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EXTRÊME-NORD: QUAND L'ELITE SE REGARDE DANS LES YEUX.un député de l’Extrême-Nord crache ses vérités, le président Cavaye...
03/07/2025

EXTRÊME-NORD: QUAND L'ELITE SE REGARDE DANS LES YEUX.
un député de l’Extrême-Nord crache ses vérités, le président Cavaye Yeguie éternue des promesses
Dans un pays où les vérités sont souvent enterrées sous les tap*s rouges du protocole, certains, parfois, décident de balancer la nappe avec la table. C’est ce qu’a fait le député HAmadou Sali — oui, celui du Bogo, lors d’un séminaire très sérieux de l’élite septentrionale, présidé par le vénérable et inamovible Cavayé Yeguié, président de l’Assemblée nationale depuis des décennies sur le tam-tam parlementaire.
Extrait non censuré mais bien senti :
« Monsieur le Président. Il faut qu'on soit réaliste dans l'Extrême- Nord. Et le président l’ a dit, la nature nous a tout donné. Si nous-mêmes nous ne savons pas utiliser ce que nous avons,alors sommes responsables. »
Il continue, visiblement décidé à craché en toute véracité:
« On dit que six pour cent des élèves de l'extrême nord sont scolarisés. Or depuis plus de 20 ans, nous avons le ministère de l'éducation de base. De Madame Haman ,en passant par Madame Youssouf. En passant par Mounouna. En passant par Bayongla.Tout ce monde là est passé dans l'éducation. Mais jusqu'à présent, nos enfants fréquentent, assis à même le sol. »
Puis il tape sec là où ça fait mal :
« Tous nos frères ici présents préfèrent nommer les betis, nommer les anglophones. Pour faire plaisir au Premier ministre. Monsieur le Président tous les projets vont là-bas. Monsieur le Président tous les projets vont là-bas. Nous sommes les députés. Nous regardons ce qu'on vote à l'Assemblée. Comment vous pouvez faire les projets, puis les envoyer tous au sud Cameroun ? Est-ce que les betis ont besoin de nous pour développer leurs écoles? «
Il ne s’arrête pas là, le député du Bogo :
« Monsieur le Président, le ministère de l'aménagement du territoire. où tous les projets sont inscrits, est depuis plus de 20 ans entre les mains des ressortissants du Grand Nord. De mon grand frère Seyni Katchalla en passant par Yaouba et aujourd’hui Alamine Mey. Vous voulez que qui viennent nous aider? Je suggère monsieur le Président qu'après ce séminaire, ce soit un séminaire entre les membres du gouvernement et nous-mêmes ; Pour que nous puissions regarder qu'est-ce que nous aussi nous pouvons faire. »
Et enfin, la cerise sur le couscous :
« Il y a plus de 7000 morts dans le cas de Boko Haram. Il a fallu que vous-même vous interveniez-On vous a d'ailleurs accusé d'être entré dans les affaires de l'exécutif. Parce qu'un membre du gouvernement s'est permis de dire quand même. que c'est l'élite du Grand Nord qui est Boko Haram et qui fait tout ça pour venir prendre le pouvoir à Yaoundé. Aujourd'hui Il y a 2000 morts dans le Nord-Ouest. Vous nous demandez de cotiser? »
Et là, le président de l’Assemblée nationale, sort de sa capsule lunaire pour répondre, très ému (ou semi endormi ?) :
« Le président Paul Biya sera informé. Je vais sensibiliser les ministres. Mais vous savez, dans le septentrion, on fabrique trop d’enfants. Moi-même, chez moi, il y en a un qui arrive pour dire : “On m’a chassé de l’école.” Pourquoi ? Parce que le père n’a pas payé les frais. Et pourquoi ? Parce qu’on est 42 sous le même toit ! »
Bref, pendant que certains comptent les morts, d'autres comptent les enfants, les promesses, et les années au pouvoir. Mais comme dirait l’autre : quand les élites se réunissent pour réfléchir, souvent c’est le peuple qui attrape mal à la tête.

