Le Messie

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09/10/2025

🔴| Bonjour monsieur, s’il vous plaît, postez aussi mon histoire ! Je suis dépassée par la réaction de mon fiancé, pourtant tout ce que j’ai fait, c’était pour le sortir de prison. Et aujourd’hui, il veut me quitter…

J’ai 29 ans, je suis en couple avec mon homme depuis 5 ans. Nous avons deux enfants, âgés de 3 ans et de 9 mois. On menait notre petite vie tranquille, chacun se débrouillait de son côté, et grâce à cela, on parvenait à joindre les deux bouts pour prendre soin de notre famille.

Mon fiancé avait beaucoup de problèmes dans son service, car son nouveau chef faisait tout pour le faire virer. Mais il n’y arrivait pas, car mon fiancé était irréprochable dans son travail. Le souci, c’est que ce chef voulait placer quelqu’un de son entourage à sa place. Depuis son arrivée, il y a un an, mon fiancé vivait un véritable enfer.

Comme il me racontait souvent ses déboires, nous avions conclu ensemble qu’il devait chercher un autre emploi ailleurs, car il risquait d’y laisser sa peau. Mais vous connaissez le contexte de notre pays : si tu n’es pas le frère ou le neveu de quelqu’un d’influent, ce n’est pas facile. Malgré tout, il a déposé de nombreuses demandes d’emploi dans plusieurs entreprises. Le plan était simple : dès qu’il serait appelé ailleurs, il démissionnerait, même si le nouveau salaire était inférieur à celui qu’il avait. Mais comme je l’ai dit, ce n’était pas facile.

Malheureusement pour nous, au travail, on a monté un coup contre lui pour l’accuser du vol d’une somme de 3 millions. Il a été immédiatement arrêté et enfermé. J’ai marché partout, comme une folle, cherchant un moyen de l’aider, mais c’était difficile. À chaque endroit où j’allais, on me renvoyait ailleurs : “Va voir tel…”, “Va voir l’autre…”.

Je suis allée voir le chef qui avait fait enfermer mon fiancé. Il m’a dit que l’affaire n’était plus à son niveau, que je devais aller à la gendarmerie. Là-bas, on m’a réclamé une caution de 700 000 F pour le faire sortir de cellule, afin qu’il puisse comparaître libre au tribunal si le chef maintenait sa poursuite. Mais comment pouvais-je réunir 700 000 F avant le délai qu’ils m’avaient donné ? Ils m’ont précisé qu’après ce délai, il serait déféré, et que l’affaire ne serait plus entre leurs mains.

J’ai marché, j’ai pleuré, j’ai supplié, mais personne ne m’accordait la moindre attention. Je suis retournée voir le chef et je lui ai demandé ce qu’il fallait faire pour qu’il arrête les poursuites. Il m’a répondu que mon fiancé devait reconnaître avoir volé les 3 millions et les restituer. Une fois que ce serait fait, il arrêterait les poursuites.

Je lui ai dit qu’on ne pouvait pas réunir cette somme, mais qu’on pouvait signer un engagement pour rembourser par tranches chaque fin du mois. Il m’a dit que si mon fiancé reconnaissait avoir volé, il accepterait l’engagement et mettrait fin à la procédure.

Je suis allée à la gendarmerie voir mon fiancé pour le supplier d’accepter. Il m’a demandé si j’étais folle : « Comment peux-tu me demander d’avouer une chose pareille alors que tu sais que je suis incapable de faire ça ? » Il m’a dit de le laisser être déféré et que l’affaire aille au tribunal. Selon lui, même si le chef avait corrompu du monde, il valait mieux tenter sa chance au tribunal, car s’il avouait un vol qu’il n’avait pas commis, ce serait une condamnation directe.

Mais plus les jours passaient seule à la maison, plus j’avais mal. Je ne supportais pas de le savoir là-bas. Il refusait de m’écouter, et moi je pleurais jour et nuit, au point d’en perdre du poids.

Quelques jours plus tard, le chef de mon fiancé m’a appelée. Il m’a demandé si mon fiancé était prêt à faire des aveux. Je lui ai répondu qu’il maintenait qu’il n’avait rien pris. Il m’a alors dit qu’il avait une autre proposition à me faire et m’a demandé de venir le voir à son bureau. Il était 17h.

