Les devoirs de l’amour

Les devoirs de l’amour Bienvenu sur la page

08/08/2025

Après avoir mangé mon poulet ko chérie je suis en règle même si tu es en triangle on va tracer le repère.😒😒

06/08/2025

Être un homme n'est pas facile... Imagine payer la dot pour quelque chose que d'autres ont déjà eu gratuitement.

03/08/2025

Hier je sortais de l’hôtel avec ma maitresse quand j’ai vu ma femme devant ma voiture et je me suis donc caché rapidement.

Après près de deux heures, elle a arrêté un taxi et est partie. J’ai poussé un soupir de soulagement et je suis monté dans ma voiture pour rentrer.

Dès que je suis arrivé à la maison j’ai commencé par raconter une histoire à ma femme KO « Bébé, tu sais que les gens sont malhonnêtes ? Aujourd’hui j’ai prêté ma voiture à un ami et lui il est allé emmener femme dans un hôtel… »

Ça, c'est la méthode de l'anticipation... Elle consiste à raconter un mensonge avant que la question ne soit posée. Quand la femme n'est pas vigilante, ça passe vite fait.

Ma femme : Han ??? Quel hôtel ?

Moi : je ne sais pas. C’est sa femme qui est allée l’attraper là-bas et nous on a entendus.

Ma femme : Moi j’étais sa femme, j’allais partir là-bas avec couteau.

Moi : Ekié !!! Tu vas faire quoi avec couteau ma chérie ?

Elle : je coupe le truc qu’il a entre les jambes et il trompe avec.

Moi : (en transpirant) Dieu merci moi je suis fidèle. Donc si je t’avais trompé et tu m’avais attrapé, c’est c que tu allais me faire ?

Elle : Je ne blague pas. Même si je ne le fais pas sur le champ, je le ferai un autre jour.

Moi : (timoré) Je suis fidèle… Dieu merci… C’est le con là qui a envoyé ma voiture devant hôtel aujourd’hui sinon je sais que ma voiture va fo**re quoi là-bas ?

C'est comme ça qu’on a terminé notre discussion et on a parlé d’autres choses et elle est allée dans la chambre à coucher.

Apres avoir fini de regarder la télé de 20 h, je suis entré dans la chambre à coucher seulement et mes yeux sont tombés sur un couteau qui était au chevet du lit. J’ai voulu le déplacer et ma femme refuse que oh « Elle garde ça là pour tailler les ongles avec »

Depuis ce jour, elle n’a jamais taillé les ongles et le couteau est là… m’empêchant de dormir la nuit… Je ne sais même pas si c’est ongle d’éléphant elle a et c’est couteau qui doit tailler ça 🥲 🥲 🥲 🥲 🥲 🥲 🥲 🥲

Auteur : Jo-Fr

Catégorie : Divertissement

Année : 2023

02/08/2025

Peu importe le nombre de statuts religieux que tu postes Dieu ne lit pas les statuts.
Si ton cœur est noir ta réalité sera noire

02/08/2025

Nous c'est quand on mougou on commence à aimer sinon les causeries là c'est hypocrisies

01/08/2025

Malheureusement, les gens ont le droit de refuser votre amour et cela peu importe la pureté de vos intentions.
Vous n’êtes pas ce qu’ils veulent et ce n’est pas grave…

Amen 🙏
01/08/2025

Amen 🙏

Les relations à Bamako 🙏🙏
01/08/2025

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01/08/2025

Normaliser qu'un homme peut vous inviter au restaurant et ne pas payer ce que vous avez mangé.

30/07/2025

Crois-le ou non,
certains d’entre vous sortent avec des personnes qui suppriment vos conversations tous les jours pour éviter une rupture avec leur vrai partenaire.

Quand tu confie ton coeur à une femme claire
29/07/2025

Quand tu confie ton coeur à une femme claire

« J’ai dû faire semblant que ça ne me faisait pas mal… quand mon propre fils est passé devant moi sans même me saluer. »...
29/07/2025

« J’ai dû faire semblant que ça ne me faisait pas mal… quand mon propre fils est passé devant moi sans même me saluer. »

Monsieur René avait 67 ans et une chaise en plastique devant sa maison, où il passait ses après-midis. Non pas par plaisir… par habitude. Sa femme, Gisèle, était décédée trois ans plus tôt, et depuis, sa seule raison de sortir était d’espérer qu’on le reconnaisse.
Son fils, Julien, était parti vivre en ville. Il avait promis de venir. De l’appeler. D’envoyer quelque chose. Mais seules arrivaient des factures… et le silence.

Un vendredi comme les autres, René se rendit au centre du village pour toucher sa pension. Alors qu’il faisait la queue à la banque, il le vit. Julien. Plus grand maintenant, vêtu comme un homme de bureau, le visage pressé. Il le reconnut aussitôt. Ses jambes tremblèrent. Il sourit et leva la main… mais Julien le regarda droit dans les yeux, fronça les sourcils… et continua son chemin.
Comme s’il ne le connaissait pas.
Comme si l’homme qui l’avait élevé n’était qu’un inconnu parmi d’autres.

René ne le suivit pas. Il ne cria pas. Il baissa simplement la main. Ses yeux le brûlaient, mais il ne pleura pas.
À la place, il acheta un sachet de pain, rentra chez lui et s’assit sur sa chaise.
Ce soir-là, il ne mangea pas. Il pensa. Il pensa aux nuits où Julien était malade et lui ne dormait pas. Aux fois où il avait marché des kilomètres pour lui acheter des cahiers. Aux chaussures qu’il avait recollées à la colle. Et à tout ce qu’il n’avait jamais demandé en retour… sauf une seule chose : ne pas être oublié.

Depuis ce jour, quand les gens lui demandent s’il a des enfants, il répond :
« J’en ai eu. »

Pas par rancune. Mais par vérité.
Car il avait compris qu’il existe des abandons pires que de laisser quelqu’un dans la rue : le laisser vivant… mais sans présence.

Et même s’il l’attend encore, ce n’est plus avec espoir.
Juste avec la certitude qu’il l’a élevé pour qu’il prenne son envol…
pas pour qu’il disparaisse.

« Il y a des enfants qui grandissent tant… qu’ils n’ont plus de place pour le souvenir de ceux qui les ont portés avec les mains vides. »

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