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Ousmane Sonko a livré, ce vendredi à l’Assemblée nationale, le fond de sa pensée sur ce qui se passe en Guinée Bissau. L...
28/11/2025

Ousmane Sonko a livré, ce vendredi à l’Assemblée nationale, le fond de sa pensée sur ce qui se passe en Guinée Bissau. Le chef du Gouvernement semble partager la même opinion que ceux qui évoquent un faux coup d’Etat, qui serait orchestré par le président Embalò. «Li khew Guinée Bissau nieup Kham nagnou né combine leu (Tout le monde sait que ce qui s’est passé en Guinée c’est une combine)», a lâché le premier ministre lors de la séance de questions d’actualité ce vendredi, à l’hémicycle.

Pour Ousmane Sonko, le processus électoral doit être repris en Guinée Bissau, poursuivi jusqu’à son terme et que les résultats de l’élection soient proclamés. «Que la commission dise celui qui a gagné et que ceux qui ont été arrêtés comme Domingos Simões Pereira, qui n’était même pas candidat mais qui a été arrêté et privé de ses médicaments, soient libérés. Pour ce qui est de la Cedeao vous savez ce que j’en pense», a-t-il indiqué.

Ousmane Sonko et les membres de son gouvernement sont attendus, vendredi prochain, à l’hémicycle, pour une séance de «Qu...
27/11/2025

Ousmane Sonko et les membres de son gouvernement sont attendus, vendredi prochain, à l’hémicycle, pour une séance de «Questions d’actualité́». Mais, une partie des députés non-inscrits et l’ensemble des membres du groupe parlementaire Takku Wallu Sénégal, viennent d’annoncer «leur décision de ne pas y participer».

Dans leur communiqué conjoint, signée par Me Aissata Tall Sall, (Présidente du Groupe parlementaire Takku Wallu) et Anta Babacar Ngom (non inscrite), ils expliquent que cette décision s’inscrit dans une logique de «protéger la dignité́ de l’institution, préserver le cadre républicain du débat parlementaire et refuser la banalisation de pratiques qui la dévalorisent».

En effet, pour ces députés membres de l’opposition, les questions d'actualité ont été́ détournées de leur finalité. Ils estiment que le Premier ministre intervient selon une logique d’opportunité́ politique, sans considération pour le calendrier du Parlement et la solennité́ de l’exercice.

«Ses prises de parole, marquées par des attaques et des insinuations, transforment l’hémicycle en scène de confrontation partisane plutôt qu’en un espace de réponses utiles aux préoccupations des Sénégalaises et des Sénégalais. L’opposition parlementaire refuse de cautionner cette dérive», disent ces élus.

Pour eux, à quelques heures de l’ouverture de la session budgétaire, aucune actualité n’est plus cruciale que le vote du budget de l’État. Un moment déterminant pour aborder des questions «aussi essentielles que l’éducation, la santé, la sécurité́, l’emploi et le pouvoir d’achat». Ils estiment donc que le Parlement doit concentrer ses efforts sur cette session budgétaire.

Ces députés ont aussi rejeté le canevas choisi pour l’exercice de vendredi : «L’opposition parlementaire rejette fermement le dispositif prévu dans le ‘‘code de conduite’’ imposé : une limitation arbitraire à seulement 13 questions pour plus de 25 ministères; une répartition manifestement déséquilibrée du temps de parole entre les groupes ; un mécanisme permettant au groupe PASTEF d’enchainer trois questions et de recevoir les réponses du Premier ministre avant toute intervention des députés de l’opposition, introduisant un déséquilibre qui rapproche dangereusement l’exercice d’un format orienté vers sa communication plutôt que d’un véritable débat parlementaire», fistigent-ils.

Les signataires du communiqué évoquent aussi trois autres raisons pour expliquer leur non-participation à la séance de vendredi. La première, c’est qu’ils estiment que «c’est le Premier ministre qui a décidé, selon son bon vouloir et son propre agenda politique, de faire convoquer les députés». Ce qui est à leurs yeux, inadmissible, dans une démocratie comme la nôtre.

