Échos du Terroir

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🚨🚨 Enseignant Supérieur Grève dans toutes les institutions universitaires d'état à partir du 20 octobre au 26.Suite à ce...
20/10/2025

🚨🚨 Enseignant Supérieur

Grève dans toutes les institutions universitaires d'état à partir du 20 octobre au 26.
Suite à certains manquements jugés inacceptable à l'égard de la fonction des enseignants.
RAPPEL qu'une
Grève Générale et illimitée du 20 au 26 Octobre 2025 dans les universités d'État. Cependant, 👉Pas de cours
👉 pas de soutenances
👉 Pas de jurys
👉 pas de réunion institutionnelle
Mobilisation totale
Lire la suite des manquements en lisant le communiqué du Synes ci dessous.
A BITAMBO

🛑🛑🛑Présidentielle 2025 : Cabral Libii retire ses recours déposés au Conseil constitutionnelYaoundé, 17 octobre 2025 — Da...
17/10/2025

🛑🛑🛑Présidentielle 2025 : Cabral Libii retire ses recours déposés au Conseil constitutionnel

Yaoundé, 17 octobre 2025 — Dans un courrier officiel adressé au Président du Conseil constitutionnel, le candidat à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025, l’Honorable Cabral Libii Li Ngue Ngue, a annoncé son désistement des deux requêtes en annulation partielle des opérations électorales qu’il avait précédemment introduites.

Selon la correspondance, le Conseil constitutionnel avait reçu deux requêtes datées du 14 octobre et enregistrées le 15 octobre 2025. L’une avait été déposée par les conseils de Cabral Libii, et l’autre par le candidat lui-même. Ces recours contestaient certains aspects du déroulement de l’élection présidentielle sur l’ensemble du territoire national.

Mais dans son courrier signé et estampillé du sceau du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), Cabral Libii indique clairement qu’il se désiste de ces deux requêtes et prie le Conseil constitutionnel d’en prendre acte.

Ce geste marque un tournant majeur dans la suite du processus post-électoral. En se retirant de la procédure, le président du PCRN semble vouloir apaiser le climat politique et éviter toute escalade de tension autour des résultats du scrutin.

La décision, formulée en termes courtois et institutionnels, se conclut par une marque de respect à l’endroit du Conseil constitutionnel, à qui Cabral Libii adresse ses salutations distinguées.

Source : Correspondance officielle du PCRN en date du 17 octobre 2025

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🔴🔴🔴 Dernière minute Le message du président du FNSC Issa TCHIROMA Bakary à l'endroit de notre armée.APPEL A LA RESPONSAB...
17/10/2025

🔴🔴🔴 Dernière minute
Le message du président du FNSC Issa TCHIROMA Bakary à l'endroit de notre armée.

APPEL A LA RESPONSABILITE DE NOS FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE

A nos vaillants soldats,
Chers fils et filles de notre Nation,

Notre peuple, véritable melting pot de corps de métiers, recèle en son sein, un corps d’élite, celui des hommes et femmes en tenue et dont la spécificité est d’être prêt à tout sacrifier pour servir la République et ses Institutions.

Ils ne sont pas au service d’un Clan, d’une Caste ou d’un Ordre mystique quelconque. Avec équanimité Ils sont au service de tout le peuple ; et parce que vivant au sein de ce peuple, lui aussi vit dans sa chair, la souffrance, la pauvreté, qui conduit à la misère.

Toutes les frustrations et tous les dénis de droit, qui ont fini par placer les Camerounais, le dos au mur. Et c’est d’une seule voix que l’immense majorité de notre peuple, manifeste son désarroi, son désespoir et réclame à cor et à crie changement.

Ce peuple baroudeur, audacieux, conquérant, ne saurait s’accommoder, après tant de souffrances et de sacrifices, et parce que les mêmes causes produisent les mêmes effets, de ce qu’on leur dise que le peuple camerounais a renouvelé sa confiance à celui qu’il estime être la cause de tous leurs malheurs.

Et pour parvenir à cet objectif funeste irréaliste, incompréhensible et inacceptable et parce qu’à l’occasion de cette élection, le peuple a massivement jeté son dévolu sur son candidat de choix, une telle décision provoquerait, un désarroi et un désespoir au sein de toute la nation, et Dieu seul sait quelles en seront les conséquences.

Puisque sa mise en œuvre nécessitera l’implication des hommes en tenue, on leur demandera alors de violenter le peuple, de retourner leurs armes contre leur propre peuple.
C’est au terme de cette réflexion que je partage avec toute la Nation que j’ai décidé de m’adresser à nos forces de défense.

