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Source: Le MondeEn 1951, Le Monde soutenait que la Nakba n’existe pas : « Israël n’a ni chassé les Palestiniens, ni volé...
15/02/2025

Source: Le Monde
En 1951, Le Monde soutenait que la Nakba n’existe pas : « Israël n’a ni chassé les Palestiniens, ni volé leurs terres »
L’article date du 21 avril 1951, soit avant que la machine à ré-écrire l’histoire ne soit activée. Le récit fidèle que le Monde publiait alors est bien différent de ce qu’il écrit aujourd’hui. Les journalistes du quotidien du soir vont en broyer du noir.

En substance, ce que publie Le Monde en 1951 détruit ce que publient Le Monde et le reste de la presse depuis 40 ans.

L’article, rédigé par le journaliste de gauche Tibor Mende – à une époque disparue où les journalistes faisaient leur métier en tenant la déontologie en très haute estime – fait voler en éclat de nombreuses inexactitudes historiques à charge contre Israël. A commencer par le crime premier, impardonnable, selon lequel l’Etat juif a colonisé et chassé les Arabes de Palestine.

Là où Le Monde explique qu’Israël n’a pas chassé les Palestiniens, n’a pas volé leurs terres, et n’a pas colonisé la Palestine.

Grincez des dents : la source est impeccable, indiscutable, insoupçonnable de parti-pris sioniste.

« Jéricho, avril. – La Jordanie est formée de montagnes arides et de déserts. Des routes en lacet gravissent les collines escarpées et rocailleuses et, à l’exception de quelques Bédouins nomades et de quelques villageois montés sur leurs mules, seules les jeeps de la Légion arabe sillonnent la campagne. En descendant au-dessous du niveau de la mer jusqu’au paysage étrange et lunaire de la mer Morte, on arrive à une vaste étendue sablonneuse qui précède Jéricho et où plus de vingt mille réfugiés, entassés sous des tentes, sont abandonnés sur le sable brûlant. Ils sont là depuis plus de deux ans.

Sans occupation utile, sans espoir pour l’avenir, ils font la queue trois fois par jour pour la soupe ou pour leurs rations, ils discutent autour des tentes et écoutent les tirades provocantes des vieux mukhtars de village ou des agitateurs professionnels. Déambulant sans but, entourés de ce paysage inhospitalier et nourris de la propagande incessante des notables du camp, leur nervosité croît de jour en jour, jusqu’au moment où leur amertume trouve un exutoire dans des violences dangereuses.

A Naplouse, parmi les olivaies de Samarie ; autour d’Ammam ; dans les grottes de Bethléem ; dans l’ombre de la mosquée d’Omar à Jérusalem, des centaines de milliers de réfugiés attendent, dans des campements infects et sous des tentes en lambeaux, le jour où, dans le sillage des armées vengeresses de la Ligue arabe, ils retourneront chez eux. C’est ce qu’on leur fait croire dans tous les camps qui parsèment la carte de la Jordanie et partout la tension monte à mesure que les jours passent sans apporter de changement à leur existence sans but.

Il y a quelques jours un fonctionnaire de district a été assassiné par des réfugiés surexcités. Pas loin d’ici, dans un autre camp, les magasins d’approvisionnement ont été mis au pillage par une foule furieuse et il circule de mauvaises rumeurs d’armes cachées dans les camps, de violences et d’agitation croissante.

Où qu’on aille dans ce pays c’est partout la même histoire. Les réfugiés groupés dans les villes et les villages connaissent souvent des conditions encore pires que ceux des camps, qui reçoivent du moins quelques soins médicaux et hygiéniques.

Pour comprendre les origines de ce problème terrifiant, il est nécessaire de se reporter à l’époque de la lutte, en 1948.