La deuxième raison tient à la volonté́ manifeste du Premier ministre, disent-ils, de transformer l’hémicycle en tribune de meeting politique, vidant ainsi de tout sérieux et de toute crédibilité́ un exercice de haute portée républicaine. «La troisième raison est que l’unique urgence, en ce moment, est de répondre aux difficultés et aux souffrances que vivent les populations du Sénégal», assènent ces députés.

En commission à l’Assemblée nationale, lors de l’examen du budget 2026 de son département, le ministre des Infrastructur...
27/11/2025

En commission à l’Assemblée nationale, lors de l’examen du budget 2026 de son département, le ministre des Infrastructures, Déthié Fall, a adopté un ton particulièrement ferme envers les directeurs généraux (DG) placés sous sa tutelle.

L'ultimatum est clair, selon L'AS : « Les DG qui fermeront leurs portes aux élus seront tout simplement révoqués », a-t-il martelé, rappelant que les dirigeants des structures publiques doivent se montrer disponibles et à l’écoute des représentants du peuple.

Pour l'allié de Ousmane Sonko, refuser d’échanger ou de collaborer avec les élus constitue un manquement grave à la mission de service public.

Avec ce message, décrypte le journal, Déthié Fall affirme une gouvernance fondée sur le dialogue, la transparence et la responsabilité des dirigeants publics.

«La question qui se pose désormais est de savoir comment ces avertissements seront appliqués concrètement et quelles mesures seront prises à l'encontre des DG récalcitrants», s'interroge L'AS.

Sous la supervision du Dr Aminata Touré, récemment désignée par Bassirou Diomaye Faye, la coalition Diomaye Président a ...
27/11/2025

Sous la supervision du Dr Aminata Touré, récemment désignée par Bassirou Diomaye Faye, la coalition Diomaye Président a lancé une vaste restructuration destinée à renforcer son ancrage politique sur tout le territoire. En pleine phase de massification, elle attire de nombreuses organisations - partis, mouvements citoyens et personnalités indépendantes.

« Nous en sommes à 216 lettres signées et la vérification se poursuit », précise Mimi Touré, qui succède à Aïda Mbodj à la tête de la coordination.

Le plan stratégique de Mimi Touré

Déployé depuis une dizaine de jours, le plan s’articule autour de deux axes, détaille L’Observateur :

Renforcer les adhésions

La coalition confirme un regain de ralliements, dont celui du ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Gueye Diop, qui réaffirme toutefois son attachement à la cohésion institutionnelle, reprend le quotidien du Groupe futurs médias (Gfm).

Mailler le territoire

La même source rappelle que la phase opérationnelle a démarré le week-end dernier dans le département de Mbour, notamment à Fissel et Sessène. Mbour a été choisi car Fissel est le lieu de naissance du président Bassirou Diomaye Faye.

Expliquant cette stratégie, le Dr Abdou Faye, membre de la conférence des leaders, cité par L'Observateur, déclare : « La coalition a pour vocation d’être représentative… Mais toutes les communes du pays seront bien représentées, et pour cela, le maillage du territoire est déjà en marche. Nous avons démarré cette massification par le département de Mbour, plus particulièrement l’arrondissement de Fissel qui regroupe les communes de Fissel et Ndiaganiao, lieu de naissance du président de la République. »

Le responsable de Ndiaganiao d'ajouter : « Des directives ont été données pour installer comités, cellules et coordinations dans toutes les localités du pays, et plus particulièrement dans le département de Mbour. Sur les 16 communes que compte le département, nous avons déjà installé ce week-end les comités de Fissel et Sessène. Le processus se poursuit avec efficacité et résilience. »

Cap sur les locales de 2027

En se structurant à la base, la coalition Diomaye Président entend consolider durablement sa présence nationale et affirmer son leadership politique en perspective des élections locales de 2027, se projette le titre de Gfm.

