Kongossa d'abord

Kongossa d'abord kongossa d'abord c'est un Comédiens camerounais très talanteux à Douala
Détecteur de talent donc ceux si apporte le fourire au internautes

Comédien de nationalité camerounaise créateur des concepts beignets sans caleçon, depuis quand tu es fou,Wanda kwatta etc… retrouver le sur tous les réseaux sociaux

01/04/2025

La révolution ou rien ?

31/03/2025

Après avoir chassé le régime en place
Il faut voté le président de la coup constitutionnel et le directeur d'elecam
Voilà la méthode

𝐋𝐞 𝐂𝐫𝐚𝐬𝐡 𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞́ 𝐝𝐮 “𝐍𝐲𝐨𝐧𝐠” –𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐨𝐧 𝐀𝐢𝐫𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬, 𝟑 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟏𝟗𝟗𝟓Il y a des dates qui meurtrissent à jamais les mémoires....
29/03/2025

𝐋𝐞 𝐂𝐫𝐚𝐬𝐡 𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞́ 𝐝𝐮 “𝐍𝐲𝐨𝐧𝐠” –
𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐨𝐧 𝐀𝐢𝐫𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬, 𝟑 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟏𝟗𝟗𝟓

Il y a des dates qui meurtrissent à jamais les mémoires.

Le 3 décembre 1995 en est une.
Ce soir-là, un Boeing 737-200 de la Cameroon Airlines, le “Nyong”, s’écrase à quelques kilomètres seulement de son but. Il n’arrivera jamais à destination.

Le vol UY 3701, en provenance de Cotonou, est censé rejoindre Douala en une heure. À son bord : 76 personnes. Passagers camerounais, béninois, sénégalais, maliens, nigérians, européens… Et un équipage rompu à l’exercice. Rien ne laisse présager l’enfer.

Le départ s’effectue sans incident. Pas d’anomalie, pas de signal d’alerte. Un simple transit, un vol de routine. Le commandant de bord Younoussa Aman Sali et le copilote Claude Émile Lombo, entament la descente sur l’aéroport de Douala. La piste est là, si proche. La voix du pilote parvient une dernière fois à la tour de contrôle :

« Nous avons des problèmes… on vous rappelle. » Il ne rappellera jamais.

Une remise de gaz est tentée, trop t**d. Le moteur gauche, affaibli par une pièce usée, ne fournit plus la poussée nécessaire. L’avion perd de l’altitude. Irrémédiablement.

À 21h44, le Boeing s’écrase dans les marécages de Youpwé, à moins de 6 kilomètres de la piste. Il se disloque en trois morceaux. Le silence retombe, écrasant.

Sur les 76 âmes à bord, seules 5 survivent.
Cinq.

Parmi elles, trois Camerounais :
– Ousseni Moulaye, agent de sécurité à la CAMAIR,
– Mboussi Wellisanè, hôtesse de l’air,
– et Antoine Ndong Toung, administrateur civil, en poste à la Présidence de la République.

Un bébé, aussi, sera retrouvé vivant.
Un miracle au milieu du carnage.

Le commandant Lombo, tiré des décombres, décède à la clinique de Bonanjo. Son dernier vol s’achève dans la douleur, celle de n’avoir pu sauver plus de vies.

Les familles attendent des nouvelles.
À Douala, à Yaoundé, à Cotonou, les téléphones sonnent. Des mères tombent à genoux. Des pères restent figé 𝐋𝐞 𝐂𝐫𝐚𝐬𝐡 𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞́ 𝐝𝐮 “𝐍𝐲𝐨𝐧𝐠” –
𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐨𝐧 𝐀𝐢𝐫𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬, 𝟑 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟏𝟗𝟗𝟓

Il y a des dates qui meurtrissent à jamais les mémoires.

Le 3 décembre 1995 en est une.
Ce soir-là, un Boeing 737-200 de la Cameroon Airlines, le “Nyong”, s’écrase à quelques kilomètres seulement de son but. Il n’arrivera jamais à destination.