Je n’ai pas perdu de temps : j’ai pris ma douche, je me suis changée et je suis partie. Arrivée sur place, il m’a reçue dans son bureau et m’a lancé sèchement que si je voulais la libération de mon fiancé, je devais coucher avec lui. Il m’a dit qu’il lui suffisait d’aller voir le commandant, de s’excuser et de dire qu’il s’était trompé, et que l’argent avait été retrouvé, pour que mon fiancé soit libéré immédiatement.

J’étais désespérée et sans aucune autre solution. C’était enfin une lueur d’espoir, mais j’étais hésitante, et il l’a remarqué. Il m’a dit : « Une partie de jambes en l’air de 10 minutes contre la liberté de ton mari, en plus personne ne saura. »

Dans les toilettes de son bureau, il a couché avec moi deux fois. Il était 18h30, presque tout le monde était déjà parti. Après m’avoir prise, il m’a promis que d’ici deux jours, mon fiancé serait à la maison. Cela faisait déjà plus d’un mois qu’il était en détention.

Deux jours plus tard, mon fiancé n’était toujours pas libéré. Je l’ai rappelé, il m’a dit qu’il avait été très pris et qu’il n’avait pas encore eu le temps de s’en occuper. Une heure après, il m’a rappelée pour me dire de le retrouver quelque part. J’y suis allée, et c’était un motel. Là-bas, il a encore couché avec moi.

Il m’a fait le coup pendant presque deux semaines avant de finalement faire libérer mon fiancé.

Je ne sais pas par quel miracle ni qui a parlé, mais mon fiancé a fini par apprendre que j’avais couché avec son patron pour le faire sortir. À peine une semaine après sa libération, il m’a confrontée. J’ai été obligée d’avouer, pensant qu’il comprendrait mes raisons, puisque tout cela était pour lui.

Mais tout s’est retourné contre moi. Depuis sa sortie, nous n’avions pas eu de rapports car il avait contracté une IST en détention. Il devait d’abord se soigner. Et là, il m’a dit de quitter sa maison, qu’il ne pouvait pas vivre avec une “traînée”.

Il m’a rappelé qu’il m’avait demandé de le laisser être déféré, qu’au tribunal il avait ses chances. Que d’ailleurs, c’est pour cette raison qu’on avait retardé son transfert : ils savaient qu’au tribunal, il fallait des preuves, ce que le chef n’avait pas. Et moi, je suis allée “l’humilier” en couchant avec l’homme qui voulait sa perte. Il m’a dit qu’il ne pouvait pas supporter ça, que notre relation était finie.

J’étais anéantie. Moi, j’avais fait tout ça pour sa liberté, pour sauver notre foyer, et voilà comment tout s’est retourné contre moi. Je me sentais sacrifiée pour rien.

Aujourd’hui, cela fait deux mois que nous sommes séparés. Il ne veut toujours rien savoir de moi malgré mes multiples tentatives pour lui demander pardon. Je suis désespérée. Et le pire, c’est que je suis tombée enceinte du monsieur.

J’ai une peur horrible de l’avortement, car j’ai déjà failli y laisser ma vie une fois, avant de rencontrer mon fiancé. J’étais restée une semaine dans le coma. J’avais juré de ne plus jamais recommencer. Rien qu’à l’idée d’avorter aujourd’hui, mon cœur s’arrête.

Mais d’un autre côté, comment pourrais-je récupérer mon fiancé s’il apprend que je porte l’enfant de son ex-patron ? Cet homme refusait le préservatif, et avec tout le stress que je vivais, je n’ai jamais pensé à prendre la pilule après. Je n’ai jamais prémédité ces rapports : il m’appelait pour “discuter”, et sur place, tout finissait de la même façon.

Aidez-moi, s’il vous plaît. Que dois-je faire ? Je suis en train de perdre un foyer à cause d’une compromission, et pourtant cette compromission, je l’ai faite pour sauver ce même foyer. Je suis à bout de force. Nos enfants sont chez sa grande sœur. Je porte une grossesse indésirable. J’ai envie de mourir. »

[ndlr : RAMSÈS BASSOM]

09/10/2025

Évitez de secouer vos éponges après le bain pour extraire l'eau. Cela serait la base de vos problèmes et échecs...😊

08/10/2025

"Ce n'est pas pour ça que je suis venue ici."