Passe d'armes sur les réseaux sociaux entre le patron de presse en exil Madiambal Diagne, et le maire de Dakar et respon...
26/11/2025

Passe d'armes sur les réseaux sociaux entre le patron de presse en exil Madiambal Diagne, et le maire de Dakar et responsable de Pastef, Abass Fall. Le dernier nommé, en "preview" du face-à-face d'Ousmane Sonko avec les députés vendredi, a lancé les hostilités en s'en prenant au journaliste.

"Dawoul dawlou woul. Aka gnemer limouy Def! Borom Guewou politique bi mou ngui gneuw. Cet homme (Ousmane Sonko, ndlr) n’est pas du genre à fuir comme le « noiro » noirci. Il est là ! Toujours fort! Le courage en bandoulière! Accrochez-vous à vos basques! Allez voir le cardiologue avant le 28 Novembre. Le Maître arrive", a publié l'édile de la Ville de Dakar, avec une pique à Madiambal Diagne.

Le patron d' Avenir Communication, qui n'a pas sa langue dans sa poche, n'a pas tardé à réagir. Sur le réseau social X, il a trouvé "pathétique" la sortie du "Pastefien". "Si Abbas Fall était cultivé, je l'aurais renvoyé à une fable de La Fontaine sur Aliboron. Mais le maire usurpateur de Dakar est au niveau des baudets et ne peut que répéter les âneries de Sonko sur mon teint trop noir. "Noirot" dit-il? Pathétique, l'élite Panafricaniste de Pastef", a écrit Madiambal Diagne.

Ce dernier, sous le coup de poursuites judiciaires notamment pour détournement présumé de deniers, a quitté le Sénégal en catimini la veille de sa convocation pour rejoindre la France. L'Etat du Sénégal a demandé son extradition, mais en audience hier à Versailles, le tribunal français a demandé plus de garanties aux autorités judiciaires sénégalaises avant d'étudier la possibilité de le renvoyer chez lui.

L’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP) a réagi, ce lundi 24 novembre 2025, au communiqué du Syndica...
25/11/2025

L’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP) a réagi, ce lundi 24 novembre 2025, au communiqué du Syndicat autonome des médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes du Sénégal (SAMES). L’institution dément toute responsabilité dans les retards de paiement évoqués et rejette catégoriquement les accusations de politisation de sa gestion.

Selon l’ARP, "les retards de paiement signalés ces dernières semaines ne peuvent en aucun cas être imputés à l’agence. Les salaires du personnel sont, en effet, pris en charge sur des lignes budgétaires centralisées au niveau de l’État". L’agence affirme que ces retards résultent de « facteurs administratifs externes » et qu’elle a collaboré étroitement avec les autorités pour accélérer le processus.

La situation serait désormais « totalement régularisée ». Les motivations trimestrielles, connues sous l’appellation « NEPAD », ont elles aussi été versées, précise la note.

Accusations de dérive : l’ARP rejette “des allégations infondées”
Dans sa sortie, le SAMES avait évoqué des dérives supposées et une politisation interne. L’ARP dément formellement et rappelle que sa gouvernance obéit à des procédures « rigoureuses, transparentes et conformes aux standards nationaux et internationaux », régulièrement auditées. L'agence dit rejeter « toute tentative de mise en cause de son intégrité ou de celle de ses organes de gouvernance ». La direction assure que les différentes missions qui lui sont confiées, contrôle qualité, surveillance du marché, inspections, pharmacovigilance, délivrance des autorisations de mise sur le marché, se poursuivent.

Elle met également en avant ses efforts d’implantation régionale, notamment à travers l’ouverture d’antennes à Saint-Louis et à Kaolack, dans le cadre de la territorialisation des politiques pharmaceutiques prônée par l’Agenda 2050. Ces activités se déroulent « sans interruption » et sans impact sur la disponibilité des médicaments essentiels, souligne-t-elle.

