
14/07/2025
Marcel Niat échappe à un complot de Dame Courtes et la BAS
Grace à la vigilance et au réseau d’information des services de l’ambassade du Cameroun à Paris, le président du Senat camerounais, Son Excellence Marcel Niat Njiefenji vient d’échapper à une descente musclée des membres de la Brigade anti-sardinards (BAS) au sein de l’établissement hospitalier où il séjournait.
En effet, c’est l’ambassadeur du Cameroun à Paris en personne, André Ekoumou, qui a reçu l’information en premier. Suite à quoi il a aussitôt alerté les autorités françaises et saisi le Secrétaire général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh.
Ainsi donc, un drame humain et un incident diplomatique ont été évités de justesse. Ce qui a mis en alerte les services spéciaux français et camerounais. Lesquels cherchent à comprendre ce qui s’est passé.
De sources françaises, des éléments de la BAS bien fichés impliqués dans le coup ont été en contact avec la ministre camerounaise Célestine Ketcha Courtes. Elle est donc fortement soupçonnée d’avoir signalé la présence du Président Niat à l’hôpital Montsouris, au 14ème arrondissement de Paris, à la chambre 516. Le Psenat, Son Excellence Marcel Niat Njiefenji a donc échappé à une agression ourdie par un haut responsable de l’Etat, n’eut été le remord dont a été pris l’un des membres de la BAS réquisitionné pour la sale besogne. Cette nouvelle affaire dépasse le cadre strict des rivalités politiques habituelles entre le patriarche de Bangangté et la ministre Courtes.
Les services spéciaux pourraient enfin mieux élucider les accointances de certains hauts responsables camerounais avec les bandes hostiles qui, par le passé, ont saccagé des ambassades, attaques des personnalités, des artistes et des journalistes.
La Présidence camerounais prend très sérieux cette affaire. Surtout qu’elle intervient au moment où plusieurs sources affirment que Madame la ministre réputée également proche d’un certain lanceur d’alerte, n’est pas à son dernier coup.