Quelqu'un qui s'est rasé avant de venir hein! 🤧

08/10/2025

❝ Arrête bb j’ai mal stp arrête ❞ Le roi des mouton a répondu : ok j’arrête vu que tu as mal on va remettre... 😩💔

🔴| Bonsoir Messie, Je suis au bout du rouleau. Je viens à peine de taper dans la barre de recherche une communauté qui p...
08/10/2025

🔴| Bonsoir Messie, Je suis au bout du rouleau. Je viens à peine de taper dans la barre de recherche une communauté qui pourrait m’aider, et c’est ainsi que je suis tombée sur votre page. C’est la raison pour laquelle je vous écris aujourd’hui.

Je suis une jeune femme de 33 ans, mère de deux filles âgées de 14 et 8 ans, et actuellement enceinte d’un homme divorcé de 43 ans, père de deux enfants. Avant que nous ne vivions sous le même toit, tout allait pour le mieux. J’entretenais une très bonne relation avec ses enfants : ils venaient même passer des week-ends chez moi et dans ma famille. Leur mère ne se souciait pas vraiment d’eux, alors je leur ai apporté beaucoup d’amour et d’attention.

Mais depuis que mes filles et moi avons emménagé avec lui, tout a changé. Le comportement de ses enfants a complètement viré, et par la suite, celui de mon conjoint aussi. J’ai fini par découvrir que ce changement venait du fait que ses enfants passaient leur temps à raconter toutes sortes d’histoires à mon sujet et à propos de mes filles. À chaque fois que je tente de lui donner ma version des faits, il refuse de m’écouter.

Alors, j’ai commencé à enregistrer nos journées pendant son absence. Mais lorsque je le confronte avec des preuves, il ne réagit pas et ne fait aucun cas de ce que je lui montre. Pour lui, ses enfants passent avant tout — qu’ils aient raison ou pas.

Sa fille, qui a pratiquement le même âge que la mienne, me fait souvent des scènes de jalousie. Elle va jusqu’à me dire quel repas je dois préparer à son père et à quel moment je dois le faire. Elle refuse aussi de participer aux tâches de la maison.

Il y a environ cinq mois, leur mère s’est soudainement « souvenue » qu’elle avait des enfants. Depuis, elle joue la mère parfaite. Ce qui me fait encore plus mal, c’est que, depuis ce moment, mon conjoint ne porte plus autant d’intérêt à l’enfant que nous attendons.

Lui qui refusait autrefois que je parte plus d’une semaine dans ma famille, ou que j’envisage d’y accoucher, m’a soudainement suggéré hier d’aller accueillir notre bébé là-bas. Je suis totalement confuse et perdue.

J’ai vraiment besoin d’un point de vue extérieur. Merci.

          […] La justice des hommes n’était pas du même avis que moi en ce concerne la liberté de Brenda. Son procès éta...
08/10/2025




[…] La justice des hommes n’était pas du même avis que moi en ce concerne la liberté de Brenda. Son procès était prévu pour la première semaine du mois de Juin. Franck nous avait fait comprendre qu’elle en avait pour un bon moment à cause de cette fraude, de la tentative de m€.urtre à l’endroit de mon frère et moi et bien évidement pour les dégâts matériels qu’elle avait causé dans notre maison.

Dans le souci de mieux comprendre la peine que pouvait endurer Brenda pour les actes causés, Marcel fit venir un avocat de justice qui fut autre fois l’avocat de mon défunt papa, il était accompagné par Franck ce jour. Le langage qu’ils tenaient était propre à eux mais entre la cuisine et quelques amuses gueules que Sarah m’envoyait leur servir, je ne pouvais m’empêcher de trainer le pas dans le salon pour essayer de comprendre ce qui se disait entre ces trois homme

Franck : si elle n’a pas un bon avocat son séjour en prison sera vraiment très long.

Avocat : vue les accusations qui pèsent sur elle, même le plus grand Avocat du pays ne pourra pas écourter sa peine.

Marcel : elle en a pour combien de temps exactement ?

Avocat : déjà elle est accusée de destruction de bien d’autrui et là on parle d’une peine allant de 2 à 10 années de prison car c’est une propriété qu’elle a détruit aussi, d’après le témoignage du petit garçon elle avait pour but principal de vous tu€.r.

Je ne pouvais pas rester bouche close face à ces punitions à l’encontre de Brenda alors je trouvai mon mot à dire.

Moi : mais Monsieur, nous sommes encore en vie donc on ne peut pas là poursuivre pour quelque chose qui n’a pas été fait même si elle en avait l’intention.

Avocat : nooonnnn Mlle… En effet, l’auteur d’une tentative encourt les mêmes peines que celui qui a effectivement commis le délit.

