Nous Avons Libéré Le Pays, Mais Nous N’Avons Pas Réussi À Libérer Le Peuple

Nous Avons Libéré Le Pays, Mais Nous N’Avons Pas Réussi À Libérer Le Peuple WE HAVE FREED THE COUNTRY (ALGERIA), BUT WE DID NOT SUCCEED IN FREEING THE PEOPLE…

ⴰⵉⵜ ⴰⵃⵎⴻⴷ: ⵛⵛⵀⴰⴷⴰⵜ ⵜⵓⵙⵍⵉⴳⵜ ⵖⴻⴼ ⵜⴻⴳⵔⴰⵡⵍⴰ ⵜⴰⴷⵣⴰⵢⵔⵉⵜ ⴷⴻⴳ ⵓⵙⴻⴳⴳⴰⵙ ⵏ 1954At aḥmed: cchadat tusligt ɣef tegrawla tadzayrit deg...
26/04/2025

ⴰⵉⵜ ⴰⵃⵎⴻⴷ: ⵛⵛⵀⴰⴷⴰⵜ ⵜⵓⵙⵍⵉⴳⵜ ⵖⴻⴼ ⵜⴻⴳⵔⴰⵡⵍⴰ ⵜⴰⴷⵣⴰⵢⵔⵉⵜ ⴷⴻⴳ ⵓⵙⴻⴳⴳⴰⵙ ⵏ 1954
At aḥmed: cchadat tusligt ɣef tegrawla tadzayrit deg useggas n 1954
AIT AHMED: Exclusive testimony on the Algerian Revolution in 1954
AIT AHMED: Témoignage exclusif sur la Révolution algérienne en 1954
AIT AHMED: Testimonio exclusivo sobre la Revolución argelina de 1954
آيت أحمد: شهادة حصرية عن الثورة الجزائرية عام 1954

À l'approche du 51e anniversaire du déclenchement de la Révolution Algérienne en 1954, plongez dans l'histoire captivante de cet événement majeur. Dans cette...

17/04/2025

Ali MECILI l'homme du rassemblement et du consensus.

PUBLICATION DE Relais Médias
26/03/2025

PUBLICATION DE Relais Médias

Par Ali Touat
Football : de la résistance à l’instrumentalisation

Je n'ai pas pu empêcher mon fils de voir le match, j'estime qu'il est libre d'aimer ou pas le foot, l'équipe Algérienne...
Mais en allant le récupérer j'ai été triste de voir le nombre de personnes, jeunes, moins jeunes, femmes, enfants, en famille ou en groupe d'amis veiller tardivement, marcher des kilomètres la nuit, supporter le désagrément de la circulation automobile pour un match de foot quand on sait l'arrière pensée derrière l'organisation de ce match à Tizi.

Dans les années 80, la JS Kabylie n’était pas qu’un club de football. Elle était un symbole de fierté, un espace où s’exprimaient l’identité kabyle et la contestation face à un régime qui cherchait à imposer son uniformité. Chaque victoire sur le terrain était ressentie comme un acte de résistance, un pied de nez à un pouvoir qui tentait d’étouffer toute expression identitaire. Dans les tribunes, au-delà des chants et des drapeaux, c’est une conscience collective qui se construisait.

Mais aujourd’hui, le pouvoir a compris l’impact du football et tente de l’instrumentaliser. La construction du nouveau stade et l’organisation de matchs de l’équipe nationale ne sont pas de simples gestes sportifs. Ils relèvent d’une stratégie politique bien rodée : donner l’illusion d’une reconnaissance, détourner l’attention des injustices, pacifier une région en révolte sans jamais répondre à ses aspirations profondes. C’est une tentative de récupération, un maquillage destiné à masquer une réalité brutale : la répression, les arrestations, l’étouffement de toute voix dissidente.

Mais un stade ne rachète pas l’injustice. Un match ne fait pas oublier l’histoire. Le silence imposé par la peur n’efface pas une identité. Une nation ne se construit pas par la manipulation, mais par la liberté.

Le régime mise sur l’oubli, sur une nouvelle génération qui grandirait sans mémoire, sans conscience. Mais tant que cette mémoire est transmise, tant qu’il existe des voix pour refuser l’effacement, la résistance demeure.

TOUT LE MONDE EST LIBRE DE CROIRE OU DE NE PAS CROIRE, AINSI STIPULÉ DANS LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HUM...
28/02/2025

TOUT LE MONDE EST LIBRE DE CROIRE OU DE NE PAS CROIRE, AINSI STIPULÉ DANS LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HUMAIN, DU 10 DÉCEMBRE 1948, QUE NOUS RESPECTONS.

Article 18 :
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Ceci étant précisé clairement, cela ne nous empêche pas de dire la vérité, notre opinion et notre certitude.
TOUTES LES RELIGIONS NE SONT QUE DES INVENTIONS DES HUMAINS… DES MENSONGES.

