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Au Revoir Podcast Au Revoir Podcast est un programme consacré au deuil périnatal. Avec nos invité·e·s - parents,

🔊Elles s'appellent Lucie, Florence ou encore Audrey : elles sont sages-femmes et elles peuplent cet épisode d'Au Revoir ...
11/06/2025

🔊Elles s'appellent Lucie, Florence ou encore Audrey : elles sont sages-femmes et elles peuplent cet épisode d'Au Revoir Podcast où se mêlent les voix de 9 autres femmes qui ont dû dire au revoir à leur bébé.

🌟 D'un côté, celles qui accompagnaient cette épreuve, qui ont su trouver les mots, faire les gestes adéquats, s'ajuster du mieux possible. De l'autre, celles qui ont été accompagnées.

🎙Dans cet épisode d'Au Revoir Podcast, Carole, Céline, Emmanuella, Margaux, Marie, Marie-Sophie, Nastassia, Rozenn et Sarah prennent la parole pour rendre hommage aux sages-femmes qui les ont tant aidées à traverser ce moment si difficile. Merci à elles toutes !

🎧 Je vous souhaite une belle écoute et je remercie toutes celles qui ont pris la parole dans cet épisode, initialement mis en ligne le 8 mars 2022.

Vous souhaitez en savoir plus sur la formation des étudiant·es sages-femmes au deuil périnatal ? Vous pouvez écouter l'épisode réalisé en partenariat avec l' intitulé : "Les sages-femmes face au deuil périnatal. Reportage à l'école de Caen".

➡️🎧 Ces épisodes sont dispo sur toutes les plateformes et en cliquant ici : https://smartlink.ausha.co/aurevoirpodcast/sages-femmes-a-celles-qui-nous-ont-tant-aide-es-dans-notre-deuil-perinatal

Il y a quelques mois, à l'invitation de l' Association Petite Emilie Petite Emilie, je suis allée à l'école de sages-fem...
08/06/2025

Il y a quelques mois, à l'invitation de l' Association Petite Emilie Petite Emilie, je suis allée à l'école de sages-femmes de Caen pour un reportage lors d'une formation donnée par deux bénévoles.

Le but ? Donner des outils aux futur·es sages-femmes pour accompagner du mieux possible les femmes et les couples qui doivent dire au revoir à leur bébé.

Et parmi ces clés à transmettre, il y a la manière de nommer le bébé. Comment en parler en tant que soignant·es, lorsque l'ont fait face aux parents. Comme l'ont expliqué Amanda, présidente de Petite Emilie, et Marie-Hélène, sage-femme et bénévole, il est important de se calquer sur les mots employés par les patient·es que l'on accompagne. Et si les parents parlent de leur bébé en utilisant son prénom, alors il ne faut pas hésiter, en tant que sage-femme, à faire de même.

Parce que "nommer, c'est humaniser".

Un grand merci à l' Association Petite Emilie pour la réalisation de ce reportage hors-série d'Au Revoir Podcast, ainsi qu'à l'école de sages-femmes de Caen !

Je vous souhaite une belle écoute.

➡️🎧 L’épisode « Les Sages-femmes face au deuil périnatal » est dispo sur toutes les plateformes et ici : https://smartlink.ausha.co/aurevoirpodcast/sages-femmes-formation-deuil-perinatal-reportage-association-petite-emili

Il y a quelques mois, à l'invitation de l' Association Petite Emilie, je suis allée à l'école de sages-femmes de Caen po...
06/06/2025

Il y a quelques mois, à l'invitation de l' Association Petite Emilie, je suis allée à l'école de sages-femmes de Caen pour un reportage lors d'une formation donnée par deux bénévoles.

Le but ? Donner des outils aux futur·es sages-femmes pour accompagner du mieux possible les femmes et les couples qui doivent dire au revoir à leur bébé.

A la fin de l'après-midi, j'ai demandé à une étudiante ce qui l'avait tout particulièrement marquée lors de cette formation. Voici ce qu'elle m'a répondu : "c'est important de montrer que le bébé a existé : en tant que soignant·es, nous faisons partie des seules personnes qui ont connu cet enfant."

Un grand merci à l' Association Petite Emilie pour la réalisation de ce reportage hors-série d'Au Revoir Podcast, ainsi qu'à l'école de sages-femmes de Caen.

Je vous souhaite une belle écoute.

➡️🎧 L’épisode « Les Sages-femmes face au deuil périnatal » est dispo sur toutes les plateformes et ici : https://smartlink.ausha.co/aurevoirpodcast/sages-femmes-formation-deuil-perinatal-reportage-association-petite-emilie

📅 Dimanche 25 mai, ce sera la fête des mères. En juin, il y aura la fête des pères. On peut aussi parler de la fête des ...
23/05/2025

📅 Dimanche 25 mai, ce sera la fête des mères. En juin, il y aura la fête des pères. On peut aussi parler de la fête des parents, de la fête des gens qu'on aime... Mais finalement, peu importe ici la dénomination : quand on vit un deuil périnatal, ces événements peuvent être très douloureux à traverser.