On peut poser mille fois la question de savoir pourquoi ces gens ont quitté leurs foyers de Palestine, on obtiendra mille réponses différentes. Certains ne voulaient pas vivre dans un État juif ; d’autres ont fui la bataille et, une fois celle-ci terminée, n’ont jamais trouvé l’occasion de rentrer chez eux. Beaucoup plus nombreux sont ceux qui sont partis parce qu’on leur avait dit que c’était pour quelques jours, quelques semaines au plus, et qu’ils reviendraient avec les armées arabes triomphantes pour retrouver plus qu’ils n’avaient jamais possédé. »

[Cette mention est d’une grande importance. Les Arabes de Palestine disent aujourd’hui – et c’est le narratif que reprennent les médias – qu’ils ont été chassés de leurs terres par les Juifs colonisateurs. Mende dit qu’il n’en est rien. De nombreux historiens et commentateurs de premier plan, à qui les colonnes des journaux sont généralement interdites, confirment cette réalité que ce sont les nations arabes qui ont demandé aux habitants de Palestine de partir pour laisser le champ libre à leurs armées afin d’exterminer les juifs. Et cette réalité détruit l’argument qu’Israël est un Etat colonisateur]

« La plupart d’entre eux n’avaient rien à perdre de toute façon ; ils travaillaient comme ouvriers agricoles chez des propriétaires arabes, et n’avaient fait qu’obéir, comme toujours, aux ordres de leurs supérieurs. Lorsque le flot des réfugiés eut franchi la ligne qui devait devenir la frontière israélienne, les États arabes se trouvèrent débordés, et, avec la coopération d’organisations bénévoles, les Nations unies durent se mettre de la partie. »

Les efforts de l’UNRWA

En 1950 l’Office de secours et de travaux pour les réfugiés de Palestine (U.N.R.W.A.), ayant à sa tête un Canadien, le général Kennedy, assisté du représentant de la Grande-Bretagne, Sir Henry Knight, prit l’affaire en main. La succession était lourde. La Jordanie à elle seule avait plus de 450 000 réfugiés, le Liban 120 000, et la Syrie 80 000. Dans le « couloir de Gaza » – bande de terre stérile de 40 kilomètres de long sur 6 kilomètres de large, attenante à l’Égypte – deux cent cinquante mille personnes sont entassées dans l’un des camps les plus sinistres que notre monde, pourtant si tourmenté, ait jamais connus.

Mais les secours matériels, lorsqu’ils viennent seuls, ne font que démoraliser et d’autres décisions s’imposaient. L’établissement définitif (re-settlement) des réfugiés semblait encore impossible étant donnée l’atmosphère générale. L’U.N.R.W.A. fut autorisé à organiser en même temps que les secours des travaux destinés à procurer une occupation utile aux malheureux habitants des camps. La construction des routes et quelques projets insignifiants mis à part, les « travaux » se heurtèrent à des difficultés. En 1950, 17 % seulement des fonds de l’U.N.R.W.A. ont été dépensés à créer des occupations utiles pour les réfugiés, contre 70 % consacrés aux rations ; et cependant les pays où vivent ces réfugiés ont un besoin criant de bonnes routes et de travaux publics de toute sorte.

En novembre 1950 l’O.N.U. donnait son approbation à un projet d’installation définitive des réfugiés dans les pays arabes et en Israël, sans préjudice de leur droit de retourner chez eux ou de recevoir une compensation pour la perte de leurs biens. Encore une fois, des forces apparemment plus puissantes que l’U.N.R.W.A. s’opposèrent à ce progrès.

[Dès 1950, « des forces plus puissantes » que l’ONU sacrifient les réfugiés de Palestine pour en faire l’arme éternelle contre Israël qui dure jusqu’à aujourd’hui, en s’opposant à leur permettre de s’installer définitivement dans les pays arabes et en Israël]

« Pour 1950-1951 l’U.N.R.W.A. avait demandé 54 millions de dollars, mais 43 millions seulement ont été souscrits, principalement par les U.S.A., la Grande-Bretagne et la France. Les pays du Moyen-Orient ont promis moins de 2 millions.

Pendant ce temps un certain nombre de choses se sont éclaircies.

