pleurent et les amortisseurs font leur dernier voyage.
Constat ministériel : galère en haute définition
Le ministre, les pieds dans la poussière (mais pas trop), a pu admirer en 4K la souffrance des automobilistes. Quatre points critiques à traiter, dit-on. Et pour faire bonne figure, on a sorti les dalots et les pavés — grande première nationale ! Sauf que poser des pavés sur une route censée supporter des camions de 30 tonnes, c’est comme mettre du carrelage dans une porcherie : ça casse vite et ça fait jaser.
Déviations provisoires, embouteillages permanents
Pour mener l’opération, on ferme la voie principale et on propose des déviations dignes d’un rallye Dakar. Résultat : circulation en mode puzzle, avec bonus "nids de poule" et "camions qui perdent leur chargement comme des enfants leurs jouets". Le ministre, lui, ordonne des pavés au carrefour Mutzig. On se demande s’il fallait vraiment faire le trajet depuis Yaoundé pour ça. Une petite vidéo de Bonaberi aurait suffi à lui montrer l’étendue du désastre.
Notre ministre prend des mesures tel un couturier, mais la couture n’avance pas. Illustration : la route du carrefour Grand Hangar. Moins d’un mois après sa "réhabilitation", elle s’effrite déjà comme un biscuit trop sec. Une société transporte du gravier (on taira le nom, mais on pense très fort à elle), et à chaque passage, c’est une pluie de cailloux sur le goudron. Résultat : goudron en mode gruyère.

LE PRINTEMPS DE MARC BRYS S'ASSOMBRIT.Cameroun est allé à Praia avec l’espoir de rugir… et est revenu avec un miaulement...
15/09/2025

LE PRINTEMPS DE MARC BRYS S'ASSOMBRIT.
Cameroun est allé à Praia avec l’espoir de rugir… et est revenu avec un miaulement. Sous une pluie battante et un vent digne d’un mauvais film de pirates, les Lions indomptables ont été croqués tout cru par les Requins bleus du Cap-Vert. Score final : 0-1. Et encore, c’est flatteur.
La “finale du groupe D” ? Plutôt un épisode de “Perdus dans le jeu”, avec les Camerounais en figurants. Les locaux, eux, ont joué comme s’ils avaient faim depuis trois jours. Et les Lions ? Comme s’ils avaient mangé trop de ndolé avant le match.
Le sélectionneur, philosophe de la défaite
À peine le coup de sifflet final retenti, le coach camerounais s’est précipité devant les micros pour lâcher sa punchline : “C’est le footbal. Il y a eu des choses extra-sportives…” À croire que le banc de touche est devenu le mur des lamentations. Et pendant ce temps, le ballon, lui, continue de rouler… sans eux.
Ah bon ? Parce que visiblement, c’est aussi pas le moment de parler de stratégie, de coaching ou de choix tactiques. Les “choses extrasportives” seraient-elles responsables de Zambo qui joue en mode ralenti, de Boyomo qui arrive toujours après le ballon, ou de Nkoudou qui dribble comme s’il était seul sur la pelouse? Ou encore ‘Onana qui ne se momifie dans sa cage qu’au moment du tir fatal alors que durant tout le match, il a rivalisé avec ses attaquants lors des corners dans la surface adverse? Et pendant qu’on y est : quel coach sérieux laisse Aboubakar, un joueur sans club sur le terrain pendant 80 minutes, alors qu’un Choupo Moting sur le banc marque des buts chaque week-end ? C’est comme garder un extincteur vide pendant que la maison brûle. À ce niveau, ce n’est plus du coaching, c’est du sabotage artistique Quand le match compte, le coach décompte.Pour une fois qu’il y avait un match avec un enjeu réel, on a eu droit à une prestation digne d’un bal de sorciers. Et comme d’habitude, au lieu d’assumer, on sort le chapelet des plaintes : “Oooh mon assistant…”“Koooh mon salaire…”“Ma démission…” « Kooh mon démenti ».
Le Cameroun a perdu, oui. Mais ce n’est pas la pluie, ni le vent, ni les Requins. C’est cette habitude de chercher des excuses dans les coulisses pendant que le spectacle sur scène s’effondre. À force de jouer les victimes, on finit par devenir les figurants de notre propre déclin.

https://www.facebook.com/100063979755708/posts/1205037024972278/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v
13/09/2025

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SONARA UTILISÉE COMME BÉTAIL ÉLECTORAL ?
Silence, on nous vend du pétrole… imaginaire
Six ans après avoir flambé comme une merguez oubliée sur le grill, la Sonara — unique raffinerie du Cameroun et championne toutes catégories du coma industriel — tente un retour sur scène. Le 13 août, son conseil d’administration a sorti de son chapeau un plan de relance baptisé Parras 24, un nom qui évoque une opération commando… mais qui consiste surtout à espérer que les tuyaux se remettent à couler d’ici 2027. À condition, bien sûr, que les financements ne soient pas aussi volatils que le brut.
🔥 Retour sur le barbecue géant de 2019 : quatre unités parties en fumée, un bac de brut évaporé, et une activité de raffinage mise en pause plus longtemps qu’un projet de métro à Douala. Depuis, Sonara carbure à l’importation, battant des records de dépendance avec une régularité digne d’un métronome en détresse.
💸 Parras 24 : le come-back promis sous 24 mois
C’est beau, c’est ambitieux, c’est presque crédible. Le plan prévoit une production annuelle de 3,5 millions de tonnes, soit 1,4 million de plus qu’avant l’incendie. Pour y parvenir, on ressort les plans d’origine, on repeint les murs, et on croise les doigts. Le tout financé par un cocktail de soutien public et de partenariats privés, avec des banques internationales qui « auraient montré de l’intérêt » — ce qui, en langage diplomatique, signifie qu’elles ont ouvert un mail avant de le classer sans suite.
⛽ Et l’État dans tout ça ?
Il prélève 47,8 FCFA sur chaque litre de carburant vendu pour rembourser les dettes. Autrement dit, chaque fois que vous faites le plein, vous financez un PowerPoint.
📉 Les dettes ? Un gouffre abyssal
488 milliards de FCFA à rembourser. C’est comme vouloir reconstruire Versailles avec un ticket resto. Et pendant que Sonara panse ses plaies, la SNH construit une nouvelle raffinerie à Kribi. Officiellement, pas de rivalité… mais dans les coulisses, ça sent le duel de pipelines à l’huile chaude.
🚨 Attention, mirage en vue
Parras 24 repose sur des financements extérieurs. Si les partenaires se défilent ou si les fonds publics s’évaporent comme du kérosène au soleil, le plan risque de rester un diaporama très bien animé, mais jamais exécuté.
📣 La BEAC tire la sonnette d’alarme
La dépendance aux importations fragilise toute la zone CEMAC. En clair, si Sonara se relève, le Cameroun retrouve un semblant de souveraineté énergétique. Si elle échoue, ce n’est pas juste une panne locale… c’est un séisme économique avec répliques sur toute la sous-région.
En résumé : Parras 24, c’est un pari risqué, un peu comme miser sur un cheval boiteux dans une course truquée. Mais au moins, on aura eu le mérite d’y croire… ou de faire semblant.

MAURICE KAMTO DÉMISSIONNE DU MANIDEM.
12/09/2025

MAURICE KAMTO DÉMISSIONNE DU MANIDEM.

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