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MFINGA ET  FINGON
07/11/2025

MFINGA ET FINGON

TOUT N'EST PAS BON A VOIR.
06/11/2025

TOUT N'EST PAS BON A VOIR.

NO COMMENT

SUR LES TRACES DE ISSA TCHIROMA.Au final, Issa Tchiroma ne jouait peut-être pas au roublard lorsqu’il déclarait la semai...
05/11/2025

SUR LES TRACES DE ISSA TCHIROMA.
Au final, Issa Tchiroma ne jouait peut-être pas au roublard lorsqu’il déclarait la semaine dernière : « Je remercie l’armée loyaliste qui a fait preuve de patriotisme en m’escortant jusqu’à un lieu sûr et qui assure actuellement ma protection. » Reste à savoir de quelle “armée loyaliste” il parlait. Car selon certains médias nigérians, le politicien camerounais résiderait depuis le dimanche 2 novembre à Yola, dans l’État d’Adamawa, au Nigeria. Autrement dit, le « lieu sûr » dont il se vantait se trouverait… de l’autre côté de la frontière. Depuis, l’intéressé bénéficierait d’une « protection politique totale au Nigeria », échappant ainsi de justesse à une arrestation et à un transfert vers le Cameroun. Avant cet incident, les forces de défense camerounaises avaient encerclé la résidence de Tchiroma à Marouaré, dans la région du Nord. Mais celui-ci avait déjà été évacué et escorté vers un lieu sûr avant leur arrivée, dans une opération ressemblant à une assignation à résidence discrète." l’homme profiterait d’une protection politique tout confort, version diplomatie climatisée.
Autant dire qu’il a troqué la peur d’une arrestation contre la chaleur hospitalière d’Adamawa.
On ne sait pas si c’était une fuite, une exfiltration ou un miracle patriotique, mais ça a fonctionné.
Le Cameroun cherchait un fugitif, le Nigeria a gagné un réfugié politique.
Et Tchiroma, lui, prouve qu’en Afrique centrale, le “lieu sûr” n’a pas toujours la même adresse.

PCRN: NOURANE FOSTER SUIT SON EPOUX DANS LES VESTIAIRES.Sur Facebook, Nourane Foster a cliqué sur « se désabonner » comm...
04/11/2025

PCRN: NOURANE FOSTER SUIT SON EPOUX DANS LES VESTIAIRES.
Sur Facebook, Nourane Foster a cliqué sur « se désabonner » comme on claque une porte. Le seul compte qu’elle suivait ? Celui de Cabral Libii. Et bim, plus d’abonnement, plus d’illusion. Ce geste numérique, en apparence anodin, sonne comme un divorce politique en bonne et due forme. Cabral a reconnu la victoire de Paul Biya, Nourane a reconnu qu’elle n’était plus dans le même film. Selon les murmures de coulisses, elle pourrait bientôt quitter officiellement le navire PCRN, comme son époux l’a fait avant elle. La rupture ne date pas d’hier : depuis sa démission fracassante, les fissures étaient visibles à l’œil nu. Les fidèles de Cabral ont balayé l’affaire d’un revers de main : « Non-évènement », ont-ils dit, l’air blasé. Mais en interne, beaucoup s’y attendaient. Nourane, dit-on, n’a jamais eu de « socle granitique ». Traduction : pas d’ancrage solide, pas de base électorale fidèle, juste un siège en équilibre instable. Coincée dans un fief pro-MRC à Wouri 3e, elle doit jongler entre loyauté politique et survie électorale. Pour rester à Douala, il lui faudra danser sans marcher sur les pieds du MRC. Un numéro d’équilibriste entre deux feux : l’un bleu-vert, l’autre bleu-blanc-rouge. Pendant ce temps, le PCRN continue de se fissurer en silence, comme un vieux mur sous la pluie. Et sur les réseaux, chaque clic devient un communiqué, chaque unfollow un manifeste. Bienvenue dans la politique 2.0, où un désabonnement vaut déclaration de guerre.

HAUSSE DES PRIX:LE MINCOMMERCE VEUT ARRETER DU VENT.Le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, vient de déga...
04/11/2025

