Plume de Sagesse

Plume de Sagesse Des mots pour apaiser, éveiller et inspirer. Citations, pensées profondes et éclats de sagesse pour nourrir l’âme au quotidien.

Suivez la plume… elle sait parfois dire ce que le cœur ressent en silence.

On en croise des gens.Des regards, des sourires, des frissons de passage.On vit des débuts pleins de promesses,des histo...
15/06/2025

On en croise des gens.

Des regards, des sourires, des frissons de passage.

On vit des débuts pleins de promesses,

des histoires qui s’éteignent comme elles ont commencé —

vite, brutalement, sans explication claire.

Alors parfois, on se dit que l’amour, c’est peut-être une illusion.

Un beau rêve que certains effleurent, mais que peu vivent vraiment.

Et puis un jour…

quelque chose change.

Quelqu’un entre.

Pas avec fracas, mais avec évidence.

Quelqu’un qui ne fait pas juste battre ton cœur plus vite,

mais qui l’apaise.

Quelqu’un qui te regarde comme si t’étais tout sauf un hasard.

Ce n’est pas qu’un coup de foudre.

C’est un ancrage.

C’est une présence qui ne prend pas toute la place,

mais qui fait de la tienne un endroit où il fait bon être.

C’est quelqu’un qui te voit, même dans tes silences,

qui comprend sans que tu expliques tout,

qui reste même quand t’as plus les bons mots.

Et là, tu sais.

Tu l’as trouvé.

L’amour de ta vie.

Celui qui fait résonner ton âme.

Celui avec qui tout est plus clair, plus vrai, plus simple… même quand c’est difficile.

Et quand on le trouve…

on ne le lâche pas.

On l’honore.

On le choisit, même les jours où c’est moins magique.

Parce que l’amour de ta vie, ce n’est pas celui qui t’évite les tempêtes,

c’est celui avec qui tu apprends à danser sous la pluie.

On ne lâche pas un amour comme ça

pour un doute passager,

pour une peur,

pour une fierté mal placée.

On l’écoute, on le protège, on le construit.

Parce que ce genre de lien, ça ne tombe pas deux fois.

Si tu as trouvé cette personne,

rappelle-toi :

l’amour de ta vie, ce n’est pas une coïncidence.

C’est une promesse silencieuse entre deux âmes prêtes à marcher ensemble.

Et quand la vie vous met l’un en face de l’autre…

le vrai courage,

c’est de ne plus jamais reculer.

Mon silence n’est pas vide.Il est plein.Plein de ce que j’ai déjà dit cent fois,mais qu’on n’a pas entendu.Plein d’effor...
15/06/2025

Mon silence n’est pas vide.

Il est plein.

Plein de ce que j’ai déjà dit cent fois,

mais qu’on n’a pas entendu.

Plein d’efforts que j’ai faits sans qu’on les voie.

Plein de douleurs que j’ai avalées sans bruit,

parce que j’espérais encore,

parce que je croyais qu’à force d’expliquer,

quelqu’un finirait par comprendre.

Je ne suis pas du genre à partir au premier malentendu.

Je parle.

Je tends la main.

Je plaisante pour détendre, je temporise, je m’excuse même quand ce n’est pas ma faute.

Je veux la paix.

Je veux que ça tienne.

Je me bats pour que les choses s’arrangent,

même quand ça me coûte.

Mais là…

je me tais.

Et crois-moi, ce silence n’a rien de banal.

Il ne dit pas que je m’en fiche.

Il dit que j’ai tout tenté.

Il dit que mon cœur est épuisé.

Il dit que ma voix ne trouve plus d’écho.

C’est étrange, hein ?

Comment quelqu’un qui faisait tout pour maintenir le lien

finit par ne plus rien dire du tout.

Mais ce n’est pas de la froideur.

C’est un mécanisme de survie.

Un instinct de protection.

Un cri muet qui dit : "Je ne peux plus."

J’ai atteint cette limite invisible,

celle qu’on ne remarque que quand elle est franchie.

Celle que même moi, j’espérais ne jamais rencontrer.

Mais voilà, j’y suis.

Et je ne vais pas forcer ce qui me fait mal.

Je ne vais pas me battre seul pour deux.

Je ne vais pas user mes mots

sur quelqu’un qui choisit de ne pas les recevoir.

Mon silence, c’est ma façon de me sauver.