• Menacé chaque jour par la presse arabe d’un « second round » de la guerre, Israël ne tient pas, cela se comprend, à laisser rentrer un grand nombre d’Arabes qui pourraient former une cinquième colonne en puissance dans un État dont les Arabes se refusent à reconnaître les frontières.

• En second lieu, malgré leurs déclarations charitables, les États arabes n’ont pas bougé le petit doigt pour permettre aux réfugiés de s’établir chez eux.

• Troisièmement, l’U.N.R.W.A. s’est montré incapable de faire quoi que ce soit d’effectif pour l’intégration de ces malheureux dans un système nouveau et définitif.

Cependant la question des huit cent cinquante mille réfugiés prend les proportions d’un grave problème international. (Il faut noter toutefois qu’en face des chiffres cités à la Chambre des Communes le dernier rapport des Nations unies sur le Moyen-Orient ne mentionne que 726 000 réfugiés arabes.) C’est un brandon qu’il est dangereux de laisser traîner dans une région déjà explosive d’un monde livré à la guerre froide, et qui menace la stabilité de toute la Méditerranée Orientale. »

La seule solution : l’établissement des réfugiés

« A l’heure actuelle tout le monde est d’accord pour reconnaître que l’établissement des réfugiés est la seule solution.

Les Nations unies ont proposé à cet effet une résolution ; le même principe a été accepté à la Chambre des communes. Le roi Abdullah a proclamé que la Jordanie était prête à accueillir les réfugiés comme citoyens permanents. L’ouest du royaume comporte quantité de terres cultivables qui demandent des bras, et tous les pays arabes ont une population nettement insuffisante. Et pourtant, s’il est un mot qu’on ne prononce actuellement en Moyen-Orient qu’à voix basse et avec terreur, c’est bien celui d’« intégration ». Aucun officiel n’ose s’en faire le champion ; nul politicien ne la soutiendrait, et, apparemment, nulle grande puissance n’a le courage de la reconnaître pour l’un de ses buts.

L’un des jeunes bureaucrates grassement payés que l’U.N.R.W.A. entretient à Beyrouth – un de ces fonctionnaires internationaux dont l’idéalisme s’accroche obstinément à des illusions – me racontait qu’il y a quelques mois il avait organisé dans un des camps de réfugiés la culture des légumes autour des tentes. Occuper ces gens tout en ajoutant à leurs maigres rations quelques légumes frais lui avait semblé une excellente idée. Quelques semaines plus t**d arrivait du quartier général une sévère réprimande : « Arrêtez immédiatement opération carré légumes… ». « La raison ? », demandai-je, désireux d’obtenir quelques éclaircissements. « Cela sentait l’intégration… ». Il haussa les épaules.

Ce tout petit exemple, qui n’a rien d’exceptionnel, vient à l’appui de la thèse largement répandue selon laquelle les Nations unies dépenseraient de grosses sommes d’argent pour créer un problème des réfugiés plutôt que pour le résoudre. Ville après ville, camp après camp, j’ai demandé aux chefs de district et aux responsables des camps à combien de réfugiés ils avaient permis de s’établir au cours de l’année écoulée ; partout, sans exception, la réponse a été « aucun ». »

La peur de l’« intégration »

« Un Arabe instruit, actuellement employé par l’U.N.R.W.A., m’a montré un dossier contenant des suggestions, toutes repoussées, pour l’établissement de ses frères.

Tout ce qui reste de son enthousiasme c’est le sourire cynique avec lequel il fait allusion à la « haute politique », et qui s’accompagne d’un haussement des épaules contagieux. Sur les 800 600 dollars dépensés chaque mois pour les réfugiés, pas un n’a servi jusqu’à ce jour à engager un seul individu dans la voie d’une vie nouvelle. Comme pour montrer ce qu’il est possible de faire, même avec des fonds insignifiants mais avec une sincère bonne volonté, – et des moyens de fortune mendiés aux quatre coins du monde, – l’U.N.E.S.C.O. a créé dans les camps des écoles et des centres d’apprentissage dans lesquels, miraculeusement à l’abri de la bureaucratie de Beyrouth, on essaie d’enseigner le métier de charpentier, celui de cordonnier, et d’autres tout aussi utiles, à de jeunes Arabes au regard brillant d’intelligence. Sans cela ces enfants seraient condamnés à partager le désœuvrement et la décomposition morale de leurs aînés.