HAUSSE DES PRIX:LE MINCOMMERCE VEUT ARRETER DU VENT.
Le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, vient de dégainer son sifflet d’arbitre face à la valse incontrôlée des prix dans les grandes surfaces.
Depuis la crise post-électorale, certains supermarchés auraient trouvé une manière créative de voter eux aussi : en augmentant les étiquettes.
Dans une lettre datée du 30 octobre 2025, le ministre accuse plusieurs enseignes d’avoir profité du chaos politique pour gonfler les prix comme des ballons de campagne.
Apparemment, la crise inspire plus les comptoirs que les poètes.
Les hausses concernent huiles, riz, pâtes, sucre… bref, tout ce qui remplit un ventre modeste. Le ministre, visiblement lassé, a ordonné aux brigades de contrôle de descendre sur le terrain, carnet à la main et œil rouge. Objectif : ramener les prix à leur niveau d’avant les illusions électorales. Il rappelle que le pillage économique est aussi grave que celui des magasins.
Pendant que les consommateurs se plaignent de hausses de 10 à 25 %, les gérants jurent qu’ils ne font qu’« anticiper les ruptures ».
Autrement dit : prévenir la faim en affamant plus vite.
Le ministère parle, lui, d’abus de position dominante – une façon polie de dire “banditisme tarifaire”.
Des équipes mixtes, commerce et gendarmerie confondus, promettent de remettre un peu d’ordre dans la jungle des rayons. Car le gouvernement craint que cette flambée ne rallume les braises sociales à peine éteintes.
Le ministre exhorte les opérateurs à redevenir patriotes, au moins le temps d’une facture.
Et de conclure : « spéculer sur la misère des gens n’est pas du commerce, c’est du cynisme sous climatisation ».

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03/11/2025

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CAMEROUN: NAUSEABONDE POLEMIQUE SUR LES EMEUTES.Sur les réseaux, c’est la foire aux invectives : d’un côté, les partisans du soulèvement populaire, de l’autre, les apôtres du canapé et du calme. Les flammes dans les quartiers ont ravivé les claviers, surtout à Douala où la marche dite pacifique a viré au jeûne collectif. Les défenseurs de la casse brandissent l’argument du blindé : difficile de chanter la paix quand les rues ressemblent à un champ de guerre. Selon eux, si les b***es n’avaient pas parlé, les slogans auraient suffi. Ils comparent le pays à une plaie purulente : avant de panser, il faut désinfecter, même si ça pique. Le changement, disent-ils, ne vient pas avec des pétales de rose mais avec des épines dans les pieds. Mais dans les salons, on sirote du vin en regardant le chaos comme un mauvais feuilleton. « Continuez à envoyer vos héros de la rue, nous comptons les points depuis nos fauteuils », ironisent certains. Pendant que le président déguste à Etoudi, le peuple digère les cendres. Et demain, il faudra reconstruire ce que l’on brûle aujourd’hui, avec sept ans de travaux et un bonus électoral à la clé. Et d’ajouter à l’intention des premiers qu’à ceux qui rêvent de guerre civile comme d’un western, on rappelle que ce n’est pas juste des fusils. C’est aussi la faim, le viol, la paralysie, la peur, le stress, et les hôpitaux devenus mirages. C’est perdre ses enfants, ses parents, ses amis, son boulot, son école, son rire. C’est la pauvreté qui s’installe comme une vieille locataire qu’on n’arrive plus à déloger. Bref, si vous pensez que la guerre est une solution...Finissez la phrase vous-mêmes.

01/11/2025

QUAND L'ARBITRE SIFFLE ET...DANSE.
Hallucinante séquence que celle de notre ‘djimtété national’, arbitre en chef des urnes ! Après le sifflet, voilà qu’il passe au micro : le concert aussi ? Là, on touche la finale de la provocation en mondovision.

On dira, comme toujours, qu’ils est libre de fêter " leur" victoire et que les grincheux n’ont qu’à changer de pays. Mais cette fois, plus personne ne peut se tromper sur le vrai visage de celui qui prétendait juger les matchs électoraux. Narguer tout un peuple dans un moment pareil, c’est de l’art contemporain du mépris. Et dans ce registre, il vient de battre un record mondial.

https://www.facebook.com/photo/?fbid=1254923783316935&set=a.449028303906491DOUALA A FROLE LES PENURIES.
29/10/2025

https://www.facebook.com/photo/?fbid=1254923783316935&set=a.449028303906491
DOUALA A FROLE LES PENURIES.