BERTOUA:CHRONIQUE D'UNE ILLUSION CONJUGALE. À Bertoua, la chronique d’un cœur lavé à froid et essoré à secDans les rues ...
03/07/2025

BERTOUA:CHRONIQUE D'UNE ILLUSION CONJUGALE.
À Bertoua, la chronique d’un cœur lavé à froid et essoré à sec
Dans les rues poussiéreuses de Bertoua, où l'amour cohabite souvent avec les illusions locatives, une certaine Rose Laeticia A., jeune femme au cœur aussi vaste que son panier à linge, partage son feuilleton sentimental : une double peine amoureuse, avec en prime, canapé en guise de lit et string étranger dans le décor.
Tout commence il y a deux ans. Rose entame une liaison post-baccalauréat avec son ancien prof d’économie, le dénommé sieur Ngoue. Très vite, la relation sort du cadre scolaire pour entrer en colocation sentimentale. Ils vivent ensemble. Les voisins les prennent pour des époux. Et pour cause : monsieur ferme soigneusement le tiroir de sa vraie vie conjugale, celle qui se passe à Yaoundé, avec épouse officielle et marmaille universitaire.
Rose, elle, joue l’épouse par intérim. Elle rêve même de promotion en CDI conjugal, d’autant que Ngoue s’affiche comme polygame « autorisé par la loi et les ancêtres ». Et tant p*s si l’homme a la réputation d’un bourdon frénétique, butinant sans relâche entre les classes. Pour elle, ce ne sont que ragots de jaloux. Et faute de preuves concrètes, elle préfère ne pas peindre le diable sur les murs du studio. Elle l'attendra donc… avec amour, riz chaud et télécommande partagée.
Mais voilà que le diable, qu'elle n’a pas peint, s’invite en personne. Un beau jour, Rose rentre du lycée et découvre une nouvelle pensionnaire dans le décor : Kareen Abada. Selon Ngoue, c’est la "sœur de sa femme", fraîchement arrivée de Yaoundé pour réviser son probatoire G1. Une faveur familiale, dit-il, imposée par son épouse qu’il n’a pas voulu contrarier — stratégie habile de l’homme qui veut faire passer une gr***de pour une orange douce.
Rose, déjà confuse, accepte sans rechigner que Kareen dorme… dans le lit conjugal. Elle, reléguée au canapé. Un mois à patienter que l’examen passe et que l’intruse reparte. Espoir vain.
Très vite, la "belle-sœur" adopte un style vestimentaire minimaliste : chemise de Ngoue sur string militaire, et virées nocturnes au salon, bouteille d’eau à la main, regard de défi en bonus. Rose commence à douter. Est-ce vraiment une belle-sœur ou juste une autre élève dans l’amphithéâtre horizontal de Ngoue ?
Puis vint la nuit de toutes les certitudes. Un cri, suivi de gémissements rythmés, réveillent Rose. Intriguée (et écœurée), elle force la porte et tombe nez à nez avec un duo en pleine gymnastique horizontale, position : crabe renversé. Révélation brutale : Kareen n’est pas en période de révisions… elle est en pleine fécondation. La preuve ? Une grossesse confirmée dans les cris post-coït.
Rose tente l’ultime scandale, exige une explication, revendique son rang. Mais monsieur continue de distribuer son amour façon polycopié : sans entête, sans date, et surtout, sans exclusivité. Devant tant d’insolence, Rose songe à prévenir la vraie épouse. Mais ne connaît ni son nom, ni son numéro. Juste son ombre.
Ultime humiliation : virée à 1h du matin. Le prof devenu profiteur l’expulse, valise dans une main, dignité dans l’autre. Depuis, elle loge chez une camarade, tente de recoller les morceaux de son amour-propre et de reconstruire un moral passé à la centrifugeuse.
Moralité ? À Bertoua, comme ailleurs, partager un lit ne garantit pas une place dans le cœur. Et si vivre à deux n’est pas toujours vivre ensemble, dormir seule sur un canapé pendant que d’autres jouissent dans vos draps, c’est clairement le début de la fin.

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03/07/2025

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02/07/2025

VACANCES: LES PROS CAMEROUNAIS DANS LES CHAMPS DE PATATES.
"Les rois de l'Europe sur tap*s rouge... latérite"

Ah, le retour des princes du ballon rond au bercail ! On croirait voir un cortège diplomatique version poto-poto : tibias hors de prix, shorts froissés et sourire Colgate sur terrain sablonneux. Oui, Mesdames et Messieurs, c’est bien la saison annuelle du “2-0 Challenge” made in Yaoundé – ce rituel sacré où Onana, Zambo et Hongla viennent honorer la tradition du crampon fauché dans la boue.