Le vol UY 3701, en provenance de Cotonou, est censé rejoindre Douala en une heure. À son bord : 76 personnes. Passagers camerounais, béninois, sénégalais, maliens, nigérians, européens… Et un équipage rompu à l’exercice. Rien ne laisse présager l’enfer.

Le départ s’effectue sans incident. Pas d’anomalie, pas de signal d’alerte. Un simple transit, un vol de routine. Le commandant de bord Younoussa Aman Sali et le copilote Claude Émile Lombo, entament la descente sur l’aéroport de Douala. La piste est là, si proche. La voix du pilote parvient une dernière fois à la tour de contrôle :

« Nous avons des problèmes… on vous rappelle. » Il ne rappellera jamais.

Une remise de gaz est tentée, trop t**d. Le moteur gauche, affaibli par une pièce usée, ne fournit plus la poussée nécessaire. L’avion perd de l’altitude. Irrémédiablement.

À 21h44, le Boeing s’écrase dans les marécages de Youpwé, à moins de 6 kilomètres de la piste. Il se disloque en trois morceaux. Le silence retombe, écrasant.

Sur les 76 âmes à bord, seules 5 survivent.
Cinq.

Parmi elles, trois Camerounais :
– Ousseni Moulaye, agent de sécurité à la CAMAIR,
– Mboussi Wellisanè, hôtesse de l’air,
– et Antoine Ndong Toung, administrateur civil, en poste à la Présidence de la République.

Un bébé, aussi, sera retrouvé vivant.
Un miracle au milieu du carnage.

Le commandant Lombo, tiré des décombres, décède à la clinique de Bonanjo. Son dernier vol s’achève dans la douleur, celle de n’avoir pu sauver plus de vies.

Les familles attendent des nouvelles.
À Douala, à Yaoundé, à Cotonou, les téléphones sonnent. Des mères tombent à genoux. Des pères restent figés, muets.
Le vide s’installe, et il ne s’en ira plus jamais.

L’enquête révélera une vérité cruelle :
– défaillance mécanique,
– maintenance négligée,
– procédures de secours t**dives.

South African Airways, chargée de la maintenance, est jugée responsable. Elle doit verser des dizaines de millions de dollars à la Cameroon Airlines, pour indemniser les familles. Mais l’argent n’arrivera jamais. Détourné. Évaporé.

Trente ans plus t**d, les veuves, les orphelins, les survivants attendent encore.

Le crash du “Nyong” n’est pas seulement une tragédie aérienne.
C’est une blessure nationale. Une honte effacée. Une justice volée.

À ceux qui ont péri dans l’indifférence,
À ceux qui ont survécu dans le silence,
À ceux qui pleurent encore sans réponse :
Nous n’oublierons pas.
L’oubli est la ruse du diable!
Trente ans plus t**d . Et toujours rien.
Sauf la mémoire.

Un jour il rendront compte 😭😭

28/03/2025

Après vous allez dire que les mbouda ne savent pas chanter
-n
Je n'es pas les droits sur musique

28/03/2025

Après vous allez dire que les mbouda ne savent pas chanter 😱🧐

𝐌𝐚𝐥𝐥𝐚𝐡 : 𝐋𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐡𝐞́𝐭𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐁𝐞𝐩𝐚𝐧𝐝𝐚 Née vers 1957, de son vrai nom Guebou Julienne épouse Yaguaka, la prophétesse Mallah...
27/03/2025

𝐌𝐚𝐥𝐥𝐚𝐡 : 𝐋𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐡𝐞́𝐭𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐁𝐞𝐩𝐚𝐧𝐝𝐚

Née vers 1957, de son vrai nom Guebou Julienne épouse Yaguaka, la prophétesse Mallah a sévi pendant plusieurs années au quartier Bepanda à Douala. Elle disait guérir avec de l’eau et la prière.

