12/10/2025
UNE VENDEUSE MET DEHORS UNE GRAND-MÈRE PAUVRE D’UNE BOUTIQUE DE LUXE — MAIS UN POLICIER LA RAMÈNE PLUS T**D
Hélène avait toujours été une femme indépendante. Même à la retraite, cette ancienne bibliothécaire de Lyon menait une vie simple mais digne. Son plus grand bonheur ? Sa petite-fille Camille, en dernière année de lycée.
Quand Camille annonça qu’elle ne comptait pas aller au bal de fin d’année, Hélène sentit son cœur se serrer.
— Mamie, je m’en fiche du bal ! Je préfère rester à la maison avec maman et regarder de vieux films, dit la jeune fille.
— Mais ma chérie, c’est une soirée unique dans une vie, répondit doucement Hélène, se souvenant de son propre bal… celui où elle avait rencontré le grand-père de Camille.
— Je n’ai même pas de cavalier. Et puis, les robes coûtent une fortune. Ça ne vaut pas la peine.
Hélène comprit aussitôt : Camille ne voulait pas être un poids pour la famille. Cette nuit-là, elle ouvrit la petite boîte en bois où elle gardait ses économies pour ses funérailles… et prit une décision. Elle achèterait une robe à sa petite-fille.
Le lendemain, vêtue de sa plus belle tenue, Hélène prit le bus jusqu’au grand centre commercial de la ville. Dans une boutique de luxe remplie de robes étincelantes, une vendeuse au regard hautain l’accueillit :
— Bonjour… je suis Béatrice. Je peux vous aider… aujourd’hui ? demanda-t-elle en la scrutant de haut en bas.
— Je cherche une robe de soirée pour ma petite-fille. Je voudrais qu’elle se sente comme une princesse, répondit Hélène avec un sourire timide.
— Nos modèles commencent à plusieurs centaines d’euros. Et ce n’est pas de la location, lança sèchement la vendeuse.
Hélène tenta quand même de regarder quelques modèles, mais Béatrice, exaspérée, ajouta :
— Si vous cherchez du bon marché, essayez plutôt H&M. Ici, c’est une clientèle… différente.
Puis, la voyant examiner un portant, elle lâcha avec mépris :
— Juste pour que vous le sachiez, il y a des caméras partout. Si jamais il vous venait l’idée de glisser quelque chose dans ce vieux sac…
Les yeux pleins de larmes, Hélène quitta la boutique, le cœur brisé.
Dehors, elle trébucha et laissa tomber le contenu de son sac sur le trottoir. Tandis qu’elle tentait de tout ramasser, une voix calme s’éleva :
— Madame ? Vous allez bien ?
Un jeune homme en uniforme s’agenouilla pour l’aider.
— Merci, officier, murmura-t-elle.
— Pas encore, je suis seulement élève policier. Je m’appelle Julien Martin. Que s’est-il passé ?
Hélène lui raconta tout : Camille, ses économies, la boutique, et la cruauté de la vendeuse.
Le sourire de Julien s’effaça.
— C’est inadmissible, dit-il fermement. Venez. On y retourne.
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