📸 Les réseaux en raffolent. Des photos en rafale, posées comme dans un édito GQ... sauf qu’ici, le seul gazon en vue, c’est celui de la case d’à côté. Pendant que les millions pleuvent sur leurs contrats en Europe, leur terrain d’enfance lui, sèche au soleil et se fissure comme la promesse d’un terrain synthétique qu’on ne verra jamais.

Et le décor est digne d’un téléfilm burlesque : entorse en direct, mollet coincé dans une crevasse, ballon fuyant vers la mangue voisine... Le tout dans un stade officieux baptisé “champ de patates”, où l’ennemi n’est pas l’adversaire mais la texture du sol.

Mais bon, pourquoi investir quelques malheureux millions dans une pelouse sécurisée ? Ce serait trop... collectif, voyons ! Et puis, c’est bien connu : chez nous, on préfère “donner un million à la veillée” que creuser un terrain pour des vivants.

Alors peut-être qu’un jour, quand l’un d’eux reviendra en fauteuil roulant à cause d’un contrôle raté sur une pierre mal placée, on envisagera de lisser un peu la terre. En attendant, vive le folklore : nos cracks foulent des tranchées en toute insouciance, avec des crampons Dior sur latérite deluxe. Gloire et poussière.

Et comme dirait un fan au bord du terrain : “Au moins, ici, quand ils tombent, c’est sur leurs racines.” 🌱

LE RDPC EN MODE SEREIN-FRISSONS. APRÈS LES DÉMISSIONS, PLACE AU DENI ORCHESTRÉCe dimanche, dans les studios télé du roya...
02/07/2025

LE RDPC EN MODE SEREIN-FRISSONS.
APRÈS LES DÉMISSIONS, PLACE AU DENI ORCHESTRÉ
Ce dimanche, dans les studios télé du royaume, les communicants du RDPC avaient reçu mot d’ordre : sourire crispé obligatoire et surtout, éviter toute mine d’enterrement. Objectif : faire passer l’hémorragie politique venue du Grand Nord pour une légère grippe saisonnière.
Certains, la main sur le cœur et les yeux dans le vide, ont qualifié l’affaire de « petite tempête septentrionale » — genre bourrasque qui décoiffe sans abattre le totem. Les plus courtois, visiblement pris d’un élan de lucidité rare, ont osé envoyer des fleurs à l’UNDP pour son conclave réussi. Oui, même au RDPC, la panique peut parfois prendre des airs de politesse protocolaire.
Mais derrière les sourires figés, c’est la grande lessive. Depuis 2018, des rapports poussiéreux s’empilent sur le bureau de Jean Nkuete : ils alertent sur un Grand Nord qui décroche électoralement et débranche le câble de fidélité au RDPC. Les populations ? Elles auraient décidé, dès 2018, de ne plus voter Biya. Réponse du sommet ? Silence radio, promesses creuses et... pas même un rond-point construit depuis.
Et pourtant, malgré les gifles successives de Bello et Tchiroma, le sommet du RDPC s’accroche à son matelas de suffisance, persuadé que l’histoire — cette vieille rengaine depuis 1992 — finira encore par les sauver. Après tout, « Biya a déjà battu Bello une fois », murmurent-ils entre deux tasses de nostalgie. Comme pour dire : jamais deux sans... – terminez vous-mêmes, mais sans trop d’illusions.

GRAND NORD: TOUT EST PARDONNÉ  AUX DÉMISSIONNAIRES.Ce n’est ni l’esprit de Sankara, ni une soudaine montée de fièvre rév...
30/06/2025

