Quel est le site Web ?

FluxEcoAfrique, Yaoundé (2025)

19/03/2025

: la Banque mondiale active 400 millions de pour la croissance

Le Cameroun exprime à nouveau sa volonté de procéder à la transparence des finances publiques.

Cela séduit le groupe de la Banque mondiale au point qu'il accorde 400 millions de dollars (239,6 milliards de FCFA) au Cameroun.

Ce financement approuvé depuis le 14 mars 2025, il convient au Cameroun de renforcer "une croissance résiliente, durable et inclusive".

Cet appui budgétaire de l'institution de Brettons Woods concourt à dérouler le tapis rouge à une panoplie des réformes.

Ces réformes se résument à améliorer les services sociaux et les infrastructures durables.

Il est question de devier la trajectoire de la performance, de faire preuve de responsabilité au moment d'utiliser les ressources dédiées à la santé, à l'accès à l'eau.

18/03/2025

: un pic de 12,7 millions de tonnes de attendu

C'est désormais plausible. L'offre camerounaise en ciment va s'agrandir. Et ce, du fait de trois unités de cimenteries implantées dans le littoral du pays.

Elles ont la capacité supérieure de produire chaque année 4,3 millions de tonnes de ciment.

Ce qui ouvre l'horizon à la production camerounaise d'atteindre le cap de 12,7 millions de tonnes chaque année.

Avec des prémices attendues en avril 2025, la Sino Africaine (Sinafcim) limite a priori chaque année sa production à un million de tonnes.

Déjà en activité, la Central Africa Cement (CAC) pèse chaque année 1,5 million de tonnes de ciment.

Encore en construction à la périphérie de Douala, la Yousheng Cement, compte produire chaque année 1,8 million de tonnes.

Ces cimenteries font leur entrée dans un marché concurrentiel de neuf unités de production de ciment.

On cite les Cimenteries du Cameroun (Cimencam), Dangote Cement Cameroun, le Marocain Cimaf (1,5 million de tonnes), le Turc Medcem (600 000 tonnes), Mira Company (1,5 million de tonnes) et le Portugais Cimpor (1 million de tonnes).

18/03/2025

La Côte d'Ivoire consent 25 millions d'euros aux PME

Un soutien inconditionnel aux Petites et moyennes entreprises (PME) chiffré à 25 millions d'euros.

La Côte d'Ivoire se rapproche de ces entités socioéconomiques à travers des faveurs de financement accordées à la Société de garantie des crédits à l’appui des PME (SGPME).

Elle s'appuie sur une banque allemande pour consentir cette assistance financière aux PME.

Il s'agit, à en croire le gouvernement de la Côte d'Ivoire, de faciliter le déploiement de systèmes informatiques efficients et de la formation en matière environnementale et sociale.

11/03/2025

Cacao: l'embellie des prix convainc le à relancer sa production

Une agence britannique de financement agit, et le producteur nigérian renchérit.

Elle a récemment renfloué les caisses de John Events, une industrie agroalimentaire implémentée au Nigeria à hauteur de 40,5 millions de dollars.

Ce qui a persuadé l'agriculteur nigérian de réhabiliter ses champs de cacao voire d'en créer de nouveaux.

Davantage, ce changement nait de la hausse des prix du cacao sur le marché mondial.

En décembre 2024, la tonne de la fève était à 12 500 dollars. Il y a un mois, elle s'écoulait à 8 000 dollars.

Aussi, au-delà de cette embellie, la production cacaoyère en Côte d’Ivoire, chiffrée en 2023 à plus de 2 millions de tonnes galvanise.

Le Nigeria s'appuie sur cette réussite au point de fixer un objectif. En 2024-2025, au cours de cette saison agricole, Il veut relever sa production à 500 000 tonnes.

Le Nigeria, volontier, veut prendre ses distances avec cette production cacaoyère de 280 000 tonnes de cacao enregistrée en 2023. Il compte se rapprocher de celle du Ghana portée à 65 000 tonnes.

A cette marque d'intérêt à la fève, le producteur nigérian tient à "s’assurer de bénéficier des prix actuels", à en croire l’Association des producteurs de cacao du Nigeria.