En ce moment crucial de notre histoire, notre Nation traverse une épreuve décisive. Le monde nous observe. Il vous observe.
Notre peuple, dans la paix et la maturité, s’est rendu massivement aux urnes le 12 octobre dernier pour exprimer sa volonté souveraine. Ce peuple courageux a voté avec l’espoir que sa voix compte, que sa volonté soit respectée, que la vérité des urnes triomphe.

Mais malheureusement depuis quelques jours, des manœuvres contraires à la vérité du scrutin cherchent par tous les moyens à détourner ce choix clair, plongeant notre cher et beau pays dans l’incertitude.

Chacun voit, chacun entend, chacun sait. Des preuves accablantes de fraudes massives circulent. Le peuple, témoin de ces injustices, descend dans les rues ici et là, non pour détruire, mais pour défendre sa dignité. Il réclame simplement la vérité, la vérité de son choix, la vérité de son avenir.

C’est dans ce contexte que je m’adresse à vous, forces de défense et de sécurité du Cameroun, piliers de notre République.

Vous êtes les gardiens de la Nation, les protecteurs de la patrie, les boucliers du peuple. Vous n’êtes pas les instruments d’un homme ni d’un régime. Vous êtes au service d’un seul maître : le peuple souverain. Vous avez prêté serment à la Constitution et non à une photo ou encore à des ordres venus d’un entourage invisible.

Je vous appelle aujourd’hui à la grandeur et à la responsabilité.

Ne prêtez pas vos armes à l’injustice. Ne laissez pas le sang de vos frères, de vos sœurs, de vos parents couler pour défendre le mensonge, pour défendre un régime installé depuis 43 ans s’éternise.

Un régime qui vous méprise et vous appauvri.
Protégez les populations, refusez les ordres injustes qui vous demanderaient de tirer sur vos compatriotes ! L’histoire retient toujours ceux qui, au moment du choix, ont su rester du coté de la vérité et de la justice.

Sachez que nul ne pourra se cacher derrière un ordre illégal pour justifier des violences contre des innocents, la responsabilité personnelle de chacun est engagée devant la loi, la Nation et surtout devant Dieu. Ceux qui vous donneraient des ordres contraires à la loi et à la conscience ne porteront pas votre responsabilité : elle sera individuelle, personnelle et historique.

Je sais votre sens du devoir. Je connais votre amour pour la patrie.
Et je vous le dis, avec respect et confiance : l’armée de notre Nation n’est pas une armée de répression, mais une armée républicaine. Elle doit se tenir du côté de la vérité, du côté du peuple, du côté de la paix.

Le moment est venu de prouver que l’armée du Cameroun est républicaine, digne et patriote.
Le peuple n’attend pas de vous la force, il attend de vous la protection.

Il n’attend pas la peur, il attend la justice.
Il n’attend pas la division, il attend l’honneur.
Aidez-le à rétablir pacifiquement la vérité.
L’heure est venue de montrer au monde que notre armée appartient à la République et non à un clan.
Que nos soldats sont les fils du peuple, et qu’ils ne tourneront jamais leurs armes contre leurs propres frères, sœurs, parents ou enfants.

Je vous invite à rester dignes, à rester professionnels, et à rester du bon côté de l’Histoire.

Le peuple a parlé dans les urnes le 12 Octobre dernier. Son choix doit être respecté.
Et rien, ni la peur, ni la manipulation, ne pourra arrêter la manifestation de cette vérité.

Que Dieu bénisse notre armée,
Que Dieu bénisse notre peuple,
Et que Dieu bénisse le Cameroun.

Issa Tchiroma Bakary

🟣🟣🟣 Breaking News Le Bâtonnier Yondo Black Madengué a entamé ce matin la traversée vers les ancêtresRIP grand Combattant...
16/10/2025

🟣🟣🟣 Breaking News
Le Bâtonnier Yondo Black Madengué a entamé ce matin la traversée vers les ancêtres
RIP grand Combattant.

Lettre ouverte au premier ministre pour dénoncer la militarisation de Garoua par le MINAT et le le SED Cher Monsieur le ...
14/10/2025

Lettre ouverte au premier ministre pour dénoncer la militarisation de Garoua par le MINAT et le le SED

Cher Monsieur le Premier Ministre,

C'est avec une indignation sans bornes et le sens de l'urgence que je vous écris, en tant que citoyen camerounais préoccupé par la dérive autoritaire et potentiellement explosive qui s'installe à Garoua, sous les auspices du Ministre de l'Administration Territoriale (MINAT) et du Chef de la Gendarmerie.

