
07/10/2025
Le 7 octobre.
Je crois qu’aucun mot, aucune prière, aucune larme ne suffira jamais à dire ce que ce jour a fait à nos âmes.
Ce n’est pas une date.
C’est une brûlure.
Une plaie qui ne se referme pas.
Un matin où le monde s’est effondré, emportant des vies, des visages, des rires, des familles.
Je me souviens très exactement où j’étais à ce moment précis et avec quelle horreur j’ai vécu ce moment abominable.
Des enfants massacrés.
Des femmes suppliciées.
Des hommes exécutés pour ce qu’ils étaient, pour ce qu’ils représentaient : DES JUIFS.
Ce jour-là, c’est toute l’humanité qui a perdu quelque chose d’irréversible, une nouvelle page de l’histoire c’est écrite.
Depuis, il y a ce vide.
Ce silence qui pèse plus lourd que les bombes.
Ce sentiment d’injustice, d’incompréhension, d’abandon.
Et pourtant, au milieu de la douleur, il reste cette force, cette flamme, fragile mais indestructible.
On a voulu éteindre un peuple.
On l’a rendu éternel.
On a voulu massacrer une nation.
On a réveillé un lion.
On a voulu fracturer des une population.
On l’a rendu unie plus que jamais.
Le 7 octobre n’est pas derrière nous.
Il est dans chaque regard, dans chaque cœur qui se souvient, dans chaque souffle qui refuse de céder à la haine.
Je pense à eux.
À ceux qu’on a arrachés.
À ceux qui pleurent encore.
À ceux qui espèrent malgré tout.
À ceux qui sont encore prisonnier.
Je pense à mon pays, à mon peuple et à ma terre que je défendrai jusqu’au bout.
Malgré la haine de certains, et malgré le boycott, car il faut le dire, soutenir Israël et ce combat contre le terrorisme, c’est s’exposer au à une mise à l’écart dans le business.
Je l’assume et suis fier de mener ce combat.
🕯️ Ce post n’est pas politique.
C’est un cri.
Un cri de douleur, de mémoire, d’amour.
Parce qu’oublier serait une seconde mort.