De reprendre mon souffle.

De ne plus me détruire pour des liens qui m’ignorent quand je souffre.

Je ne fais pas de bruit, non.

Mais à l’intérieur,

c’est un monde entier qui se réorganise sans toi.

Il y a des jours où tout semble trop lourd.Où chaque pas demande un effort.Où le simple fait de se lever, de sourire, de...
15/06/2025

Il y a des jours où tout semble trop lourd.

Où chaque pas demande un effort.

Où le simple fait de se lever, de sourire, de répondre à un message…

devient une montagne invisible à gravir.

Parfois, ça ne va pas.

Ni aujourd’hui.

Ni ce soir.

Ni demain.

Et tu regardes autour, et tu te demandes si ça changera un jour.

Tu veux espérer, mais l’espoir lui-même semble épuisé.

Et c’est ok.

Parce qu’il faut parfois traverser le pire,

pas pour le mériter,

mais pour comprendre.

Il faut parfois ressentir le vide pour mesurer la valeur du plein.

Il faut parfois plonger dans la nuit pour vraiment reconnaître la lumière.

Il faut parfois vivre le mal, le dur, le flou,

pour apprendre à accueillir pleinement ce qui est doux, juste et vrai.

Tu ne le vois peut-être pas encore,

mais ce que tu vis maintenant est en train de te transformer.

De te renforcer.

De t’ouvrir à quelque chose que tu ne connais pas encore :

ta résilience.

Ta capacité à renaître.

À reconstruire.

À aimer encore, même si tout t’a appris à te méfier.

Ce n’est pas une question de “penser positif”.

Ce n’est pas un conte de fées.

C’est une vérité simple :

le bonheur que tu goûteras un jour

aura le goût de tout ce que tu as enduré.

Et ce bonheur-là,

il ne viendra pas forcément avec des feux d’artifice.

Il viendra peut-être un matin ordinaire,

dans un silence doux,

dans un regard sincère,

dans une respiration enfin libre.

Et tu comprendras.

Que c’était pour ça.

Pas pour souffrir.

Mais pour ressentir plus fort.

Alors même si ça ne va pas maintenant,

tiens.

Un jour, tout ce que tu vis fera partie d’un avant.

Et tu pourras regarder derrière toi en murmurant :

“J’ai traversé tout ça…

et maintenant, je respire.”

Tu peux ne pas y croire tous les jours.Tu peux douter, parfois.Regarder autour de toi et te dire que peut-être… c’est tr...
15/06/2025

Tu peux ne pas y croire tous les jours.

Tu peux douter, parfois.

Regarder autour de toi et te dire que peut-être… c’est trop t**d.

Que peut-être, l’amour profond, celui qui voit l’âme avant l’image,

c’est pour les autres.

Pas pour toi.

Tu as aimé, c’est vrai.

Parfois à sens unique.

Parfois trop fort, trop vite, trop mal.

Tu t’es trompé, tu t’es perdu, tu t’es vidé.

Et tu t’es relevé — seul.

Alors l’idée qu’une personne t’est vraiment destinée…

elle semble douce, mais un peu irréelle.

Et pourtant.

Elle existe.

Quelque part,

dans une autre ville, une autre vie, un autre timing,

il y a une personne qui avance aussi.

Qui tombe, qui apprend, qui se guérit.

Et qui, sans le savoir, se rapproche de toi.

Jour après jour.

Vous vous croisez peut-être déjà.

Ou peut-être pas encore.

Mais il y a dans ce monde quelqu’un qui saura lire entre tes silences.

Quelqu’un qui ne prendra pas peur face à ta profondeur.

Quelqu’un qui te verra, vraiment.

Pas pour ce que tu montres.

Mais pour ce que tu es, quand tu ne joues plus aucun rôle.

On a tous une personne qui nous est destinée.

Pas une perfection. Pas un conte de fées.

Mais une vérité.

Quelqu’un dont la présence apaise plus qu’elle excite.

Quelqu’un avec qui tu n’as rien à prouver.

Juste à être.

Et le jour où tu la rencontreras,

ce ne sera peut-être pas spectaculaire.

Mais ce sera simple.

Évident.

Comme un retour à la maison dans un endroit où tu n’étais jamais allé.

Alors ne cours pas.

Ne cherche pas partout.

Prépare-toi.

Aime-toi comme tu aimeras cette personne.