Où est l’explication ? Qui est responsable de cette curieuse impasse ?

Richard Crossman, député travailliste, qui se trouvait ici il y a quelques jours, a essayé de donner une réponse à ces questions au cours du débat du 15 mars à la Chambre des communes.

« …Tant que nous compterons sur l’O.N.U. pour faire quelque chose de sérieux pour l’établissement des réfugiés, nous ne ferons que nous leurrer, car l’O.N.U. est une organisation politique », a-t-il déclaré.

« Il y a la Ligue arabe et toute la politique de la Ligue arabe… La Ligue arabe a besoin du problème des réfugiés pour maintenir la cohésion contre Israël.. L’établissement des réfugiés la priverait de son sujet de plainte le plus important. En second lieu, une paix entre la Jordanie et Israël serait des plus embarrassantes, du point de vue de la Ligue arabe, en levant l’embargo sur Israël… Tel est, me semble-t-il, l’impasse à laquelle nous nous trouvons acculés… »

Loin de Westminster, à quelques kilomètres d’ici, un Arabe, personnage officiel de l’un dos camps, me disait la même chose en d’autres termes :

« Si j’avais eu les millions que l’O.N.U. distribue ici, il y a longtemps que le problème serait résolu. Ce pays est immense, il ne manque pas de terre… Si seulement les pachas voulaient permettre aux réfugiés de s’y installer… », et il fit un geste large de ses deux bras.

« Regardez ce qu’ils font de l’autre côté… Le problème qui se pose à eux est encore plus vaste, et ils arrivent à le résoudre… » – et il désignait du doigt, par delà les collines, la frontière israélienne.

Il nous fallut en rester là, car des camions bringuebalaient sur la route, chargés de caisses portant l’inscription O.N.U., et les enfants s’alignaient pour la distribution quotidienne de lait. La psalmodie du Coran se tut brusquement : c’était l’heure du repas… (A suivre.) »

Source: Le Monde

https://www.lemonde.fr/archives/article/1951/04/21/le-probleme-des-refugies-de-palestine-pese-lourdement-sur-le-royaume_2078645_1819218.html?xtmc=&xtcr=1
https://israel247.org/le-monde-explique-quisrael-na-pas-chasse-les-palestiniens-ou-vole-leurs-terres-ou-colonise-la-palestine-dans-un-edito-de-1954-29816.html
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La presse de 1951, mais aussi des témoignages arabes, détruisent le mythe de propagande islamopalestiniste comme de la propagande onusienne et de l’Union Européenne d’une expulsion forcée des palestiniens par Israël, et censurent qu’en 1948, l’agression génocidaire est arabe, mais aussi que ce conflit n’a pas débuté en 1948, mais dés les années 1880 .
Dans les années 20, ce conflit régional était déjà sanglant et terrifiant, et l’agresseur colonial était arabe.

Les analyses ultérieures sont toutes faciles à balayer, ainsi que les diffamations sur un prétendu apartheid israélien, mais il a fallu cinquante ans de réécriture de l’histoire avec l’élaboration d’une bibliothèque idéologique de la haine anti-israélienne, abondante ,et des financements et une mise en avant d’ideologues israéliens d’extreme gauche pour cimenter cette bibliothèque du prêt-à-genocider les israéliens, vendue dans toutes les librairies, que même les conseillers, les nombreux Stéphane Hessel et Charles Enderlin de service, les écoles de journalisme, les experts en histoire du moyen-orient, les instituts d’étude politique, les ministres des affaires étrangères et les diplomates européens utilisent.

