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Le Fil Africain, Douala (2025)

25/02/2025

Camtel recrute… mais votre portefeuille aussi ! 💼💸

Chers chercheurs d’emploi, sortez vos CV… et surtout vos porte-monnaies ! Camtel, le géant des télécoms au Cameroun, a décidé d’innover en matière de recrutement. Désormais, postuler à un emploi chez eux coûte 10.000 FCFA. Oui, vous avez bien lu ! Pas pour un abonnement internet, mais pour simplement déposer votre dossier. 😳📄💰

Recrutement ou business parallèle ? 🤔

Faisons un rapide calcul :
Si 50 candidats déposent leur dossier, ça fait 500.000 FCFA dans les caisses de Camtel. Avec 1.000 candidats, on parle déjà de 10 millions FCFA. Et s’ils poussent le concept jusqu’à organiser des recrutements chaque mois, on va bientôt parler de levée de fonds plus rentable qu’une IPO en bourse ! 😂📈

Postuler ou ne pas postuler ? Telle est la question ! 🎭

Malgré cette méthode douteuse, si vous êtes motivé(e) et que votre rêve est de travailler chez Camtel, ne laissez pas ces 10.000 FCFA vous freiner. Mais, exigeons ensemble plus de transparence dans le processus de recrutement. Un emploi doit se mériter par la compétence, pas par un ticket d’entrée ! 🚪🚀

Alors, à tous les candidats courageux qui vont tenter leur chance, on vous soutient ! 💪 Que votre CV soit béton et que votre motivation soit à toute épreuve !

Et surtout, partageons cette info pour que cette pratique cesse ! 🔄📢

25/01/2025

Le Nkang News : Quand le Nyasseur choisit l’enclos !

Ah, chers lecteurs, 2025 nous offre encore un de ses chapitres savoureux. Aujourd’hui, parlons de Didier, 39 ans, un homme du village qui a trouvé refuge… dans un enclos. Oui, vous avez bien lu ! Ce bon monsieur a été surpris entrain d’entretenir une vache en pleine nuit. Et ce n’était pas un coup de folie, c’était une routine nocturne.

Les faits :
Chaque nuit, Didier, l’homme sans présos ni pesos, s’introduisait discrètement dans l’enclos de la pauvre bête, histoire de « verser sa bouillie ». Quand on lui a demandé pourquoi il s’était converti au mbinda bovin, il a lâché une phrase devenue légendaire :

« Les femmes ne veulent pas de moi et je n’ai pas l’argent pour payer. »

La pauvre vache, elle, n’a rien demandé. Après des mois dans l’obscurité, elle pourrait même avoir un re**rd, qui sait ? Une nouvelle génération hybride se prépare peut-être, un mélange homme-vache baptisé “Nyasso-cow”.

Morale de l’histoire :

Chères femmes, Didier vous supplie :
• Si un homme n’a pas d’argent, donnez quand même, ça sauve des âmes !
• Si un homme est laid, soyez charitables, sinon il risque de descendre en enfer… avec une vache !

2025 : Année des révélations. Tout finit par sortir. Attention, les rideaux se lèvent, même sur les enclos !

25/01/2025

L’homme d’affaires congolais Éric Mandala a récemment fait les gros titres, mais pas pour ses succès entrepreneuriaux habituels. Arrêté à Madrid avec 200 kilos de cocaïne, il semble que sa dernière “entreprise” ait pris un virage inattendu. Et comme si cela ne suffisait pas, il était en charmante compagnie : une Colombienne à ses côtés. Cerise sur le gâteau, son épouse, Maria Mandala, a décidé de demander le divorce, réclamant la totalité des biens acquis durant leur mariage.

Selon les autorités, la drogue était dissimulée dans une camionnette stationnée sur un parking, prête à être acheminée vers le Maroc. Lors de son arrestation, Éric Mandala portait sur lui plus de 50 000 dollars en espèces.

Il est intéressant de noter qu’en 2020, Éric Mandala s’était offert un somptueux appartement de 221,85 m² au 84ᵉ étage de la tour Burj Khalifa à Dubaï, pour un montant de 1,85 million d’euros. Cette acquisition avait été financée grâce à des fonds d’origine douteuse, selon les enquêteurs.

Cette situation nous rappelle que la réalité dépasse parfois la fiction. Espérons que cette histoire serve de leçon à ceux qui pensent que la vie est un long fleuve tranquille.