Tout en se disant ouverte à la discussion, l’ARP précise que ce dialogue doit se faire « dans un esprit de responsabilité » et sur la base de faits vérifiés.

Elle appelle enfin à la retenue, réitérant son engagement au service de la santé publique et de la protection des populations.

Un retraité nommé Maleyni Aïdara a été reconnu coupable d’usurpation de fonction et d’abus de confiance puis condamné à ...
25/11/2025

Un retraité nommé Maleyni Aïdara a été reconnu coupable d’usurpation de fonction et d’abus de confiance puis condamné à six mois avec sursis. Il doit en plus payer 5,1 millions de francs CFA, 400 000 et 100 000, respectivement, à Mathieu Ndig Faye, Ousmane Sarr et Awa Thiam, les parties civiles au procès qui s’est déroulé vendredi devant le tribunal des flagrants délits de Pikine/Guédiawaye.

Les plaignants reprochent à Aïdara d’être le complice de C. Seck, l’homme qui leur aurait promis, en vain, de faire sortir leurs conteneurs du Port de Dakar. D’après L’Observateur, qui a assisté à l’audience, ce dernier est en cavale, ce qui fait que le retraité était seul dans le box des accusés.

Victime du plus grand préjudice financier (5,1 millions F CFA) dans cette affaire, Mathieu Ndig Faye a déclaré, selon le quotidien d’information, avoir effectué 34 transactions sans voir son conteneur sortir du port. L’argent, dit-il, a été envoyé à Aïdara lorsque Seck a déclaré que son compte avait plafonné. Faye finira par porter plainte le 29 avril 2024, après plus d’un an de rendez-vous manqués.

Awa Thiam, elle, déclare que Aïdara s’est présenté à elle en lieutenant des douanes, capable de faire avancer son dossier confié à Seck. La plaignante assure avoir envoyé 100 000 francs CFA au retraité, sans obtenir satisfaction. Maleyni Aïdara a réfuté ces accusations, jurant avoir «juste vu [Awa Thiam] au commissariat» et n’avoir jamais déclaré qu’il était douanier.

En revanche, le retraité a reconnu avoir encaissé les 460 000 que Ousmane Sarr, le troisième plaignant, assure lui avoir versé. Mais, il s’est empressé de préciser qu’il a récupéré l’argent pour le compte de C. Seck.

Plaidant pour Aïdara, l’avocat de la défense a balayé l’escroquerie et reconnu l’abus de confiance. La robe a en outre souligné que le mis en cause a déjà été condamné pour ce chef. Il a d’ailleurs comparu après avoir été extrait de prison.

Insensible à la plaidoirie de l’avocat, le procureur a requis trois mois ferme contre le retraité pour abus de confiance et usurpation d’identité. Jetant ses dernières forces dans la bataille, l’avocat de la défense a sollicité la clémence. Niet du juge : Maleyni Aïdara a pris six mois avec sursis en plus de la peine qu’il purge. Sans compter les sanctions financières que le tribunal lui a infligées.

Une attaque violente a coûté la vie à un jeune homme. Il s'agit de Mouhamed Ndiaye, 21 ans, étudiant en première année d...
25/11/2025

Une attaque violente a coûté la vie à un jeune homme. Il s'agit de Mouhamed Ndiaye, 21 ans, étudiant en première année de mécanique à l’Isep de Richard-Toll. Le drame s’est produit sur la RN2, à hauteur du village de Keur Birane.

Selon Libération, qui relaie l'information dans son édition de ce mardi 25 novembre, une vidéo largement partagée et particulièrement poignante montre la victime quelques heures avant le drame en train de « préparer le couscous que vend sa maman ».