Les résolutions onusiennes votées et signées mentent depuis le début, dictant la politique obnubilatoire anti-israélienne des nations, et offrant à l’extrême gauche ( avec les pacifistes ou écologistes, etc) , et aux anti-occidentaux, les armes idéologiques pour accuser Israel de tout les tords, et en faire le paria des nations, et la poupée vaudou expiatoire de nos propres tords colonialistes.
Israel devenait l’ennemi moral de par les mensonges des résolutions onusiennes successives et frénétiques, et une obnubilation des pays non alignés et anticapitalistes.
Le Héros , Israel, de la presse des années 48/50, David repoussant Goliath, allait devenir progressivement le Dracula des états, malgré son exemplarité démocratique inédite dans toute le moyen-orient.
La peur d’un crash pétrolier allait enterrer et censurer toute analyse du conflit.
Générations après générations, nous avons été bercé par une morale onusienne qui formate nos certitudes, jusqu’a ce que toute critique de l’onu soit prise comme de la propagande, du complotisme, ou un discours d’extreme-droite ou islamophobe, au mieux avec un petit sourire amusé et poli.

L’article (1) date du 21 avril 1951, soit avant que la machine à ré-écrire l’histoire ne soit activée. Le récit fidèle que le Monde publiait alors est bien différent de ce qu’il é…

« La Cour Pénale Internationale est une émanation de l’Organisation des Nations Unies. On peut donc toujours s’attendre ...
31/01/2025

« La Cour Pénale Internationale est une émanation de l’Organisation des Nations Unies. On peut donc toujours s’attendre au pire de sa part.
Lors de sa création, l’Organisation des Nations Unies comprenait une majorité de démocraties et une minorité de dictatures. Depuis la décolonisation, au cours des années 1960, un changement radical s’est produit, et désormais, les démocraties sont très minoritaires au sein de l’Organisation, qui est très largement dominée par les dictatures, les tyrannies, les régimes totalitaires. Les pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), qui compte cinquante-sept membres, y forment un bloc supérieur en nombre à celui des démocraties occidentales. Le mouvement des pays non alignés, pays qui sont en fait alignés sur des positions résolument anti-occidentales, compte cent-vingt pays, ce qui constitue une majorité très nette, et les pays de l’OCI en font tous partie. En Assemblée Générale, les textes les plus délirants et les plus abjects sont aisément (et logiquement) adoptés, surtout lorsqu’ils sont anti-israéliens. Comme l’a dit Abba Eban dans les années 1970, au temps où il était ministre des affaires étrangères d’Israël, si une résolution était présentée à l’assemblée générale de l’ONU disant que la terre est plate et que c’est Israël qui l’a aplatie, elle serait votée à une écrasante majorité.

Les résolutions les plus néfastes sont, en général, bloquées au sein du Conseil de Sécurité par les États-Unis qui font partie de ses cinq membres permanents, disposent d’un droit de veto, et sont dès lors seuls à sauver l’honneur du monde occidental : la France et le Royaume-Uni, qui disposent aussi du droit de veto, adoptent le plus souvent la position couchée de la carpette sur laquelle on peut s’essuyer les pieds, et sont prêts, à la différence des États-Unis, à laisser passer n’importe quoi, y compris le pire.

L’UNESCO est elle-même une émanation de l’ONU, et est censée préserver l’héritage culturel de l’humanité, mais procède désormais à des falsifications qui sont tout particulièrement intenses lorsque, sous l’influence des pays musulmans, il s’agit de la culture juive, et dans les documents de l’UNESCO, les sites les plus sacrés du judaïsme reçoivent des appellations islamiques : le Mont du Temple est appelé Dôme du Rocher, le Kotel (mur des lamentations), mur d’al-Buraq (la créature ailée qui est censée avoir permis à Mohammed de monter au ciel vers le paradis d’Allah), le Caveau des Patriarches, sanctuaire d’Ibrahim.

