16/09/2025
Des bandits attaquĂšrent une femme en uniforme militaire dans la forĂȘt, mais aucun d'eux n'imaginait ce qui allait se passer quelques minutes plus t**d.
Un silence pesant rĂ©gnait dans la forĂȘt, seulement troublĂ© par les gĂ©missements Ă©touffĂ©s d'un vieil homme. Plusieurs hommes costauds aux visages rudes et aux sourires espiĂšgles entouraient le vieil homme. Ses cheveux gris Ă©taient emmĂȘlĂ©s et son visage couvert de poussiĂšre ; les bandits le jetĂšrent Ă terre et lui donnĂšrent des coups de bottes, lui rĂ©clamant de l'argent.
« Alors, grand-pĂšre, oĂč est ton stock ?» gronda l'un d'eux, une cicatrice sur la joue. « On sait que tu en as !»
Le vieil homme, impuissant, se couvrit la tĂȘte des mains, mais les coups continuĂšrent. Sa faiblesse les amusait, comme si c'Ă©tait un divertissement.
Mais soudain, une voix féminine aiguë retentit :
« Assez !»
Toutes les tĂȘtes se tournĂšrent simultanĂ©ment vers cette voix. Une femme en uniforme militaire surgit du brouillard. Elle avait environ trente-cinq ans. Grande, imposante, le regard fixe et la dĂ©marche assurĂ©e. Les bandits furent surpris un instant, puis des sourires prĂ©dateurs se dessinĂšrent sur leurs visages. Ils lançaient un regard lascif.
« Waouh, quelle beautĂ© ! » sourit l'un d'eux en lui jetant un regard avide. « Et que fait une fille pareille toute seule dans la forĂȘt ? »
« Regardez ses jambes⊠» dit un autre d'une voix rauque, inspirant bruyamment. « Et ça sent⊠mmm⊠délicieux. »
« Si vous ĂȘtes seule ici, c'est qu'il n'y a personne pour vous protĂ©ger », ajouta le troisiĂšme. « Nous pouvons prendre soin de vous mieux que quiconque. »
« Vous devez avoir froid, voulez-vous qu'on vous réchauffe ? Nous sommes doués pour aider les belles filles seules. »
Ils échangÚrent des phrases désobligeantes, rirent et échangeÚrent des regards, comme s'ils étaient une proie inattendue. Mais la femme ne réagit pas. Elle s'assit calmement à cÎté du vieil homme et vérifia sa respiration et son pouls.
« Vous ĂȘtes sourde ? » l'un des bandits lui saisit la main.
La femme leva les yeux. Il n'y avait ni peur ni panique dans son regard.
« EnlÚve tes sales pattes de moi », dit-elle d'une voix assurée.
« Eh bien, vraiment ? » rit le chef. « Vous ĂȘtes toujours aussi vilains ? Eh bien, les gars, il est temps d'apprendre les bonnes maniĂšres Ă cette beautĂ© sans cervelle ! »
AprĂšs avoir dit cela, il attira soudain la fille vers lui et tenta de la prendre dans ses bras. Mais Ă cet instant, quelque chose d'inattendu se produisit. đ±đ± Suite dans le premier commentaire đđ