Laissez-moi être clair, Monsieur le Premier Ministre, avec la franchise brutale que les circonstances exigent, une franchise qui ne s'embarrasse pas des fioritures de la diplomatie. La militarisation actuelle de Garoua n'est pas un acte de maintien de l'ordre; c'est un acte de provocation politique irresponsable, une démonstration de force dont le seul effet sera d'intimider, d'exaspérer et, à terme, de déstabiliser une région déjà fragile.

Le cynisme de la situation est d'autant plus insupportable que l'on reconnaît la signature d'un homme dont l'historique devrait nous servir de mise en garde macabre. Souvenez-vous, Monsieur le Premier Ministre, et faites appel à votre mémoire historique pour ne pas condamner le Nord à revivre l'horreur du Nord-Ouest et du Sud-Ouest (NOSO).

Ce même MINAT, par son arrogance, son mépris des sensibilités locales et son geste de défi malheureux à Bamenda – ce fut un déploiement de force brutal et prématuré, un refus obstiné de la conciliation au profit de la répression aveugle – a été l'un des catalyseurs, un détonateur tragique, de la guerre désastreuse qui ravage aujourd'hui le NOSO. Des milliers de morts, des centaines de milliers de déplacés, une économie anéantie... Telle est l'œuvre à laquelle a contribué cette politique du "bras de fer" qu'il réitère aujourd'hui.

Est-ce donc le destin que le Gouvernement réserve à Garoua ? Un bis repetita sanglant ? L'histoire, Monsieur le Premier Ministre, ne se contente pas de bégayer ; parfois, elle crie vengeance. Et si rien n'est fait, Garoua sera son prochain théâtre.

Nous sommes face à une faute politique lourde, qui remplace le dialogue par le canon, la médiation par le képi. Le Chef de la Gendarmerie, en se faisant l'exécutant zélé de cette stratégie de la tension, se rend complice d'une menace à la paix civile.

Monsieur le Premier Ministre, l'heure n'est pas à la tergiversation. Désarmez Garoua ! Rappelez immédiatement les troupes inutiles et provocatrices. Mettez fin à cette politique de la canonnière qui n'a fait qu'engendrer la terreur et la rébellion ailleurs.

Votre silence, votre inaction, ou pire, votre validation tacite de cette dérive, feront de vous, non pas le garant de l'unité nationale, mais le comptable de la prochaine tragédie. Ne laissez pas un seul homme récidiver dans l'erreur qui a coûté tant de sang à la Nation.

La justice et la paix ne s'obtiennent pas par l'intimidation, mais par le respect et la loi. Le temps presse.

Dans l'attente d'une intervention rapide et décisive de votre part, je vous prie d'agréer, Monsieur le Premier Ministre, l'expression de ma très haute exigence de responsabilité.

Sincèrement et sans complaisance,

Mamadou Mota

⚫⚫⚫𝐋𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬  𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐀𝐡𝐢𝐝𝐣𝐨 !Que les soutiens de Biya s’apprêtent à pleurer! Samuel Eboua , SGPR raconte ...
14/10/2025

⚫⚫⚫𝐋𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐀𝐡𝐢𝐝𝐣𝐨 !

Que les soutiens de Biya s’apprêtent à pleurer!

Samuel Eboua , SGPR raconte cela dans son livre « une décennie avec le Président Ahidjo »

« Il est bientôt 18h30. Certains membres du Comité Central, foudroyés par ce qu'ils viennent d'apprendre, sortent de la salle en pleurant.

Mme Keutcha, secouée par des sanglots, est soutenue par un collègue. Pendant ce temps, d'autres membres du Comité Central discutent dans la salle.

C'est alors que nous apprenons que plusieurs membres du Comité Central du parti ont pleuré, lorsque le Président a déclaré qu'il cessera ses fonctions le samedi 6 novembre à 10h. Sa déclaration n'a pas pris plus de deux minutes. Il a aussitôt regagné son bureau.

Les membres présents du Comité Central décident alors de dépêcher auprès de lui une délégation ayant pour mission de le prier de revenir sur sa décision,et de rester à la tête du Parti, de l'Etat, et du Gouvernement.