Moi : j’avoue être un peu perdu !

Avocat : le code pénal est très clair là-dessus et l’article 94 le dit clairement. Que l’acte soit inachevé ou non, le simple fait qu’elle ait eu l’intention de vous tu€.r la condamne au même titre qu’une personne qui aurait réussi à vous tu€.r.

Moi : je ne suis pas d’accord avec ça !

Avocat : oh c’est la loi ma fille ! Toutes les preuves ont déjà été fournies et puisqu’elle est également accusée de fraude… Ah ! C’est vraiment la fin pour elle.

Moi : on va encore ajouter l’autre là ?

Franck : là on parle d’un délit de faux et usage de faux ma chérie et de sur quoi une imitation de signature.

Avocat : effectivement ! Ce délit est régi par la loi N°2016/007 du 12/07/2016. Sa peine ira de 3 à 8ans de prison pour cet autre délit et une Amande allant de 200 000fr à 3 000 000fr lui sera collé.

Moi : merde !

Avocat : je vous invite vraiment à mieux étudier le droit de votre pays jeune fille, je me souviens que c’est cette filière que vous aviez d’ailleurs choisie.

Je n’arrivais toujours pas à comprendre le nombre d’années exactes que Brenda allait passer derrière ces barreaux.

Moi : Finalement elle va rester en prison combien d’années ?

Marcel : je veux la peine maximale pour elle

Avocat : je suis du même avis que toi mon fils. Elle est allée bien trop loin pour être cajoler au tribunal. En plus elle a la malchance cette petite ! Figurez-vous que l’avocat qu’elle à chercher a refusé de la défendre du coup la loi prévois qu’un avocat lui sera envoyé. Dites-vous bien que ce procès est gagné d’avance.

Franck : ce n’est que la justice qui sera faite

Je m’en voulais tellement pour ce qui arrivait à Brenda que je décidai d’aller lui rendre visite avant le procès. Pendant sa garde à vue, je suppliai Marcel pour aller lui parler se ne serait-ce qu’une seule fois et après de nombreux refus, il finit par accepter de m’y amener. En dehors de cet avocat qu’on lui avait choisi, personne n’avait le droit de la rendre visite en ce moment car elle avait été jugé très dangereuse par la police mais Marcel réussit à nous frayer un chemin jusqu’à elle.

Dès qu’elle m’aperçut dans la salle où Marcel et moi l’attendions, son ton ironique ne manqua pas de surgir.

Brenda : la bourgeoise aux airs de grande reine est venue me rendre visite on dirait !

Moi : je veux qu’on parle sans s’insulter Brenda s’il te plait

Brenda : elle a retrouvé la parole waouh ! Au lieu de parler avec toi je préfère qu’on m’enferme ici toute ma vie.

Moi : je suis vraiment désolé pour la m0.rt de ta sœur et de ton père. Tout c’était entièrement de ma faute et si les choses étaient à refaire je changerais tout ça je t’assure.

Brenda resta un moment sans parler et vint s’asseoir en face de moi, sur le siège qui lui était réservé.

Moi : tu as eu ta vengeance maintenant je te prie et je te supplie même de me pardonner, mon immaturité et mon inconscience sur la gravité des actes que j’ai posée nous ont tous conduit où on en est aujourd’hui.

Brenda : je ne savais pas qu’un jour tu pourrais parler comme ça waouh !

Moi : je ne serai jamais en paix si tu me déteste toujours autant.

Brenda : tu sais, ma mère m’a supplié de ne rien faire à ta famille mais la blessure était tellement profonde que je ne l’ai pas écouté. Aujourd’hui je me retrouve ici et je sais que je le mérite. J’ai pris la place en Dieu en causant votre chute et vos malheurs mais c’est toujours le ciel qui est au contrôle car il m’a récupéré et vous a libéré. J’en ai pour un bon moment ici et je suis sûre qu’à ma sortie le passé sera derrière nous.

Moi : comme je voudrais que tu ne sois pas enfermé ici !

Brenda : si tu veux vraiment m’aider, prends soins de ma mère et de ma fille. C’est la seule chose qui me tient à cœur pour le moment.

Moi : jusqu’à ce que tu sois libre je vais tout faire pour qu’elles ne manquent de rien.

Brenda : ma mère marche à nouveau et ma fille va à la maternelle de l’église saint Augustin là donc…

Moi : ne t’inquiète pas j’ai déjà toutes les informations sur eux.