Sois la version de toi que tu rêverais d’offrir.

Parce que l’amour véritable ne se trouve pas au hasard.

Il se reconnaît quand les âmes sont prêtes.

Et un jour, sans crier gare,

tu croiseras un regard…

et tout ce que t’as vécu prendra enfin un sens.

Je ne comprenais pas, au début.Pourquoi ma douceur dérangeait.Pourquoi ma patience devenait une faiblesse entre leurs ma...
15/06/2025

Je ne comprenais pas, au début.

Pourquoi ma douceur dérangeait.

Pourquoi ma patience devenait une faiblesse entre leurs mains.

Pourquoi, chaque fois que je choisissais la gentillesse,

j’avais l’impression de perdre un peu de moi.

Un peu de respect.

Un peu de valeur.

Ils disaient que j’étais "trop bon", "trop gentil",

comme si c’était un défaut honteux.

Comme si donner avec sincérité faisait de moi quelqu’un de naïf,

quelqu’un qu’on pouvait repousser, utiliser, oublier.

Et à force, j’ai douté.

Douté de mon cœur.

Douté de cette partie tendre de moi que j’avais toujours considérée comme une force.

Ils m’ont donné l’impression

que ma gentillesse était la pire chose que je possède.

Comme si aimer sans calcul méritait la trahison.

Comme si pardonner faisait de moi un paillasson.

Comme si le respect était un jeu où je perdais toujours.

Mais aujourd’hui, j’ai compris.

Le problème, ce n’était pas ma gentillesse.

C’était ceux à qui je la donnais.

Ceux qui ne voyaient pas la beauté d’un cœur ouvert.

Ceux qui confondaient lumière et faiblesse.

Ceux qui profitaient des âmes vraies parce qu’eux-mêmes ne savaient plus aimer sans blesser.

Ma gentillesse n’est pas une erreur.

Ce n’est pas un poids.

Ce n’est pas un défaut à corriger.

C’est ce qui me rend capable d’humanité dans un monde qui oublie souvent ce que ça veut dire.

C’est ce qui me permet de continuer à croire, à tendre la main, à voir le beau.

Oui, j’ai été trop gentil avec ceux qui ne méritaient même pas mon silence.

Mais aujourd’hui, je ne changerai pas.

Je protégerai mieux mon cœur,

je le donnerai moins vite —

mais je ne deviendrai jamais comme eux.

Parce que ma gentillesse,

c’est un cadeau.

Et maintenant, je saurai à qui l’offrir.

Et surtout, à qui ne plus jamais la laisser détruire.

Au début, elle parlait.Avec douceur, avec patience, avec l’espoir que ça suffirait.Elle mettait des mots sur ses blessur...
15/06/2025

Au début, elle parlait.

Avec douceur, avec patience, avec l’espoir que ça suffirait.

Elle mettait des mots sur ses blessures,

des phrases sur ses besoins,

des silences même, pleins de sens pour celui qui sait écouter.

Elle ne voulait pas hurler.

Elle voulait juste être entendue.

Elle ne réclamait pas l’impossible —

seulement une main, un regard, une place réelle dans le cœur de l’autre.

Mais chaque mot tombait à plat.

Chaque tentative restait suspendue dans l’air,

comme une bouteille jetée à la mer…

jamais ouverte.

Et puis un jour, quelque chose en elle a changé.

Pas dans un éclat de voix,

pas dans une dispute.

Non. Dans un retrait calme, mais définitif.

Elle a compris.

Que parler ne servait plus à rien.

Qu’expliquer mille fois ne touche pas un cœur qui a choisi de ne pas entendre.

Qu’argumenter, supplier ou s’adapter

ne construisent rien quand c’est toujours à sens unique.

Alors elle s’est éloignée.

Pas pour manipuler.

Pas pour faire peur.

Mais parce qu’elle avait tout donné —

et que rester aurait été se perdre un peu plus chaque jour.

Parfois, le silence n’est pas une punition.

C’est une guérison.

C’est le moment où l’on choisit sa paix plutôt que le conflit sans fin.

Elle ne voulait plus convaincre.

Elle voulait exister sans avoir à se justifier.

Et dans cet éloignement, elle n’a pas laissé place à la haine.

Juste à la clarté.

Elle a repris sa force.

Celle qu’elle avait dispersée dans chaque tentative de sauver un lien qui la vidait.