Le Ministre Charles-Joseph Doumba me dira par la suite que la délégation était conduite par le Premier ministre, et qu'Assalè en était le porte-parole. Doumba, ira lui-même annoncer l'arrivée de cette délégation. Celle-ci ne réussit pas à faire revenir Ahidjo sur sa décision.
[…]

- Mesdames, Messieurs, je vous ai appelés pour vous dire que je démissionne de mes fonctions de Président de la République. Cette décision prend effet à compter du Samedi 6 Novembre 1982 à 10 heures. Je remercie chacune et chacun de vous du concours qu'il m'a apporté, dans le secteur qui était le rous du concours qu'il m'a apporté, dans le secteur qui était le sien.

Plusieurs membres du Gouvernement éclatent en sanglots. Certains d'entre eux, membres du Comité Central du Parti avaient déja pleuré une demi-heure avant. Spectacle insupportable. Le Président se lève et regagne son bureau.

Désemparés, les membres du Gouvernement sortent, les uns après les autres, tel un troupeau désormais sans berger. Ils se retrouvent dans le hall du Palais. Certains proposent qu'une délégation aille prier Ahidjo de revenir sur sa décision. Sadou et moi-même les dissuadons de former une telle délégation dont la démarche n'aboutira à rien.

Je regagne mon bureau pendant que les joumalistes convoqués pour enregistrer la déclaration annonçant la démission d'Ahidjo à diffuser à 20h, arrivent au Palais et commencent à installer leurs appareils.
[…]

A cet instant précis, le peuple camerounais foudroyé par cette nouvelle qu'il n'attendait pas, est médusé, pétrifié. Il croit rêver.

"Le temps semble avoir suspendu son vol". Dans les grandes villes, telles que Yaoundé et Douala, les rues sont désertes. Les bars sont fermés. Chacun s'est enfermé chez soi.

Beaucoup de gens pleurent. Quelqu'un affirme avoir cassé son poste radio. Un autre raconte qu'il se trouvait dans son véhicule à l'heure des informations. Son chauffeur, en écoutant la nouvelle, a failli sécraser sur un arbre. "Patron, me dit-il, il est mort, le Président. Le Président est mort. Il ne peut s'agir que d'un message enregistré avant sa mort...."
D'autres enfin ont pensé à un coup d'Etat, et donc que la déclaration se faisait sous la contrainte des militaires.
Ce soir-là, je ne lui ai monté aucun dossier.

[…]

Ayant appris qu'il quitte la Capitale dès cet après-midi, je veux connaître l'heure de son départ afin d'aller le saluer à l'aéroport. Il me répond qu'il décolle à 15h et ajoute :

- Je ne veux voir personne à l'aéroport, excepté le nouveau Président de la République, le Premier vice-président de l'Assemblée Nationale, en l'absence du Président Muna; vous-même et vos adjoints, le Directeur du Cabinet Civil et des deux ministres Chargés de Mission à la Présidence de la République.

Je pars pour Garoua, me dit-il, où seuls Ousmane Mey et le Maire Bako seront à l'aéroport pour m'accueillir.
Dès le lendemain, il s'envolerait pour Nice.
[…]

A l'Assemblée Nationale où le nouveau Président doit prêter
serment , je m'entretiens avec le Ministre d'Etat chargé de radministration Territoriale, Ayissi Modo.

Il a appris, me dit-il, que le Président Ahidjo qui quitte la capitale en début d'après-midi, ne veut voir personne à l'aéroport pour lui dire au revoir.

- Ce n'est pas possible, me dit-il. Nous allons faire un communiqué pour que la population s'amasse le long du parcours, à l'heure de son passage, ainsi qu'à l'aéroport. Il ne peut tout de même pas partir comme ça !

J'apprendrai par la suite que le Président Ahidjo a fini par déder aux pressions, et a donné son accord pour que la population de la capitale soit informée de son départ.

Je me rends à l'aéroport 114h15, lui-même devant s'y trouver à 14h30 pour le décollage fixé à 15h. Entre-temps, un communiqué est passé à la radio invitant la population à s'amasser le long de l'itinéraire et à l'aéroport pour lui dire au revoir.

Malgré l'heure tardive de ce communiqué, une foule considérable s'est retrouvée le long de son parcours. A l’aéroport, elle est en tout cas compacte.

L'avion à bord duquel le Président Ahidjo doit s'envoler à destination de sa province natale , sest immobilisé à une vingtaine de mètres du perron du salon d’honneur.