Ce qui fait sourire le gouvernement disposé à "améliorer la qualité de l’agriculture".

Déjà en 2022, il crée un Comité national de gestion du cacao cultivé jusqu'à présent sur 1,4 million d’hectares.

06/03/2025

POINT ECO
Sosucam: une production de 70 000 tonnes de sucre pour une perte de 22 milliards de Fcfa

C'est formel. Et la direction générale corrobore le fait. En 2024, la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), enregistre une perte de 22 milliards de FCFA, contre une perte de 15 milliards de FCFA en 2023.

En 2024, cette agro-industrie a produit 70 000 tonnes de sucre. Pourtant elle prévoyait produire 70 000 tonnes.

La Sosucam se resume à:
- 74 % de part d'actions français
- 26 % de part d'actions camerounais.

Elle offre 8 000 emplois directs et indirects.Chaque année, Sosucam consent 14 milliards de Fcfa dans une masse salariale.

04/03/2025

Amenagement urbain: le Cameroun offre 35,9 milliards de FCFA à une entreprise française

Jamais un kilomètre de bitume au Cameroun sans une marque d'entreprise à capitaux français.

Après le pont sur le Wouri à Douala, l'échangeur au quartier Nlongkak au lieu dit "Province" à Yaoundé, le gouvernement camerounais attribue à Razel BEC, filiale du Cameroun, le marché pour réaménager des infrastructures routières à Yaoundé.

Elle va réaliser le projet « Yaoundé cœur de ville ». Les bailleurs de fonds y ont mis une palette financière de 35,9 milliards de FCFA. Les travaux se résume à aménager des carrefours dites névralgiques, à construire de nouvelles gares routières.

Principalement le carrefour Mvan, le carrefour Elig-Effa, le carrefour Elig-Edzoa. Ils vont être marqués dans trois ans du label et de l'expertise française.

Et "les travaux seront lancés d’ici avril-mai" à en croire la mairie de Yaoundé. Auparavant, elle va procéder aux " indemnisations" chiffrées à "un montant d’un peu plus d’un milliard de FCFA".

Le projet "Yaoundé cœur de ville" est une composante du Plan de mobilité urbaine soutenable (PMUS), à l'initiative depuis 2019 de la Communauté urbaine de Yaoundé aujourd'hui, Mairie de Yaoundé.

Le projet est financé à hauteur de 54,7 milliards de FCFA. L’Agence française de développement (AFD) sous le prisme du Contrat de désendettement et de développement (C2D) reste le principal bailleur de fonds.

Elle soutient le projet à hauteur de 46,2 milliards de FCFA. Et l’État camerounais finance à hauteur de 8,5 milliards de FCFA.

04/03/2025

POINT ECO
s'intéresse au d'Algerie

Le Nigeria et l'Algérie nourrissent la coopération sud-sud d'un accord pétrolier.

La raffinerie Dangote va s'approvisionner en million de barils auprès de l'entreprise pétrolière algérienne Sonatrach.

A la suite de cet accord récemment signé, Sonatrach va fournir dès le 15 mars et ce jusqu'au 25 mars la cargaison requise.

La raffinerie Dangote avec sa capacité à raffiner chaque jour 600 000 barils veut étendre son champ de production et commercial

́rationsudsud

03/03/2025

Découvrir à quel fil s'accroche 10 monnaies de l'Afrique pour être puissante?

1. Dinar tunisien ($ ~3.14 TND)
Une économie diversifiée assise sur le tourisme & l’industrie manufacturière.

2. Dinar libyen ($~4.86 LYD)
Accroché au filon de réserves de pétrole

3. Dirham marocain ($~9.89 MAD)
Un hub économique dynamique assis sur l’aéronautique, l’automobile & l' énergie renouvelable.