Et même si son départ a été discret,

il était puissant.

Parce que partir sans crier,

c’est souvent ce que font ceux qui ont vraiment aimé.

Et qui ont trop attendu.

Il ne s’agit pas seulement de maquillage, de vêtements ou de compliments lancés à la va-vite.Il ne s’agit pas de beauté ...
15/06/2025

Il ne s’agit pas seulement de maquillage, de vêtements ou de compliments lancés à la va-vite.

Il ne s’agit pas de beauté au sens plastique du terme, celle que l’œil voit sans comprendre.

Il s’agit de la lumière qu’elle dégage,

celle qu’un homme aimant, patient, présent,

fait doucement réapparaître,

non pas parce qu’il la “sauve”,

mais parce qu’il la regarde avec vérité.

Quand une femme tombe entre les mains d’un homme qui prend soin d’elle,

vraiment,

elle s’ouvre comme une fleur qu’on n’écrase pas.

Elle devient plus douce,

mais aussi plus forte.

Elle respire différemment.

Elle parle avec plus de certitude.

Elle rit plus souvent.

Et dans ses silences,

il n’y a plus de peur — seulement de la paix.

Prendre soin d’elle, ce n’est pas lui offrir le monde,

c’est la traiter comme si elle était déjà un monde en soi.

C’est écouter ce qu’elle ne dit pas toujours.

C’est savoir que certains jours, elle voudra parler pendant des heures,

et d’autres, se taire sans être interrogée.

C’est la soutenir sans la posséder.

La protéger sans l’étouffer.

C’est respecter ses douleurs anciennes sans vouloir les minimiser,

et honorer sa force présente sans chercher à la dominer.

Parce qu’une femme aimée avec tendresse,

avec cohérence, avec vérité…

devient incandescente.

Pas parce qu’elle a changé,

mais parce qu’enfin, elle n’a plus besoin de se défendre.

Elle ne baisse plus les yeux pour éviter d’être trop.

Elle ne se cache plus dans des demi-sourires.

Elle ne se surveille plus en pensant qu’on va lui reprocher d’être elle-même.

Elle devient encore plus elle.

Et ça, c’est la plus belle transformation.

Alors oui.

Une femme devient plus belle quand elle est aimée par un homme qui sait aimer.

Pas un homme parfait.

Mais un homme vrai.

Un homme qui ne cherche pas une femme à façonner,

mais une femme à honorer.

On parle souvent de loyauté.De rester. D’endurer. D’aimer même quand c’est dur.Mais on oublie de dire que l’amour ne dev...
15/06/2025

On parle souvent de loyauté.

De rester. D’endurer. D’aimer même quand c’est dur.

Mais on oublie de dire que l’amour ne devrait jamais être une prison.

Qu’il ne doit pas nous briser en chemin.

Tu as donné des chances.

Des explications.

Des mots calmes, des mots tristes, des mots pleins d’espoir.

Tu as répété, encore et encore, que certaines choses te faisaient mal.

Tu n’as pas hurlé dès le début.

Tu as d’abord tendu la main.

Tu n’es pas parti au premier accroc.

Tu as attendu.

Espéré.

Supporté plus que ce que tu aurais dû.

Tu as même cru que c’était toi, le problème.

Que tu demandais peut-être trop.

Que tu étais “trop sensible”, “trop exigeant”, “trop fatigué”.

Mais la vérité,

c’est que tu n’en pouvais plus de t’expliquer à quelqu’un

qui ne faisait même plus l’effort d’écouter.

Quelqu’un qui préférait minimiser ta douleur

plutôt que de remettre en question ses comportements.

Alors non, ce n’est pas égoïste d’être parti.

Ce n’est pas cruel d’avoir dit :

“Assez.”

Parce qu’à un moment,

ce n’est plus une conversation,

c’est une répétition qui t’épuise.

Ce n’est plus une relation,

c’est une lutte pour te faire respecter.

Et ce n’est plus de l’amour,

c’est un champ de mines où tu t’excuses d’exister.

Tu n’as rien brisé.

Tu as juste arrêté de te briser, toi.

Tu as choisi la paix,

là où l’autre te servait l’usure.

Tu as mis fin à une dynamique,

pas à un amour.

Parce que l’amour, le vrai,

ne te force jamais à te justifier sans cesse pour avoir mal.

Alors relève la tête.

