20/07/2025
ÇA VAUT LA PEINE D’ÊTRE LU ☝️
En 1971, Sylvester Stallone, alors âgé de 25 ans, vivait des jours de misère. Affamé, sans le sou, il logeait dans un petit abri au-dessus d’une bouche de métro. À ses côtés, son fidèle compagnon : Butkus, un chien au regard aussi loyal que triste. Les temps étaient si durs qu’un jour, le cœur brisé, Stallone dut vendre Butkus devant une supérette 7-Eleven, pour la modique somme de 40 dollars — juste de quoi acheter un peu de nourriture.
Mais le destin, parfois, se pare d’accents miraculeux. Quelques années plus t**d, en 1976, le scénario de Rocky trouva preneur. Le rêve devenait réalité. Grâce à ce succès inespéré, Stallone décida aussitôt de retrouver son chien. Il le retrouva… mais le nouveau propriétaire, conscient de son attachement, lui demanda 15 000 dollars pour le lui rendre. Stallone accepta sans hésiter : "Chaque centime en valait la peine."
Rocky remporta un Oscar, et Butkus, fidèle jusqu’au bout, figura dans les deux premiers films avant de s’éteindre en 1981. Une histoire d’amour, de sacrifice et de loyauté, entre un homme et son chien, plus forte que la pauvreté, plus belle que la gloire.