23/01/2025

Ah, l’affaire Patrice Wogha et Inna Angoussa, un véritable feuilleton camerounais ! 😄

Retour sur les faits :

Patrice Wogha, influenceur TikTok camerounais, avait annoncé son mariage avec Inna Angoussa, une femme originaire de la région de l’Est du Cameroun. Le mariage était prévu pour le 25 janvier 2025, avec une cérémonie civile à la mairie de Douala V et une cérémonie religieuse à la cathédrale de Bonamoussadi.

Cependant, à quelques jours de l’événement, Patrice a annulé le mariage. Suite à cette annulation, Inna a révélé que l’annonce du mariage était en réalité un buzz. Elle a également mentionné que sur les 1 500 000 FCFA perçus par Patrice, elle n’avait reçu que 50 000 FCFA.

Avec autant de rebondissements, il est difficile de déterminer si cette histoire est un simple buzz ou la vérité. Les informations disponibles ne permettent pas de confirmer les allégations d’Inna concernant la répartition des fonds. Il est possible que cette situation soit une stratégie de marketing pour attirer l’attention sur les deux personnalités.

Sans preuves concrètes, il est difficile de trancher sur la véracité de cette affaire. Il est donc prudent de considérer cette histoire avec scepticisme jusqu’à ce que des informations officielles soient publiées.

22/01/2025

Chère communauté,

Nous vous souhaitons une merveilleuse année 2025, riche en bonheur, santé et succès. Que cette nouvelle année soit synonyme d’accomplissements pour chacun d’entre vous.

Nous tenons également à nous excuser pour ce long silence. Ces derniers mois ont été marqués par des ajustements et des réflexions nécessaires pour mieux vous servir. Mais soyez rassurés : notre engagement envers vous reste intact.

Nous sommes heureux de vous annoncer que 2025 marque un tournant important ! Nous travaillons activement sur le lancement de nouvelles activités et une reprise effective qui promettent de répondre à vos attentes. Restez connectés : de belles choses arrivent, et nous avons hâte de vous retrouver pleinement.

Merci pour votre patience, votre fidélité et votre soutien indéfectible. Ensemble, continuons de bâtir une communauté forte et inspirante.

Avec toute notre gratitude,
L’équipe

15/12/2024

Mariage en série à la mairie de d’Ekounou : qui dit mieux ?

Si vous pensiez que l’amour manquait de rendez-vous, alors il fallait être à la mairie de d’Ekounou ce samedi 14. 68 mariages en une seule journée ! Oui, 68 “oui, je le veux”, 68 fois “Vous pouvez embrasser la mariée”, et sûrement des tonnes de riz lancées en l’air comme si la mairie organisait un festival de féculents.

On imagine déjà l’ambiance sur place : des voitures décorées en file indienne, des robes blanches qui se croisent à chaque coin, des familles qui confondent parfois la mariée… Bref, une véritable fête nationale de l’amour version Ekounou. Même les agents de l’état civil ont dû se transformer en sprinteurs professionnels, enchaînant les “Monsieur X, voulez-vous prendre pour épouse Madame Y ?” comme des machines.

Et les photos de famille ? Un défi logistique digne d’une cérémonie d’ouverture des JO. Les photographes ont dû jongler entre les mariés, les tatas “chief”, les mamans à foulard XXL et les tontons en boubou. Espérons que personne ne se soit retrouvé dans l’album d’un autre couple par erreur.

Le plus drôle, c’est d’imaginer que chaque couple pensait que ce serait “leur jour spécial”. Désolé les amis, à Ekounou, ce 14 décembre, l’amour était clairement un événement collectif.

À partager sans modération :

💍

… (68 fois)

15/12/2024

Quand le Lion du Royaume Bazou fait des siennes : l’Ouest en mode silence !

Dans une annonce digne d’un scénario de série africaine, le Royaume Bazou a secoué l’Ouest Cameroun (et même un peu la diaspora) : le Lion sacré de la forêt a pris la poudre d’escampette ! Oui, vous avez bien lu. Et pas n’importe quel lion, mais le Lion du Royaume Bazou. Depuis, les initiés sont en mode safari dans la forêt sacrée, à la recherche du roi des félins.

Pendant ce temps, tout le monde doit marcher sur des œufs. Pas de tam-tam, pas de houe dans les champs, et surtout, pas de funérailles avec ambiance. En clair, l’ambiance est à zéro, mais pour une raison sacrée. Et pour ceux qui auraient l’idée de braver les interdits ? Eh bien, même la houe est suspendue. Oui, oui, pas de houe dans les 63 villages Bazou, comme si on disait au biceps agricole de prendre un congé spirituel.

