Échos du Terroir

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12/07/2025

📍 À chacun de faire ses propres analyses

🟣🔵 Honneurs militaires Le ministre délégué à la présidence de la République chargé de la défense siffle la fin du match....
12/07/2025

🟣🔵 Honneurs militaires
Le ministre délégué à la présidence de la République chargé de la défense siffle la fin du match.
Ci dessous le communiqué👇👇👇

🔴🔴🔴 Agro - industrieLA DIASPORA S'IMPLIQUE DANS L'INDUSTRIALISATION DE LA REGION DE L'OUEST CAMEROUN.  Une ferme de 6 MI...
09/07/2025

🔴🔴🔴 Agro - industrie

LA DIASPORA S'IMPLIQUE DANS L'INDUSTRIALISATION DE LA REGION DE L'OUEST CAMEROUN.

Une ferme de 6 MILLIARDS inaugurée à l'Ouest

Le mardi 8 juillet 2025 dernier ,les localités de Bamendjou et Bameka ont accueilli les ministres ,Dr TAÏGA et Gabriel MBAÏROBE, respectivement Ministre de l’Élevage, des Pêches et des Industries Animales (MINEPIA) et le Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural pour l'inauguration d'un projet colossal porté par le Dr Pascal Talla, médecin camerounais installé en Suisse.
Cette cérémonie qui a connu une forte participation des populations et de nombreux invités a été saluée par les gardiens de la tradition, qui ont invités plusieurs de leurs fils de copier ce bel exemple de leur frère.
Il en ressort que cette industrie a une capacité de produire 80 000 pondeuses, 75 000 œufs/jour ,Une usine de 6 000 alvéoles/heure
Tout ceci pour un montant estimé à plus de Six milliards de francs CFA.
NB. Certains éléments ont été modifiés par la rédaction de Échos du Terroir .

🔴🔴🔴 Dernière minute Le ministre de l'administration territoriale après une période de mutisme depuis son retour du Saint...
07/07/2025

🔴🔴🔴 Dernière minute
Le ministre de l'administration territoriale après une période de mutisme depuis son retour du Saint Siège fait une autre sortie et frappe.
Suite aux propos qualifiés d'insurectionnels ou d'appel à l'insurrection par Alamine Oumarou Mey sur Équinoxe TV.
Le ministre Atanga Nji n'est pas pas passé par dix chemins pour demander qu'une enquête soit ouverte, car d'après son communiqué, les propos de cet invité sur ce média cité plus haut et sur d'autres médias parle d'un coup d'état XXL si le changement de régime ne se fait pas cette année électorale.
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🔴🔴NÉCROLOGIE - Décès de Louis YINDA, ancien Directeur général de la Société Sucrière du Cameroun (SOSUCAM). Il était aus...
06/07/2025

🔴🔴NÉCROLOGIE - Décès de Louis YINDA, ancien Directeur général de la Société Sucrière du Cameroun (SOSUCAM).

Il était aussi un membre très influent du RPDC dans le département de la Sanaga Maritime, region du Littoral et membre des affaires financières au sein du conseil régional.

📍📍📍 Actualité politique RDPC qui dirige finalement ?Après la convocation la semaine dernière de certaines hautes personn...
06/07/2025

📍📍📍 Actualité politique

RDPC qui dirige finalement ?
Après la convocation la semaine dernière de certaines hautes personnalités du parti de la flamme au palais de l'unité par le SGPR, aux allures de baliser le terrain à l'approche de l'élection présidentielle à venir, le Vice premier ministre et secrétaire général Jean Kueté sort de son silence et frappe.
Lire la note juste en cliquant 👇👇👇

05/07/2025
🔴🔴🔴 Dernière minute Les adieux de Liverpool FC à Diogo jota décédé avec son frère à bord de leur véhicule 😭😭😭😭😭😭😭Nous ne...
05/07/2025

🔴🔴🔴 Dernière minute
Les adieux de Liverpool FC à Diogo jota décédé avec son frère à bord de leur véhicule 😭😭😭😭😭😭😭
Nous ne disposons aucun droit sur les images.

⚫⚫⚫ ils ont dit...Cameroun, éloge de la démission Deux démissions, deux symboles, et des réactions différentes. Bello Bo...
02/07/2025

⚫⚫⚫ ils ont dit...