Le Conseil des droits de l’homme, soumis à la même influence, ne trouve depuis des années qu’un seul pays sur terre qui viole des droits de l’homme et ce pays est, bien sûr, Israël, et ne comptez pas sur le Conseil des droits de l’homme pour s’intéresser à ce qui se passe en Iran ou dans d’autres pays islamiques où ont cours des pratiques ignobles et où sont perpétrés des crimes atroces (Iran et Syrie, par exemple), non. Les États-Unis ont quitté ce conseil ignoble sous Ronald Reagan, sous George Walker Bush, puis à nouveau sous Donald Trump. Ils y sont retournés sous la présidence de Bill Clinton, sous celle de Barack Obama, puis sous celle de Joe Biden : il faut toujours attendre le pire d’une présidence démocrate aux États-Unis.

La commission sur le désarmement a été présidée plusieurs fois par des pays qui se livrent au trafic d’armes. »

Guy Milliere

Analyse:Israël est l’occupant légal de la Cisjordanie, dit la Cour d’appel de Versailles en France.Lors d’un conflit qui...
27/01/2025

Analyse:
Israël est l’occupant légal de la Cisjordanie, dit la Cour d’appel de Versailles en France.
Lors d’un conflit qui opposait Alstom et Véolia à l’Autorité palestinienne, la Cour d’appel de Versailles a été amenée à examiner les droits des Palestiniens et des Israéliens sur la Cisjordanie. Leur conclusion : les Palestiniens n’ont aucun droit – au sens du droit international – sur la région, contrairement à Israël, qui est légitimement en droit d’occuper toutes les terres.

Source :

https://www.dreuz.info/2024/11/la-cour-dappel-de-versailles-olp-2-44324.html

Initialement publié le 25 décembre 2016 @ 14:02 Lors d’un procès historique soigneusement caché par les médias, la 3e chambre de la Cour d’appel de Versailles déclare qu’Israël est l’occupant légal de la Cisjordanie*. Lors d’un conflit qui opposait Alstom et Véolia à l’Autorit....

23/01/2025
08/01/2025
Selon le sud-soudanais Simon Deng, les palestiniens affament l’Afrique en confisquant la majorité de l’aide onusienne de...
31/10/2024

Selon le sud-soudanais Simon Deng, les palestiniens affament l’Afrique en confisquant la majorité de l’aide onusienne destinée à toute l’Afrique.
L’Apartheid racial palestinien, une société islamiste fasciste qui brime les femmes, massacre les LGBT, éduque au racisme contre les non-musulmans dés l’école primaire, fait fuir massivement les minorités chrétiennes, puni officiellement de la peine de mort quiconque vend un bien à un juif, et pratique la torture, n’est jamais évoqué à l’onu !!!

Norbert Stachel, Waters’ former saxophonist, alleged several instances where he said Waters displayed anti-Jewish sentim...
13/09/2024

Norbert Stachel, Waters’ former saxophonist, alleged several instances where he said Waters displayed anti-Jewish sentiment. He claimed Waters lost his temper on tour in Lebanon after a succession of vegetarian dishes were produced at a restaurant and demanded that waiters “take away the Jew food”.

Stachel also alleged Waters mocked his grandmother who was murdered in the Holocaust, and that a colleague warned him not to react to any comments about Jews if he wanted to keep his job.

The allegations were made in an online documentary by the CAA presented by the veteran Panorama journalist John Ware.

The music producer Bob Ezrin claimed that when he was in England in the 1970s producing the album The Wall, Waters invented a ditty about the band’s agent Bryan Morrison. Ezrin said: “I can’t remember the exact circumstance, but something like you know … the last line of the couplet was ‘cos Morry is a fu***ng J ew’.”

02/2024 BMG lets go of Roger Waters after his anti-Semitic and pro-Russian remarks.

https://www.youtube.com/watch?v=vNA6MCzyCSg

“Dirty k**e”“Jew food”"F**king Jew"Is Roger Waters antisemitic?Watch The Dark Side of Roger Waters now and decide for yourself.Then add your voice at antisem...

Sondage:POUR 58% DES FRANÇAIS, MACRON NE DOIT PAS NOMMER LUCIE CASTETS À MATIGNON
25/07/2024

Sondage:
POUR 58% DES FRANÇAIS, MACRON NE DOIT PAS NOMMER LUCIE CASTETS À MATIGNON

Lucie Castets a demandé ce mercredi 24 juillet au chef de l'État "de prendre ses responsabilités" et de la nommer au poste de cheffe du gouvernement.