Heureusement, l’humain reste au centre de tout. On peut toujours utiliser d’autres outils agraires (ouf !) et organiser des obsèques sobres, sans battre tambour ni souffler dans la corne. Pour ceux qui veulent compatir et se montrer solidaires, direction la Chefferie Supérieure Bazou, où veuves, enfants et serviteurs du Royaume reçoivent du soutien.

Ce scénario improbable nous rappelle que, dans nos traditions, chaque événement, aussi mystérieux soit-il, est porteur de sens. En attendant le retour du roi de la forêt, on espère que les initiés auront de bons éclaireurs et que le lion rentrera vite au bercail.

🦁

04/12/2024

Yaoundé : Deux personnes arrêtées pour fraude liée aux tests de langue TEF et TCF

L’Institut Français du Cameroun (IFC) de Yaoundé a été le théâtre d’une arrestation spectaculaire ce jour. Deux individus, visiblement victimes d’une escroquerie bien orchestrée, ont été appréhendés pour détention de faux e-mails et de faux espaces candidats prétendument liés à l’IFC.

Ces infortunés, naïfs mais apparemment innocents, se préparaient à régler les frais de test pour passer les examens de TEF et TCF Canada, prévus en janvier 2025. Malheureusement pour eux, les documents en leur possession provenaient d’un réseau frauduleux spécialisé dans le clonage de sites officiels.

Les suspects ont été conduits au Secrétariat d’État à la Défense (SED) pour une enquête approfondie. L’objectif des autorités est de remonter la piste de ce réseau criminel qui profite de l’ignorance et de la détresse de nombreux candidats désireux de passer ces tests indispensables pour leurs projets d’immigration ou d’études à l’étranger.

Cette affaire met en lumière un problème croissant : la prolifération de sites frauduleux et de communications trompeuses dans le domaine de l’éducation et de la certification linguistique. Les escrocs créent de faux sites, envoient de faux e-mails et usurpent l’identité d’institutions légitimes pour extorquer de l’argent à leurs victimes.

L’IFC a immédiatement réagi en rappelant aux candidats de toujours vérifier l’authenticité des e-mails et des sites via leurs canaux officiels. « Nous encourageons les candidats à consulter notre site web ou à se rendre directement dans nos locaux pour toute question relative à leur inscription », a déclaré un représentant.

Les autorités camerounaises appellent également à la vigilance et invitent les populations à signaler toute activité suspecte.

Ce drame est un rappel pour tous : dans un monde de plus en plus connecté, la vigilance reste la meilleure arme contre la fraude.

04/12/2024

Bafoussam : Un notable poignardé à mort par son fils de 13 ans
C'est une tragédie qui secoue la ville de Bafoussam. Un notable respecté de la communauté Bapeng, connu sous le nom de Soh Signe, a été froidement poignardé dans son lit par son propre fils, âgé de seulement 13 ans.
Selon les témoignages recueillis, la victime, également conducteur de moto, venait de rentrer chez lui après une longue journée de travail. Après une do**he, il s'est couché pour se reposer. Mais son fils, qui se tenait en embuscade dans un coin de la maison, armé d'un poignard, s'est précipité sur lui et l'a mortellement blessé au ventre.
Le jeune garçon, après avoir commis l'irréparable, a volé le sac de son père contenant de l'argent avant de tenter de fuir. Gravement blessé, Soh Signe a été transporté en urgence à l'hôpital régional mais a malheureusement succombé à ses blessures en chemin.
Sa dépouille a été conduite à Bameka pour les préparatifs funéraires.
Le jeune meurtrier a été rapidement capturé et remis aux autorités gendarmiques, laissant les habitants dans une stupeur mêlée d'indignation.
Cette affaire soulève des questions sur les causes profondes de cet acte tragique et sur la responsabilité sociétale face à de tels drames familiaux.

30/11/2024

Homicide à Mballa 2 : un homme poignardé à mort tôt ce matin

Un drame s'est produit ce matin dans le quartier de Mballa 2, précisément en face de la morgue. Un jeune homme, apparemment employé dans le secteur du ménage, a été lâchement poignardé par des assaillants. La victime, qui sortait du centre de production de Mballa 2, n'a pas survécu à ses blessures.

Cet acte de violence vient rappeler une fois de plus l'insécurité grandissante dans certaines zones urbaines de Yaoundé. Les autorités compétentes sont appelées à réagir promptement pour élucider cette affaire et ramener un sentiment de sécurité dans la localité.