Vers la fin de l’année 1981, Mallah est rejointe par une certaine Marie-Lumière de son vrai nom Marie Djuide. Les deux femmes, catholiques pratiquantes originaires de Bandjoun se réunissent dans la cour de Mallah au quartier Bepanda pour organiser des séances de prière.

Le succès est aussitôt au rendez-vous.
Le groupe s'élargit avec l'arrivée du père Soffo de Yaoundé, originaire de Bandjoun comme les deux femmes. Ils travaillent donc en collaboration depuis le début des années 80.

Les nouvelles les plus folles selon lesquelles les paralytiques auraient marché et les aveugles récouvré la vue chez Mallah font le tour de la ville de Douala.

La majorité des adeptes sont des femmes qui s’y rendent avec leurs bouteilles, bidons d'eau et tabourets. Certaines participent aux séances de prière seins exposés, sans soutien gorge.

Avec près 15 mille fidèles par semaine, Mallah était sur le point de battre tous les records. Même des prêtres de l’archidiocèse étaient très actifs au sein de son mouvement.

Mallah et Marie-Lumière s’inspirent du renouveau charismatique dans leur manière de conduire les séances de prière et de guérison. Ces deux dames captivent littéralement les milliers de personnes qui affluent chez elles pour obtenir guérison.

Mallah décide de se démarquer du père Soffo lorsque celui-ci va décider de se faire appeler « Jésus Christ » . Pour Mallah, le père Soffo sert désormais le diable. Nous sommes en fin de 1995.

Marie-Lumière choisit de rejoindre le camp de père Soffo; délaissant Mallah à Bepanda. Marie-Lumière va œuvrer à installer le lieu de prière du quartier Makepe voirie à Douala.

Le succès de ce trio était tel que même les plus grandes autorités du pays venaient chez eux. En 1995 ,𝐌𝐚𝐥𝐥𝐚𝐡 : 𝐋𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐡𝐞́𝐭𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐁𝐞𝐩𝐚𝐧𝐝𝐚

Née vers 1957, de son vrai nom Guebou Julienne épouse Yaguaka, la prophétesse Mallah a sévi pendant plusieurs années au quartier Bepanda à Douala. Elle disait guérir avec de l’eau et la prière.

Vers la fin de l’année 1981, Mallah est rejointe par une certaine Marie-Lumière de son vrai nom Marie Djuide. Les deux femmes, catholiques pratiquantes originaires de Bandjoun se réunissent dans la cour de Mallah au quartier Bepanda pour organiser des séances de prière.

Le succès est aussitôt au rendez-vous.
Le groupe s'élargit avec l'arrivée du père Soffo de Yaoundé, originaire de Bandjoun comme les deux femmes. Ils travaillent donc en collaboration depuis le début des années 80.

Les nouvelles les plus folles selon lesquelles les paralytiques auraient marché et les aveugles récouvré la vue chez Mallah font le tour de la ville de Douala.

La majorité des adeptes sont des femmes qui s’y rendent avec leurs bouteilles, bidons d'eau et tabourets. Certaines participent aux séances de prière seins exposés, sans soutien gorge.

Avec près 15 mille fidèles par semaine, Mallah était sur le point de battre tous les records. Même des prêtres de l’archidiocèse étaient très actifs au sein de son mouvement.

Mallah et Marie-Lumière s’inspirent du renouveau charismatique dans leur manière de conduire les séances de prière et de guérison. Ces deux dames captivent littéralement les milliers de personnes qui affluent chez elles pour obtenir guérison.

Mallah décide de se démarquer du père Soffo lorsque celui-ci va décider de se faire appeler « Jésus Christ » . Pour Mallah, le père Soffo sert désormais le diable. Nous sommes en fin de 1995.

Marie-Lumière choisit de rejoindre le camp de père Soffo; délaissant Mallah à Bepanda. Marie-Lumière va œuvrer à installer le lieu de prière du quartier Makepe voirie à Douala.