4. P**a du Botswana ($~13.73 BWP)
La toile de la bonne gouvernance tissée dans le secteur minier

5. Roupie seychelloise ($~14.41 SCR)
Un nettoyage des finances publiques concours à colorer le tourisme et la

6. Nakfa érythréen ($~15.00 ERN)
Stabilité du taux de change stable

7. Cédi ghanéen ($~15.46 GHS )
Il fait briller son économie avec de l'or, du cacao et du pétrole.

8. Loti du Lesotho ($~18.31 LSL)
Partage au déjeuner économique le goûter du Rand sud-africain.

9. Dollar namibien ($~18.31 NAD)
Il bénéficie du jolie pelage du Rand sud-africain et de son confort.

10. Lilangeni swazi ($~18.32 SZL)
A la suite de son mariage monétaire avec l'Afrique du Sud, l'Eswatini offre en cadeau l’agriculture et le textile.

03/03/2025

Entreprises africaines : le Top Ten de Jeune Afrique

1-Sonatrach (Algérie) – Hydrocarbures

2-NNPC (Nigeria) – Pétrole

3-Vivo Energy (Afrique du Sud) – Distribution pétrolière

4-Eskom (Afrique du Sud) – Électricité

5-Sasol (Afrique du Sud) – Chimie et carburants

6-Bidcorp (Afrique du Sud) – Distribution alimentaire

7-Sonangol (Angola) – Pétrole

8-MTN (Afrique du Sud) – Télécommunications

9-Shoprite (Afrique du Sud) – Distribution alimentaire

10-OCP (Maroc) – Phosphates et engrais

20/02/2025

Afrique: la BAD annonce 5% de croissance en 2025

La croissance survole à nouveau le ciel africain. Et au cours de cette année 2025, la Banque africaine de développement (BAD) annonce des « Performances et Perspectives macroéconomiques de l’Afrique ».

Elle table sur une croissance chiffrée à 5%. Avec certitude, en 2025, la BAD chiffre à 4,1 % le Produit intérieur brut (PIB) réel de l’Afrique. Et en 2026, il devrait atteindre 4,4 %.

L'Ethiopie s'emploie au ménage, le pays admet « la fragilité de la croissance économique de l’Afrique, qui devrait osciller autour de 4 % à court terme ».

Malgré cette performance prédite et annoncée, et au vu de son potentiel, l'Afrique ne réussit pas jusqu'ici à réduire la pauvreté. Elle est loin d'atteindre le 7% de croissance attendue.

Une trentaine de pays africains note la BAD initie depuis lors des réformes économiques avec pour effet de réduire l'inflation et la dette.

19/02/2025

Bange Bank Cameroon s'adapte au besoin de l'agroalimentaire

Une banque implémentée au Cameroun s'ouvre à une folie. Bange Bank s'engage à rendre disponible des liquidités pour soutenir le secteur agroalimentaire.

Cette banque s'y met depuis le partenariat consolidé avec le gouvernement camerounais.

Jusqu'au bout de l'accord signé le 17 février, les financements de Bange Bank Cameroon vont bénéficier au Programme d’appui au développement des PME de transformation des produits locaux de consommation de masse.

Bange Bank Cameroon va renforcer son offre financière et non financière soumise aux PME. Elle va soutenir le secteur agroalimentaire à acquérir des équipements.

Et cela revient pour cette banque « de mettre à disposition de ces PME, des lignes de crédits spécifiques à un taux très faible », explique le gouvernement camerounais.

Les entreprises agricoles figurent parmi les 19 651 PME créées en 2023. Elles concourent à créer de nouveaux emplois chiffrés à en croire l'Institut National de la Statistique à 34 558.

13/02/2025

RDC: grenier de ressources minières

Le cobalt

Cette mine est en terrain favorable en RDC. A 70%, elle est enfouie dans son sous sol au point de constituer une réserve essentielle.

Cette réserve se chiffre à 3,5 millions de tonnes. métriques.

La localité de Kolwezi, province de Lualaba, est le principal épicentre du cobalt. Son sous sol contient à en croire les experts, 25 millions de tonnes de cobalt.

Des industries minières ont été implémentées pour extraire ce minerai.
Les industriels s'en servent pour fabriquer les batteries de téléphones portables et véhicules électriques.

Ils compilent 13 Kg de cobalt pour une batterie et 7 kg pour un téléphone portable.

Le coltan

L'Est de la RDC est l'épicentre de ce minerai. Le sous sol de cette région cache dans son sous sol 20 à 30% de réserve du monde du coltan.