26/11/2024

Olembe : le boa mystique enfin capturé… et vendu à prix d’or ?

Olembe, quartier tranquille de Yaoundé, a vécu un épisode digne d’un film fantastique. Après des mois de suspens et de récits rocambolesques, un serpent boa de plus de deux mètres a finalement été capturé par des habitants excités. Si certains célébraient leur acte héroïque, d’autres s’interrogeaient : s’agissait-il vraiment d’un simple boa ou d’un “totem” envoyé par des forces mystérieuses ?

Le roi de la jungle d’Olembe

Le serpent, aperçu à plusieurs reprises mais insaisissable jusqu’à ce jour, avait semé la terreur (et un peu d’admiration) dans le quartier. “Il était trop intelligent ! Chaque fois qu’on essayait de l’attraper, il disparaissait comme par magie”, raconte un jeune témoin. Pour d’autres, ce boa ne pouvait être qu’un totem mystique, envoyé pour protéger (ou surveiller) le quartier.

Un serpent à plusieurs millions ?

Après l’exploit de la capture, la vraie intrigue a commencé. Selon plusieurs témoins, une dame bien habillée serait venue réclamer… la tête du serpent ! Et pas pour en faire une soupe, non. Elle aurait proposé plusieurs millions de FCFA pour s’approprier le reptile. Si certains crient à la sorcellerie, d’autres pensent qu’il s’agit simplement d’une passionnée d’animaux exotiques avec un portefeuille bien garni.

Le débat mystique continue

Cette histoire de boa a relancé le débat entre les adeptes du surnaturel et les pragmatiques du quartier. Pour les premiers, tuer un animal-totem pourrait avoir de lourdes conséquences sur le plan spirituel. “Ce n’était pas un serpent normal, on a ouvert la porte à des problèmes”, murmure un ancien. Mais pour les plus terre-à-terre, il s’agissait juste d’un serpent qui avait un peu trop grossi grâce aux poules du voisinage.

Olembe peut maintenant souffler, même si une question reste sur toutes les lèvres : qui est cette mystérieuse dame prête à payer des millions pour un serpent ?

26/11/2024

Lutte mondiale contre les violences basées sur le genre : quand la réalité frappe à la porte des clichés

Chaque année, le monde se mobilise pour lutter contre les violences basées sur le genre (VBG). Un combat crucial, mais qui reste parsemé de défis, surtout dans des pays comme le Cameroun où la réalité dépasse parfois la fiction.

Au Cameroun, environ 56% des femmes âgées de 15 à 49 ans ont été victimes d’une forme de violence au moins une fois dans leur vie. Selon une étude menée par le MINPROFF en 2022, 1 femme sur 3 est exposée à des violences conjugales, et près de 30% des jeunes filles âgées de 15 à 19 ans ont subi des violences sexuelles. Mais les chiffres ne s’arrêtent pas là : les hommes aussi ne sont pas totalement épargnés, bien que les statistiques soient moins documentées.

Les VBG ne sont pas qu’une tragédie personnelle, elles sont aussi un problème de société. Elles affectent l’économie, la santé publique, et même l’éducation. Imaginez un monde où des talents sont gaspillés parce qu’une victime ne peut pas accéder à l’école ou au travail. Un Camerounais disait récemment : « Si on comptait les heures perdues par les femmes à panser leurs blessures au lieu de bâtir ce pays, on aurait déjà un métro à Douala ! »

On entend souvent : « C’est la culture ! », « Les hommes sont comme ça ! », ou encore « Elle l’a cherché ! ». Mais soyons sérieux : la culture ne devrait jamais être une excuse pour nuire. Si vous pensez que « qui aime bien, châtie bien », alors évitez les relations et concentrez-vous sur le sport de combat.

Le Cameroun participe activement aux campagnes mondiales contre les VBG, mais il reste encore beaucoup à faire. La sensibilisation est essentielle, tout comme des politiques fermes. Mais soyons honnêtes, ce n’est pas en trois séminaires et deux banderoles qu’on change le monde. Les Camerounais doivent aussi revoir leurs mentalités et adopter le « no violence » comme style de vie.

Blaguer sur un sujet aussi grave ? Oui, car parfois, l’humour est une arme redoutable pour faire passer des messages sérieux. Alors, hommes et femmes, aimons-nous sans nous blesser. Sinon, comme dirait un sage, « tu n’as pas besoin d’un(e) partenaire pour te stresser, un mauvais réseau téléphonique suffit. »

Le Fil Africain

25/02/2025

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