LE DROIT D’EXPRIMER NOTRE OPINION EST ÉGALEMENT STIPULÉ DANS CETTE MÊME DÉCLARATION DES DROITS DE L'HUMAIN.
Article 19 :
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

L'Islam est une religion imposée avec les armes, un mensonge qui véhicule un ethnocide qui pourrait être irréversible, dans le cas où la Kabylie et les Kabyles se soumettent définitivement à cette idéologie du mensonge qu'est l'arabo-islamisme qui véhicule une prétendue langue sacrée imposée.

LE VOILE ISLAMIQUE EST UN SIGNE OSTENTATOIRE RELIGIEUX DE L'ISLAM, UN MENSONGE COMME TOUTES LES AUTRES RELIGIONS.
DES MENSONGES SUCCESSIFS DEPUIS PLUS DE 3 MILLE ANS.

LES SIGNES OSTENTATOIRES RELIGIEUX RECONNAISSABLES AU PREMIER REGARD :
Les signes et tenues dont le port conduit à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse tels que :
1) Le voile islamique, quel que soit le nom qu'on lui donne, foulard ou voile islamique (hidjab), le voile intégral (burqa, sitar ou niqab) qui masque intégralement le visage.

2) La croix, symbole religieux chrétien, de dimension manifestement excessive.

3) La kippa : Calotte portée par les Juifs pratiquants.

4) Le Dastar, turban porté par les hommes de confession sikh qui suivent la règle des Cinq K. Les sikhs qui ont reçu l'Amrit Sanskar, baptême sikh qui intronise tout croyant dans l'ordre du khalsa.
Nous sommes dans l’obligation de dénoncer le mensonge qui est en train de détruire notre identité, notre histoire et l’anéantissement de tout ce qui est kabyle et amazigh.

NOUS SUBISSONS UN ETHNOCIDE ARABO-ISLAMIQUE PROGRAMMÉ.

SOYONS TOUS RESPONSABLE DEVANT L’HISTOIRE !

TOUT LE MONDE EST LIBRE DE CROIRE OU DE NE PAS CROIRE, AINSI STIPULÉ DANS LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HUMAIN, DU 10 DÉCEMBRE 1948, QUE NOUS RESPECTONS.

Article 18 :
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Ceci étant précisé clairement, cela ne nous empêche pas de dire la vérité, notre opinion et notre certitude.
TOUTES LES RELIGIONS NE SONT QUE DES INVENTIONS DES HUMAINS… DES MENSONGES.

LE DROIT D’EXPRIMER NOTRE OPINION EST ÉGALEMENT STIPULÉ DANS CETTE MÊME DÉCLARATION DES DROITS DE L'HUMAIN.
Article 19 :
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

L'Islam est une religion imposée avec les armes, un mensonge qui véhicule un ethnocide qui pourrait être irréversible, dans le cas où la Kabylie et les Kabyles se soumettent définitivement à cette idéologie du mensonge qu'est l'arabo-islamisme qui véhicule une prétendue langue sacrée imposée.

LE VOILE ISLAMIQUE EST UN SIGNE OSTENTATOIRE RELIGIEUX DE L'ISLAM, UN MENSONGE COMME TOUTES LES AUTRES RELIGIONS.
DES MESONGES SUCCESSIFS DEPUIS PLUS DE 3 MILLE ANS.

LES SIGNES OSTENTATOIRES RELIGIEUX RECONNAISSABLES AU PREMIER REGARD :
Les signes et tenues dont le port conduit à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse tels que :
1) Le voile islamique, quel que soit le nom qu'on lui donne, foulard ou voile islamique (hidjab), le voile intégral (burqa, sitar ou niqab) qui masque intégralement le visage.

2) La croix, symbole religieux chrétien, de dimension manifestement excessive.

3) La kippa : Calotte portée par les Juifs pratiquants.

4) Le Dastar, turban porté par les hommes de confession sikh qui suivent la règle des Cinq K. Les sikhs qui ont reçu l'Amrit Sanskar, baptême sikh qui intronise tout croyant dans l'ordre du khalsa.
Nous sommes dans l’obligation de dénoncer le mensonge qui est en train de détruire notre identité, notre histoire et l’anéantissement de tout ce qui est kabyle et amazigh.

NOUS SUBISSONS UN ETHNOCIDE ARABO-ISLAMIQUE PROGRAMMÉ.

SOYONS TOUS RESPONSABLE DEVANT L’HISTOIRE !

L'état voyou  algérien veut condamner Aksel.Aksel Bellabbaci 𝗲𝘀𝘁 𝗶𝗻𝗻𝗼𝗰𝗲𝗻𝘁.
20/02/2025

L'état voyou algérien veut condamner Aksel.
Aksel Bellabbaci 𝗲𝘀𝘁 𝗶𝗻𝗻𝗼𝗰𝗲𝗻𝘁.