Cameroun, éloge de la démission

Deux démissions, deux symboles, et des réactions différentes. Bello Bouba Maïgari, ministre du Tourisme et président national de l’Undp, et Issa Tchiroma Bakari, ministre de l’Emploi et président national du FSNC, tous deux alliés du RDPC du président Paul Biya, ont décidé de claquer la porte du gouvernement et annoncent leur candidature à l’élection présidentielle d’octobre prochain.

La démission du premier ne suscite pas de grands commentaires, tant Bello Bouba s’est montré lisse, incolore, inodore et sans saveur tout au long de ses vingt-huit années passées au gouvernement. Discret et docile, son soutien à Paul Biya ne fut rien d’autre que le minimum syndical que lui imposait son alliance avec le parti au pouvoir. On trouvera difficilement des archives d’une manifestation bruyante et enflammée de son allégeance à Paul Biya.

Au contraire, Issa Tchiroma Bakari reste l’image même du griot de la République, thuriféraire infatigable, maître ès flatteries, plus biyaiste que les biyaistes eux-mêmes. Seize ans durant, il a cultivé l’art de l’éloge appuyé, du soutien sans réserve, jusqu’à en faire une marque de fabrique.

Alors, quand il claque la porte, les échos de ses anciennes envolées obséquieuses surgissent, lourds, presque gênants.

Comment peut-on basculer aussi brusquement de la vénération à la rupture ? La question brûle les lèvres, tant l’ampleur du revirement est spectaculaire et suscite doute et consternation. L’ancien héraut du Mémorandum du Grand Nord, dont il fut un des principaux acteurs et aussi l’un des principaux bénéficiaires était-il sincère hier, ou aujourd’hui ?

Mais avant de le crucifier ou de vouer Tchiroma aux gémonies, souvenons-nous tout de même qu’en quarante-trois ans de pouvoir, seuls quatre ministres ont claqué la porte du gouvernement de l’ère Biya. C’est donc un acte de bravoure rare, une audace qu’on ne peut dénier à aucune de ces personnalités, pas même à Issa Tchiroma.

Personne ne lui donnerait le bon Dieu sans confession. Certes, il ne gagnera pas l’élection présidentielle d’octobre 2025, mais il aura accompli son devoir. Et s’il fait les bons choix, il peut entrer dans l’histoire et se laver de l’infamie d’avoir soutenu jusqu’à en perdre la raison ce régime agonisant.

Je préfère mille fois Bello Bouba et Tchiroma qui prennent le risque de claquer la porte, plutôt que leurs comparses du gouvernement qui y sont restés lâchement, bien malgré eux, et continuent — sans entrain — de faire croire aux Camerounais que la « détermination » d’un vieillard de 93 ans à servir un pays où tout est à construire « reste intacte ».

Il faut saluer et encourager ceux qui trouvent la force de démissionner. Ceux qui choisiront de rester dans un navire en perdition et sans capitaine sont à plaindre. C’est à eux que le peuple demandera des comptes et pas à ceux qui ont quand même dit « ngang » !

Jean-Bruno Tagne

🟣🟣🟣InterviewBello Bouba Maïgari : « L’UNDP est ouvert à toutes les forces du changement pour une coalition »Le président...
02/07/2025

🟣🟣🟣Interview

Bello Bouba Maïgari : « L’UNDP est ouvert à toutes les forces du changement pour une coalition »

Le président de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP) s’exprime pour la première fois depuis l’annonce surprise de sa candidature à la prochaine présidentielle au Cameroun. Il revient en exclusivité pour Jeune Afrique sur les circonstances de son choix et sa relation avec Paul Biya.

Par Yves Plumey Bobo (Envoyé spécial au Cameroun)

Publié le 2 juillet 2025

À 76 ans, Bello Bouba Maigari fait un retour inattendu sur le devant de la scène politique au Cameroun. Plus de trente ans après sa première candidature à la magistrature suprême, l’ancien Premier ministre et président de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP) a annoncé le 28 juin qu’il briguera à nouveau la présidence lors du scrutin prévu en octobre 2025.

Rompant avec l’alliance historique entre son parti et le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) de Paul Biya, il dit vouloir offrir une alternative à un système qu’il a pourtant longtemps soutenu de l’intérieur. Dans cet entretien exclusif recueilli à Yaoundé, il revient sur les raisons de sa candidature, ses ambitions pour le pays et sa vision de l’avenir du Cameroun.