Parce que partir, parfois,

c’est s’aimer assez pour ne plus mendier ce qu’on a demandé mille fois.

Ce n’est pas fuir.

C’est se sauver.

Et ceux qui t’aiment vraiment n’ont pas besoin qu’on leur répète cent fois

comment ne pas te faire du mal.

Tu t’es souvent demandé pourquoi tu croyais encore en l’amour.Après les déceptions, les silences, les blessures qu’on t’...
15/06/2025

Tu t’es souvent demandé pourquoi tu croyais encore en l’amour.

Après les déceptions, les silences, les blessures qu’on t’a laissées sans soin.

Après tous ces “je t’aime” qui sonnaient creux,

ces regards absents,

ces promesses qui n’étaient que des phrases vides…

comment tu peux encore y croire ?

Et puis un jour, sans prévenir, tu comprends.

Tu crois encore à l’amour, parce que tu sais comment toi, tu aimes.

Pas de manière légère.

Pas de manière conditionnelle.

Toi, quand tu aimes, c’est entier.

C’est vrai. C’est profond. C’est vivant.

Tu aimes avec présence.

Tu observes les détails, tu retiens les petits gestes.

Tu tends la main quand l’autre ne la demande même pas.

Tu donnes sans calculer.

Tu ressens avant même qu’on parle.

Et c’est cette capacité-là,

cette tendresse que tu portes en toi — malgré les chocs —

qui te fait croire encore.

Parce que si toi tu peux aimer comme ça,

alors quelque part, dans ce monde,

quelqu’un d’autre le peut aussi.

Tu réalises que ta foi en l’amour

ne vient pas de ce que tu as reçu,

mais de ce que tu sais encore offrir.

C’est ça, ta lumière.

C’est ça, ton espoir.

Ce n’est pas naïf.

Ce n’est pas un déni.

Tu sais ce que ça coûte d’aimer.

Tu sais les risques, les chutes, les silences.

Mais tu sais aussi la beauté.

Le frisson d’une connexion sincère.

La chaleur d’un regard qui te voit vraiment.

Le pouvoir de deux âmes qui s’alignent, même brièvement.

Tu ne crois peut-être plus aux contes de fées,

mais tu crois encore aux gestes vrais.

Aux élans du cœur.

À l’amour calme, sans masque, sans jeu.

Et ça suffit.

Tu ne cherches pas l’amour pour combler un vide.

Tu y crois parce que ton cœur, lui, ne s’est jamais vidé.

Pendant longtemps, tu t’es senti obligé d’expliquer.De justifier chaque silence, chaque éloignement, chaque choix.Tu t’e...
15/06/2025

Pendant longtemps, tu t’es senti obligé d’expliquer.

De justifier chaque silence, chaque éloignement, chaque choix.

Tu t’excusais presque d’exister autrement que ce qu’on attendait de toi.

Tu voulais qu’on comprenne ton cœur,

tes intentions,

tes douleurs invisibles.

Tu pensais qu’être clair, c’était être bon.

Tu pensais qu’expliquer, c’était respecter.

Mais avec le temps, tu as vu.

Vu que certains n’écoutent pas pour comprendre,

mais pour contredire.

Que certains ne cherchent pas la vérité,

mais le contrôle.

Tu t’es vidé à essayer d’être compris.

À parler avec des mots que l’autre refusait d’entendre.

À poser des vérités sur la table

face à des gens qui n’avaient jamais l’intention d’y croire.

Et un jour,

tu t’es tu.

Pas par faiblesse.

Par puissance.

Grandir, c’est comprendre que tout le monde ne mérite pas une explication.

Que ton silence peut être une réponse.

Que ta paix vaut plus qu’un débat stérile.

Que t’as pas à justifier pourquoi tu choisis de te préserver.

Que certaines décisions ne se défendent pas,

elles se prennent. Point.

Ce n’est pas de l’arrogance.

C’est de l’amour de soi.

C’est savoir que ton énergie est précieuse,

que ton cœur n’est pas un livre ouvert pour n’importe qui.

C’est reconnaître que certaines personnes n’ont pas le niveau d’écoute

nécessaire pour recevoir ta vérité.

Alors maintenant, tu pars quand tu dois partir.

Tu coupes quand tu dois couper.

Tu changes quand tu dois changer.

Sans long discours, sans scène dramatique.