GRAND NORD: TOUT EST PARDONNÉ AUX DÉMISSIONNAIRES.
Ce n’est ni l’esprit de Sankara, ni une soudaine montée de fièvre révolutionnaire qui a poussé Tchiroma et Bello Bouba à larguer les amarres avec le régime. Non, rien d’aussi noble. Le véritable moteur de cette rupture historique vient d’un souffle populaire, celui du mouvement « 10 millions de Nordistes » mené tambour battant par Guibai Gatama. Le message était clair : au Grand Nord, on ne veut plus entendre parler d’alliances en carton, encore moins de strapontins au banquet du pouvoir.
Il y a un mois, Tchiroma, ancien ministre a eu idée de retourner dans son fief électoral. Acculé, il dégaine :« J’ai compris votre souffrance. Je vais revenir dans deux jours pour combattre à vos côtés. »
Même scénario chez Bello Bouba : pression populaire, ultimatum : « Tu quittes l’alliance ou nous prenons la porte! » Résultat : exit le soutien du régime, entrée fracassante dans le camp du peuple — version 2025.Aujourd’hui, le double divorce est consommé. Et miracle : au Grand Nord, c’est presque un jour férié. Ceux qu’on vouait hier aux gémonies sont désormais portés en triomphe. Oubliée la longue lune de miel avec un pouvoir qui, trois décennies durant, a recyclé promesses d’alliance.« Mieux vaut t**d que jamais », dit-on dans les couloirs. « C’est la preuve de leur patience ! » Oui, celle de saints muets .Et cette reconversion express leur a taillé un tout nouveau gandoura. Celui de grands leaders à l’écoute de leur base. Comme quoi dans la politique made in Cameroun, le pardon est une affaire de timing. Trente ans d’errements peuvent être effacés d’un revers de langue bien tournée .

LES "ÉLUS" DU MRC FONT TOUSSER LE RDPC. MRC : “Nous aussi, on a des élus. Prière de ne plus tousser.”C’est à Yaoundé, ce...
29/06/2025

LES "ÉLUS" DU MRC FONT TOUSSER LE RDPC.
MRC : “Nous aussi, on a des élus. Prière de ne plus tousser.”
C’est à Yaoundé, ce jeudi, que le MRC a décidé de sortir ses trophées électoraux du placard — huit conseillers et deux députés suppléants, exposés comme de précieux artefacts politiques. Une présentation sobre, mais bien chargée en sous-texte : « Oui, nous avons des élus. Oui, ils sont à nous. Et non, on ne les a pas achetés au marché de Mokolo. »
Objectif de cette sortie ? Faire taire une rumeur aussi tenace qu’un moustique en saison sèche : celle selon laquelle le MRC ne savait que boycotter, critiquer, mais jamais conquérir. Bref, il fallait montrer patte électorale blanche.
Mais comme on pouvait s’y attendre, au Comité central du RDPC, c’est branle-bas de combat intellectuel. Plusieurs barons (en cravate mais sans calmant) se sont étranglés sur un même point : “Ils les ont eus quand ? Où ? Dans quelle urne ? Sur quelle planète ?” Certains, pris d’une crise existentielle, ressortent même des archives : “N’étaient-ce pas eux qui nous traitaient de figurants électoraux pendant qu’ils faisaient la sieste révolutionnaire ?”
Eh bien, surprise. Les voilà désormais en mode archéologues de mandats, fouillant la moindre faille institutionnelle pour justifier leurs nominations. Et pendant que ça chipote sur la couleur du bulletin ou la taille de l’isoloir, le MRC sourit en coin, comme un élève mal noté qui se retrouve soudain à la tête du club de maths.
Reste désormais à savoir si le Conseil constitutionnel, éternel arbitre des règlements de comptes politiques, validera ces trophées ou les classera dans la rubrique “éléments fictifs à forte teneur symbolique”.
Mais une chose est sûre : le MRC ne s’excuse plus de jouer dans la cour des élus. Il y déballe ses cartes. Même si certains jurent qu’il ne s’agit que de mirages...

KRIBI: AMOUR MYSTIQUE AU BORD DE L'OCEAN.À Kribi, la vie quotidienne flirte parfois avec le paranormal.Marina Grâce Dibo...
28/06/2025