Jeune Afrique : Vous avez déclaré votre candidature à la présidentielle. Pour quelle raison avoir fait ce choix ?

Bello Bouba Maïgari : Nous venons de tenir une réunion importante du comité central de l’UNDP, notre organe dirigeant. Nous avions également convié d’autres structures du parti, comme le conseil national et les secrétariats permanents des organes annexes, notamment ceux des jeunes et des femmes. L’agenda politique des neuf prochains mois est particulièrement chargé. Nous avons quatre échéances électorales majeures à venir : la présidentielle en octobre, les régionales en décembre, et les législatives et municipales au premier trimestre 2026.

En tant que président national de l’UNDP, j’ai convoqué ces organes pour consulter nos cadres, dont plusieurs sont élus ou candidats potentiels. À l’issue des débats du 28 juin, les représentants des jeunes, des femmes et de la base militante m’ont demandé avec insistance d’être candidat à la prochaine présidentielle. Ce n’est pas nouveau : depuis l’année dernière, nombre de camarades m’ont interpellé à ce sujet. J’ai toujours répondu qu’il fallait attendre le bon moment et respecter nos statuts. Aujourd’hui, je peux donc confirmer que j’ai accepté d’être candidat à l’élection présidentielle d’octobre 2025.

Cela signifie-t-il que vous avez d’ores et déjà démissionné du gouvernement ?

Non. Ma démission, si elle doit intervenir, sera adressée au président de la République, Paul Biya, qui est le seul habilité à nommer et démettre les membres du gouvernement. Si je décide de quitter mes fonctions, ce sera par une correspondance officielle adressée à qui de droit. Ce qui est certain, c’est que pour mener une campagne efficace, il me faudra m’y consacrer pleinement.

Votre candidature à la présidentielle est-elle uniquement motivée par la pression de la base du parti ? Ou d’autres facteurs sont-ils entrés en jeu ?

Elle découle d’un processus strictement conforme à nos statuts. Depuis 1992, chaque fois que mes camarades m’ont honoré de leur confiance, j’ai répondu à l’appel, dans le respect des procédures internes. Cette fois-ci ne fait pas exception.

De nombreuses voix camerounaises appellent à un rassemblement de l’opposition face au candidat du RDPC. Pourriez-vous y être sensible et participer à une coalition ?

L’UNDP est ouvert à toutes les forces du changement pour une coalition.

Certaines rumeurs évoquent des tensions entre vous et d’autres membres du gouvernement, ainsi qu’avec la présidence. Confirmez-vous ces frictions ?

Personnellement, je n’en ai pas connaissance. Je continue de participer aux réunions du conseil de cabinet, et je n’ai perçu aucun signe de tension particulière au sein de l’exécutif.

Vous avez passé plusieurs décennies au sein du gouvernement. Quel bilan tirez-vous de votre participation à l’action publique ?

Notre participation au gouvernement repose sur un document fondamental : la plateforme d’action gouvernementale. Elle fixe un cadre clair, loin des logiques politiciennes. L’UNDP estime avoir rempli son rôle en contribuant à la démocratie, à la paix, à la concorde nationale et au progrès économique et social. Nous avons œuvré avec loyauté dans l’application des engagements de cette plateforme.

Avez-vous des regrets ?

Plus que de mes regrets, je parlerais plutôt de nos engagements. Avec notre partenaire, nous avons toujours insisté sur la promotion d’une véritable démocratie : la liberté d’expression, le respect du suffrage universel et l’équité dans les résultats électoraux. Ce sont des principes auxquels nous tenons fermement.

Quelle est votre lecture du climat politique actuel au Cameroun ?

De manière générale, le climat politique est serein. Il n’y a pas de guerre civile, même si certains défis sécuritaires subsistent, notamment dans les régions dites anglophones. Mais globalement, les Camerounais peuvent circuler librement, et c’est déjà une grande chance dans le contexte africain.

La question de la succession du chef de l’État revient avec insistance. Comment l’analysez-vous ?

Je souhaite que cette transition se fasse dans la paix. Nous devons éviter les tragédies que certains pays ont connues. L’UNDP s’engagera toujours dans l’éducation citoyenne pour que cette paix, même relative, soit préservée.