Pour éviter que sa famille ne souffre pas trop de son absence, j’avais demandé à Franck de faire toutes les recherches possibles pour les aidé à avoir une bonne situation jusqu’à ce que Brenda soit mise en liberté. Dans son regard, je voyais très bien que le mot ‘’pardonner’’ ne pouvait pas sortir de sa bouche mais je me réjouissais qu’elle m’ait demandé de m’occuper de sa famille. On se sépara sans vraiment sourire l’une à l’autre mais on se serra quand-même les mains.

Sur le chemin du retour, je me sentais bien dans ma peau mais il manquait encore deux personnes à qui je n’avais pas demandé pardon, mes parents. Mais où étaient-ils pour me pardonner ? En passant près de l’église Saint Augustin, je décidai d’y entrer pour la première fois depuis très longtemps.

Marcel : j’espère que tu ne vas pas te mettre à pleurer hein

Moi : ne t’inquiète pas grand frère je veux juste parler avec Dieu

Marcel : tu en profite pour lui demander des forces hein, je ne vais bientôt plus être disponibles à tout moment pour te pousser comme ça.

Moi : heureusement que tu sais que je t’aime trop trop trop…

Marcel : la flatterie de ça alors hein

Moi : tu n’ignores rien

Une fois devant l’autel de l’église, Marcel alla s’assoir pour souffler un peu avant de poser ses genoux à terre. Je regardais la salle en contemplant tous les recoins, je ne savais pas ce que je devais dire à Dieu. Je me sentais même ridicule alors je fermai mon visage avec mes mains.

Mais pourquoi tu n’arrives pas à prier le seigneur ma fille ?

Mon cœur eut un moment de sursaut et se calma quand mes yeux lui firent comprendre que c’était le prêtre qui venait de parler.

Moi : Eurrr… Je ne sais pas prier mon père.

Le prêtre : l’homme pense qu’il faut une méthodologie pour la prière mais au fond ce n’est pas vraiment ça. Lorsque ton repentir est sincère et que ta foi envers le Seigneur est véritable, peu importe comment tu le prie il va toujours t’écouter.

Moi : je vais essayer mon père

Le prêtre : n’essaie pas juste ma fille, fais-le et bien. Dit au seigneur tout ce qui te passe par la tête, demande lui pardon pour tout ce que tu as fait de mal et remercie-le de te garder chaque jour.

Quand le prêtre se tourna pour aller vers Marcel, je fermai mes yeux et mes pensées allèrent toutes seules vers mes lèvres. Je priais pour le repos paisible de mes parents malgré la fâcheuse façon avec laquelle je les avais perdus. Je priais pour le repos paisible de Joëlle et son père malgré la mort qu’ils avaient eu. Je demandais à Dieu de me donner la force de m’occuper de Tobi et de la famille de Brenda. J’étais décidé de devenir une personne meilleure avec un cœur humble.

Quand je rentrai avec Marcel, Sarah avait ce sourire d’une personne qui mijotait quelque chose.

Marcel : je veux tout savoir hein comme tu souris bêtement là

Sarah : bêtement hein ??? Okay viens m’attacher je te dis.

Moi : waka parle aussi nor, qui est dans ta chambre comme ça ?

Tobi : après un bon plat et eur et un jus glacé on va te dire

Moi : la nourriture va te laisser Tobi ?

Sarah : si c’est pour celui-là tu peux seulement laisser. Façon il mange hein !

Pendant qu’on parlait, Marcel alla vers la chambre de Sarah et une fois à l’intérieur il ferma.

Sarah : voilà ça pris feu !

Moi : il y a qui dans la chambre là ?

Sarah : Stella est venue dès que vous êtes parti

Ma Stella, une véritable amie que Dieu avait mise sur mon chemin. J’imaginais déjà ce qui se passait dans la chambre en souhaitant que leur salutation ne prenne pas trop de temps. Au bout de dix minutes, ils sortirent en nous émerveillant avec ce sourire qui nous montrait déjà un aperçu des bisoutassions qui venaient de se tenir dans cette chambre. Stella me pris dans ses bras avec ces yeux brillants qu’elle avait lorsqu’elle voulait que je lui parle.

Stella : seul le seigneur a toujours le dernier mot… Je… oh mon Dieu ce n’est pas un rêve.

Moi : c’est bien la réalité ma chérie, je peux parler et bientôt je ne serai plus dans ce fauteuil.