Le journal ajoute : « Ce 20 septembre, Mouhamed Ndiaye (21 ans) a effectué le même rituel, à Dagana, avant de prendre la route pour Richard-Toll où il est inscrit en première de Mécanique à l'Isep. »

Le même jour, vers 21h55, alors que Mouhamed Ndiaye et son ami Abdoulaye Diagne Mbodj étaient en route de Dagana vers Richard-Toll à bord d'une moto KTM, ils ont été interceptés par trois individus non identifiés. Face au refus de Mouhamed Ndiaye d'obtempérer, l'un des agresseurs lui a asséné un violent coup de bâton alors que la moto était en marche. L'étudiant est décédé sur le coup en raison de la violence du choc, tandis que son ami, Abdoulaye Diagne Mbodj, a été gravement blessé.

Profitant de l’obscurité, les assaillants ont pris la fuite. La Brigade territoriale de la gendarmerie de Richard-Toll mène actuellement des recherches pour retrouver les trois suspects. Une enquête a été ouverte, complète la même source.

Le site de Mbeubeuss est de nouveau au cœur d'une crise sanitaire préoccupante. Des incinérations de déchets auraient re...
25/11/2025

Le site de Mbeubeuss est de nouveau au cœur d'une crise sanitaire préoccupante. Des incinérations de déchets auraient repris, entraînant une dégradation brutale et inquiétante de la qualité de l’air dans les zones de Malika et de Keur Massar.

Selon Mamadou Fall Malcom, Président de la Plateforme pour la Protection de l’Environnement et des Consommateurs (MBEUBEUSS DAFA DOY), les habitants vivent un calvaire quotidien : « à partir de 5 heures du matin, l’odeur de fumée envahit les maisons, les populations suffoquent, les nuits deviennent impossibles ».

Dans une note rendue publique, Mamadou Fall Malcom alerte sur l'impact direct de cette pollution toxique, évitable, sur la santé des populations. « Les personnes asthmatiques, cardiaques ou souffrant de maladies respiratoires voient leur état se détériorer. Les enfants sont particulièrement touchés », indique-t-il.

Le président de l'association estime que cette situation met directement en danger la santé publique et « viole les engagements du Sénégal en matière de réduction des émissions et de protection de l’environnement ». Il qualifie la persistance de cette situation en 2025 d'incompréhensible, alors que les États s’orientent vers la neutralité carbone et la préservation des écosystèmes urbains.

Face à cette « agression manifeste contre la santé publique », le président de la Plateforme interpelle avec gravité le Président de la République, le Premier ministre et le ministre de l’Environnement. Il exige des actions immédiates, concrètes et durables, notamment : l'ordre immédiat de la suspension totale de toutes les opérations d’incinération à Mbeubeuss ; l'ouverture d’une enquête environnementale et sanitaire d’urgence pour déterminer l’origine et l’ampleur des émissions ; la mise en place de mesures de protection immédiates pour les populations exposées (enfants, personnes âgées, malades respiratoires) ; la présentation d’un plan opérationnel de gestion durable des déchets, en cohérence avec la vision d’un Sénégal juste, souverain et prospère.

Pour Mamadou Fall Malcom, il en va de la santé de milliers de familles, du droit fondamental à un environnement sain et de la crédibilité des engagements environnementaux du Sénégal. Il conclut : « Le silence ou l’inaction seraient incompréhensibles et inacceptables. Les populations de Malika, Keur Massar et des environs exigent des actions immédiates, concrètes et durables ».

Réagissant à l’information selon laquelle il a fait allégeance à la coalition DiomayePrésident, le ministre de l’Industr...
25/11/2025

Réagissant à l’information selon laquelle il a fait allégeance à la coalition DiomayePrésident, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Guèye Diop dit « prendre note » de l’information et rappelle son attachement à la cohésion au sommet de l’État.

Dans une note parvenue à Seneweb, ce lundi 24 novembre 2025, M. Diop affirme que sa « priorité est de contribuer à maintenir une collaboration harmonieuse entre le président de la République et le Premier ministre, afin qu’ils puissent mener leurs missions conjointes dans les meilleures conditions ».

Serigne Guèye Diop insiste ainsi sur la nécessité de préserver l’unité et la stabilité institutionnelle, soulignant que son engagement reste guidé par « l’intérêt supérieur de la Nation ».

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