Le multipartisme est-il encore vivant au Cameroun ou a-t-il été étouffé ?

Il est vivant. Il y a une pluralité de partis, et leur participation aux consultations électorales le prouve. Le multipartisme se pratique encore, et notre récente réunion du comité central en est une preuve : elle s’est déroulée librement et dans le respect des règles internes.

L’UNDP peut-il survivre sans vous ?

Je l’espère vivement. Ce serait regrettable qu’un parti repose uniquement sur une seule personne. Je fais confiance à mes camarades, notamment aux jeunes, pour continuer à porter les valeurs de l’UNDP : démocratie, progrès et patriotisme. Je suis convaincu qu’ils sauront assurer la relève quand notre génération se retirera.

Si vous deviez adresser un message aux Camerounais, lequel serait-ce ?

Un appel à la paix et à la concorde nationale, avant, pendant et après les élections. L’intérêt du pays doit primer sur toute autre considération. Le patriotisme, pour nous, est un devoir permanent. C’est sur cette base que nous devons continuer à construire l’avenir du Cameroun.

https://www.jeuneafrique.com/1702802/politique/bello-bouba-maigari-lundp-est-ouvert-a-toutes-les-forces-du-changement-pour-une-coalition/

🔴🔴🔴 Ma lettre au Président de la République du Cameroun 🇨🇲Excellence Monsieur Paul Biya, Président de la République du C...
02/07/2025

🔴🔴🔴 Ma lettre au Président de la République du Cameroun 🇨🇲

Excellence Monsieur Paul Biya, Président de la République du Cameroun
Je vous prie d’annoncer le plus tôt possible à la Nation camerounaise que vous n’êtes pas candidat à la prochaine élection présidentielle. Je sais que vous ne l’êtes pas. L’annoncer le plus tôt est l’objet de ma supplique.
Cette décision n’a rien à voir ni avec la Constitution, ni avec la loi électorale, encore moins avec les statuts de votre parti. C’est le fruit du bon sens. Vous n’en pouvez plus et le repos est un droit de l’homme. Donnez aux camerounais qui ont une saine ambition d’insuffler un esprit nouveau dans une patrie nouvelle, l’opportunité de se préparer convenablement à une vraie élection dont le résultat sera accepté par le peuple souverain. Une élection sans violence. C’est un appel et une prière !
Ceux qui depuis le début de cette année sont en campagne pour qu’un énième mandat soit pour vous l’occasion de mourir au pouvoir sont les vrais ennemis du Cameroun. Le moment venu, ils ne pourront se dérober devant l’histoire. Ces éternels renards lorgnant le fromage sur le bec du corbeau le font pour eux-mêmes et non pour vous. Ils ne courtisent pas non plus pour l’écrasante majorité de camerounais qui plie l’échine sous le poids de la misère, de la corruption, des détournements, de l’insalubrité, du tribalisme, du chômage, de l’obscurité, de la sècheresse des robinets, des crimes, des viols, des immondices morales et ménagères, des diplômes sans emploi…Bref, la litanie de nos malheurs n’est pas l’objet de ma lettre.
Au sein de votre formation politique, beaucoup de militants honnêtes savent que vous n’êtes plus l’homme de la situation. Ce n’est pas un désaveu, ce n’est pas une trahison, c’est du pur réalisme. Mais ces disciples par peur des répressions ou par pudeur n’osent pas vous dire stop ! Du moins publiquement, mais en coulisses ils sont dans les jeux. Certains traitres et opportunistes véreux quittent déjà le bateau. Mais quel électeur sérieux peut croire à la conversion d’un traitre ? Judas s’est pendu. Ils vivent eux-mêmes leur pendaison politique.
Que le mandant des grandes opportunités s’achève dans les prochains jours par cette opportunité terminale qui s’offre à vous de ne plus vous représenter. C’est une prière et un vœu. Cette opportunité vous est souverainement possible. Elle me semble providentielle pour le futur proche de notre chère patrie et terre chérie le Cameroun.
Sincères considérations et vœux de retraite dans le bréviaire et le chapelet comme au bon vieux temps, au séminaire, quand vous marchiez sur les pas du sacerdoce. Beaucoup de camerounais seront heureux de vous voir serrer la main du 3e président de la République.

Abbé Etienne Bakaba
Douala, 30 juin2025. A 3 mois de l’élection présidentielle.

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