Marcel : ça va nor, même quand tout va bien vous voulez toujours pleurer ?

Sarah : c’est quoi ? Laissons-les un peu !

J’avais tellement de chose à dire à mon amie ce soir, je voulais qu’elle sache que j’étais sincèrement désolé pour les peines que j’avais causées dans leur cœur

Moi : je sais que tu es bien trop gentille pour me dire que j’ai été méchante mais…

Stella : je ne suis plus sur ces détails depuis que je te vois faire tous les efforts possibles pour te racheter. Mais dis-moi tout dans les détails…

Moi : te dire quoi encore ??

Stella : je parle de Franck, il est devenu comment ? Raconte pardon…

Moi : il ne me regarde plus comme avant, je pense que je ne lui plais plus et c’est normal.

Stella : ne dis pas les choses comme ça. Toi et moi connaissons très bien le cœur de Franck, laisse lui juste un peu de temps !

Au fond je savais que Franck m’aimait toujours mais il évitait mon regard à chaque fois qu’il venait à la maison. Que je sois avec lui comme avant ou non ne devait pas influencer mon rétablissement. Stella avait repris la route le lendemain car elle était juste venue pour confirmer par elle-même le fait que je parlais à nouveau.

Sarah avait recommencé le travail mais pas les cours au campus car elle voulait rentrer assez tôt pour Tobi et moi. Après le procès de Brenda qui en avait pris pour dix ans d’emprisonnement, Marcel nous avait inscrit Tobi et moi dans un centre pour handicapé. Là-bas, on m’apprenait à me déplacer avec mes béquilles et à Tobi, on lui apprenait les règles à suivre pour se déplacer en fauteuil.

Franck ne venait plus à la maison sans doute parce que sa mission était terminée. Quelques jours après le procès de Brenda qui en avait finalement pris pour 10ans de prison, Marcel me fit comprendre que Franck était retourné à Yaoundé. Il m’avait certes pardonné mais la blessure était encore profonde.
À SUIVRE…

🔴ANONYME| J’AI FUI LE BOUMAZOKO HIER 😩🔞🌶️Chro, pardon, publie un peu mon histoire. Je ne sais pas si d’autres filles se ...
08/10/2025

🔴ANONYME| J’AI FUI LE BOUMAZOKO HIER 😩🔞🌶️

Chro, pardon, publie un peu mon histoire. Je ne sais pas si d’autres filles se sont déjà retrouvées dans la même situation que moi.

Je suis une jeune femme de 26 ans, mère célibataire. Je vis seule avec ma fille… Son père m’a abandonnée depuis longtemps, et je n’ai plus aucune nouvelle de lui.

Je suis à la recherche de l’amour.

Il y a environ un mois, lors de l’anniversaire d’une amie du travail, j’ai rencontré son cousin. Un vrai pain chaud 😅. Très beau, grand, bien habillé et en plus, il était véhiculé.
Le jour même de la fête, le courant est tout de suite passé entre nous. Il m’a raccompagnée chez moi en voiture, puis il est reparti.

Quelques jours plus tard, on s’est revus, et il est arrivé avec tout un paquet de cadeaux pour ma fille. Plus tard, je suis allée deux ou trois fois lui rendre visite chez lui (avec ma fille). Vu sa manière d’être avec elle, j’ai tout de suite vu en lui le père qu’il lui fallait.

Quand j’ai eu un deuil dans ma famille, il m’a beaucoup soutenue, même financièrement.

Et tout ça, sans jamais me demander quoi que ce soit d’intime. Franchement, ça m’a intriguée. On sait tous comment les hommes sont généralement.

Un jour, alors qu’on discutait, j’ai abordé le sujet. Il m’a simplement répondu :
— « Le jour où je vais décider de te toucher, tu vas fuir. »
Moi, dans mon cœur, j’ai juste dit : « Haa… » sans vraiment comprendre.

Hier, je suis allée passer la journée chez lui, puisqu’il ne travaillait pas. En début d’après-midi, une grosse pluie a commencé à tomber. L’ambiance était douce, et j’ai commencé à le caresser, doucement, pour rigoler. Il s’est laissé faire.

Mais quand il a enlevé son pantalon… 😳 son truc ne tenait même pas dans le bermuda. Ça ressemblait à un serpent !
Il a fini par retirer le bermuda… mince 😬😬😬

Je ne sais même pas comment décrire ça. C’était non seulement très gros, mais aussi long et penché, bien noir, avec des veines visibles. Le genre de chose que tu vois et ton âme sort 😭.