🎧 Alors je vous ai préparé une petite capsule sonore pour dimanche. Le genre de message qu'on s'envoie via Whatsapp.

📩 Si vous ne voulez pas louper ce mini épisode, n'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter pour le recevoir dans votre boîte mail dimanche matin : https://aurevoirpodcast.substack.com/

Il y a des mots qui soignent : et ça, certain·es professionnel·les de santé le savent bien. C'est le cas de cette soigna...
17/03/2025

Il y a des mots qui soignent : et ça, certain·es professionnel·les de santé le savent bien.

C'est le cas de cette soignante, qui accompagne Élodie au bloc, alors que cette dernière s'apprête à vivre une IVG.

🌊 En 2023, Élodie découvre avec joie qu'elle est enceinte. Mais le bonheur est de courte durée : bien vite, elle ressent des nausées extrêmes. Elle ne peut ni boire, ni manger. Les difficultés commencent : aux urgences, on insinue que ça se passe dans sa tête. À part des antidépresseurs, on ne lui prescrit rien.

Grâce à l'Association de lutte contre l'Hyperémèse Gravidiqueelle fait la rencontre d'un médecin, bien formé à cette pathologie, qui préconise une hospitalisation à domicile. Élodie est perfusée, reliée par un fil à des ballons de soluté d'hydratation. Pour autant, elle ne peut toujours pas manger, doit prendre des traitements toutes les 3 heures - même la nuit - et ressent des effets collatéraux de plus en plus violents : épuisement, somnolence, détresse psychique.

Son dernier recours, sa porte de sortie, c'est une IVG à 16SA.

Elle ne peut se résoudre à interrompre cette grossesse et, pourtant, "c'est un choix de survie".

Une phrase en particulier va l'aider à moins culpabiliser, moins se juger. Cette phrase, elle a été prononcée par une soignante qui lui tenait la main et lui caressait les cheveux avant que l'anesthésie générale ne fasse effet.

Alors un grand merci à celles et ceux qui sont là pour prononcer ces mots qui soignent 🙏

Je vous souhaite une belle écoute et je remercie infiniment Élodie pour sa confiance.

➡️🎧 L’épisode 52 « Élodie, mon interruption de grossesse » est dispo sur toutes les plateformes et ici :https://smartlink.ausha.co/aurevoirpodcast/elodie-interruption-de-grossesse-ivg

🌊 Lorsqu’Élodie apprend qu’elle est enceinte, elle accueille cette nouvelle avec joie. Mais rapidement, sa santé de dégr...
13/03/2025

🌊 Lorsqu’Élodie apprend qu’elle est enceinte, elle accueille cette nouvelle avec joie. Mais rapidement, sa santé de dégrade. Elle souffre en fait d’hyperémèse gravidique,pathologie de la grossesse qui l’empêche de manger et de boire à cause de violentes nausées qui, chez elle, ne passent pas. Son état de déshydratation est tel qu’Élodie souffre de nombreux symptômes physiques et psychiques.

Alors elle doit faire un choix de survie : interrompre cette grossesse tant désirée. Dans son cas, ce qu’elle vit est une IVG. Et ce "V" de "volontaire" a longtemps été dur à assumer pour Élodie. Elle l’est d’ailleurs encore : le poids de cette lettre est lourd à porter pour elle tant les symptômes induits par cette grossesse mettaient sa santé physique et psychique en péril.

🎙️ Son histoire, elle la partage avec vous dans l’épisode 52 d’Au Revoir Podcast.

Dans cet épisode, Élodie revient sur...

• la découverte de sa grossesse
• les nausées, la déshydratation, l’errance thérapeutique
• l’aide apportée par l'association de lutte contre l'hyperémèse gravidique et la rencontre avec un médecin qui la prend au sérieux
• son hospitalisation à domicile et sa vie reliée à des perf’
• son épuisement physique, ses traitements toutes les 3 heures et tous les effets secondaires qui vont avec
• sa détresse psychologique
• la nécessité de se ménager une porte de sortie
• la décision, difficile à prendre, d’interrompre cette grossesse
• le chagrin, l’impression d’être illégitime dans sa peine alors même que les symptômes perdurent au-delà de sa grossesse
• la rencontre avec une infirmière qui lui tend la main : oui, Élodie vit bien un deuil périnatal
• sa lente reconstruction
• son envie de s’engager à son tour auprès de l’association de lutte contre l’hyperémèse gravidique

🎧 Je vous souhaite une belle écoute et je remercie infiniment Élodie pour sa confiance.

➡️🎧 L’épisode 52 « Élodie, mon interruption de grossesse » est dispo sur toutes les plateformes et ici : https://smartlink.ausha.co/aurevoirpodcast/elodie-interruption-de-grossesse-ivg

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