ⵎⴰ ⵜⴻⵥⵕⴰⵎ ⴰⵢⴰ ? ⵜⴰⵎⵓⵔⵜ ⵜⴰⵇⴱⴰⵢⵍⵉⵜ.Ma teẓṛam aya ? tamurt taqbaylit.Le saviez-vous ? Pays Kabyle (Kabylie). ⵜⴰⵎⴻⵟⵟⵓⵜ ⵜⴰⵇⵠⴰ...
11/12/2024

ⵎⴰ ⵜⴻⵥⵕⴰⵎ ⴰⵢⴰ ? ⵜⴰⵎⵓⵔⵜ ⵜⴰⵇⴱⴰⵢⵍⵉⵜ.
Ma teẓṛam aya ? tamurt taqbaylit.
Le saviez-vous ? Pays Kabyle (Kabylie).
ⵜⴰⵎⴻⵟⵟⵓⵜ ⵜⴰⵇⵠⴰⵢⵍⵉⵜ Tameṭṭut Taqvaylit ⵣ La Femme Kabyle ⵣ المرأة القبايلية

LA LETTRE AUX FRANÇAIS DE L’ÉMIR ABDELKADER : UN RAPPEL VENU D’ORIENThttps://philitt.fr/.../la-lettre-aux-francais-de-le...
25/10/2024

LA LETTRE AUX FRANÇAIS DE L’ÉMIR ABDELKADER : UN RAPPEL VENU D’ORIENT
https://philitt.fr/.../la-lettre-aux-francais-de-lemir.../

الصداقة التي ارتادها أمير عبد القادر لفرنسا ونابليون الثالث
L’AMITIÉ QUE L’ÉMIR ABDELKADER PORTAIT À LA FRANCE ET A NAPOLÉON III

L’Émir, qui refuse de sortir de sa geôle en signe de protestation, ne cesse cependant de recevoir du monde pendant sa détention et se familiarise ainsi avec les Français. Après l’annonce de sa libération, l’Émir redouble d’attention et de courtoisie envers la France et les Français. Alors qu’on le soupçonne de vouloir retourner en Algérie pour reprendre le combat contre la France, il proteste vigoureusement et écrit cet engagement : « Je suis chérif (descendant du Prophète), et je ne veux pas que l’on puisse m’accuser de trahison. Comment, d’ailleurs, cela serait-il possible, maintenant que j’ai éprouvé vos bienfaits et des faveurs dont je ne pourrai jamais assez vous remercier ? Un bienfait est un lien jeté au cou des hommes de cœur.

J’ai été témoin de la grandeur de votre pays, de la puissance de vos troupes, de l’immensité de vos richesses et de votre population, de la justice de vos décisions, de la droiture de vos actes, de la régularité des affaires, et tout cela m’a convaincu que personne ne vous vaincra, que personne, autre que le Dieu tout-puissant, ne pourra s’opposer à votre volonté. J’espère de votre générosité et de votre noble caractère que vous me maintiendrez près de votre cœur, alors que je serai éloigné, et que vous me mettrez au nombre des personnes de votre intimité, car si je ne les égale pas par l’utilité de leurs services, je les égale par l’affection que je vous porte. Que Dieu augmente l’amour de ceux qui vous aiment et la terreur dans le cœur de vos ennemis ! »

L’Émir et sa suite votent pour l’Empire. Illustration d’une coupure de presse de l’époque
Cette affection qu’il dit porter à la France n’est pas de la démagogie. Quelques jours avant le scrutin qui doit décider le rétablissement de l’Empire en France, l’Émir envoie une lettre au maire d’Amboise dans laquelle il demande à voter, ce qui lui est accordé : « Nous devons nous regarder aujourd’hui comme Français, par l’amitié et l’affection qu’on nous témoigne et par les bons procédés qu’on a pour nous. Nos enfants ont vu le jour en France, vos filles les ont allaités, nos compagnons, morts dans votre pays, reposent parmi vous, et le sultan, juste entre les justes, m’a rangé au nombre de ses enfants, de ses soldats en me donnant un sabre de ses mains. »

On pourrait multiplier les anecdotes, mais s’il fallait encore se convaincre de l’amitié que l’Émir portait à la France, sa correspondance avec Bismarck suffirait. En 1870, celui-ci lui propose une alliance afin de prendre sa revanche sur ses anciens ennemis. La réponse de l’Émir vaut le détour :

« Excellence,
Celui à qui vous avez adressé l’offre de marcher contre la très glorieuse et très généreuse France et de vous prêter le concours de sa loyale épée devrait, par mépris et dédain s’abstenir de vous répondre. Que nos chevaux arabes perdent tous leurs crinières avant qu’Abd el Kader ben Mahi ed-Din accepte de manquer à la reconnaissance qu’il a pour le très puissant empereur Napoléon III (que Dieu le protège). Que votre arrogante et injuste nation soit ensevelie dans la poussière et que les armes de l’Armée française soient rougies du sang des Prussiens (que leur orgueil soit puni !) »
L’amitié de l’Émir pour la France est liée à sa sainteté ; de son côté, la France a su reconnaître en l’Émir une figure chevaleresque à qui elle a donné l’occasion, parfois malgré elle, de se livrer à sa véritable vocation et de déployer pleinement ses vertus.