J’ai sauté du lit et je suis allée me coller contre le mur, dans un coin de la chambre.

Il essayait de me rassurer :
— « Ne te fie pas à la taille, c’est gros mais ça ne fait pas mal. »
Minalmi 😩 !

Je lui ai dit que moi je ne voulais plus, qu’il me laisse rentrer chez moi. Il m’a simplement dit « ok ».
J’ai pris mon sac et je suis partie.

Plus tard, je lui ai envoyé un message pour lui dire que je ne pouvais plus continuer cette relation. Ce que j’ai vu là, honnêtement, risque de me déchirer.

Franchement… quelqu’un ici a déjà vécu ça ? 😭

💔 VIERGE... MAIS CONDAMNÉE 💔Je m’appelle Awa, une femme ivoirienne, réservée, née dans une famille digne et stricte à Ab...
08/10/2025

💔 VIERGE... MAIS CONDAMNÉE 💔

Je m’appelle Awa, une femme ivoirienne, réservée, née dans une famille digne et stricte à Abidjan.
Mon enfance fut un long couloir de silences, d’obligations et de règles.
Mon père, ancien militaire, imposait une discipline de fer. Chez nous, le mot « liberté » n’existait pas. Chaque sortie devait être justifiée, chaque appel surveillé, chaque sourire décrypté.

De l’école primaire jusqu’à l’université, j’ai vécu sous les regards méfiants de mes parents.
Jamais de flirt, jamais d’escapade. Juste les livres, la maison, l’église… et les regards baissés.

Puis, il y a eu Yacouba.
Un collègue à la fac. Doux, posé, discret. Il n’était pas comme les autres. Il n’insistait jamais. Il observait, attendait, respectait mes silences… Et quelque part, entre nos échanges de cours et les rires volés, il est devenu mon ami… puis mon souffle.

Quand l’université prit fin, il fut le premier à décrocher un emploi stable. Puis, un soir d’août, il m’a prise à part et m’a dit :
— « Awa, je veux faire de toi ma femme. »

J’étais figée.
Pas de battements de cœur fous, pas de cris… juste un silence chargé d’émotion.
J’ai dit oui. Non pas pour fuir ma famille, mais parce qu’avec lui, je croyais pouvoir enfin commencer à vivre.

Mon père, face à ce jeune homme respectueux, travailleur et au regard franc, n’a rien trouvé à redire. Il s’est tu. Et dans ce silence, j’ai cru entendre sa bénédiction.

Mais je ne savais pas encore que le plus dur restait à venir…

J’ai épousé Yacouba, et les premiers jours furent paisibles. Il était doux, attentionné, patient… trop patient.
Moi, j’avais peur. Peur de cette intimité que je ne connaissais pas. J’étais vierge.
Même après notre mariage, je repoussais ses avances, lui demandant encore un peu de temps.
Il acceptait, respectait mes silences… encore.

Mais très vite, tout a basculé.

Un matin, je me suis réveillée avec de violents maux de tête, de la fièvre et des courbatures. Pensant à une simple fatigue, je suis allée consulter. Ce jour-là, le médecin a posé un diagnostic que je n’oublierai jamais :
— « Madame… vos résultats montrent que vous êtes séropositive. »

Le sol s’est ouvert sous mes pieds.
Non… ce n’était pas possible ! Je n’avais jamais couché avec un homme avant mon mari.
Ce médecin se trompait. Il devait se tromper !

Paniquée, je suis allée voir ma tante — celle qui me tenait lieu de mère.
Elle m’a écoutée, les yeux grands ouverts, avant de lâcher :
— « Ce n’est pas normal. C’est un sort. On t’a envoyée ça. Va voir une prophétesse. Elle te purifiera. »

Et c’est ce que j’ai fait.
J’ai fui Yacouba. J’ai inventé une excuse, prétextant des « vacances » chez mes parents.
Là-bas, chaque jour, je me rendais chez cette prophétesse : prières, jeûnes, huiles, veillées…
J’espérais être lavée.

Mais le doute me rongeait.
Un jour, j’ai pris mon courage à deux mains et suis allée dans un autre hôpital, loin du premier.
Nouvel examen. Même résultat.

Séropositive.