Le succès de ce trio était tel que même les plus grandes autorités du pays venaient chez eux. En 1995 , la rupture est consommée entre Mallah, Marie-Lumière et le père Soffo. C’est donc en solitaire que Mallah continue son œuvre jusqu’en 1999.

L’église catholique va alors interdire à ses fidèles d’y mettre pieds au risque d’être excommuniés et chassés. Malgré ces mises en garde , les fidèles désertent l’église catholique pour Mallah. Elle avait une emprise totale sur ses adeptes qui croyaient mordicus en ses prophéties.

Mallah sera tout simplement chassée de l'église catholique. Le 7 mai 1999, l'Église catholique à travers le cardinal Christian Tumi interdit formellement aux chrétiens de se rendre chez Mallah dans une lettre pastorale.

Les 27 et 28 janvier 2001; Mallah a réussi l’exploit de regrouper près de 10 mille personnes sur le terrain (stade) de camtel à l’occasion des 20 ans des œuvres de Jésus-Christ à Bepanda.

Les adeptes de Mallah ramassaient des lotus, kleenex usagés dans les rues, marchés, bureaux etc. La rumeur affirmait alors que c’étaient certainement pour des sc

Il y’a t’il une ressemblance ?En coco de Paris et Mayole Francine Officiel
28/01/2025

Il y’a t’il une ressemblance ?
En coco de Paris et Mayole Francine Officiel

Bonsoir la famille Deriere un caractère jovial et d’une ambiance époustouflante se cache une femme atteint d’une maladie...
24/01/2025

Bonsoir la famille

Deriere un caractère jovial et d’une ambiance époustouflante se cache une femme atteint d’une maladie (kiste ovarienne) depuis 2021 elle en souffre étant en capacité de se soigner ( côte finance). elle demande de l’aide😭😭 svp 🙏🙏 🗣️🗣️

aidez-nous sauvons coco de Paris

En passant pour ceux qui vont penser c’est la frappe allez sur place à ange Raphaël précisément au campus 2
Orange Money +237 640248242
Mtn monney 654542932
Nom: Ngougnou ponme Justin beaudelais

16/11/2024

COMMENT ALLER À AVANTURE ?(BOZA)
QUITTANT DU CAMEROUN 🇨🇲🇨🇲🇨🇲🇨🇲

LES 10 MINUTES QUI PEUVENT CHANGER TA VIE

Voilà mon grand père  il a lutté pour l’indépendance du Cameroun l’un généraux de (Um Nyobe ) il est désormais la figure...
29/09/2024

Voilà mon grand père il a lutté pour l’indépendance du Cameroun l’un généraux de (Um Nyobe ) il est désormais la figure de l'indépendance à l'ouest cameroun plus précisément à (babadjou)

Ces fables raconte l’histoire d’un homme au pouvoir mystique du genre il pouvait apparaître et disparaître sans laisser de trace comme chez (les séparatistes anglophones d’aujourd’hui)

Il fût le seul homme à avoir abattu un avion qui (versait le naplame ) (pour brûler la population) il l’a abattu en plein vole à partir d’un arbre et d’une seule cartouche l’épave de l’avion se trouve paraît-il encore à la ferme (nom d’un lieu à Babadjou kombou)
*Il sauva la chefferie Babadjou :
car nous savons tous que quand le blanc veut nous dominer il utilise ton propre frère.
ils avait utilisé un chef d’un autre village pour s’asseoir sur le trône du chef Babadjou ce monsieur (Ndewang Thomas) a apparu devant se dénier et à couper d’un coup sec ça caboche puis implanta ça sur un piquet en plein marché de njinsôo

Ndewang Thomas était le chef des nationalistes à Babadjou (U.P.C)

Donne le les honneurs qu’il mérite en partageant cette publication au max 💪💪💪 BRAVO GRAND PÈRE

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