Une industrie minière construite à Rubaya, au Nord-Kivu concoure à extraire ce minerai.

La RDC tire chaque mois 300 000 dollars du colton extrait et exporté. Cependant, à en croire la Mission de l'ONU pour la stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco), cette usine est entre les mains des rebelles du M23.

Le tantale constituant du coltan, est utile à fabriquer les condensateurs du téléphone et des ordinateurs.

Le cuivre
Le sous sol de la province du Katanga et la localité de Lualaba florissent de cuivre en RDC.

Une industrie minière à cuivre se trouve majoritairement dans Kamoa à capitaux chinois, canadiens et congolais (20 % des actions) extrait le cuivre.

En 2024, 437 061 tonnes de cuivre y ont été extraites. L'usine en 2023, a réalisé 2,70 milliards de dollars de recettes.

Le cuivre entre dans la fabrication entre autres des cafetières, des téléphones cellulaires, tuyaux de plomberie, des voitures électriques.

Le lithium
Il entre dans la composition essentielle entre autres des voitures électriques, des ordinateurs, des téléphones et des batteries.

Le sous sol congolais est riche de ce minerai à hauteur de 3 millions de tonnes. Ce qui constitue une réserve importante du monde.

Les experts classent la RDC au 7e rang du reservoir mondial du lithium.

L'or
Les provinces du Haut-Uélé la Lualaba, l'Ituri, le Sud-Kivu et la localité de Maniema constituent un réservoir de ce gisement en RDC.

Encore mal structurée, l'industrie aurifère a écoulé au premier trimestre 2024, 46 204,6 tonnes.

Et selon la Cellule technique de coordination et de planification minière , l'or extrait de la RDC est commercialisé à bas prix.

Le diamant
Des réservoirs de diamants pillulent
dans les provinces du Kasaï, du Kasai Central, du Lomami et du Sankuru.

Ils contiennent de réserve détenue estimée à 150 millions de tonnes. Ce qui constitue 20 % de la reserve mondiale.

Des industries à majorité sino-congolaise exploitent ce minerai.

L'uranium
La province de Katanga au Sud-Est de la RDC est riche de cette ressource minière.

Le français Areva installé depuis des lustres dans le pays exploite ce minerai.

Selon la Banque Mondiale, en 2023, le secteur minier en nette progression (18,2%), a contribué à la croissance globale (8,4%) à hauteur de 70%.

Pour l'exercice budgétaire 2025, le secteur minier doit contribuer aux recettes publiques à hauteur de 16,9 milliards de dollars soit 30%.

12/02/2025

Or: le Mali sourit jaune en 2024

Quelle oriflane flotte dans l'hémisphère de l'aurifère du Mali? Elle affiche un sourire jaune en 12 mois en 2024.

Cela s'explique du fait que le Mali a extrait de son sous sol 51 tonnes d'or contre 66,5 tonnes en 2023.

Un recul de 23%, et cela devient inquiétant voire préoccupant dans le landerneau économique de ce pays, classé en Afrique au quatrième rang des producteurs.

Le Mali du fait de sa production d'or, talonne l'Afrique du Sud, le Ghana et le Soudan. Il subit le contrepoids d'une réforme adoptée en 2023.

Le nouveau code minier plaidait pour un accroissement des revenus issus de l'exploitation de l'or. Il devait profiter à l'Etat malien.

Les sociétés minières consentent moins d'investissements à renouveler voire moderniser les infrastructures existantes.

10/02/2025

Endettement: le Ghana s'agenouille devant le et restructure sa dette

Le gouvernement à genoux devant le Fonds monétaire international (FMI) et les créanciers privés et bilatéraux.

Un endettement chiffré à 80 milliards de dollars pousse le Ghana à s'accorder depuis janvier 2025 avec lesdits créanciers pour restructurer sa dette.

L'accord signé ouvre la porte à une réforme structurelle susceptible de convaincre le gouvernement ghanéen à:
- Diversifier son économie
- Réduire sa dépendance à l'industrie extractive
- Promouvoir les industries locales.