Effondrée, j’ai tout raconté au médecin.
Il m’a écoutée calmement, puis m’a dit :
— « Le VIH ne se transmet pas uniquement par voie sexuelle. Si vous suivez correctement votre traitement, vous pouvez vivre normalement, sans transmettre le virus à votre mari. Mais vous devez lui en parler. »

Lui en parler ? Et dire quoi ? Que je suis malade alors que je n’ai jamais couché avec un autre homme ?

Je n’ai connu que la masturbation… en cachette, parfois jusqu’au sang, comme pour fuir ma frustration.

Est-ce cela ? Est-ce ainsi que le mal est entré ?
Et si ma tante avait raison ?
Et si j’étais maudite ?

Je suis perdue.
J’aime mon mari. Je ne veux pas lui mentir.
Mais… et s’il me quittait ?
Et s’il ne me croyait pas ?

Je veux juste qu’il m’aime… malgré tout.

Dites-moi… à sa place, vous me comprendriez ?

🔴ANONYME| MA BELLE-FAMILLE SE MOQUE DE MOI 😩💔🥹Bonsoir mon petit,Je vis une situation qui m’accable un peu.Je suis un hom...
08/10/2025

🔴ANONYME| MA BELLE-FAMILLE SE MOQUE DE MOI 😩💔🥹

Bonsoir mon petit,
Je vis une situation qui m’accable un peu.

Je suis un homme de 38 ans aujourd’hui, et je rends grâce à Dieu de m’avoir donné toutes les qualités du monde. Je suis très intelligent, travailleur, et j’ai une bonne situation financière.

Je vous en prie… ne riez pas ! 🙏🙏

Le seul problème, c’est que je ne suis pas beau. Je suis petit de taille, et je sais que je suis laid. J’en suis conscient depuis mon enfance. Alors, j’ai toujours essayé de compenser cette anomalie par le travail, rien que le travail.

J’ai eu quelques relations dans ma vie. La dernière s’est terminée quand la femme m’a quitté avec notre enfant, en disant : « Il est laid comme toi. » C’était mon premier fils, et il est ma photocopie.

Il y a environ un an, j’ai rencontré une autre femme. Je subvins à tous ses besoins, je m’occupe d’elle et même, indirectement, de sa famille. Je lui ai trouvé un bon petit emploi pour qu’elle ne reste plus à la maison sans rien faire.

À chaque fois qu’on se voit, elle me dit que je suis beau. Elle m’appelle « mon bichounou ». Je sais bien qu’elle ment, mais cela fait du bien à entendre.

Cependant, elle a toujours refusé de me présenter à sa famille. Il y a quelques mois, j’ai insisté, surtout que je voulais officialiser notre relation. J’ai donc fait une demande en mariage, et la semaine suivante, nous avons organisé un dîner chez elle (entièrement financé par moi) pour que je puisse rencontrer sa famille.

Dès que j’ai franchi le seuil de la porte, j’ai vu dans leurs regards qu’ils se retenaient de rire. Il y avait même un petit garçon de 7 ou 8 ans qui a éclaté de rire avant qu’on ne le tire discrètement vers un couloir.

Pendant le repas, les questions gênantes fusaient :
— « Mon fils, tu ressembles à qui chez vous ? Ton père ou ta mère ? »

À chaque fois qu’une telle question sortait, je sentais bien qu’ils avaient envie de se moquer, mais qu’ils se retenaient.

Quand le repas s’est terminé, je suis rentré chez moi. Le lendemain, ma chérie est venue passer la nuit avec moi, et j’ai décidé de fouiller son téléphone. Ce que j’y ai découvert m’a bouleversé.

Dans le groupe WhatsApp familial, il y avait des centaines de messages depuis la veille. Le premier venait de ma belle-mère :
« Quand vous voulez vous marier, pensez au moins à vos enfants, non ?! »
Et les autres riaient.

Ils m’ont insulté, tourné en ridicule. Ma compagne riait aussi, même si elle me défendait par moments. Elle disait que j’étais un homme au grand cœur, que la beauté n’était pas sa priorité… mais elle riait tout de même aux blagues sur ma grosse tête et mon gros nez.

Aujourd’hui, je me demande :
Est-ce que je vais pouvoir m’en sortir avec une telle belle-famille, même si ma femme dit m’aimer ?

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𝐿'𝑎𝑢𝑑𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝒉𝑢𝑡𝑒𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 😭. 𝑆'𝑖𝑙 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑖̂𝑡, 𝑎𝑖𝑑𝑒𝑧-𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒 🥹🤲🏾. 𝐽𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 ⬇️⬇️.

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