25/06/2024

"Reconnaître aujourd'hui un Etat palestinien serait reconnaître le terrorisme" (Jordan Bardella)
"Ce serait accorder une légitimité politique à une organisation qui prévoit dans sa charte la destruction de l'Etat d'Israël"

"Je ne dis pas que cela ne doit pas rester un horizon mais reconnaître un État palestinien au moment où nous nous parlons, ce serait reconnaître le terrorisme", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. "Ce serait accorder une légitimité politique à une organisation qui prévoit dans sa charte la destruction de l'Etat d'Israël", a-t-il ajouté, en référence au Hamas.

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Un documentaire confirme l’antisémitisme de Roger WatersL'ex-leader de Pink Floyd s'est - entre autres - moqué d'une vic...
17/06/2024

Un documentaire confirme l’antisémitisme de Roger Waters
L'ex-leader de Pink Floyd s'est - entre autres - moqué d'une victime de la Shoah et a humilié son entourage juif, selon le documentaire de l'ONG Campaign Against Antisemitism.

L’ancien leader des Pink Floyd, Roger Waters, aurait voulu écrire des insultes antisémites sur un cochon gonflable qui était utilisé comme accessoire de scène, aurait raillé une victime de la Shoah et humilié des membres juifs de son entourage, selon un nouveau documentaire.

Ce film de 37 minutes, intitulé « The Dark Side of Roger Waters », [La face obscure de Roger Waters], est sorti mercredi à l’initiative de l’organisation britannique Campaign Against Antisemitism [Campagne contre l’antisémitisme].

Dans ce film, les réalisateurs interrogent d’anciens membres du groupe et des collaborateurs de Waters et révèlent un courriel antisémite envoyé par le musicien, confirmant ainsi les accusations d’antisémitisme portées de longue date à l’encontre de la rock star. Waters est un fervent défenseur des Palestiniens et il nie toutes les allégations d’antisémitisme.

Dans un e-mail révélé dans le film, Waters demande à son équipe d’ajouter des tropes antisémites à un accessoire de scène lors de sa tournée de 2010.

« Hey les gars, qui va s’occuper du cochon ? », écrit Rogers dans l’e-mail de 2010, en référence à un gros cochon gonflable qui survole le public lors de ses concerts. Waters explique comment il « imagine » le cochon couvert de slogans tels que « dirty k**e » (sale yo upin), un mot raciste et profondément offensant qui fait référence au peuple juif.

Il suggère également d’y apposer des signes de dollars et des slogans tels que « follow the money » [suivez l’argent], « scum » [racaille], un croissant et une étoile ainsi que des étoiles de David, entre autres slogans et symboles, comme on peut le voir dans le film.

En 2013, lors d’un concert en Belgique, Waters a été critiqué pour avoir fait flotter au-dessus de son public un cochon décoré d’une étoile de David et de symboles de régimes dictatoriaux.

Waters avait également suggéré de « bombarder » le public de confettis en forme de croix gammée, d’étoile de David et de signes de dollar, selon le film.

Les réalisateurs ont rencontré Norbert Stachel, ancien saxophoniste de Waters, et Bob Ezrin, producteur de musique renommé qui a travaillé avec Pink Floyd sur son album phare de 1979, « The Wall ».

Stachel et Ezrin, tous deux Juifs, ont affirmé que Waters avait tenu des propos désobligeants ou méprisants à l’égard des Juifs.

Dans l’un des incidents allégués, Stachel rapporte qu’en 2002, Waters s’est moqué de sa grand-mère, assassinée pendant la Shoah.