Une foule innombrable, s'est massée de part et d’autre du passage menant à l'avion. Dès que le Président Ahidjo arrive , et se dirige vens le salon d'honneur, c'est un spectacle inoubliable , triste et insupportable qui a lieu : des mains sont tendues vers lui, comme pour le supplier de rester; des sanglots éclatent ici et là, des larmes que les gens les plus expérimentés et les plus sérieux n'arrivent plus à contenir....

Et, lorsqu'il quitte le salon et se dirige vers l'avion, la foule envahit son passage, comme pour l'empêcher de s'en aller. Il aura fallu les solides épaules des "gorilles" pour lui frayer un passage.

Et, lorsque, du haut de la passerelle, il se tourne vers la foule pour la saluer, tous ces bras de gens en pleurs, tendus vers le ciel, portent l'émotion à son comble.

Peu de temps après, l'avion, revenant du bout de la piste, décolle à la hauteur de la foule, orpheline, qui se retire des lieux comme lors d'un enterrement.. »

La terre est sale ! Si è ne mvit ! Ngo Bagdeu !

Arol KETCH -
Rat des archives

10/10/2025

⚫⚫⚫ Sonara
Le premier ministre en tournée

🟣🟣🟣Agenda politikAprès Paul Biya, Issa TCHIROMA dans les aires de la compagnie Nationale Camairco pour l'Extrême-Nord. A...
08/10/2025

🟣🟣🟣Agenda politik

Après Paul Biya, Issa TCHIROMA dans les aires de la compagnie Nationale Camairco pour l'Extrême-Nord. Au programme :

👉 Meeting à Mokolo mercredi 8 octobre dans la matinée

👉Rencontre citoyenne à Mora le même mercredi après-midi

👉 GIGA- MÉGA-TÉTRA -SUPRA-Android-IA MEETING JEUDI 9 OCTOBRE À MAROUA

🟢🟢🟢 Dernière minute Le président de la république annoncé dans la région de l'extrême nord mardi 07 Octobre.À Quatre jou...
06/10/2025

🟢🟢🟢 Dernière minute
Le président de la république annoncé dans la région de l'extrême nord mardi 07 Octobre.
À Quatre jours de la fin de la campagne le candidat du RDPC et candidat à sa propre succession fera un meeting au stade Lamido Yaya Dahirou.
C'est la teneur du communiqué du préfet du département du Diamaré dont nous avons reçu copie.
Lire 👇👇👇

🟣🟣🟣 Opinion TCHIROMA DONNE UNE LEÇON DE SCIENCE POLITIQUE A NOS POLITICIENS Je ne cesse de rappeler que ce candidat a ét...
06/10/2025

🟣🟣🟣 Opinion
TCHIROMA DONNE UNE LEÇON DE SCIENCE POLITIQUE A NOS POLITICIENS

Je ne cesse de rappeler que ce candidat a été mon pire adversaire pendant plus de 35 années: je l'ai provoqué avec des mots d'une violence inouï pendant toute cette période et pourtant, j'ai été le premier ici dans nos échanges à demander de voter soit pour lui, soit pour Bello.

UNE ÉTONNANTE "MASTER CLASS"

Je ne vais pas rappeler mes arguments ici car ce serait superfetatoires. De mon point de vue, sa campagne dépasse mes espoirs les plus fous et je me l'explique de cette manière :

1- C'est un homme affable, notoirement sympathique;

2- Il sait avoir des gestes de complicité lorsqu'il rencontre les gens;

3- Il sait prononcer les paroles que son auditoire veut entendre;

4- Il sait se montrer modeste en demandant des excuses au sujet de ses fautes passées;

5- Son ton doux est "ferme" et cache mal une détermination sans faille;

6- Son discours ne heurte aucune communauté;

7- Il sait prendre RAPIDEMENT les décisions fermes lorsqu'il le faut.

La manière avec laquelle il a viré sa Secrétaire Générale qui s'attaquait aux bamileké est sur ce point, exemplaire.

Dans les mêmes conditions, son principal adversaire a eu la main qui tremble.

C est ce manque de réaction de ce type qui a plombé les 43 années de règne de Paul Biya...

On doit enseigner cet art dans toutes les écoles de sciences politiques. Bien sûr que le candidat Tchiroma a bénéficié de circonstances favorables; mais tous les autres candidats aussi.

Cela nous change de candidats qui, avec une morne hautaine, s'attaquent à une communauté présente sur tout le territoire national; qui prétendent qu'ils ne soutiendront ou ne "coaliseront" jamais avec des anciens ministres de Paul Biya.

Ce sont des gamins excités et non des politiciens.

Benjamin Zébazé
Ndi Nkeum Motissong

Adresse

Douala

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