KRIBI: AMOUR MYSTIQUE AU BORD DE L'OCEAN.
À Kribi, la vie quotidienne flirte parfois avec le paranormal.
Marina Grâce Diboue, femme ambitieuse, avançait prudemment dans l’existence. Elle évitait les nouvelles relations amoureuses, tant les déceptions passées avaient laissé des cicatrices. Jusqu’au jour où un certain Seydou Magadji, sexagénaire accompli et homme d’affaires prospère, fit irruption dans sa vie.
Il entra par la petite porte – sa fiche client – et s’imposa peu à peu en partenaire de ses activités touristiques. Grâce à ses contacts et ses appuis, il l’aidait à booster ses circuits avec les tours opérateurs de la ville. Au début, leurs échanges n’avaient rien de scandaleux : bavardages hors cadre, virées au restaurant, conseils intimes échangés t**d dans la nuit... Rien qu’un duo professionnel bien huilé.
Mais après un an, l’amitié devint flirt, puis flirt devint passion. L’homme, domicilié en Belgique, multiplia les séjours à Kribi au rythme des battements de cœur. Il soutenait Marina dans ses cotisations de tontines, et le jour de son anniversaire, lui offrit même une Yaris rose métallisée.
Puis, patatras. Deux années de vie partagée balayées d’un revers d’écran : Marina découvre sur le téléphone de son partenaire qu’il papillonne allègrement avec d’autres femmes. Un détail achève de briser l’idylle : à chaque relation intime, elle contracte des maux étranges. Et si ces malaises étaient liés aux infidélités de Magadji ? En tout cas, ce dernier semble compenser ses écarts par des enveloppes d’argent régulières, comme des pansements de luxe à poser sur des plaies invisibles.
Ces dons deviennent si fréquents que même lorsqu’il est hors du pays, les liasses atterrissent. Et pourtant, rien de ce qu’elle tente avec cet argent ne porte ses fruits. Tous ses projets échouent, s’évaporent… Pendant ce temps, Magadji s'assure toujours qu'elle en fasse usage. Et c’est là que Marina fait le lien entre ces dons généreux et ses maladies récurrentes.
Troublée, elle consulte son pasteur, qui lui recommande d’arrêter d'utiliser ces cadeaux suspects. Malheureusement, Magadji le remarque vite. Il débarque sans prévenir à Kribi. Curieusement, malgré l'absence de double de clé, il parvient à pénétrer chez Marina.
À son retour du travail, cette dernière fait mine de ne rien remarquer. Profitant d’une course à la boutique, elle alerte son pasteur. Ce dernier, catégorique, lui révèle : « Le pire t’attend, caché dans un sac noir, sous la commode. »
Cette nuit-là, Marina veille t**d devant un film. Puis, à minuit, pendant que Magadji dort profondément, elle glisse un bâton sous la commode, en retire le sac suspect… et y verse de l’eau bénite.
Explosion. Une bave visqueuse, à la texture de taro râpé, jaillit du sachet. Dans un accès de rage, Magadji se réveille, comme possédé. Il tente d’étrangler Marina, furieux qu’elle ait violé le “tabou”. Cris, insultes et violence verbale s’enchaînent jusqu’au chant du coq. Puis, sans un mot de plus, il prend ses affaires et quitte les lieux.
Depuis, plus de nouvelles. Voilà un an qu’il n’a plus mis les pieds à Kribi. Il a même coupé tout contact avec Marina. Mais selon une amie commune, ses affaires auraient connu une chute vertigineuse. À tel point qu’il ne parviendrait même plus à se payer un billet pour le Cameroun.

TCHIROMA CROIT AVOIR FLAIRE LA FIN DU REGIME.
26/06/2025

TCHIROMA CROIT AVOIR FLAIRE LA FIN DU REGIME.

Tempête sous les crânes : Tchiroma largue les amarres, le FNSC tangue C’est la panique dans la basse-cour politique : Tchiroma a claqué la porte du gouvernement, et ça piaille de partout. L’homme à…

TCHIROMA N'ENTEND PAS PRENDRE SA RETRAITE...AU CONTRAIRE.Le savant calcul de Tchiroma : quand le capitaine sent le naufr...
26/06/2025

TCHIROMA N'ENTEND PAS PRENDRE SA RETRAITE...AU CONTRAIRE.
Le savant calcul de Tchiroma : quand le capitaine sent le naufrage avant la tempête
Depuis qu’il a murmuré l’idée de poser sa casquette ministérielle, le vieux briscard de Garoua, Issa Tchiroma Bakary, fait ses additions politiques comme un comptable pressé de fuir avant l’audit final. Notre renard national, fin renifleur de courants contraires, semble avoir flairé que le régime Biya pourrait bien mordre la poussière aux prochaines présidentielles d’octobre.
Résultat ? Tchiroma ne veut surtout pas rester à bord quand le paquebot coulera, histoire de ne pas finir noyé avec les perdants lors des législatives et municipales de 2026. Mieux vaut quitter le navire pendant qu’il flotte encore un peu, espérant que les futurs vainqueurs le verront non pas comme un rat fuyant, mais comme un sage qui savait nager avant les autres.
Et comme l’homme a le nez creux et la mémoire longue, il compte bien revenir par la grande porte lorsque le nouveau régime distribuera les cartes. Une demission surenchère quoi...

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