En attendant que Paul Biya enfile pour la 8è fois le cordon de grand commandeur, c’est le pays entier qui tousse — et l’économie qui s’étouffe.
Les rues bouillonnent, les décrets pleuvent, et les entrepreneurs comptent les absents comme on compte les averses en saison des pluies.
Les chaînes d’approvisionnement sautent les unes après les autres, pendant que les générateurs dorment faute de carburant.
L’État a interdit la vente d’essence en bidons — et voilà des usines muettes, des hôtels à genoux, et des patrons à bout de nerfs.
Résultat : la production chute, la colère grimpe, et le moral des affaires s’effondre comme un toit mal cloué.
Certains, favorables au changement, applaudissent pourtant ce chaos : « au moins, tout le monde voit que la politique, ça nous concerne tous ! »
Les uns veulent juste bo**er et encaisser, les autres réclament justice — sans voir qu’ils crient le même désespoir.
Pas d’essence ? Pas de transport. Pas de transport ? Pas de commerce. Pas de commerce ? Pas de Cameroun qui tourne.
Et pendant que les préfets pondent des arrêtés, les entrepreneurs bricolent des plans B avec des tuyaux et des prières.
On siphonne sa propre voiture pour nourrir son groupe électrogène .Le pays tourne désormais au système D… D comme débrouille, désespoir et diesel introuvable.
Certains chefs d’entreprise parlent de décisions « suicidaires », d’un pays verrouillé par la peur et les uniformes.
« Ceux qui disent avoir gagné les élections, pourquoi tremblent-ils autant ? », murmure un hôtelier épuisé.
Lui a passé la journée à courir après le gazole — sa gérante a fini à l’hôpital, renversée par une moto dans sa quête du carburant perdu.
Ainsi va le Cameroun : les urnes n’ont pas encore parlé, mais la rue, elle, crie déjà famine.

CAMEROUN: LES "NJO'O" CADAVRES DES EMEUTES POLITIQUES.Garoua : une b***e perdue, une vie fauchée, et des explications qu...
29/10/2025

CAMEROUN: LES "NJO'O" CADAVRES DES EMEUTES POLITIQUES.
Garoua : une b***e perdue, une vie fauchée, et des explications qui courent plus vite que les tricycles
Mardi à Garoua, pendant que la foule battait le pavé pour défendre une cause politique, une tragédie s’est glissée dans le décor : Madame Zouhaira, enseignante à l’école publique islamique, a été tuée par b***e. Ironie du sort, elle n’était pas en train de manifester, mais simplement en quête de sa petite sœur disparue — une mission familiale qui s’est transformée en drame national.
À peine quinze minutes après avoir quitté son domicile, elle est frappée par une b***e venue d’on ne sait où. Blessée grièvement, elle perd du sang à une vitesse qui ferait pâlir un compteur de yango. La population, solidaire et rapide, tente de la sauver. Moto introuvable, c’est finalement un tricycle — le Uber local — qui l’emmène vers l’hôpital. Mais le sang a eu raison de la course : Madame Zouhaira décède avant même d’atteindre les urgences.
Dans la foulée, la famille, entre douleur et incompréhension, se rend à la SEMIL pour demander des comptes. Le commandant, visiblement plus à l’aise avec les pirouettes verbales qu’avec les b***es traçables, affirme que le projectile n’est pas militaire. "Défaut de série", dit-il. Comme si la b***e était un yaourt périmé.
Face à ce flou artistique, la famille exige une enquête sérieuse — pas une enquête façon "on verra lundi". Elle interpelle le gouvernement, qui, espérons-le, ne répondra pas par communiqué automatique. Car ici, il ne s’agit pas d’un simple incident : c’est une vie volée, une justice attendue, et une vérité qui ne doit pas voyager en tricycle.
Ce meurtre glacé ouvre une sinistre série dans cette semaine de chaos au Cameroun.
Quant aux enquêtes, nul besoin d’espérer : elles finiront, comme toujours, dans le cimetière des vérités étouffées.
Les morts, eux, tombent pour des causes qu’ils ne comprennent pas et pour des maîtres qu’ils n’ont jamais vus.
Les vrais responsables, gavés d’impunité, dorment la conscience légère.
Et demain, pas même une stèle funéraire ne portera le nom de ceux qu’ils ont sacrifiés.

MFINGA ET FINGON.
28/10/2025

MFINGA ET FINGON.

PAUL BIYA AD VITAM AETERNAM.Le Conseil constitutionnel vient de trancher : 53,66 % pour le président sortant, qui s’offr...
28/10/2025

PAUL BIYA AD VITAM AETERNAM.
Le Conseil constitutionnel vient de trancher : 53,66 % pour le président sortant, qui s’offre ainsi un huitième mandat consécutif comme on reprend un vieux fauteuil qu’on refuse de jeter. Rien d’étonnant, si ce n’est la fonte spectaculaire de ses scores magiques : de 75 % en 2018, il dégringole à 53 %. Le mythe s’essouffle, mais le vieillard s’accroche. Ici, on ne parle plus d’un président, mais d’un propriétaire foncier du Cameroun, avec titre et bornes incluses. On ferait mieux d’arrêter les élections et d’attendre directement la volonté céleste. Ce scrutin ressemble à une comédie mal répétée, une farce qui fait pleurer tout un continent. Le vieux lion aurait pu quitter la scène en légende ; il risque désormais de glisser par la fenêtre de l'histoire .Car même ses plus zélés thuriféraires ne croient et ne formulent plus la moindre espérance à sa prétendue grandeur. Pauvre Cameroun.

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