Une fois signé, la dette amortie, les finances publiques stabilisées, le gouvernement ghanéen devra consentir ses investissements à l’agriculture, aux infrastructures et aux nouvelles technologies.

Cet accord signé accorde un moratoire au Ghana pour rembourser sa dette, il réduit ses taux d’intérêt.

Le pays soulagé de ce fardeau, des ressources financières mises dans la balance, il peut réaliser des projets de développement au profit de sa population.

10/02/2025

Le Kenya accumule en 7 jours 9,2 milliards de

Encore, cette semaine achevée, le Kenya a accumulé des réserves de devises. Ils se chiffrent à 9,2 milliards de dollars contre 8,88 milliards accumulés précédemment.

Et selon la Banque centrale du Kenya (CBK), les réserves de devises accumulés comblent des importations d'environ 5 mois.

Cette performance se consolide autour des biens exportés voire des revenus issus du tourisme et des transferts de fonds de la diaspora.

La CBK indique une hausse en 2024 respective de 15,4%, 14,6% et 18%.

Et la banque centrale du Kenya précise que « les réserves de devises continuent à fournir une couverture adéquate et un tampon contre tout choc à court terme sur le marché de change ».

06/02/2025

Ressources minières: l' frappe le sous sol d'une emblème

Comment orienter l’exploitation minière en Afrique?

A propos, des experts associés aux gouvernements et investisseurs sont sur le point de conclure la réflexion au Cap en Afrique.

Ils s'accrochent à un enjeu. L'avenir des minerais. Il va conduire à mieux explorer et exploiter les ressources du sous sol en Afrique.

Les opportunités d’investissement autour du secteur minier africain doit concourir au développement du continent.

Plus qu'une menace, le financement doit servir d'éveil à l'exportation des minerais.

04/02/2025

Zlecaf: le souffle sur une industrialisée

C'est intervenu de nouveau. La Zone de libre-échange continentale africaine ( ) est mise en lumière lors des “Dialogues Africa Prospérité 2025” tenus le 3 février à Accra au Ghana.

Le président ghanéen John Dramani Mahama croit à une Afrique capable de développer en commun son industrie.

L'Afrique, à première vue, à en croire, John Dramani Mahama, doit franchir une première marche.

C'est moins de mettre un point sur la « gouvernance efficace » et sur le « développement des infrastructures ».

Ce qui contribue à transformer les économies africaines.

La Zone de libre-échange continentale africaine ( ), apporte des changements notoires.

Elle est centrée sur une « libéralisation du commerce ». Elle est portée au « renforcement des chaînes d’approvisionnement intra-africaines ».

Cette parole de la bouche d'un chef d'Etat Africain, peut contribuer à l’intégration économique de l'Afrique.

Elle constitue un stimulus à son développement industriel.

03/02/2025

: la raffinerie affaiblit des importations

Avec l'implémentation en janvier 2024 de la raffinerie à Lagos, dans la zone franche de Lekki, Aliko Dangote réalise un rêve.

Cette opérateur économique a consenti 19 milliards de dollars dans cette raffinerie qui au bout du compte, fait circuler dans ses tuyaux chaque jour 650 000 barils.

Le secteur pétrolier nigérian s'agrandit et s'enrichit avec à la clé un recul des importations des produits pétroliers.

A en croire Vortexa, en janvier 2025, le Nigeria a effacé de son compte d'importation, chaque jour, 110 000 barils.

C'est moins ce que le pays importait jusqu'ici. Au quotidien, et ce pendant des années, il a importé de 200 000 à 400 000 barils.

Ce qui représentait 95% des besoins du premier producteur Africain du pétrole en carburant.

Le Nigeria, pour l'heure, veille à moderniser ses quatre raffineries publiques en attente d'atteindre une autonomie énergétique.

FluxEcoAfrique

19/03/2025

18/03/2025

18/03/2025

11/03/2025

06/03/2025

04/03/2025

04/03/2025

03/03/2025

03/03/2025

20/02/2025

19/02/2025

13/02/2025

12/02/2025

10/02/2025

10/02/2025

06/02/2025

04/02/2025

03/02/2025

Adresse

Site Web

Notifications

Raccourcis

Partager

Type