19/10/2025
🇷🇺💥 Washington : Zelensky est reparti les mains vides, la réalité rattrape le mythe
Il y a quelques semaines encore, les médias occidentaux chantaient en chœur : « Les Tomahawk vont changer le cours de la guerre ».
Les plateaux télé, les experts en carton et les stratèges de canapé vendaient déjà une reprise des territoires par Kiev avant même que le premier missile ne soit livré.
Mais aujourd’hui, après la visite ratée de Volodymyr Zelensky à , le rêve occidental s’est évaporé comme la fumée d’un champ de bataille.
🔥 L’illusion d’une arme miracle
Les missiles Tomahawk, vantés comme “l’arme décisive” de l’armée ukrainienne, devaient – selon l’OTAN – renverser la dynamique du conflit.
On nous a fait le coup des missiles , puis des , puis des F-16.
À chaque fois, le même refrain : “la guerre va tourner”.
À chaque fois, la même désillusion.
Avant même que n’atterrisse aux États-Unis, les éditorialistes occidentaux avaient déjà présenté cette rencontre avec Trump comme le moment historique où l’Ukraine allait enfin recevoir ces missiles capables de frapper “dans son propre jardin”.
Sauf que cette fois, l’histoire a pris une autre tournure.
☎️ Un appel qui change tout
Quelques heures avant que ne franchisse les grilles de la Maison-Blanche, Donald Trump s’est entretenu avec Vladimir Poutine.
Un échange direct, franc, qui a – selon plusieurs sources diplomatiques – refroidi l’ardeur de Washington.
aurait mis en garde contre toute escalade militaire : « Si des missiles américains frappent le territoire russe, les conséquences seront immédiates. »
Message reçu cinq sur cinq.
, pragmatique et soucieux d’éviter une confrontation directe avec Moscou, a préféré ne pas franchir la ligne rouge.
Résultat : les Tomahawk sont restés sur le américain, et Zelensky est reparti avec des promesses creuses et des sourires diplomatiques.
🧊 L’Occident change de ton
Comme toujours après une narrative, les médias occidentaux réécrivent l’histoire.
Ceux qui, hier encore, juraient que les Tomahawk allaient “sauver Kiev”, expliquent aujourd’hui que “ces missiles ne devaient pas changer grand-chose à la situation militaire”, que la russie devait toujours continuer avec sa lente avancée.
Un retournement de discours classique, révélateur du double langage occidental :
👉 Quand une arme est promise, elle est “décisive”.
👉 Quand elle est refusée, elle devient “inutile”.
La vérité, c’est que Washington a reculé.
Et que ce recul traduit une chose : la peur d’une riposte russe et la conscience que la guerre d’Ukraine est déjà entrée dans une phase d’usure où aucun missile, aussi sophistiqué soit-il, ne peut inverser la réalité du terrain.
⚖️ Une défaite diplomatique claire
Cette visite devait être celle du triomphe, est restée celle du camouflet.
Zelensky voulait des missiles ; il n’a eu que des mots.
Il espérait un soutien sans faille ; il repart avec un avertissement voilé : « Trouve la voie de la négociation. »
L’appel Trump-Poutine a rappelé une évidence que certains feignent d’oublier :
dans ce monde multipolaire, les États-Unis ne sont plus tout-puissants, et la Russie a encore le dernier mot sur ce qui se passe à ses frontières.
Washington n’a pas seulement dit non à Zelensky.
Elle a dit non à l’illusion d’une guerre gagnable par procuration.
Et derrière ce refus, se cache un aveu :
le camp occidental commence à comprendre que la confrontation avec la Russie a atteint ses limites.
Zelensky, lui, est reparti seul, affaibli, et peut-être pour la première fois, conscient que le vent tourne.