Au cours d’une conversation, Stachel a dit à Waters que tous les membres de la famille de son père avaient été tués pendant le génocide, ce à quoi Waters a répondu : « Je peux t’aider à retrouver les membres de ta famille qui sont morts il y a longtemps. Je peux t’aider à rencontrer ta grand-mère décédée. »

Selon Stachel, Waters lui aurait dit : « J’imite très bien les paysannes polonaises. »

« C’était un genre de slapstick, une manière insultante d’imiter la façon de parler d’une personne sans éducation, de classe inférieure et peut-être pas très intelligente », a expliqué Stachel. « Ce qui m’a frappé, c’est qu’après avoir fait cela, il a continué en disant : ‘Voilà, tu as rencontré ta grand-mère, qu’est-ce que tu en penses ?' »

Stachel a également raconté comment Waters avait été agacé par des plats végétariens lors d’un repas au cours d’une tournée au Liban en 2002, et les avait qualifiés de « bouffe de J uif ».

« Qu’est-ce que c’est que cette bouffe de Ju if ? Enlevez la bouffe de Ju if », aurait dit Waters, toujours selon Stachel.

« Et j’étais assis là, ‘Oh, bon sang’, vous savez, bouche bée une fois de plus et un peu paniqué », a confié Stachel.

Un collègue aurait conseillé à Stachel de ne pas réagir aux remarques anti-juives s’il voulait conserver son emploi.

Au cours d’une dispute entre Waters et un ami, Stachel dit avoir entendu Waters contester le fait que les Juifs constituaient un groupe racial et qu’il les avait décrits comme des « Européens qui se laissent pousser la barbe ».

« Ils pratiquent la religion du judaïsme, mais ils ne sont pas différents de moi, il n’y a pas de différence dans leurs origines, leur histoire, leur culture ou quoi que ce soit d’autre », aurait déclaré Waters selon Stachel.

Selon Ezrin, Waters lui a un jour chanté une chanson improvisée sur Bryan Morrison, son agent de l’époque, qui se terminait par la phrase « Morri is a fu***ng Je w » [Morri est un pu**in de Ju if].

Le documentaire a été réalisé par le journaliste John Ware, reporter pour l’émission Panorama de la BBC. Ware a également enquêté sur l’antisémitisme au sein du Parti travailliste britannique sous le mandat de Jeremy Corbyn, qui a été écarté à la suite d’un énorme scandale concernant des allégations d’antisémitisme généralisé au sein du parti.
Selon Gideon Falter, directeur général de Campaign Against Antisemitism, « Roger Waters a utilisé à plusieurs reprises son énorme tribune pour faire du tort aux Juifs, tout en affirmant qu’il n’était pas antisémite ».

« Nous étions convaincus qu’il existait des preuves du contraire, et avec la sortie de ‘The Dark Side of Roger Waters’ ces preuves sont désormais rendues publiques. »

« Difficile de concevoir qu’une rockstar puisse brandir le mot ‘N’ pendant ses concerts, et pourtant, c’est exactement ce que Roger Waters a demandé à son équipe de faire avec le mot ‘K’. Non seulement cela, mais il semble avoir pris le temps d’humilier et de harceler son personnel juif », a ajouté Falter. « Quand on regarde ce film, on ne peut s’empêcher de se demander quel genre d’individu peut exploiter son pouvoir à cette fin. Roger Waters est-il antisémite ? Les gens peuvent maintenant se faire leur propre opinion. »

Roger Waters a été accusé à plusieurs reprises d’antisémitisme par des groupes et des autorités communautaires juifs aux États-Unis, en Europe et en Israël.

Il a reproché à certains artistes d’inclure l’État juif dans leurs tournées, a accusé le « lobby juif » d’avoir la mainmise sur l’industrie musicale, a comparé Israël à l’Allemagne nazie et s’est produit sur scène dans un costume ressemblant à celui des n***s.

En juin, le département d’État américain a accusé Waters de « distorsion de la Shoah » et d’avoir une « longue expérience de l’utilisation de tropes antisémites pour dénigrer le peuple juif ».

Article Par Michael Horovitz
29 septembre 2023

https://www.youtube.com/watch?v=vNA6MCzyCSg

“Dirty k**e”“Jew food”"F**king Jew"Is Roger Waters antisemitic?Watch The Dark Side of Roger Waters now and decide for yourself.Then add your voice at antisem...

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