11/10/2025
Une vendeuse chasse une grand-mère d’un magasin de luxe… mais un policier lui réserve une leçon inattendue
Marie avait toujours été une femme indépendante. Même après sa retraite de bibliothécaire, elle vivait simplement à Lyon, mais son plus grand bonheur restait sa petite-fille Léa, qui s’apprêtait à finir le lycée.
Quand Léa lui confia qu’elle ne voulait pas participer au bal de fin d’année, Marie en eut le cœur serré.
— Mamie, ça ne m’intéresse pas… Je préfère rester avec maman et regarder de vieux films.
— Mais ma chérie, insista Marie, c’est une soirée unique… J’y ai rencontré ton grand-père, tu sais.
— Je n’ai pas de cavalier. Et puis, les robes coûtent bien trop cher… Ça ne vaut pas la peine.
Marie comprit aussitôt : sa petite-fille ne renonçait pas par désintérêt, mais par peur d’être un poids financier. Cette nuit-là, elle ouvrit une vieille boîte en bois où elle gardait ses économies… celles qu’elle avait mises de côté pour ses funérailles. Elle prit une décision : Léa aurait sa robe.
Le lendemain, vêtue avec soin, Marie prit le bus jusqu’au grand centre commercial. Elle entra dans une boutique où brillaient des dizaines de robes de soirée. À peine avait-elle franchi la porte qu’une vendeuse à l’air supérieur s’approcha :
— Bonjour… Je suis Claire. Je peux vous aider ? demanda-t-elle, le regard froid.
— Je cherche une robe de soirée pour ma petite-fille. Je voudrais qu’elle se sente comme une princesse.
— Nos modèles commencent à plusieurs centaines d’euros. Et nous ne faisons pas de location, lâcha la vendeuse sèchement.
Marie tenta malgré tout de regarder les portants. Mais Claire, de plus en plus méprisante, ajouta :
— Peut-être devriez-vous essayer un autre magasin. Ici, notre clientèle est… différente.
Puis, jetant un coup d’œil au vieux sac de la grand-mère :
— Et je préfère vous prévenir : il y a des caméras partout. Alors, pas d’idées mal placées…
Rougissante, blessée au plus profond d’elle-même, Marie quitta la boutique les larmes aux yeux.
À l’extérieur, elle trébucha et laissa échapper le contenu de son sac sur le trottoir. Elle se penchait pour ramasser ses affaires quand une voix bienveillante s’éleva :
— Madame, ça va ?
Un jeune homme en uniforme venait de s’accroupir pour l’aider.
— Merci, officier…
— Pas encore, sourit-il. Je suis seulement élève policier. Lucas Dubois, enchanté. Que s’est-il passé ?
Marie, émue par sa gentillesse, raconta tout : sa petite-fille, ses économies, et l’humiliation infligée par Claire.
Le sourire de Lucas s’effaça aussitôt.
— C’est inadmissible. Venez, on y retourne... 👉 La suite dans le premier commentaire 💬 ⬇️⬇️⬇️