Juste avec calme. Et certitude.

Parce que ceux qui te connaissent vraiment,

n’ont pas besoin d’explication.

Et ceux qui te la réclament sans te respecter,

ne la méritaient jamais.

Tu ne t’en es peut-être jamais rendu compte.Ou peut-être que si, mais tu as fait semblant.Tu m’as brisé doucement, sans ...
15/06/2025

Tu ne t’en es peut-être jamais rendu compte.

Ou peut-être que si, mais tu as fait semblant.

Tu m’as brisé doucement, sans bruit,

comme on laisse tomber un verre qu’on pense incassable.

Pas d’un coup.

Mais à force de silences, d’indifférences, d’oublis.

À force de paroles lancées sans penser,

d’absences déguisées en présence.

Et moi, je suis resté là.

À recoller des morceaux invisibles à tes yeux.

À faire semblant que tout allait bien.

À porter la douleur dans un coin discret de mon âme,

là où personne ne pose jamais les yeux.

Tu n’as pas eu à assister à la tempête.

Tu n’as pas vu les nuits sans sommeil.

Les larmes silencieuses, les respirations coupées,

le vide qui s’installait entre chaque battement de cœur.

Tu m’as brisé sans bruit,

et tu es reparti léger.

Comme si de rien n’était.

Mais tu sais ce que j’ai fait ?

Je t’ai laissé partir sans te haïr.

J’ai choisi la paix au lieu de la rancune.

Le silence au lieu du cri.

La guérison au lieu de la vengeance.

Tu m’as brisé sans même t’en rendre compte.

Moi, j’ai guéri sans même te maudire.

Pas pour toi.

Mais pour moi.

Parce que je refuse de porter en moi la colère que tu m’as laissée.

Parce que je mérite un cœur en paix,

pas une prison pleine de rancune.

Aujourd’hui, je vais mieux.

Pas parce que t’es revenu — tu ne l’as jamais fait.

Mais parce que je me suis reconstruit.

Pierre par pierre.

Souffle après souffle.

Avec mes propres mains.

Et même si j’ai dû apprendre à vivre sans une explication,

sans excuse, sans reconnaissance…

j’ai appris.

Et surtout, j’ai avancé.

Tu ne sauras peut-être jamais ce que tu m’as coûté.

Et c’est ok.

Parce que ce que je suis devenu depuis…

ça, c’est à moi.

C’était pas de la faiblesse, tu sais.C’était du cœur.Tu voulais que ça marche, que ça tienne, que ça compte.Alors t’as c...
15/06/2025

C’était pas de la faiblesse, tu sais.

C’était du cœur.

Tu voulais que ça marche, que ça tienne, que ça compte.

Alors t’as couru.

Pas physiquement — mais émotionnellement.

T’as couru pour combler les silences.

T’as couru pour réparer ce que t’avais même pas cassé.

T’as couru pour prouver ta valeur à des gens qui regardaient à peine où ils mettaient les pieds…

même quand c’était sur toi.

Tu leur donnais du beau,

et ils le piétinaient sans s’en rendre compte.

T’offrais ta présence, ta loyauté, ton attention,

et ils les prenaient comme un dû,

jamais comme un cadeau.

Mais un jour, t’as regardé autour.

T’as vu que t’étais seul dans la course.

Que t’étais en sueur, à bout de souffle,

pendant qu’eux marchaient tranquillement,

ignorant ton effort,

ignorant ta peine.

Et t’as compris.

T’as compris que ceux qui marchent sur toi

ne méritent pas que tu t’essouffles pour eux.

T’as compris que ta valeur ne se prouve pas dans la poursuite,

mais dans la posture.

Dans le fait de rester droit, même quand on te tourne le dos.

Alors t’as arrêté de courir.

Pas par rancune,

mais par respect pour toi.

Par fatigue aussi.

Et par dignité surtout.

T’as relevé la tête.

T’as rassemblé ce qui restait de toi.

Et t’as commencé à marcher…

dans l’autre direction.

Pas pour fuir,

mais pour te retrouver.

Et depuis ce jour,

tu ne cours plus après personne.

Tu donnes, oui.

Mais tu n’insistes plus.

Tu aimes, oui.

Mais tu ne t’oublies plus.

Parce qu’on ne supplie pas ceux qui nous écrasent.

On s’élève.

Et on laisse leur poussière derrière nous.

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