LA LETTRE AUX FRANÇAIS DE L’ÉMIR ABDELKADER : UN RAPPEL VENU D’ORIENT
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الصداقة التي ارتادها أمير عبد القادر لفرنسا ونابليون الثالث
L’AMITIÉ QUE L’ÉMIR ABDELKADER PORTAIT À LA FRANCE ET A NAPOLÉON III

L’Émir, qui refuse de sortir de sa geôle en signe de protestation, ne cesse cependant de recevoir du monde pendant sa détention et se familiarise ainsi avec les Français. Après l’annonce de sa libération, l’Émir redouble d’attention et de courtoisie envers la France et les Français. Alors qu’on le soupçonne de vouloir retourner en Algérie pour reprendre le combat contre la France, il proteste vigoureusement et écrit cet engagement : « Je suis chérif (descendant du Prophète), et je ne veux pas que l’on puisse m’accuser de trahison. Comment, d’ailleurs, cela serait-il possible, maintenant que j’ai éprouvé vos bienfaits et des faveurs dont je ne pourrai jamais assez vous remercier ? Un bienfait est un lien jeté au cou des hommes de cœur.

J’ai été témoin de la grandeur de votre pays, de la puissance de vos troupes, de l’immensité de vos richesses et de votre population, de la justice de vos décisions, de la droiture de vos actes, de la régularité des affaires, et tout cela m’a convaincu que personne ne vous vaincra, que personne, autre que le Dieu tout-puissant, ne pourra s’opposer à votre volonté. J’espère de votre générosité et de votre noble caractère que vous me maintiendrez près de votre cœur, alors que je serai éloigné, et que vous me mettrez au nombre des personnes de votre intimité, car si je ne les égale pas par l’utilité de leurs services, je les égale par l’affection que je vous porte. Que Dieu augmente l’amour de ceux qui vous aiment et la terreur dans le cœur de vos ennemis ! »

L’Émir et sa suite votent pour l’Empire. Illustration d’une coupure de presse de l’époque
Cette affection qu’il dit porter à la France n’est pas de la démagogie. Quelques jours avant le scrutin qui doit décider le rétablissement de l’Empire en France, l’Émir envoie une lettre au maire d’Amboise dans laquelle il demande à voter, ce qui lui est accordé : « Nous devons nous regarder aujourd’hui comme Français, par l’amitié et l’affection qu’on nous témoigne et par les bons procédés qu’on a pour nous. Nos enfants ont vu le jour en France, vos filles les ont allaités, nos compagnons, morts dans votre pays, reposent parmi vous, et le sultan, juste entre les justes, m’a rangé au nombre de ses enfants, de ses soldats en me donnant un sabre de ses mains. »

On pourrait multiplier les anecdotes, mais s’il fallait encore se convaincre de l’amitié que l’Émir portait à la France, sa correspondance avec Bismarck suffirait. En 1870, celui-ci lui propose une alliance afin de prendre sa revanche sur ses anciens ennemis. La réponse de l’Émir vaut le détour :

« Excellence,
Celui à qui vous avez adressé l’offre de marcher contre la très glorieuse et très généreuse France et de vous prêter le concours de sa loyale épée devrait, par mépris et dédain s’abstenir de vous répondre. Que nos chevaux arabes perdent tous leurs crinières avant qu’Abd el Kader ben Mahi ed-Din accepte de manquer à la reconnaissance qu’il a pour le très puissant empereur Napoléon III (que Dieu le protège). Que votre arrogante et injuste nation soit ensevelie dans la poussière et que les armes de l’Armée française soient rougies du sang des Prussiens (que leur orgueil soit puni !) »
L’amitié de l’Émir pour la France est liée à sa sainteté ; de son côté, la France a su reconnaître en l’Émir une figure chevaleresque à qui elle a donné l’occasion, parfois malgré elle, de se livrer à sa véritable vocation et de déployer pleinement ses vertus.

Des enseignantes d'autrefois. Alger - 1969.
15/10/2024

Des enseignantes d'autrefois. Alger - 1969.

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Stade Hocine Ait Ahmed
Tizi Ouzou
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